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Reconfiguration des réseaux de transport et renouveau urbain : l’enjeu d'un urbanisme orienté vers le rail / Networks reconfiguration and urban renewal : the issues of disused railway areasLeysens, Thomas 28 September 2011 (has links)
La consommation d’espace engendrée par l’étalement urbain doit être limitée dans le cadre d’un développement urbain durable. Cet étalement urbain est entretenu, pour partie, par la dépendance automobile. Il convient donc de s’interroger sur les possibilités de reconfigurer les réseaux et l’espace pour développer un renouveau urbain. La densification et l’urbanisme orienté vers le rail, et plus largement les transports collectifs, apparaissent comme des solutions pertinentes pour répondre à ces enjeux. , notamment en utilisant le potentiel représenté par les friches ferroviaires. Cet objectif demande une coordination des transports et de l’usage du sol, qui doit s’appuyer sur une observation croisée foncier/transports. C’est dans cette optique qu’ont été développés des outils d’aide à la décision pour les acteurs de l’aménagement, en vue de favoriser le développement d’un urbanisme orienté vers le rail, notamment dans le cadre du projet franco-allemand BahnVille 2. / A sustainable development demands a reduction of the consumption of space created by urban sprawl, depending of the automobile dependency. This work discusses possibilities for reconfiguration of networks and space in order to develop an urban renewal. Densification and transit oriented development (TOD) seem to be efficient in order to fulfil these issues, using the potential of disused railway areas. TOD and densification demand cooperation and observation of land management and transports. Decision making tools have been created in order to promote the development of a rail-oriented urbanism within the French-German project BahnVille 2.
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Les comportements et stratégies d'adaptation agricole liés au développement durable des milieux périurbains : le cas de la rive-sud de MontréalRichard, Miguel January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Urbanisation et dynamique des transports "informels" et des mobilités dans les villes secondaires sénégalaises : les cas de Touba, Thiès et Saint Louis / Urbanization and dynamics of informal transports and mobilities in secondary cities in Senegal : cases of Touba, Thiès and Saint LouisFaye, Djib 12 February 2013 (has links)
La croissance explosive de la population sénégalaise a permis d’atteindre 13 millions d’habitants en 2009 contre 2 millions en 1950. La moitié de cette population, constituée largement de jeunes, vivent dans les zones urbaines comme Touba, Thiès et Saint Louis. Cet essor démographique a conduit à l’extension spatiale et la création de nouvelles centralités dans les villes sénégalaises. Il en résulte des paysages urbains et des fonctions très contrastés. Ce décalage fonctionnel et géographique a créé des besoins de mobilités très fortes.Dans les zones urbaines non planifiés et/ou éloignées des centres, les mobilités de proximité se développent par le biais de la marche à pieds et des transports hippomobiles. Alors que les déplacements menant vers les centres pour des motivations de travail, de commerce, d’études ou d’accès aux services divers se font essentiellement via les transports collectifs motorisés.De toute évidence, les relations entre transport et urbanisme sont ambivalentes. Si l’urbanisation précède le réseau de transport dans les quartiers périphériques, ailleurs, ils jouent un rôle majeur dans la structuration des espaces urbains notamment dans les centres historiques et le long des grands axes routiers.Pourtant, les transports informels opèrent en marge des règles pour satisfaire les besoins de mobilité des usagers à faible revenu. Ce qui rend ainsi éminent le rôle des pouvoirs publics dans la régulation des transports. / Senegal’s population grew in excess of 13 million people in 2009 from 2 million in 1950. The urban population growth led to the spatial extension and centralities of the cities. Half of the population, largely young, lives in urban areas like Touba, Thiès and Saint Louis. That gave a very contrasting urban landscapes and diverse urban functions. This shift has created very strong functional and geographical mobility needs. In urban unplanned areas and / or remote from centers, local mobility grew through walk and horse-drawn transport. Movements leading to the centers for reasons of work, commerce, education or access to various services abound via motorized transport.Clearly, the relationship between transport and urban planning are ambivalent. If urban development precedes the transport network in the suburbs, elsewhere, it plays a major role in the structuring of urban areas, especially in the historic centers and along major highways.Yet this informal transport is operating outside the rules, it meets the mobility needs of many low-income users. Thus, it is making prominent the role of the government to regulate the transports sector.
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De la perception de l'espace dans les quartiers à la prospective territoriale : analyse de l'urbanisation à la Réunion / From perception of space in the districts to territorial foresight : analysis of the urbanization on Reunion IslandHoareau, Sylvie 23 September 2013 (has links)
Perception de l'espace et prospective territoriale sont deux notions rarement associées. dans ce domaine, les exercices sont généralement conduits à l'échelle d'une région ou d'une agglomération. Ici, ils sont réalisés à celle du quartier qui semble être le niveau le plus pertinent pour y intégrer la perception de l'individu. En effet, cet espace est le plus familier pour l'habitant : c'est son lieu de vie. Il dégage ainsi une symbolique lui permettant de s'y identifier et de lui attribuer des qualificatifs. Ces espaces sont ainsi connotés de façon positive ou négative. Cette valeur peut dépendre de la qualité de l'aménagement urbain proposé. À la Réunion, ce dernier s'est souvent caractérisé par des opérations correctives. Après la départementalisation en 1946, l'île connaît une véritable misère. L'ex-colonie tente alors de rattraper son retard par rapport à la métropole. L'urbanisation s'est donc considérablement emballée. Dés les années 1980, les villes s'étendent de façon tentaculaire avec une prolifération de la maison individuelle sur les mi-pentes et les hauteurs. L'exiguïté de l'île impose la densification du tissu urbain existant par de nouveaux types de construction. Or, ces changements dans l'habitat, dans le paysage, mais aussi dans les habitudes, sont brutaux pour les réunionnais. Dans ce contexte, il serait intéressant à relever l'impression qu'ils dégagent de leur environnement quotidien. En conséquence, on peut s'interroger sur la possibilité de s'appuyer sur l'étude de ces perceptions pour déterminer les futures organisations territoriales possibles dans la perspective d'un développement urbain durable et dans le cadre d'une gouvernance participative. / On Reunion Island, cities have extended for 20 years. This extension promoted the urban sprawl. Now on this area, only 20 % of lands are building. So, a balanced development is actually promoted. But, can we base on the inhabitants' perception to manage to do this harmonious development? The district area seems to be relevant to deal with this subject. This scale represents the neighbourhood, a basic element of the town. By basing on a lot of soundings, we know the inhabitants expectations and the regulations which constrain the leaders. Four our territorial foresight exercise, we examine the trend of three relevant variables: population, economic activities, environment (buildings, agriculture and parks). This variables are controlled at the same time by the leaders and the users which picture them. To coclude, it is only by balancing these two visions that can achieve a more coherent developmet that give satisfaction to the developers as well as users.
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Gouverner la ville diffuse. La planification territoriale à l'épreuve.Desjardins, Xavier 27 November 2007 (has links) (PDF)
Peut-on planifier la ville alors que l'éparpillement urbain la rend de plus en plus « diffuse » ? Le système français de planification a longtemps souffert du nombre très élevé de communes. En 1999 et 2000, la succession des trois lois Chevènement, Voynet et Solidarité et Renouvellement Urbains incite, pour remédier à la fragmentation politique des aires urbaines, à la constitution de regroupements intercommunaux. La loi SRU vise à relancer la planification territoriale et invite les collectivités locales à élaborer des schémas de cohérence territoriale afin de mettre en œuvre une ville plus compacte. <br />L'étude analyse les causes de cette renaissance inattendue de la planification et analyse les processus dans les trois villes moyennes de Caen, Dijon et Montpellier.<br />Cette recherche aboutit à deux conclusions : <br />- l'intercommunalité ne conduit pas simplement à une amélioration de la gestion des affaires communales, elle participe de l'émergence d'un nouveau système territorial. Les structures intercommunales sont les lieux d'adaptation aux particularités locales des normes définies à l'échelle nationale ;<br />- la mise en œuvre des SCOT peut s'appuyer sur une mutation culturelle dans l'approche de la ville à la faveur de la diffusion du thème du « développement durable ». Toutefois, l'objectif de ville compacte est loin d'être encore atteint en raison d'une insuffisante prise en compte de l'importance de l'automobile. Par ailleurs, les dynamiques consensuelles qui président à l'élaboration des SCOT ne sont pas toujours compatibles avec la recherche de l'efficacité de la planification.
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Forme Urbaine et Mobilité QuotidiennePouyanne, Guillaume 13 December 2004 (has links) (PDF)
L'application du cadre du développement durable à la question de l'interaction entre la forme urbaine et la mobilité quotidienne aboutit à une stigmatisation de l'étalement. Par contraste, en réduisant les distances parcourues et en favorisant l'usage des modes alternatifs à l'automobile, la Ville Compacte se présente comme la forme « économe » de la croissance urbaine. Cependant, les contradictions nées de sa formulation comme de son application provoquent l'émergence d'une controverse sur les avantages de la compacité. Les liens entre densité et mobilité quotidienne sont explicités, puis analysés empiriquement à partir de l'étude de six aires urbaines françaises. Les résultats corroborent le sens attendu de cette relation, mais l'appréciation de ses modalités remet en cause sa validité. L'émergence d'une structure urbaine polycentrique, dont l'effet sur la mobilité est ambigu, invite à caractériser plus précisément les usages du sol urbain. Le problème est alors de comprendre l'interaction entre la forme urbaine et la mobilité quotidienne à l'échelle de l'agglomération. En raison de la nécessaire prise en compte des caractéristiques socio-démographiques des individus, cette interaction est à placer au cœur d'interdépendances complexes qui compliquent la mise en évidence de liens de causalité. L'utilisation d'une technique économétrique fondée sur le contrôle statistique d'un type de facteurs et son application à l'agglomération bordelaise permettent de préciser la contribution de la forme urbaine à la détermination des pratiques de mobilité.
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Croissance urbaine et risque inondation en BretagneValy, Janique 10 December 2010 (has links) (PDF)
L'occupation des plaines inondables par le bâti est un phénomène ancien mais qui s'est fortement accru à la fin du XXème siècle. Les plaines d'inondation françaises ne dérogent pas à cette règle et ce malgré la mise en place de réglementations. La Bretagne a subi ces vingt dernières années plusieurs événements hydroclimatiques exceptionnels qui ont touché de nombreux secteurs urbanisés notamment dans les communes périphériques de Rennes, les centres urbains de l'axe de la Vilaine et ceux du littoral. Cette succession d'événements a déclenché une réflexion sur le risque inondation à l'échelle régionale. Elle a également montré la vulnérabilité de certains espaces urbains, remettant en cause les logiques d'aménagement du territoire, notamment à proximité des agglomérations à forte croissance. Ces extensions urbaines, étudiées à l'échelle communale et infra-communale dans le cadre de cette thèse, s'organisent à partir d'un état initial plus ou moins vulnérable. Elles sont questionnées au regard de la réglementation et des contraintes climatiques. Les secteurs retenus sont donc Quimper et trois communes appartenant à l'agglomération rennaise. Une fois la zone inondable délimitée, la croissance urbaine communale est analysée grâce à une approche historique (implantation et évolution des centres anciens) et par une analyse des croissances urbaines au XXème et XXIème siècles. Cette approche permet ainsi de déterminer les trajectoires communales d'occupation spatiale notamment dans les plaines alluviales. L'analyse permet alors de dégager les logiques de croissance urbaine et de constater l'aggravation du risque. Pour comprendre les trajectoires urbaines dans les secteurs à risque, des projets urbains spécifiques ont été étudiés. Cette analyse permet d'appréhender précisément les enjeux résultants de l'urbanisation mais également de connaître l'attitude des porteurs de projets (en l'occurrence des élus locaux) face à l'inondation qu'elle soit passée ou qu'elle survienne durant la réalisation du secteur urbain. Il en ressort que l'adaptation au risque se traduit souvent par une prise en compte a minima de celui-ci et qu'il n'est que peu intégré dans les projets d'aménagement lors de leur conception ou de leur mise en place
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Etalement urbain et évaluation de son impact sur la biodiversité, de la reconstitution des trajectoires à la modélisation prospective. Application à une agglomération de taille moyenne : Rennes Métropole.Aguejdad, Rahim 11 December 2009 (has links) (PDF)
L'étalement urbain modifie l'occupation des sols et la physionomie des campagnes, menace l'agriculture périurbaine, et entraîne des conséquences sur le plan environnemental. Il provoque des perturbations des écosystèmes et constitue une menace sérieuse pour la biodiversité. Dans le contexte actuel d'une artificialisation accélérée des terres, l'étude de l'étalement urbain, l'évaluation et l'anticipation de ses impacts présentent un intérêt tant pour les scientifiques que les gestionnaires du territoire. Les objectifs de cette thèse sont de retracer précisément l'évolution de l'urbanisation sur Rennes Métropole, d'évaluer son impact sur la structuration des habitats écologiques, et de modéliser son évolution selon différents scénarios afin d'évaluer leurs conséquences sur l'occupation des sols et sur la biodiversité. Pour cela, une méthode de reconstitution des trajectoires d'occupation et d'utilisation des sols a d'abord été développée à partir de données de télédétection afin de mettre en évidence l'extension urbaine et de l'analyser à différentes échelles, allant du département d'Ille-et-Vilaine depuis vingt ans à de petits sites de quelques km² depuis les années 50. Ensuite, les paysages urbains actuels et passés ont été caractérisés à l'aide d'indicateurs relevant de l'écologie du paysage, avant de mettre ces derniers en relation avec des données biologiques. Enfin, les changements d'occupation du sol ont été modélisés selon différents scénarios avec un modèle intégrant un automate cellulaire, afin d'évaluer les impacts des scénarios sur les changements d'usage des sols et des paysages et sur la biodiversité. L'analyse des changements d'occupation du sol observés par télédétection illustre une nette progression du tissu urbain aux trois échelles étudiées, une régression des forêts et espaces verts à l'extérieur de la tache urbaine contre une augmentation à l'intérieur de cette tache, une fragmentation progressive des surfaces artificialisées et des espaces verts, une faible connectivité des espaces verts entre la ville et la périphérie. La mise en relation des données paysagères avec les données biologiques montre qu'au niveau des végétaux, l'urbanisation affecte le nombre d'espèces qui diminue sensiblement en allant du périurbain vers l'urbain. Au niveau des animaux, les résultats montrent que l'urbanisation affecte différemment les taxons en fonction de leur capacité de dispersion. L'analyse de l'occupation des sols projetée à un horizon 2020 selon différents scénarios montre que l'évolution 2005-2020 est très marquée, mais que les différences d'occupation des sols entre les scénarios et donc leurs impacts sur la biodiversité sont à peine perceptibles d'un scénario à l'autre. Ceci peut s'expliquer par le fait que l'évolution des surfaces urbanisées à Rennes Métropole est très contrainte par les différents documents de planification déjà existants, mais sans doute aussi par le modèle et la précision des données qu'il utilise. Mots-clés : Etalement urbain, Occupation des sols, Télédétection, Méthode Orientée-objet, Indices paysagers, Biodiversité, Modélisation, Automate cellulaire, Scénarios.
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Incidences du contexte urbain et du rapport au cadre de vie sur la mobilité de loisirNessi, Hélène 30 November 2012 (has links)
Le périurbain est régulièrement stigmatisé au titre de la surmobilité (notamment automobile) qu'il entraîne. Dans ce travail de doctorat, nous avons pris au sérieux cette critique et l'avons mise à l'épreuve en explorant les liens entre le cadre de vie et la mobilité de loisir. De fait, si certains travaux ont porté exclusivement sur l'influence des variables socioéconomiques des ménages pour expliquer leur mobilité, d'autres ont mis en évidence l'influence du contexte urbain. Nous nous appuyons sur ces travaux, mais en opérant un double déplacement. D'une part, nous ne prenons pas seulement en compte le contexte urbain commun à un ensemble de ménages, mais aussi le cadre de vie propre à chaque ménage. D'autre part, nous faisons l'hypothèse que les pratiques spatiales des ménages (tant au sein de leur cadre de vie qu'en dehors) reposent également sur leur " rapport à leur cadre de vie ". Notre travail a consisté à tester empiriquement les hypothèses de l'influence du contexte urbain et du rapport au cadre de vie sur la mobilité de loisir. Les agglomérations francilienne et romaine, qui présentent des structures urbaines et des modèles de périurbanisations contrastés, constituent nos terrains d'étude. Pour notre échantillon nous avons retenu des familles et avons mené des enquêtes dans 9 quartiers, se distinguant par leur situation géographiques et leur niveau de desserte en transport collectif. Notre travail empirique combine trois approches complémentaires : une approche contextuelle dans laquelle nous décrivons les caractéristiques fonctionnelles, sensibles et sociales des terrains d'étude, une approche qualitative comprenant 81 entretiens semi-directifs et une approche quantitative reposant sur 2250 entretiens téléphoniques. Une grille d'analyse a permis de traiter les entretiens et de classer les ménages selon 5 profils de " rapport au cadre de vie " à partir de leurs représentations et de leurs pratiques dans les registres fonctionnel, sensible et social. Nos résultats statistiques confirment la forte influence du revenu et de la position socioéconomique sur la mobilité de loisirs mais relèvent également l'influence non négligeable de deux autres variables qui agissent séparément et en interaction : le rapport au cadre de vie et le contexte urbain. Par ailleurs en neutralisant l'effet revenu et l'effet de la position socioéconomique, les résultats confirment bien une influence statistiquement significative de la localisation géographique. Les résidents du centre parcourent toujours davantage de kilomètres pour la mobilité de loisir que les péricentraux et les périurbains et leur mobilité globale (travail + loisir) est quasi équivalente à celle des périurbains et des péricentraux. L'analyse à l'échelle du quartier permet de vérifier l'hypothèse d'une mobilité de compensation et de préciser quels sont concrètement les éléments contextuels décisifs dans le choix des motifs de loisir. L'analyse du contexte à différentes échelles confirme l'influence d'éléments importants qui expliquent une part importante de mobilité de loisir en termes kilométriques tels que le manque de calme, d'espaces verts et d'intensité des tissus associatifs et sociaux et la localisation de l'offre de loisir dans l'agglomération. On observe ensuite l'influence de l'offre de transports ferroviaires, de la densité et du statut d'occupation du logement. Le type de logement (maison individuelle ou immeuble) n'a, en revanche, pas d'influence sur la mobilité de loisir. Les résultats obtenus montrent le rôle du rapport au cadre de vie dans la construction d'un mode de vie sur lequel se fonde la mobilité de loisir. L'attention portée à la relation entre le ménage et son cadre de vie permet de montrer que la mobilité de loisir dépend notamment de la représentation que le ménage se construit de son cadre de viede vie.
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L'effet du prix de l'essence sur l'étalement urbain dans 12 régions métropolitaines canadiennes : une analyse de régression de panelGingras, Ian 11 1900 (has links) (PDF)
Les régions métropolitaines canadiennes n'échappent pas à l'étalement urbain et plusieurs facteurs récurrents existent dans la littérature scientifique afin d'expliquer ce phénomène. L'un de ces facteurs est la diminution du coût de transport, une diminution reflétée par l'omniprésence de l'automobile. Dans l'optique où le prix de l'essence augmenterait substantiellement, forçant ainsi les agents économiques à changer leur comportement envers les transports urbains, l'un des objectifs de notre étude est de déterminer si une éventuelle hausse du prix de l'essence pourra ralentir l'étalement urbain. À l'aide de données de 12 régions métropolitaines canadiennes échelonnées sur 20 ans, notre analyse de régression de panel révèle qu'une augmentation de 10 % du prix de l'essence: 1) hausserait la proportion de la population d'une région métropolitaine vivant dans la ville centrale de 1,76 %; (2) diminuerait de 6,78 % la proportion de logements à faible densité et (3) diminuerait de 0,15 km la distance médiane de navettage.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Étalement urbain, prix de l'essence, régions métropolitaines canadiennes.
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