La presente tesis se ocupa del problema de la relación entre lo ético y lo estético a partir de una crítica ética formulada como ethicism por Berys Gaut y complementarla con la estética de la recepción o teoría de la recepción de Hans R. Jauss. Para comprender esta teoría, primero se debe presentar un panorama histórico y conceptual para fijar los límites y acepciones de los conceptos de ética –de la mano de David Hume–, estética –de la mano de Gaut– y experiencia estética –de la mano de Jauss–, pues resultarán importantes para los propósitos de esta tesis. Llegado este punto, debemos explayarnos en la teoría del ethicism y lo que implica una evaluación crítica respecto de las actitudes prescritas en una obra de arte, conduciéndonos desde un plano ético hacia uno estético para poder juzgar la obra como admirable o reprobable sin sacrificar su autonomía como obra de arte. Sin embargo, hemos de presentar además la estética de la recepción para poder enriquecer al ethicism a través del papel que cumple el receptor dentro de la experiencia estética y cómo la fusión de horizontes entre el receptor y la obra implica una evaluación ética del primero para con el segundo.

El objetivo de la presente tesis es el de abordar el problema del terrorismo desde una perspectiva ética. El núcleo teórico de la investigación reside en la crítica de G.W.F. Hegel (“Fenomenología del espíritu”, “Filosofía del derecho”) a la propuesta moral de Immanuel Kant (“Fundamentación para una metafísica de las costumbres”, “Crítica de la razón práctica”), a la luz de la revolución francesa como fenómeno social determinante para la historia y el decurso de la sociedad contemporánea, o al menos para una “cultura” occidental. En este sentido, toda referencia al caso particular de la revolución francesa servirá de pauta histórica, de manera que intentaremos recoger pasajes de los discursos de Maximilien de Robespierre en la época del jacobinismo, con el propósito de que nuestra discusión teórica encuentre un derrotero histórico, práctico, real.

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La publication, en 2001, du texte très élaboré du premier cours de Paul Tillich sur la philosophie de la religion (Berlin, 1920) a permis de jeter un regard neuf sur la pensée religieuse du Tillich allemand. Le but de la présente thèse était d'explorer l'originalité de ce nouveau document par rapport aux textes publiés sur le même sujet dans les années qui suivirent. De par sa date, ce texte représente la genèse de la philosophie de la religion tillichienne. Il est également de loin le texte le plus élaboré que nous ayons en la matière. Son étude a donc permis d'explorer plusieurs thèmes clé et de clarifier la pensée de Tillich à l'époque d'une manière que les textes connus précédemment ne permettaient pas. Par ailleurs, l'analyse du cours a permis de confirmer la continuité étonnante de la pensée religieuse de Tillich. Le nouveau document contient deux points forts sur lesquels mon travail d'analyse s'est naturellement porté. D'une part, il y a la présentation détaillée, tant conceptuelle qu'historique, de la méthode critique-intuitive développée par Tillich pour saisir la nature de la fonction religieuse. D'autre part, le texte permet de découvrir l'importance insoupçonnée et la nature de l'influence de Kant sur la pensée du premier Tillich. Tillich présente son approche comme une nécessité issue de la perte de l'innocence originelle propre à la religiosité immédiate avec l'avènement de la modernité, situation qui amena à l'impasse des solutions métaphysiques où Dieu est conçu comme un Être objectivé. Pour Tillich, l'approche critique de Kant, orientée vers une analyse de notre conscience, permit un renouveau historique sous forme de philosophie de la religion. Néanmoins, la réflexion rationnelle à elle seule ne peut permettre de retrouver une religiosité authentique. Il est nécessaire d'y joindre une approche intuitive par laquelle la nature inconditionnée de l'être est donnée de manière immédiate. L'analyse du texte de 1920 m'a permis de montrer de manière inédite comment, aux yeux de Tillich, l'élément intuitif comme l'élément critique trouvent leur origine en Kant, même si ce dernier n'est pas parvenu à saisir la nature paradoxale de la relation entre ces deux composantes.

In this dissertation, I motivate and defend a neo-Aristotelian concept of absolute prohibitions. The starting point of my argument is Elizabeth Anscombe’s famous critique of modern moral philosophy. Anscombe’s argument is widely interpreted as a call to rehabilitate Aristotelian ethics, but few among the scholars who responded to that call have dealt head-on with Anscombe’s insistence that modern moral philosophy’s deepest failure is its inability to account for absolute prohibitions. I argue that not only does Aristotle take the view that some actions are necessarily wrong, and therefore impermissible without exception, but also that this view is of genuine philosophical interest and merit. Drawing on Aristotle, I outline a concept of absolute prohibitions against gravely wrong actions on which absolute prohibitions emerge, as practical principles, from reflection on the goods human beings need to flourish. In neo-Aristotelian terms, absolute moral prohibitions are best formulated not as transcendent laws of reason or divine commands, but as preconditions for the shared life and the states of character that human beings need to live well. When we recognize that some actions directly and necessarily undermine or damage essential goods—human life, justice, virtue, and so on—we can and should rule those actions out as impermissible in principle. I argue that an Aristotelian concept of absolute prohibitions has considerable advantages over its rivals, found in traditional theology and in Kantian ethics, and that this concept can withstand the most powerful objection to the plausibility of absolute prohibitions, which is the problem of hard cases.

La presente tesis tiene como objetivo presentar una concepción del republicanismo kantiano que surja de la sociedad civil. La justificación de este propósito es que se trata de una veta no explorada en los estudios sobre Kant a la vez de que ofrece una teoría que permite dotar de importancia a la acción moral y política de las personas en la sociedad civil para poder convertir a un Estado en republicano. El trabajo tiene como supuesto de que la argumentación constructivista del imperativo categórico permite desarrollar esta forma de republicanismo. Además, la tesis presentada aquí articula tres fuentes teóricas. La primera la constituyen los estudios contemporáneos sobre el republicanismo, entre los que se destacan los trabajos de Philip Pettit y Rainer Forst. La segunda fuente la constituyen los estudios sobre la sociedad civil, entre los que se destacan los trabajos de Jean Cohen & Andrew Arato, Jürgen Habermas y Charles Taylor. Finalmente, la tercera fuente la constituyen los estudios sobre el constructivismo, el imperativo categórico de Kant y la idea de comunidad ética de Kant, entre los que destacan los trabajos de Christine Korsgaard, Carla Bagnoli y Onora O’Neill. Estas tres fuentes sirven de base para los tres capítulos que componen el presente trabajo. Además, dichas fuentes se articulan en un único argumento que se va desarrollando progresivamente a lo largo del texto.

La communication, souvent considérée de nos jours comme une solution à plusieurs problèmes philosophiques, constitue pourtant elle-même un problème de taille en philosophie. Les philosophes peuvent-ils se comprendre entre eux ou sont-ils condamnés pour toujours à travailler seuls? Quand on observe de plus près les «oppositions» philosophiques, même les plus connues, on constate qu'on ne peut pas parler de rencontre avec exactitude. Ce mémoire analyse plus spécialement sous cet aspect le conflit sur le fondement de la morale qui oppose traditionnellement déontologistes et conséquentialistes, où l'on pourra apprécier l'asymétrie des deux systèmes notamment en ce qui concerne la question de l'universalité du fondement et celle de l'autonomie de la morale. Cependant, l'étude des philosophes passés et présents constituant également un dialogue entre philosophes, toute conclusion déplorant l'état du dialogue entre les philosophes ne saurait être prise totalement au sérieux.

In my thesis I explain why the common, pre-theoretical understanding of morality is an important part of Kant's ethics, and I critically evaluate what the strengths and weaknesses are of doing ethics with the common perspective as a point of reference. In chapter 1, I discuss the significance of common rational capacities for the deduction in Groundwork III as well as for the Fact of Reason. Attention to the fundamental role of common rational capacities in the Second Critique reveals that Kant intends to provide further warrant for the Fact than its introspective self-evidence. In chapter 2, I discuss what it means for a rational agent to be endowed with common rational capacities. The agent has everything she needs to reason on her own about what she ought to do and act from rational judgements. Furthermore, I critically evaluate Kant's claim that his ethics spells out fundamental, pre-theoretical convictions. In chapter 3, I discuss Kant's conception of rationalizing (“Vernünfteln”). I analyse rationalizing as a process of self-deception in which an agent tries to justify or excuse violations of the moral law. This can lead to loss of the reliable use of common rational capacities. I discuss what help critical practical philosophy and moral education can afford against rationalizing. In chapter 4, I argue that Kant saw dialogical engagement with ordinary agents as an important way of obtaining data concerning the correct starting point of practical philosophy. Kant demands that whatever we get from dialog and observation has to be isolated from its contingent elements. I conclude that the main problem for Kant's method is how we can, on the one hand, exclude non-rational content, and, on the other hand, be open to what other agents actually have to say about morality.

In 1767, Mme Benoist published an epistolary libertine novel entitled Lettres du Colonel Talbert. Although she has received little critical attention to date, she was a prolific author who appeared with great regularity at minor literary salons. Her presence at these salons is well-established in personal memoirs and correspondences, and actively remarked upon by other authors—men and women—of the period, including Mme Roland and Choderlos de Laclos. Mme Benoist’s preferred genre was the novel with its explicit blend of high and low literary cultures, its melding of the philosophical and the sentimental, its pursuit of formal innovation, and its deliberate marketing in multiple formats and for multiple audiences, including publication through the mainstream book market, and serial publication in revues and journals with a large female readership, such as the Journal des Dames. This study focuses on Lettres du Colonel Talbert (1767) as both a paradigmatic and privileged text inside Mme Benoist’s larger corpus, and one which explicitly engages many of the most pressing moral and philosophical debates of the period, including the legal status of women. To do so, Mme Benoist appropriates the libertine novel as specific novelistic subtype. In Les Lettres du Colonel Talbert, Mme Benoist parodies the libertine novel and in doing so, converts the libertine textual economy to one in which well-established narrative codes of femininity and masculinity are inverted. Although her depiction of the heroine, Hélène—an exceptional and courageous young woman who resists the predatory advances of a man through sheer strength of moral character—is not in itself unusual, Mme Benoist’s choice to frame her heroine’s moral struggle in a narrative epistolary exchange between two diametrically opposed male “types” in enlightenment thought—the libertine and the honnête homme— Mme Benoist effectively subverts masculine textual dynamics at the level of plot and character. More importantly, she also subverts the libertine novel’s traditional identification with masculine authorship. / Includes bibliography. / Dissertation (Ph.D.)--Florida Atlantic University, 2014. / FAU Electronic Theses and Dissertations Collection

論文(哲學碩士)--香港中文大學硏究院哲學學部,1994. / 參考文獻: leaves 263-272 / 吳俊業作. / 序言 --- p.1 / Chapter 第一章 --- 道德主體作為純粹的實踐理性 --- p.4 / Chapter 第一節 --- 引論 --- p.6 / Chapter 第二節 --- 理論理性的兩種使用 --- p.9 / Chapter 第三節 --- 實踐理性的邏輯使用及實質使用 --- p.16 / Chapter 第二章 --- 道德主體作為意志主體 --- p.26 / Chapter 第一節 --- 超驗自由與實踐自由 --- p.27 / Chapter 第二節 --- 自由自律的意志之提出 --- p.32 / Chapter 第三節 --- 康德意志理論的完成 --- p.39 / Chapter 第四節 --- 意志理論的補充：「意向」一概念的引入 --- p.47 / Chapter 第三章 --- 王陽明關於實踐主體的心性論 --- p.56 / Chapter 第一節 --- 對於中國哲學「心」、「性」概念的預備性分析 --- p.57 / Chapter 第二節 --- 陽明繼孟子學而立的心性論 --- p.68 / Chapter 第三節 --- 從「良知」到「致良知教」 --- p.73 / Chapter 第四節 --- 「良知」概念的伸展及其理論意義 --- p.80 / 附論：陽明的「知行合一」¨®Ơ --- p.89 / Chapter 第四章 --- 自律性與「心即理」 --- p.105 / Chapter 第一節 --- 人格尊嚴的存有論基礎 --- p.107 / Chapter 第二節 --- 自律倫理學的特殊性格 --- p.119 / Chapter 第五章 --- 別異與省察（上） --- p.140 / Chapter 第一節 --- 規定超驗主體的不同進路 --- p.142 / Chapter 第二節 --- 超驗主體的客觀實在性 --- p.156 / Chapter 第三節 --- 智的直覺與主體的實在性 --- p.165 / Chapter 第六章 --- 別異與省察（下）　　 --- p.194 / Chapter 第一節 --- 由現象與物自身的超越區分別中國哲學傳統的體用關係 --- p.194 / Chapter 第二節 --- 成德與成聖 --- p.210 / Chapter 第三節 --- 成聖與體用圓融 --- p.227 / 結論 --- p.253 / 書目 --- p.263