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Comment se rendre utile : les centres de recherche universitaires canadiens, 1914-2003

Almeida, Mike January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les centres de recherche universitaires canadiens, de leur émergence au cours des années 1910 jusqu'à nos jours (2003). Ces structures de la recherche méritent d'être étudiés car pour plusieurs observateurs elles ont supplanté les départements comme principal lieu de dynamisme intellectuel. Axés sur l'étude d'un objet plutôt que d'une discipline, les centres rassemblent des chercheurs provenant d'horizons disciplinaires variés qui tentent de résoudre des problèmes concrets. Ces tendances sont renforcées par plusieurs programmes gouvernementaux récents. Il n'est donc pas étonnant que les centres accaparent une portion de plus en plus élevée des fonds de recherche disponibles. Bien qu'ils représentent un enjeu scientifique et organisationnel important, l'historiographie des centres universitaires canadiens demeure largement sous-développée. Cette thèse vise à combler cette lacune. Notre étude est la première recherche historique sur l'émergence et le développement des centres comme forme d'organisation de la recherche universitaire au Canada. Les questions qui structurent cette thèse sont les suivantes: pourquoi et comment procède-t-on à l'établissement de centres de recherche à une époque où cette activité demeure marginale sur les campus du pays? Quelle est la fonction des centres au sein des établissements d'enseignement supérieur et comment cette fonction a-t-elle évolué avec le temps? Quelle est la spécificité des centres universitaires canadiens? La thèse que nous défendons est toute simple: historiquement, les centres permettent aux universités d'avoir accès à de plus amples ressources avec lesqueIles développer leur potentiel de recherche. Ils permettent également aux commanditaires externes de mobiliser la recherche universitaire en fonction de leurs besoins. Cette fonction générale est modulée par le contexte historique particulier dans lequel évoluent les centres de recherche. Durant la période des origines qui s'étend de 1914 à 1945, l'établissement de centres est un moyen pour des « chercheurs-entrepreneurs » de générer des fonds de recherche et une façon pour les dirigeants universitaires de développer leur institution (facteurs internes). La création de centres permet également aux gouvernements de suppléer et de soutenir l'industrie canadienne en mettant à sa disposition des infrastructures et du personnel de recherche (facteurs externes). Même si les centres représentent une innovation organisationnelle importante, le faible nombre de centres fondés au cours de cette période témoigne de leur marginalité dans le développement de la recherche universitaire. Au cours de l'immédiat après guerre, l'écologie des centres universitaires canadiens se transforme. Le Conseil de recherche pour la défense du Canada s'établit alors comme le principal bailleur de fonds des centres de recherche et oriente leurs activités en fonction de ses besoins. Grâce en partie à cet organisme, le nombre de centres dans les universités canadiennes a plus que triplé entre 1945 et 1960. Puis, durant les décennies «fastes» de 1960 et 1970, les gouvernements mettent sur pied de nombreux programmes de financement de centres afin de former des chercheurs dans leurs domaines d'intervention et de suppléer leur propre capacité de recherche. Ces conditions ont été propices à la prolifération des centres de recherche qui deviennent à cette époque des entités communes sur les campus canadiens. Finalement, depuis les années 1980, les centres universitaires canadiens sont appelés à contribuer au développement économique. Les conditions socio-économiques particulières des années 1980 et la mondialisation des marchés qui a cours depuis les années 1990 ont pavé la voie à la plus importante augmentation du nombre de centres de recherche dans l'histoire canadienne. Il serait pourtant abusif de voir l'histoire des centres de recherche comme une évolution inexorable vers les pratiques actuelles de commercialisation de la recherche universitaire. Les forces socio-politiques derrières le développement des centres de recherche se sont transformées avec le temps et la recherche du profit n'a que très récemment été l'un des objectifs à atteindre. Quant à la spécificité des centres universitaires canadiens, il semble que leur intégration plus «organique» à leur environnement institutionnel soit le trait qui les distingue le plus nettement de leurs contreparties américaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Canada, Gouvernements, Entreprises, Universités, Centres de recherche.
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An analytical inquiry into the evolution of forest governance institutions in Québec

Fréchette, Alain 07 1900 (has links) (PDF)
Le secteur forestier québécois traverse actuellement une des pires crises de son histoire. Bien que les causes structurelles et conjoncturelles attribuables à cette situation soient nombreuses et fassent l'objet de vives spéculations entre différents groupes d'initiés, les causes sous-jacentes de cette crise (soit les facteurs sociaux, politiques et économiques) suscitent étonnamment peu d'intérêts. De plus, alors que l'origine de la présente situation est la plupart du temps attribuée à la refonte du régime forestier de 1986, l'examen exhaustif de l'évolution des institutions de gouvernance forestière depuis le début du 19e siècle indique que les problèmes de ce secteur ne sont pas nouveaux. Les défis qui touchent l'industrie forestière aujourd'hui découlent d'un ensemble de problématiques récurrentes et historiques, mais dont les effets ont toujours pu être tempérés par des manipulations structurelles peu coûteuses, par des développements technologiques ou simplement par l'abondance même des stocks de ressources dont bénéficiait naguère le Québec. Or, si la crise actuelle résulte de défaillances qui sont à la fois chroniques et systémiques, quelle est la structure du dilemme qui amenuise systématiquement la capacité des acteurs sociaux, politiques et économiques à entreprendre les actions collectives qui s'imposent? La caractérisation historique du régime forestier, depuis ses origines jusqu'aujourd'hui, suggère que la rigidité constitutionnelle de la gouvernance forestière de même que la structure centralisée de l'arène des choix collectifs seraient en grande partie responsables des crises qui se sont succédé et des difficultés qu'éprouvent les acteurs concernés à résoudre conjointement les problèmes engendrés par l'exploitation forestière. Par le biais d'une analyse historique, basée sur le cadre d'analyse et de développement institutionnel (IAD - Institutional Analysis and Development Framework), nous traçons le développement conjoint des institutions constitutionnelles et de gouvernance forestières depuis le début du régime anglais en 1763 jusqu'à 1986. L'étude s'appuie sur une approche qualitative comparée des documents d'archives publiques issus de cinq périodes de l'histoire du Québec, choisie en fonction des changements institutionnels survenus durant ces périodes et les problématiques propres à chacune de ces périodes : (1) le système colonial 1763-1839, (2) le Canada Uni 1840-1866, (3) le Québec souverain préindustriel 1867-1906, (4) Le Québec à l'ère des papetières 1907-1950, et (5) le Québec suivant la Révolution tranquille 1960-1986. Le cadre théorique est issu des traditions du Choix public et l'Institutionnalisme rationnel. Le suivi des processus de causalité (process tracing) et la juxtaposition des données empiriques au cadre théorique ont été utilisés pour assurer une plus grande rigueur méthodologique et augmenter notre confiance envers les résultats obtenus. L'évaluation de données empiriques soutient l'existence d'un lien probant entre l'évolution des institutions de gouvernance forestière du Québec et les intérêts des divers gouvernements qui se sont succédé. L'analyse historique de l'exploitation des forêts québécoises montre comment le droit constitutionnel exclusif détenu par le conseil exécutif du gouvernement du Québec et l'absence de contraintes efficaces sur le processus décisionnel de ce dernier ont été systématiquement employés à des fins politiques et économiques, et ce, au détriment de solutions connues pour une meilleure gestion des ressources ligneuses pour l'intérêt commun. Étant la seule entité responsable de la gestion des ressources naturelles sur le territoire public, cette thèse établit que les gouvernements qui se sont succédé au fil du temps ont exercé une influence décisive sur l'évolution des institutions de gouvernances forestières, en affectant la sélection et la réplication des idées, des valeurs et des intérêts qui ont défini le rapport des Québécois à la forêt depuis plus près de deux siècles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gouvernance, institutions, constitution, évolution, actions collectives
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Enjeux de gouvernance et de réglementation pour le mouvement coopératif du secteur financier dans le contexte contemporain : France et Québec

Béziaud, Franck 02 1900 (has links) (PDF)
Arrimé à la littérature sur les banques coopératives et éclairé par des entretiens réalisés auprès de praticiens du milieu bancaire coopératif, ce mémoire a pour objectif de combiner différentes approches souvent utilisées dans l'analyse des banques coopératives, soit les approches de l'Histoire, du Droit et de la Gestion, afin de mieux saisir les enjeux et les défis auxquels sont confrontées les banques coopératives, en France et au Québec. Le champ d'étude de ce mémoire se limite à l'étude de cinq groupes bancaires coopératifs, à savoir : le Groupe BPCE, le Groupe Crédit Agricole, le Groupe Crédit Mutuel et le Groupe Desjardins. Selon la perspective historique, de simples acteurs venus combler l'interstice délaissé par les banques classiques lors de leur naissance dans la seconde moitié du XIXème siècle, les banques coopératives sont devenues des acteurs majeurs de l'économie mondiale et n'ont cessé de gagner des parts de marché, allant jusqu'à se classer parmi les plus grandes banques de France et du Québec. Selon la perspective juridique, il apparaît que la faible reconnaissance des banques coopératives sur les plans nationaux et internationaux contribue à leurs méconnaissances, non pas en tant que banques, mais en tant qu'institutions financières coopératives disposant d'avantages « naturels » et offrant une alternative au modèle des banques classiques. Selon la perspective de la gestion, les banques coopératives se trouvent au cœur des débats quant à la question de leur gouvernance. En effet, depuis les années 1980, les banques coopératives ont été l'objet de nombreuses mutations, à mesure que leurs organigrammes se complexifiaient, que leurs éventails de produits et services financiers se diversifiaient, et que leurs domaines d'activités s'ouvraient à de nouveaux segments de clients. En conséquence, cette recherche s'évertue, sur la base des cas français et québécois, à retracer le cheminement récent du modèle bancaire coopératif et tente de le situer parmi quatre modèles de gouvernance distincts : la gouvernance fiduciaire, la gouvernance créatrice de valeur, la gouvernance orientée vers la valeur partenariale et la gouvernance orientée vers la valeur actionnariale. Informé par ces trois approches, ce mémoire met en évidence l'importance d'une approche systémique dans la compréhension du modèle bancaire coopératif. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : banque coopérative, droit coopératif, gouvernance, modèle d'affaires.
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Urbanisme et architecture de la reconstruction du Loiret (1940-1954) / Urbanism and architecture of reconstruction in Loiret (1940-1954)

Godot, Anne-Sophie 08 December 2009 (has links)
Dès 1940, les hommes de l’art composent l’Urbanisme et l’Architecture du département. Le préfet lance des concours d’architecture auxquels de nombreux architectes participent. D’autres concours sont lancés par le MRU, et les architectes du département vont y participer avec succès. En parallèle, le préfet oblige les villes sinistrées à préparer un plan d’urbanisme. Avant même la loi qui va obliger d’autres communes à avoir un plan, Jean Royer compose ceux de Sully, Châteauneuf, Gien et Orléans. En parallèle, la participation active des sinistrés à la mise en place des projets témoigne de l’importance des questions dans le département. Les nombreux débats sont commentés par la presse locale avec enthousiasme.L’étude de la Reconstruction permet d’appréhender l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme de la période d’une manière inédite, puisque le département est le témoin privilégié de la mise en œuvre par l’État d’une politique de reconstruction active. / In 1940, men of art make up the Planning and Architecture in the Department. The prefect organizes architectural competitions which many architects participated. Other competitions are run by the MRU, and the architects of the department will participate successfully. In parallel, the warden forces the affected cities to prepare a development plan. Even before the law which will force other municipalities to have a plan, Jean Royer those composed of Sully, Chateauneuf, Gien and Orleans. In parallel, the active participation of victims in the creation of projects demonstrates the importance of issues within the department. Numerous debates are discussed by the local press with enthusiasm.The study of Reconstruction capture both the history of architecture and urbanism of the period in a manner unprecedented since the department is privileged to witness the implementation by the Government in politics of active reconstruction.
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Antonin Artaud épistolier : une pratique paradoxale de l’expression du moi / On letters of Antonin Artaud : a paradoxical practice of self-expression

Kariya, Toshinobu 10 June 2013 (has links)
La correspondance d’Antonin Artaud (1896-1948) occupe une place essentielle dans ses écrits. Elle montre sans doute mieux que ses autres textes la singularité de son expression. Cette thèse examine le rôle joué par sa correspondance, rôle dont on admet l’importance mais encore insuffisamment exploré. À partir de la publication de la Correspondance avec Jacques Rivière (1924), commencée à la suite du refus de Rivière de publier les poèmes d’Artaud, celui-ci publie lettres ou textes épistoliers comme si cela pouvait remplacer ses œuvres dans lesquelles il n’arrive pas à exprimer sa réalité à cause de la maladie dont il souffre : il refuse les œuvres « détachée[s] de la vie » et croit pouvoir mieux s’exprimer dans les lettres. L’expression épistolière est pour lui un moyen de faire entendre le « cri même de la vie » et de lutter contre « un sentiment de gratuité ». Toutefois, il n’est pas évident que, bien qu’elle soit ancrée dans des situations réelles, la correspondance puisse fonctionner comme Artaud le souhaite; il s’avère plutôt qu’elle a pour lui un statut ambigu dans les années 1920 et 1930. Le chapitre 1 aborde ce problème sous deux aspects : l’authenticité et la temporalité. Dans ses lettres, on constate qu’Artaud se plaint très souvent de l’incompréhension de ses destinataires vis-à-vis de sa douleur; ses lettres n’en garantissent pas, pour eux, l’authenticité et l’équivoque y revient sans cesse. Pour lui, l’authenticité doit être prouvée par l’adéquation de l’écriture épistolière avec le présent. Mais sa maladie, ainsi que le fait que les lettres ne sont que des écrits, empêchent la réalisation de cette adéquation. Ses lettres ne parviennent à transcrire que sa hâte et le décalage temporel. Ainsi, loin de témoigner de sa réalité brute, sa correspondance devient tentative de couvrir ce décalage, de trouver la réalité qu’il n’arrive pas à saisir, son vrai moi, originel et intact. Pour cela, Artaud recourt à des éléments imaginaires en exigeant toujours le contact immédiat, d’où le rôle paradoxal de ses lettres. Le chapitre 2 examine le problème de la destination. La présence des autres est nécessaire à Artaud pour penser, pour compléter son manque. Ses destinataires sont ainsi des dépositaires de son moi. Mais ses lettres s’adressent, au-delà des destinataires réels dont la présence n’est qu’imaginaire, à l’instance transcendante, à l’Autre comme le remarque Vincent Kaufmann dans L’Équivoque épistolaire, instance qui lui donne accès à l’expression et lui restitue son identité. Ses destinataires (critiques, autorités religieuses, hommes politique, médecins, etc.), autoritaires et paternels, sont des figures de cet Autre. Par ailleurs, ses destinataires féminines et amoureuses sont pour lui des moitiés qu’il faut s’incorporer pour retrouver l’unité originelle. Ses lettres d’amour sont ainsi marquées par son désir violent de fusion. Pourtant, l’union amoureuse expose en même temps l’unité de son moi à la perte dans le flot de choses. Les lettres sont aussi écrites pour introduire une distance.L’enjeu de ses lettres de voyage, étudiées au chapitre 3, est de réaliser les deux mouvements inverses (rapprochement et éloignement). Les pays lointains constituent pour Artaud l’ailleurs métaphysique où retrouver son unité originelle. Pendant ses voyages au Mexique (1936) et en Irlande (1937), ses lettres sont comme une scène pour l’avènement de sa nouvelle identité, scène où se rencontrent l’au-delà et l’ici-maintenant. C’est ici que son usage paradoxal des lettres atteint son sommet car la réalisation du « vrai drame » signifie, comme il le prophétise, la disparition du monde matériel et donc aussi celle de l’écriture épistolière. Ses lettres mettent en scène leur propre disparition qui coïncide curieusement avec son arrestation à Dublin et le commencement de sa vie asilaire (1937-1946)...... / The correspondence of Antonin Artaud (1896-1948) occupies an essential place in his writings. It shows probably better than his other texts the singularity of his expression. This dissertation examines the role played by his correspondence, the importance of which is admitted, but still insufficiently explored. From the publication of the Correspondence with Jacques Rivière (1924), that started following the refusal of Rivière to publish the poems of Artaud, he publishes letters or texts in epistolary style as if they could replace his works in which he is unable to express his own reality because of his illness : he refuses works "separated from life" and believes he can better express himself in letters. The epistolary expression is for him a way to make the "cry of life" heard and to fight against the "feeling of lack of cause". However, it is not clear that, although anchored in real situations, the correspondence can function as Artaud wants. Rather, in the 1920s and 1930s, its position for him is ambiguous.Chapter 1 approaches this problem in two aspects : the authenticity and the temporality. In his letters, we can see Artaud complain very often of his addressees’ misunderstanding about his pain. His letters do not prove its authenticity, and the ambiguity always goes into them. For him, the authenticity must be proven by the accord of his writings with the present time. But his illness, as well as the fact that the letters consist of words, prevent the realization of this accord. His letters can transcribe only his hustle and time gaps. Thus, far from showing his raw reality, the correspondence becomes an attempt to cover these gaps, to find the reality that he cannot seize, his true self, original and intact. To do this, Artaud uses imaginary elements, still asking for the immediate contact, which makes the role of his letters paradoxical. Chapter 2 examines the problem of destination. The presence of others is necessary for Artaud to think, to complete his lack. His addressees are depositories of his self. But his letters are addressed, beyond actual addressees whose presence is after all imaginary, to the transcendent instance, to the Other as notes Vincent Kaufmann in L’Équivoque épistolaire, instance that allow him access to the expression and restores his identity. His addressees who are authorities and paternal (critics, religious leaders, statesmen, doctors, etc.) are figures of the Other. In addition, the female addressees who are his lovers are his halves that must be incorporated to find again the original unity. His love letters are so marked by his strong desire of fusion. Yet at the same time, the union by love exposes his unity to loss in the flow of things. Letters are also written in order to introduce a distance. The issue of his travel letters, discussed in Chapter 3, is to make simultaneously the two opposite movements (close and away). Distant countries represent for Artaud metaphysical places where he should find his original unity. During his travels in Mexico (1936) and Ireland (1937), his letters are like a stage for the advent of a new identity, stage where meet the beyond and the here-now. It is here that the paradoxical use of letters reaches the peak, because the realization of the "real drama" means, as prophesied he, the disappearance of the material world and therefore that of the letters. His letters direct their own disappearance, which curiously coincides with his arrest in Dublin and the beginning of his life in asylums (1937-1946)....
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La question de l'interprétation en traduction : le traducteur comme copiste / The question of interpretation in translation : the translator as copyist

Talbot, Aurélien 24 January 2014 (has links)
Il est communément admis que la traduction est liée à l'interprétation, ce dont témoignent des formules telles que « comprendre c'est traduire » ou « interpréter pour traduire ». Cette thèse se donne pour objectif de parcourir les principales articulations du nœud entre interprétation et traduction et d'évaluer les chances de le desserrer. Pour ce faire, deux axes sont retenus. D'une part, l'opposition entre le bon sens et les paradoxes qui recoupe l'opposition entre les théories traditionnelles et critiques de la traduction. D'autre part, une lecture des réflexions sur la traduction au regard de certaines notions mises en avant par des penseurs assimilés à ce qui a pu être appelé la « théorie française », puis reprises en critique littéraire.Les hypothèses de George Steiner concernant la traduction et les principes de la Théorie Interprétative de la Traduction développée à l'ÉSIT sont ainsi étudiés et confrontés aux propositions d'Henri Meschonnic et d'Antoine Berman. Pour approfondir l'enquête et tenter de délimiter la portée du modèle herméneutique du sens en traduction, les travaux notamment de Saussure, Benveniste, Derrida, Deleuze, Ricœur ou Barthes jusqu'à ceux, plus récents, d'Agamben, Rancière et Huyghe sont convoqués.Dans ce sillage, la thèse invite enfin à considérer la traduction comme une technè ouverte et indéterminée et suggère d'aborder le lien entre traduction et interprétation du point de vue des réflexions sur la répétition et la représentation qu'ont pu inspirer le personnage du copiste et sa place croissante en littérature depuis Flaubert. / It is commonly accepted that translation and interpretation are linked, as is reflected in phrases such as “understanding as translation” and “interpret to translate”. The objective of this thesis is to examine the main threads of the knot that joins interpretation and translation, and to evaluate the chances of untangling these threads.Two approaches were used to do this. The first approach examines the conflict between common sense and the paradoxes raised by comparing traditional and critical theories of translation. The second approach considers reflections on translation in the light of certain notions advanced by thinkers associated with what can be called the “French theory” and then adopted in literary criticism.Thus, George Steiner’s hypotheses concerning translation and the principles of the Interpretative Theory of Translation developed at the ÉSIT are assessed and contrasted with propositions put forward by Henri Meschonnic and Antoine Berman. Works by de Saussure, Benveniste, Derrida, Deleuze, Ricœur, and Barthes, as well as by more recent authors such as Agamben, Rancière, and Huyghe, are appraised in order to develop this analysis further, and to try and define the range of the hermeneutic model of meaning in translation.The results of these analyses suggest that translation should be considered an open and indeterminate techne, and that the link between translation and interpretation can be addressed via reflections on the repetition and the representation inspired by the character of the copyist and its growing place in literature since Flaubert.
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Obliquity and meaning in the plays of Tennessee Williams, 1940-1963

Debusscher, Gilbert January 1973 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Théâtre de Charles Ludlam (1943-1987) / The Theatre of Charles Ludlam (1943-1987)

Pecorari, Marie 27 November 2008 (has links)
Cette monographie sur l’œuvre théâtrale de Charles Ludlam (1943-1987), dramaturge, comédien, metteur en scène et directeur de la Ridicoulous Theatrical Company (1967-1987) à new york, s’attache à mettre en valeur le fonctionnement poétique des pièces. A partir de l’étude de la réception, des archives et des commentaires de Ludlam, et surtout, des pièces elles-mêmes, il s’agit de réexaminer la validité des jugements critiques portés sur l’œuvre, qui n’a pas fait l’objet de réévaluation sérieuse depuis le contexte immédiat de la création des pièces. Prenant nos distances avec les classifications habituelles du dramaturge (théâtre gay, théâtre de divertissement, théâtre parodique), nous montrons que la compréhension de l’œuvre de Ludlam ne peut avoir lieu sans une confrontation à la tradition de la pensée du théâtre occidental. Ludlam entretient ainsi un rapport ambigu et ambivalent au milieu de l’avant-garde dans lequel il s’inscrit, qui explique en partie les contresens dont il a été victime. / This monograph on the theatrical works of Charles Ludlam (1943-1987), playwright, actor, director and founder of the Ridiculous Theatrical Company (1967-1987) in New York City, aimes at exploring the poetic underpinnings of the plays. Based on the study of the works’ reception, of Ludlam’s archive an down commentaries, and above all, of the plays per se, our purpose was ton reexamine the validity of the critical judgements on works which have note been seriously reconsidered since their original opening. Distancing ourselves from the usual labels attached to the playwright (gay theatre, entertainment, parody) we show that any real understanding of Ludlam ought to rely on an confrontation with the tradition of and reflection on western theatre practices. Ludlam thus enjoyed an ambiguous and ambibalent relationship with the avant-garde milieu of which he was part, which accounts in part for the misundersandings to which his work has fallen prey.
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Stravinsky's approach to opera

Truman, Philip A. January 1981 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La politique économique de l'Espagne, spécialement depuis 1960

Rull Sabater, Alberto January 1979 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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