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Redefining central bank independence : a pan-national perspectiveIlieva, Janet Bogomilova January 2004 (has links)
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Essays on financial stability and central bankingFernandes, Rui January 2003 (has links)
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Central bank independence as ideology : disinflation, dissimulation and labour market deregulationKulkarni, Jeffrey Kishor January 2005 (has links)
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Essays on central banks communication and decisions / Essais sur la politique de communication des banques centrales et de leurs processus de prise de décisionBennani, Hamza 25 November 2014 (has links)
Cette thèse s’intéresse au lien entre la politique de communication des banques centrales et leurs processus de prise de décision. Partant du constat que la récente littérature empirique, par manque d’outils adéquats, s’est peu focalisée sur l’intérêt d’analyser la communication des banques centrales pour comprendre leurs modes de fonctionnement, en particulier leurs politiques de fixation des taux d’intérêt; les différents chapitres de cette thèse proposent d’y remédier. En premier lieu, on met en lumière les différentes problématiques auxquelles sont confrontées les banques centrales (telle que la Banque Centrale Européenne ou la Réserve Fédérale Américaine); notamment l’hétérogénéité des préférences de politique monétaire des membres du comité décisionnel, ou les désaccords en termes de préférences de politiques économiques survenues dans le contexte de la crise de la zone euro. En second lieu, on se propose d’expliquer les déterminants et les conséquences de ces désaccords et de cette hétérogénéité avec des outils non standards, en complément de modèles théoriques et économétriques. Ainsi, s’inspirant de démarches et de méthodologies développées dans les autres sciences sociales, telle que la sociologie, la psychologie, ou les sciences politiques, les travaux de cette thèse exploitent la communication très prolifique des banques centrales pour éclairer leurs processus de prise de décision. / This thesis focuses on the link between central banks’ communication and their decision-making processes. Due to the fact that the recent empirical literature has not used central banks’ communication policy to understand their inner working, and notably their interest rate setting behavior, because of the boundaries of economic tools; the different chapters of this thesis propose to fill the gap of this literature. In a first step, we unveil the issues that some central banks face (like, e.g., the European Central Bank or the Federal Reserve), such as the heterogeneity in terms of monetary policy preferences between committee members, or the disagreements in terms of economic policy preferences in the context of the euro debt crisis. In a second step, we explain the determinants and the consequences of these disagreements and heterogeneity, using non standard analytical tools, along with theoretical and econometric models. Therefore, we consider the methodologies used in other social sciences, like sociology, psychology, or political science, to analyze the prolific communication policy of central banks, with the aim to unveil their decision-making processes.
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The costs and benefits of Central banking : Modern monetary economics along a methodological dividing line / Des coûts et des avantages de l'existence des banques centralesIsrael, Karl-Friedrich 13 December 2017 (has links)
L'évaluation des coûts et des avantages du système de banque centrale dépend fondamentalement de l'approche analytique adoptée. Les approches instrumentalistes et positivistes, discutées dans la première partie de cette thèse, se concentrent principalement sur l'importance des prédictions empiriques quantitatives. Ces approches tendent à mettre l'accent sur les conséquences immédiates et facilement mesurables. Les effets bénéfiques de court-terme des politiques monétaires expansionnistes sont ainsi étudiés en détail par les partisans de ces approches. Les critiques internes de ces dernières sont basées sur la reconnue ignorance des potentiels effets secondaires déstabilisateurs. Les coûts engendrés par les banques centrales sont vus principalement comme une perte de bien être due à une activité économique diminuée où une inflation des prix trop élevée résultant d'une déviation vis-à-vis de la politique monétaire optimale. L'approche causale-réaliste, étudiée dans la deuxième partie, donne un rôle plus restreint à la méthode empirique quantitative. Cette ligne de recherche permet une extension fructueuse de l'analyse coûts bénéfices à des notions plus abstraites qui peuvent être étudiées qualitativement tels le risque systémique et l'aléa moral. Cette étude défend que le régime moderne de banque centrale a alimenté le développement de ces deux phénomènes. Nous analysons comment la récurrence du cycle économique et la redistribution de la richesse au profit des plus aisés sont des effets importants de l'expansion du crédit. Une explication alternative de la stagflation basée sur le processus de l'intervention politique en réponse à ces conséquences inattendues est proposée. / The evaluation of the costs and benefits of central banking is to a considerable degree dependent on the analytical approach pursued.Instrumentalist-positivist approaches, as discussed in the first part of the thesis, emphasize the importance of empirical-quantitativepredictions for the development of economic models. Within this line of research, there exists a strong emphasis on those consequences of central banking that have an immediate and readily measurable empirical counterpart in the observed economic environment.Hence, the beneficial short-term effects of expansionary monetary policy in terms of increased economic activity are studied in detail and are well understood by proponents of these approaches. Internal counterarguments are based on acknowledged ignorance about potentially destabilizing side-effects. The costs of central banking are essentially seen as welfare losses from decreasedeconomic activity or excessive price inflation as results of deviations from an optimal monetary policy path. The causal- realist approach, as studied in the second part, assigns a narrower role to quantitative-empirical tools of analysis. This line of research allows for a fruitful extension of the cost-benefit analysis to more abstract notions such as systemic risk and moral hazard that can be analyzed qualitatively. It is argued that modern central banking is a contributing factor to both. Moreover, business cycles and wealth redistribution from bottom to top as important effects of credit expansion are analyzed. An alternative explanation of stagflation based on the process of political interventionism in response to unintended consequences of monetary policy is proposed.
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