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État-providence et libéralisme redistributif : entre "nouveau" et "néo" libéralisme

Bertrand, Benjamin 11 1900 (has links) (PDF)
Notre recherche part du constat de la situation paradoxale qui anime l'État-providence contemporain. Tout en maintenant un système économique capitaliste, ce modèle étatique procède à une redistribution des richesses afin de garantir à tous les individus les conditions jugées essentielles au bien-être. Afin de résoudre la potentielle contradiction théorique entre droits de propriété individuels et droits sociaux propres à ce système, cette présente étude cherchera à voir si l'implication redistributive de l'État peut être justifiée dans le cadre de la tradition intellectuelle libérale. Au premier chapitre, nous étudierons une des manifestations historiques d'une théorie libérale redistributive à travers le nouveau libéralisme anglais et l'œuvre de L. T. Hobhouse. Nous serons amenés à constater comment Hobhouse est parvenu à opérer une modification théorique du libéralisme classique afin d'élaborer les contours d'un nouveau libéralisme à même de justifier l'intervention redistributive de l'État. Dans le second chapitre, nous exposerons les principales objections formulées par le courant néolibéral à la théorie d'un libéralisme redistributif. Nous procèderons à l'étude de trois de ses principaux représentants soit Berlin, Hayek et Nozick. Le troisième et ultime chapitre de notre recherche, nous verrons comment le portrait d'un libéralisme redistributif que dresse Hobhouse parvient à réfuter les objections des néolibéraux notamment en ce qui à trait à la question de l'autonomie morale, du pluralisme et de la propriété privée des ressources économiques. Nous serons à même de constater que contrairement à la possible dérive relativiste liée à l'exacerbation des concepts libertaires à laquelle procèdent les penseurs néolibéraux, la théorie de Hobhouse constitue un cadre plus cohérent capable d'apprécier de manière complémentaire la contrainte nécessaire à l'universalisation du droit individuel et la liberté individuelle. Nous conclurons sur une appréciation de la redistributivité intrinsèque du libéralisme en montrant que la fonction d'assistance socio-économique et la fonction de protection des libertés personnelles participent d'une logique analogue dans la mesure où tous deux impliquent une limitation de la propriété et de la liberté individuelle afin de garantir à tous les individus la jouissance des conditions nécessaires à leur liberté. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : État-providence, redistribution, nouveau libéralisme, néolibéralisme, bien commun, droit social, droit de propriété, Hobhouse, Berlin, Hayek, Nozick.
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The costs and benefits of Central banking : Modern monetary economics along a methodological dividing line / Des coûts et des avantages de l'existence des banques centrales

Israel, Karl-Friedrich 13 December 2017 (has links)
L'évaluation des coûts et des avantages du système de banque centrale dépend fondamentalement de l'approche analytique adoptée. Les approches instrumentalistes et positivistes, discutées dans la première partie de cette thèse, se concentrent principalement sur l'importance des prédictions empiriques quantitatives. Ces approches tendent à mettre l'accent sur les conséquences immédiates et facilement mesurables. Les effets bénéfiques de court-terme des politiques monétaires expansionnistes sont ainsi étudiés en détail par les partisans de ces approches. Les critiques internes de ces dernières sont basées sur la reconnue ignorance des potentiels effets secondaires déstabilisateurs. Les coûts engendrés par les banques centrales sont vus principalement comme une perte de bien être due à une activité économique diminuée où une inflation des prix trop élevée résultant d'une déviation vis-à-vis de la politique monétaire optimale. L'approche causale-réaliste, étudiée dans la deuxième partie, donne un rôle plus restreint à la méthode empirique quantitative. Cette ligne de recherche permet une extension fructueuse de l'analyse coûts bénéfices à des notions plus abstraites qui peuvent être étudiées qualitativement tels le risque systémique et l'aléa moral. Cette étude défend que le régime moderne de banque centrale a alimenté le développement de ces deux phénomènes. Nous analysons comment la récurrence du cycle économique et la redistribution de la richesse au profit des plus aisés sont des effets importants de l'expansion du crédit. Une explication alternative de la stagflation basée sur le processus de l'intervention politique en réponse à ces conséquences inattendues est proposée. / The evaluation of the costs and benefits of central banking is to a considerable degree dependent on the analytical approach pursued.Instrumentalist-positivist approaches, as discussed in the first part of the thesis, emphasize the importance of empirical-quantitativepredictions for the development of economic models. Within this line of research, there exists a strong emphasis on those consequences of central banking that have an immediate and readily measurable empirical counterpart in the observed economic environment.Hence, the beneficial short-term effects of expansionary monetary policy in terms of increased economic activity are studied in detail and are well understood by proponents of these approaches. Internal counterarguments are based on acknowledged ignorance about potentially destabilizing side-effects. The costs of central banking are essentially seen as welfare losses from decreasedeconomic activity or excessive price inflation as results of deviations from an optimal monetary policy path. The causal- realist approach, as studied in the second part, assigns a narrower role to quantitative-empirical tools of analysis. This line of research allows for a fruitful extension of the cost-benefit analysis to more abstract notions such as systemic risk and moral hazard that can be analyzed qualitatively. It is argued that modern central banking is a contributing factor to both. Moreover, business cycles and wealth redistribution from bottom to top as important effects of credit expansion are analyzed. An alternative explanation of stagflation based on the process of political interventionism in response to unintended consequences of monetary policy is proposed.

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