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Le vent dans les voiles, suivi de, Le voyage comme archéologie de la mémoire /

Michaud, Alexandre. January 2000 (has links)
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Proust et le cinéma : temps, images et adaptations

Carrier-Lafleur, Thomas 20 April 2018 (has links)
L’ambition de cette thèse n’est pas de poser objectivement les rapports qu’entretient À la recherche du temps perdu avec le cinéma(tographe), pour la simple et bonne raison que ceux-ci sont à peu près inexistants, du strict point de vue de l’objectivité. N’ayant jamais mis les pieds dans un lieu qui projette ce type bien particulier d’images en mouvement, Proust n’est pas un écrivain intéressé par ce qu’on nomme aujourd’hui « cinéma ». On ne trouve que peu souvent son nom dans les anthologies faisant état des écrivains du début du siècle dernier qui ont commenté le spectacle des vues animées. Si par hasard il y est, on cite généralement les passages du Temps retrouvé, où est assez sévèrement critiqué le « défilé cinématographique des choses ». Que la critique de Proust à l’endroit du cinéma(tographe) soit une critique essentiellement négative n’est pas en soi gênant et ne contredit pas nécessairement le besoin de faire le point sur cette question. Il nous faut seulement adopter une vision plus artiste du problème, ou du moins accepter que le cinéma n’est pas limité à un seul mode d’existence stable : « cinéma » est en fait un pot-pourri d’idées, de concepts et de pratiques qui est voué au changement, et c’est précisément ce changement qui est digne d’intérêt. Une telle relativisation de l’idée de « cinéma » nous permettra d’explorer les différentes séries d’images et les séries techniques qui parcourent le roman de Proust et ses adaptations écraniques, afin de voir si elles sont en mesure de recouper l’une ou l’autre des fonctions que l’on a pu attribuer au cinéma au cours de son histoire. La présente thèse est donc en quelque sorte le procès-verbal des définitions du cinéma qu’a pu nous offrir notre lecture de Proust. Elle est aussi celui des différentes lectures que le cinéma nous permet de faire de la Recherche, des lectures « cinématographiques ». / This thesis does not objectively study ongoing relations between In Search of Lost Time and the cinema medium for the simple reason that, from the strict point of view of objectivity, they are almost non-existent. Having never set foot in a place that shows this particular type of moving images, Proust is not interested in what is now called “cinema”. At best, his name infrequently appears in anthologies of the early 20th century’s writers who commented this kind of spectacle. If by chance he is, the excerpts generally selected are the ones of Time Regained where the “cinematic parade of things” is quite severely criticized. But Proust’s criticism of cinema, albeit an essentially negative one, is not that much inconvenient and does not particularly contradict the need to investigate the matter. We just have to think the problem in a more artistic way, or at least to accept that cinema is not limited to a stable, single mode of existence: “cinema” is – and should be – a potpourri of ideas, concepts and practices that is bound to change, and it is precisely that change that is worth investigating. Such a relativization of the idea of “cinema” will allow us to explore different series of images and series of techniques that run in Proust's novel and its screen adaptations, while letting us see if they are able to match some functions that have been attributed to cinema during its history. This thesis therefore intends to be a record of cinema’s definitions that our reading of Proust’s work could offer. It is also a record of the many readings of In Search of Lost Time that cinema allows us, “cinematographic” readings.
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Marcel Proust, Emile Zola, and the sexual politics of the Dreyfus Affair: mocking the tradition of melodramatic epic

Lasseigne, Edward Joseph 04 August 2005 (has links)
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La culture littéraire dans À la recherche du temps perdu / The literary culture in À la recherche du temps perdu

Ikeda, Jun 09 March 2016 (has links)
La présente thèse est une discussion sur l’aspect de roman-critique de l’œuvre de Marcel Proust, À la recherche du temps perdu (1913-1927). Tout d’abord entamée sous forme de fragments critiques intitulés le Contre Sainte-Beuve, elle se voit, au cours de la rédaction, transformée en un roman. Cette évolution est clairement visible à travers les nombreuses réflexions sur la littérature présentes dans l’œuvre, mais quelle en est la signification ? Notre hypothèse est que l’intérêt de Proust est passé du discours monologique de la critique à celui de la description romanesque des mœurs autour de la littérature. Afin de la justifier, nous examinons les divers aspects des personnages qui parlent de la littérature : nous analysons la manière dont ils évoquent Mme de Sévigné, le duc de Saint-Simon, Victor Hugo et Honoré de Balzac, les quatre écrivains les plus fréquemment mentionnés. Nous comprenons ainsi, que les opinions manifestées par les personnages représentent la réception de chacun des auteurs en question, réception liée à leur caractère et rôle dans le roman. Nous constatons donc que Proust fait avant tout une description de différentes attitudes concernant la littérature sous forme de roman, que la démonstration de ses propres opinions sous forme d’essai critique. / In this thesis, we discuss the aspect of “critique-novel” of Marcel Proust’s À la recherche du temps perdu (1913-1927). Proust originally undertook this novel as a series of fragments of critique that are titled le Contre Sainte-Beuve, but in the process of writing, the uncompleted fragments slid to a novel. This origin partly accounts for the plenty of references to literary works in this roman. Then, what is the point of the transformation from a critique to a novel? Our hypothesis is that this transformation occurs due to the transition of Proust’s main interest—from the monological narration of the critique towards the dialogical and descriptive discourse of the novel of manners, in which characters are concerned with literature in their own way. In order to demonstrate the hypothesis, we examine various aspects of characters who talk of literature in the novel, analyzing their opinion for four most frequently referred authors, Madame de Sévigné, duke de Saint-Simon, Hugo and Balzac. This approach has enabled us to find that the characters’ opinions represent the reception of the authors in question, and that the opinions have a role of typifying and situating the characters in the plot. Therefore we can conclude that Proust chose to draw the behavior of people around literature with the form of novel instead of simply stating his own idea.
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Proust prestidigitador. Estudo da metáfora da leitura como tratamento de miopia na Busca do Tempo Perdido / Proust Prestidigitateur: étude de la métaphore de la lecture comme traitement de myopie dans À la Recherche du Temps Perdu

Pereira, Alan Luís 31 October 2014 (has links)
Assim como a questão essencial da teoria do efeito estético reflete sobre a possibilidade de descrever o processo complexo denominado leitura, esse estudo não procura compreender em toda sua extensão como o ato de leitura é representado na Busca do Tempo Perdido e teorizado por parte do escritor, mas descrever o modo pelo qual a metáfora da leitura como tratamento de miopia encarna-se em estruturas narrativas, ou seja - realiza-se no tempo - em feixes de acontecimentos que compõem o relato de uma vocação invisível, notadamente a singularidade do modo de leitura da figura central da obra de Proust, a que chamarei de leitura centrífuga, força de persuasão do livro que remete o leitor ao mundo não ficcional, que, embaralhando o fora e o dentro, resulta numa espécie de oftalmia. Pode a obra literária, tanto quanto a pintura, a fotografia e o cinema, desautomatizar a percepção visual? Pode a escrita, e o correlato da leitura, tal como as altas temperaturas, volatilizar os hábitos visuais anestesiados e acostumar os olhos a estesias imprevistas? Pode a leitura a prestidigitação? E o que pode, enfim, o leitor diante do prestidigitador? Empenha-se essa dissertação em escapar ao aprisionamento, à fixação, à consumação dos significados da metáfora da miopia, acompanhando apenas, como sombra movente ao lado do Narrador, suas mutações de sentido e a virtualidade de seus efeitos. / De même que la question essentielle de la théorie de leffet esthétique réfléchit à propos de la possibilité de décrire le processus complexe nommé lecture, cette étude ne cherche pas à comprendre dans toute son étendue comment lacte de lecture est représenté dans À la Recherche du Temps Perdu, et sa théorisation par lécrivain, mais à décrire comment la métaphore de la lecture comme traitement de myopie sincarne en des structures narratives, cest-à-dire, - se réalise dans le temps en des faisceaux dévénements qui composent le récit dune vocation invisible, notamment la singularité de la façon de lire du personnage central de loeuvre de Proust qui sera désignée comme lecture centrifuge, puissance de persuasion du livre qui renvoie le lecteur au monde non-fictionnel, embrouille le dehors et le dedans et résulte dans une espèce dophtalmie. Loeuvre littéraire peut-elle, autant que la peinture, la photographie et le cinéma, désautomatiser la perception visuelle? Lécriture peut-elle, et le corrélat de la lecture, ainsi que les hautes températures, dissoudre les habitudes visuelles anesthésiées et accoutumer les yeux à des esthésies imprévues? La lecture peut-elle la prestidigitation? Et quest-ce que peut le lecteur, finalement, en face du prestidigitateur? Cette dissertation singénie à échapper à lapprivoisement, à la fixation, à la consommation des signifiés de la métaphore de la myopie, en suivant seulement, comme une ombre changeant à côté du Narrateur, ses mutations des sens et la virtualité de ses effets.
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Tracés de Proust, itinéraires maternels : la grand-mère dans « À la recherche du temps perdu ».

Dupuis-Morency, Clara 06 1900 (has links)
Le seul vrai livre, pour Proust, est la traduction des impressions perdues dont la trace subsiste dans notre mémoire sensible. Les personnages entrent dans le texte de la Recherche en frappant la sensibilité du héros. Or, « toujours déjà là, » la grand-mère, comme la mère, relève d'une réalité qui ne s'est jamais imprimée, une réalité antérieure à la conscience du narrateur et de ce fait, antérieure au texte. Néanmoins, la grand-mère est une mère qui vieillit et qui meurt. Alors, elle apparaît au narrateur, suivant ainsi le chemin inverse de l'altérité. De présence immédiate pour le héros, il lui faudra devenir autre, une vieille femme étrangère, indéfinie dans son geste vers la mort, afin que le texte lui restitue une première impression. C'est précisément dans cette distance à parcourir, cet itinéraire entre l'immédiateté du départ et la première impression, que la spécificité du personnage de la grand-mère touche à ce que Proust qualifierait lui-même de « névralgie » de son texte. La réalité maternelle, pour devenir objet du style littéraire, doit se plier au trait de l'écrivain. Or, le personnage de mère, telle qu'il est élaboré dans la Recherche, résiste à ce « fléchissement ». Le personnage de grand-mère permet à Proust d'exprimer la réalité de la mère qui se dégrade et qui meurt, une mère que la main du fils devenant écrivain rend malléable. / According to Proust, the only true work is one translated from lost impressions, still sustained in our memory of senses. Characters enter the text of the Recherche by hitting the hero's sensibility. However, the grandmother, toujours déjà là (always already there) like the mother, belongs to a reality that has never imprinted itself, a reality that is anterior both to the narrator's consciousness and to the text. Nevertheless, the grandmother is a mother who ages and dies. Then only she appears to the narrator, but in reverse direction to the general introduction of alterity. She must become another woman, old, unknown, and indefinite in her gesture towards death in order for the text to give her back a « first impression ». It is precisely in this distance - which is also an itinerary - between the immediacy from the beginning and this first impression, that the grandmother's specificity approaches what Proust would call a neuralgia of his text. In order to become an object for literary style, the mother must bend (se plier) to the writer's stroke. Yet, the mother character, as it is elaborated in the Recherche, seems to resist this bend. The grandmother character allows Proust to express the reality of the mother's decay and death, a mother made malleable by the hand of a son becoming a writer.
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Sexuelle Poetik : Proust, Musil, Genet, Jelinek /

Hartwig, Ina. January 1998 (has links) (PDF)
Univ. GSH, Diss.--Essen, 1996.
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Tracés de Proust, itinéraires maternels : la grand-mère dans « À la recherche du temps perdu »

Dupuis-Morency, Clara 06 1900 (has links)
No description available.
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Proust : entre transcendance et immanence

Morissette Beaulieu, David 07 May 2019 (has links)
Ce mémoire a pour ambition d’explorer une tension, celle de l’immanence et de la transcendance, qui traverse l’ensemble de l’oeuvre phare de Proust : À la recherche du temps perdu. L’hypothèse de ce travail est que cette tension structure non seulement la pensée philosophique et esthétique de Proust, mais également son imaginaire et son style d’écriture. Cette étude s’attarde donc à analyser les principaux thèmes sur lesquels se construit ladite tension.
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À tout prendre, un peu de temps à l'état pur : Jutra, Proust et l'autofiction

Carrier-Lafleur, Thomas 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Peu d'études ont été consacrées au film À tout prendre (1963) de Claude Jutra. Le spectateur-lecteur qui parcourt les histoires du cinéma québécois est confronté à une réception problématique : souvent qualifié de premier film de notre cinématographie, À tout prendre est aussi taxé d'amateurisme et d'apolitisme. On reproche également à Jutra la dimension autobiographique de son film, sa tentation narcissique. À l'inverse, notre étude s'oppose à cette opinion commune, afin d'actualiser l'image d'À tout prendre. Pour y arriver, nous développons une problématique intermédiatique traçant une transversale entre l'oeuvre de Jutra et À la recherche du temps perdu de Marcel Proust sous le signe de l'autofiction, néologisme doubrovskien, car elle nous paraît bien plus adéquate que l'autobiographie pour éclairer la nature réelle d'A tout prendre. Ainsi, nous proposons une "synthèse des incompossibles" : Jutra, Proust et l'autofiction. Le côté de la Recherche peut rejoindre celui d'À tout prendre.

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