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Caratérisation de la surface d’énergie potentielle des matériaux complexes et son application sur la cinétique du SiO2/Si

N'Tsouaglo, Kokou Gawonou 12 1900 (has links)
Dans ce rapport de mémoire, nous avons utilisé les méthodes numériques telles que la dynamique moléculaire (code de Lammps) et ART-cinétique. Ce dernier est un algorithme de Monte Carlo cinétique hors réseau avec construction du catalogue d'événements à la volée qui incorpore exactement tous les effets élastiques. Dans la première partie, nous avons comparé et évalué des divers algorithmes de la recherche du minimum global sur une surface d'énergie potentielle des matériaux complexes. Ces divers algorithmes choisis sont essentiellement ceux qui utilisent le principe Bell-Evans-Polanyi pour explorer la surface d'énergie potentielle. Cette étude nous a permis de comprendre d'une part, les étapes nécessaires pour un matériau complexe d'échapper d'un minimum local vers un autre et d'autre part de contrôler les recherches pour vite trouver le minimum global. En plus, ces travaux nous ont amené à comprendre la force de ces méthodes sur la cinétique de l'évolution structurale de ces matériaux complexes. Dans la deuxième partie, nous avons mis en place un outil de simulation (le potentiel ReaxFF couplé avec ART-cinétique) capable d'étudier les étapes et les processus d'oxydation du silicium pendant des temps long comparable expérimentalement. Pour valider le système mis en place, nous avons effectué des tests sur les premières étapes d'oxydation du silicium. Les résultats obtenus sont en accord avec la littérature. Cet outil va être utilisé pour comprendre les vrais processus de l'oxydation et les transitions possibles des atomes d'oxygène à la surface du silicium associée avec les énergies de barrière, des questions qui sont des défis pour l'industrie micro-électronique. / In this Master's thesis, we use the numerical methods such as molecular dynamics (LAMMPS's code) and kinetic-ART which is an on-the-fly off-lattice kinetic Monte Carlo algorithm that incorporates exactly all elastic effects. In the first, we compare a number of various algorithms used for sampling energy landscape of complex materials. The various algorithms chosen are those that use the Bell-Evans-Polanyi principle to progress on the potential energy surface.This study allowed us to understand the steps needed to escape a local minimum to another and to control research to quickly find the global minimum. This study also allowed us to understand the power of these methods on the kinetics of the structural evolution of complex materials. In the second part, we have developed a simulation tool (ReaxFF potential coupled with Kinetics-ART) able to study the first stages and oxidation process of silicon compare to the experimental time. To validate the system in place, we have tested the very first step of the silicon oxidation. The results obtained are in agreement with the literature. This tool will be used to understand the true oxidation process, the possible transitions of oxygen atoms at the silicon surface and the barrier associated with. Problem that are real challenges for the microelectronics industry.
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Frank Malina : le lumino-cinétisme dans l’ombre de la science / Frank Malina : kinetic light art in the shadow of science

Lapelletrie, Fabrice 04 June 2010 (has links)
Frank Malina (1912-1981) doit d’abord être reconnu comme un des artisans majeurs de la conquête spatiale. Entre 1934 et 1947, en Californie, aidé par un groupe de passionnés, il supervisa plusieurs programmes consacrés à la propulsion des fusées. En 1945, sa carrière est couronnée par le lancement de la WAC Corporal, une fusée-sonde qui atteignit l’altitude de 72 km. En 1944, il co-fonda avec Théodore Von Karman le Jet Propulsion Laboratory, un laboratoire aujourd’hui rattaché à la NASA. Après un passage de six ans à L’UNESCO, il débuta en 1953 une carrière d’artiste. Ses premières œuvres rassemblent des matériaux très divers comme la corde, le grillage ou le fil de fer qu’il manipule pour traduire un monde structuré, laissant transparaître un dynamisme sous-jacent. Très rapidement, il orienta ses recherches vers l’expression du mouvement réel à l’aide la lumière électrique. En 1956, il inventa le système lumidyne, un tableau cinétique fermé par un écran sur lequel une composition colorée est animée de mouvements lents produits par un électro-mécanisme dissimulé dans le tableau. Les motifs abstraits et figuratifs font souvent références au monde des sciences et à l’astronomie. Placé dans un état de relaxation provoqué par le jeu des lumières, le spectateur est ainsi incité à méditer sur les sujets proposés par les œuvres. S’inscrivant dans la tradition de la musique des couleurs, l’œuvre de Malina nous invite non seulement à considérer le mariage entre l’art, la technologie et la science, à s’interroger sur la place de l’homme dans la nature à l’ère de la conquête spatiale, mais aussi à stimuler les régions cérébrales de l’activité créatrice. / Frank Malina (1912-1981) has first to be considering as a pioneer in the conquest of space. Under his leadership, he supervised several research programs on rocket propulsion between 1934 and 1947, in California. His research led Malina to the launching in 1945 of the sounding-rocket WAC Corporal to a height of 240,000 feet. With Theodore Von Karman, he founded the Jet Propulsion Laboratory, now a NASA’s leading facility for planetary exploration. In 1953 he resigned from UNESCO to be full time an artist. He started working with string, wire mesh and wire to suggest the structures of the world and the underlying dynamism. He quickly leaned his research toward the expression of real movement using electric light. In 1956, he created the Lumidyne system, a kind of kinetic painting closed by a screen on which the composition moved slowly. Most of the abstract and figurative patterns refer to the world of sciences and astronomy. Malina’s kinetic paintings lead the spectators to relaxation and meditation on the subject of the paintings. In the tradition of color music, his artwork tries to marry art, science and technology. It’s not only an invitation to musing on the position of mankind in the cosmos at the space age, but also to stimulate the creative areas of brain activity.
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L'influence d'Auguste Herbin après 1945 / The influence of Auguste Herbin after 1945

Berchiche, Celine 30 November 2012 (has links)
Après 1945, Auguste Herbin (Quiévy 1882 - Paris 1960) devient le maître en France de l’abstraction géométrique, une référence pour la seconde génération d’artistes abstraits, à la fois en Europe et dans le reste du monde. Les peintures d’Herbin réalisées à partir de son alphabet plastique, c’est-à-dire de 1942 à 1960 posèrent les jalons d’expérimentations nouvelles dans le domaine de l’art optique, de l’art cinétique, de l’art concret et de l’hard edge. La plupart des travaux réalisés par les artistes présents dans le Paris de l’après seconde guerre mondiale, tels Baertling, Agam, Dewasne, Vasarely, Soto, Fruhtrunk etc., n’auraient pu se concevoir sans la connaissance et l’assimilation du vocabulaire herbinien. Avait-on véritablement pris la mesure du rôle d’Auguste Herbin dans l’histoire et l’évolution de l’art abstrait ? / After 1945, Auguste Herbin (1882-1960) became the leading French abstract, geometric artist and an inspirational figure to abstract artists in both Europe and the Americas. Herbin’s Plastic Alphabet paintings are the forerunners of the wider experimentation in op’art, concrete art and hard edge painting. Much of the work by artists dominant in Paris in the 50’s and 60’s, such as Baertling, Agam, Dewasne, Vasarely, Soto, Fruhtrunk, is unimaginable without the advance wich Herbin represents.
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Op art et cinéma : fascination visuelle et imaginaire social (1960-1975) / Op art and cinema : Visual fascination and social fantasy (1960-1975)

Mari, Pauline 26 January 2016 (has links)
Adulé ou détesté, l’op art a marqué les esprits par son incroyable réception populaire. Damiers à renflements, moirage, jeux de trompe-l’œil, clignotements épileptiques… Avec son insatiable appétit scopique, cette avant-garde a fait l’objet de nombreux réemplois dans la publicité, le design, la mode, à la télévision, et plus que jamais au cinéma. Art de l’œil et du mouvement, sa géométrie illusionniste avait matière à s’y épanouir – la moindre caméra décuple ses vertus de métamorphose. A l’inverse, ses gadgets sophistiqués ont sublimé à moindre coût les décors de science-fiction, son économie pulsatile a piloté des mises en scène d’horreur et de suspense, et le cinéma réaliste en a fait un puissant miroir de la société. Pourtant, l’histoire de l’art a longtemps ignoré voir blâmé ces reprises. Comme à l’époque, on les ravalait au rang de la récupération. C’étaient sinon le symptôme d’un art décérébré, décadent, vulgairement rétinien. Il importe aujourd’hui de les reconsidérer. Comment ces « œuvres de prolongement » travaillent les imaginaires de l’op art ? Au cours de ses réemplois, que perd et gagne une œuvre d’art ? A travers trois capitales, Paris, Londres et Rome, cet essai décrypte les enjeux d’une fascination visuelle dans un après-guerre hanté, bouleversé par l’imagerie médiatique (guerre froide, fabrication du consentement) et les technologies engageant l’œil et le cerveau (contre-espionnage, cryptanalyse). Cette thèse se réclame des « factual studies », une approche nouvelle, non moins iconographique que les visual studies, mais davantage sensible à une pensée de l’événement. Soit la rencontre des faits historiques avec les refoulés de l’histoire. / Worshiped or hated, op art is famous for its amazing popularity. Raised checkboards, moiré patterns, trompe l’oeil games, epileptic flashes… Because of its insatiable scopic appetite, this artistic movement was abundantly used in advertising, fashion, television and, above all, in movies. Art of the eye and the motion, its illusionist geometry could find a large expression in cinema – a shaking camera could increase its metamorphic power. Its sophisticated gadgets magnified science-fiction sets at minimal cost, its stroboscopic aesthetic fuelled the staging of horror films and thrillers, and realistic cinema has used it as a faithful mirror of society. However, history of art has always condemned this kind of reuse and was reluctant to study it. As in the sixties, one considered it as an enterprise of looting, or even as the sign of a decadent, enervated and strictly retinal art. Visiting three capitals, Paris, London and Rome, this thesis aims at decrypting issues related to visual fascination in a post-war time challenged by the media imagery (Cold War, manufacturing consent) and the new technologies such as counter-espionage and cryptanalysis. What does an artwork win or lose through its transformations? To what extent do these “objects of extension” reflect the fantasy of op art and even of society? While taking into account the historical dimension, this study experiments a new research method : the “factual studies” – that is however equally iconographic as the “visual studies”. In other words, the encounter of historical events and repulsed history.
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ZERO et le devenir immatériel de l’art à l’épreuve de la technique, 1958-1964 / ZERO and the dematerialization of art through the prism of technology, 1958-1964

Joly, Noémi 28 April 2017 (has links)
ZERO apparaît le 24 avril 1958 à l’occasion de la septième « exposition d’un soir » qui a lieu à Düsseldorf, dans l’atelier d’Otto Piene et de Heinz Mack. La thématique de cette exposition, « Le tableau rouge », rejoint celle du premier numéro de cette nouvelle revue d’artistes, ZERO. S’ensuivent deux autres numéros, respectivement sortis en octobre 1958 (« Vibration ») et en juillet 1961 (« Dynamo »). Autour de la revue pilotée par Mack et Piene se nouent alors différents projets collaboratifs et expositions collectives, à partir desquels ZERO devient une sorte d’échangeur entre plusieurs tendances nées au tournant des années 1950-1960. Cette recherche monographique a pour ambition première de renouveler les perspectives sur une revue et une mouvance artistique peu étudiées en France, et ce à partir de la question de l’immatériel réfractée au prisme de la technique. L’optimisme technologique présumé de ZERO est réexaminé à l’aune du « discours autorisé », de la poïétique des œuvres, de l’expérience esthétique et de leur réception critique. Dès lors, les œuvres et les discours dévoilent une image bien moins nette du passé, tissée de contradictions, qui traduit d’une part la difficile négociation d’un tournant sociétal marqué par la mécanisation et l’automation, l’information, l’accélération et la menace nucléaire et, d’autre part, l’ambition pour l’art dynamique (vitaliste) et « idéaliste » de ZERO de jouer un rôle actif dans la définition de l’époque, en s’adressant aux imaginaires et en occupant les territoires de l’expérience sensible. / ZERO was created on the 24th of April 1958, on the occasion of the seventh « Night Exhibition », which took place in Otto Piene’s and Heinz Mack’s studio in Düsseldorf. The theme of this exhibition, « The Red Painting » was the same as the inaugural edition of ZERO, a new artist magazine. Following this initiative, two other issues were published, one dedicated to “Vibration” (October 1958), the other to “Dynamo” (July 1961). Various collaborative projects and collective exhibitions revolved around the magazine edited by Mack and Piene, from which ZERO became a platform between several tendencies which had come into being by the early 1960s. This study aims at renewing and enriching knowledge of both a magazine and a movement that have not been the subject of any extensive examination so far. For this purpose, this research focuses on the immaterial art of ZERO as refracted through the prism of technology. ZERO’s alleged technological optimism is explored by the light of the “authorized discourses”, the poietic of the works of art, their aesthetic experience and their critical reception. Therefore, the works of art and the discourses reveal a far less clear picture of the past, which is not free of discrepancies. On the one hand, this reflects the complex issue of dealing with societal shifts characterized by mechanization and automation, information, acceleration, nuclear threat; and, on the other hand, this demonstrates the ambition for ZERO’s both dynamic (vitalist) and “idealistic” art to play an active role in defining the spirit of the era by addressing imaginaries and by occupying territories of sensitive experience.

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