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Reconfiguration de l'espace culturel à Cuba

Lamarre, Marie-Eve January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Reconfiguration de l'espace culturel à Cuba

Lamarre, Marie-Eve January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Politique et religion à Cuba sous la révolution : l'étonnant statut particulier de la Santerìa

Faraldo-Boulet, Julie January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire se penche sur un aspect en apparence plutôt surprenant de la politique religieuse du gouvernement révolutionnaire cubain. L'orientation idéologique et politique des dirigeants révolutionnaires les prédisposait à contrôler les activités de groupes et d'institutions potentiellement prédisposés à l'action contre révolutionnaire. Dans cette perspective, les églises, notamment l'Église catholique et les différents cultes protestants, suspectés d'être des lieux de résistance à la révolution, subiront les foudres du régime. Une politique religieuse répressive sera mise en forme et appliquée. Toutefois, la santeria, troisième religion en importance, connaît un sort différent. Et c'est le statut particulier de la santeria, religion populaire par excellence, qui est l'objet de ce mémoire. Aussi, ce mémoire tente de démontrer le caractère particulier de la santeria et, surtout, de mettre en relief son enracinement dans les masses populaire. Ce qui est frappant, c'est le fait que la très grande majorité des «fidèles» de cette religion se recrute parmi la population afro-cubaine, une population traditionnellement opprimée et exploitée. De là le souci des dirigeants révolutionnaires de ne pas s'aliéner les masses et de s'attirer leur appui et le statut particulier de la santeria dans cette politique religieuse. Ce «préjugé» favorable est conforme à des objectifs précis de la direction politique cubaine: la lutte contre le racisme, la définition d'une «nouvelle» identité cubaine sur fond de récupération de l'apport culturel afro-cubain et l'exploitation à des fins de promotion touristique d'éléments folkloriques propres à la tradition santeria. Avec, en arrière-plan, le pari d'une atténuation progressive, voir la disparition éventuelle de cette religion jugée primitive par certains dirigeants, à la faveur de la généralisation de l'éducation. Un pari qui, à l'évidence, est très loin d'être gagné. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cuba, Religion, Santeria, Folklorisation, Intégration raciale, Identité.
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Quand les dieux entrent en scène : pratiques rituelles afro-cubaines et performances scéniques à La Havane au lendemain de la Révolution / When Gods appear on Stage : afro-cuban Rituals and Stage Performances in La Havana after the Revolution / Cuando los dioses entran en escena : prácticas rituales afrocubanas y performances escénicas en La Habana después de la Revolución

Roth, Salomé 09 December 2016 (has links)
Ce travail porte sur les performances scéniques qui naquirent à Cuba de la rencontre entre l'idéologie marxiste, officiellement adoptée par le gouvernement depuis 1961, et les religions afro-cubaines, pratiquées sur l'île depuis l'arrivée des premiers esclaves africains. D'un côté, le gouver-nement révolutionnaire entreprit de transformer les rituels afro-cubains en folklore national, tout à la fois pour en neutraliser la portée religieuse et pour les intégrer au patrimoine d'une nation en pleine construction. De l'autre, il exigea au fil des années un militantisme croissant de la part des artistes et notamment des dramaturges, auxquels il était demandé de produire un théâtre social, au service d'une cause politique résolument athée. Ces deux univers, celui des rituels afro-cubains et celui du théâtre engagé, étaient donc a priori bien distincts. Certains dramaturges entreprirent cependant de les mettre en contact : Carlos Felipe (Réquiem por Yarini, 1960/1965), José Ramón Brene (Santa Camila de la Habana Vieja, 1962), José Triana (Medea en el espejo, 1960 et La muerte del Ñeque, 1964), Eugenio Hernández Espinosa (María Antonia, 1964/1967) et José Milián (Mamico Omi Omo, 1965). Leurs approches et leurs objectifs sont très variés mais d'une manière ou d'une autre tous en vinrent, par le détour théâtral, à restituer au langage rituel l'efficacité qu'il avait perdue sur les scènes folkloriques et à produire, le plus souvent involontairement, un théâtre qui s'apparente à de maints égards au théâtre de la Cruauté théorisé par Antonin Artaud, ce théâtre de « l'invisible rendu visible » - théâtre justement décrié par les autorités révolutionnaires. / This work studies on stage performances created in Cuba as a result of the encounter of Marxist ideology, officially adopted by the government in 1961, and Afro-Cuban religions, practised in the island since the arrival of the first African slaves. On one hand, the revolutionnary government set out to transform Afro-Cuban rituals into a national folklore in order to both neutralize its religious significance and insert it within the heritage of a nation in building; on the other hand, artists, playwrights in particular, were ordered over the years to be the activists of a staunch atheist political cause. Therefore these two worlds, Afro-Cuban rituals and socially engaged theater, were a priori quite distinct. However, some playwrights took on bridging the gap between them : Carlos Felipe (Réquiem por Yarini, 1960/1965), José Ramón Brene (Santa Camila de la Habana Vieja, 1962), José Triana (Medea en el espejo, 1960 and La muerte del Ñeque, 1964), Eugenio Hernández Espinosa (María Antonia, 1964/1967) and José Milián (Mamico Omi Omo, 1965).Their approaches and goals were diverse but, somehow or other, by the detour of theater, they all came to restore the effectiveness of the ritual language, lost in the context of folk scenes, and to create, often unwittingly, a theater similar to the Theater of Cruelty theorised by Antonin Artaud, the theater of « the invisible made visible » – the one precisely criticized by the revolutionary authority.

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