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L'assimilation des systèmes de télésanté une approche multiniveau

Jean-Jules, Joachim January 2011 (has links)
Résumé : La présente étude poursuit un double objectif. D'abord, elle cherche à comprendre le processus d'assimilation des systèmes de télésanté lorsque l'on fait passer la télésanté du mode expérimental au mode permanent de prestations de services de soins de santé. Ensuite, elle vise à identifier les facteurs d'influence de ce processus. Empruntant à des théories comme la théorie de la structuration, la théorie institutionnelle et la théorie de la cognition sociale, l'étude formule un modèle de recherche articulant un certain nombre de propositions théoriques relatives au processus d'assimilation des systèmes de télésanté et des facteurs influençant ce processus. En termes de stratégie de recherche, nous avons recouru à l'étude de cas unique. Pour collecter les informations, nous avons réalisé 23 entrevues semi-dirigées et analysé plus de 200 pages de documents que nous avons collectés avant et pendant la période de collecte de données. Pour le traitement des données, nous avons adopté les techniques de théorisation ancrée et nous nous sommes servis du logiciel Atlas.ti. Les résultats montrent en effet que le processus d'assimilation tel qu'il a émergé de la théorisation ancrée est bien plus complexe que le modèle de recherche a priori que nous avons élaboré. Par exemple, au niveau individuel l'assimilation suit deux parcours alternatifs et elle est influencée par des facteurs tels : l'utilité perçue de la télésanté, les aspirations et les attributs individuels des utilisateurs lesquels conduisent à l'adoption de comportements de citoyenneté organisationnelle. De plus, le nouveau modèle explicite la dynamique entre les phénomènes reliés au processus d'assimilation, les stratégies d'actions et d'interactions entre les acteurs, les conditions contextuelles du processus, les conditions causales, les conditions intervenantes et les conséquences. Au plan théorique, cette étude comporte plusieurs contributions. En particulier, elle étend les recherches antérieures sur l'assimilation des technologies en proposant un modèle multiniveau qui précise la nature du phénomène aux niveaux individuel, groupai et organisationnel. L'étude comporte également des implications pour la pratique. En particulier, elle souligne l'importance d'examiner le processus d'assimilation à l'intérieur du continuum des phénomènes entourant le déploiement de systèmes de télésanté. À ce compte, elle aide à comprendre pourquoi les actions de gestion visant à faciliter le processus d'assimilation doivent être mises en oeuvre dès la phase d'adoption. Par exemple, les questions relatives à la compatibilité entre les systèmes et les infrastructures de travail de l'organisation devraient être gérées au cours de la phase de développement. En bref, même si le processus d'assimilation est ultérieur à l'implantation des systèmes, les facteurs qui sont susceptibles de l'influencer devraient être pris en compte avant l'acquisition de systèmes. Nonobstant la qualité des résultats de cette étude, certaines questions demeurent non répondues. Celles-ci ouvrent de nouvelles avenues de recherche. Une première avenue immédiate serait de poursuivre cette étude afin de prendre en compte les évolutions récentes de la mise en oeuvre de la télésanté dans les RUIS. La prochaine étape consistera à investir ce que l'on aura appris au sujet de l'assimilation des systèmes de télésanté à d'autres innovations technologiques dans d'autres contextes organisationnels.||Abstract : The purpose of this study is twofold. First, it seeks to understand the process of assimilation of telehealth systems when telehealth is brought out of experimental settings into mainstream clinical care. Second, it seeks to determine the factors that influence this process. Borrowing from institutional, structuration and social cognition theories, a comprehensive research model is proposed to explain the nature of the process of assimilation of telehealth systems in healthcare organizations and the factors that affect it. We adopted a qualitative research methodology.The first phase is devoted to testing of the theoretical propositions of the research model. Since some propositions failed this test, we conducted a second phase which consisted of building a grounded theory of the assimilation of telehealth systems. In terms of research strategy, we used a single case study. Data were obtained from 23 semi-structured interviews, documentation was used as secondary source. For data processing, grounded theory analysis techniques along with Atlas.ti were used. The research findings show that the assimilation process as it emerged from the data is more complex than the a priori research model that we developed. For example, individual-level assimilation follows two alternative routes and is influenced by at least four factors.The perceived usefulness of telehealth, aspirations and attributes of individual users which lead to the adoption of organizational citizenship behaviors.The first refers to the usefulness of telehealth with the problems that confront both patient and clinician. Two other conditions refer to personal aspirations and to user's individual attributes. However, the influence of personal aspirations and individual attributes does not happen directly. Rather, it leads to the adoption of specific behaviors that positively influence the assimilation of telehealth. For instance, altruism, civility, professionalism, and tolerance are examples of behaviours that illustrate organizational citizenship. In addition, the new model makes explicit the dynamic between the phenomena underlying the assimilation process, the action/interaction strategies between actors, and the contextual, causal and intervening conditions of the process, including the consequences. This research expands on previous work by examining the process of assimilation from a multilevel perspective. Earlier studies on organizational assimilation of information technologies considered assimilation as an exclusively organizational phenomenon.The result, they have undoubtedly overshadowed more micro or meso explanations that could enrich our understanding still more. Unlike prior studies, our model proposes a detailed account of the assimilation process by clarifying both the structure and the functional relationships of assimilation. Put simply, the model accounts for how individual, group and organization characteristics interact to structure assimilation. Briefly, the adoption of a multilevel perspective resulted in a more comprehensive understanding of how the assimilation process unfolds across organizational levels. Our study also has implications for practice. In particular, it helps understand why managerial actions meant to facilitate assimilation should be employed as early as the adoption phase. For instance, issues related to the systems' compatibility with the organization's work infrastructure should be managed during the development phase. Even though routinization and infusion are post-implementation behaviors, factors that are likely to influence them should be taken into consideration before systems are acquired.
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Facteurs de risque de l'anémie chez les femmes et les enfants au Bénin et au Mali

Ngnié Téta, Ismaël January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Ressources individuelles et collectives et la santé des femmes au Maroc

Martin, Marie-Claude January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Etude des déterminants géographiques et spatiaux de la qualité de vie liée à la santé en France

Audureau, Etienne 19 December 2012 (has links) (PDF)
CONTEXTE : La France est caractérisée par l'existence de fortes disparités socioéconomiques et géographiquesde l'état de santé, le plus souvent objectivées par des indicateurs objectifs de morbidité et de mortalité. Ladistribution territoriale des mesures de santé perçue comme la qualité de vie liée à la santé (QdVLS) reste malconnue en population générale. Une meilleure connaissance de la répartition et des déterminants - en particuliercontextuels - de ces indicateurs subjectifs permettrait de mieux comprendre leur signification par rapport auxindicateurs objectifs et d'apprécier l'intérêt spécifique de leur suivi en population générale.OBJECTIFS : Les objectifs de cette recherche étaient [1] d'étudier l'existence de disparités spatiales de QdVLSdans la population française et d'analyser leur évolution dans le temps, [2] d'étudier les déterminants de laQdVLS à la fois individuels et contextuels dans le cadre d'une analyse multiniveau, et [3] d'évaluer lesassociations écologiques entre QdVLS et mortalité ultérieure à cinq ans d'intervalle.MATERIEL ET METHODES : Les données issues de deux enquêtes transversales nationales représentatives ont étéexploitées : l'enquête Décennale 2003 de l'Insee pour l'ensemble des travaux menés (N=22 743 [1 et 3] ; N=16 732 [2]) et l'enquête Sofres 1995 pour l'analyse de l'évolution temporelle de la QdVLS (N=3 243 [1]). Lequestionnaire utilisé dans les deux enquêtes était le SF-36. [1] Des modèles de régression linéaire multiple àeffets fixes avec recherche d'interactions ont été réalisés pour l'analyse de l'évolution temporelle. [2] L'analysemultiniveau des déterminants contextuels de la QdVLS s'appuyait sur des modèles à effets mixtes, afind'explorer une chaine causale incluant des déterminants aux niveaux individuel, du ménage, de l'unité urbaine etrégional, d'ordre démographique, socioéconomique ou intégrant la notion contextuelle plus complexed'attractivité (taux migratoire, désindustrialisation). [3] Les données de mortalité étaient issues de la statistiquenationale des décès élaborée annuellement par le CépiDc. Des modèles de régression binomiale négative ont étéréalisés pour l'analyse des associations écologiques au niveau régional entre QdVLS en 2003 et mortalitéultérieure (court terme [2003-2005] ; à 5 ans [2007-2009]) et en stratifiant sur le sexe, l'âge et les causesspécifiques de décès.RESULTATS PRINCIPAUX : [1] Une diminution significative de la QdVLS était observée entre 1995 et 2003affectant tous les groupes sociodémographiques et suggérant la possibilité d'un accroissement des disparités pourles catégories les plus fragiles de la population. [2] De fortes disparités régionales de QdVLS étaient retrouvées,persistant après ajustement sur les caractéristiques socioéconomiques individuelles. L'analyse multiniveaupermettait d'identifier des processus de médiation impliquant les variables contextuelles de désindustrialisation,le taux d'accroissement migratoire, le taux d'abstention aux élections, et les comportements liés à la santé. Desinteractions inter-niveaux et intra-régionales étaient identifiées. [3] Des associations écologiques significativesétaient retrouvées au niveau régional entre QdVLS et mortalité à cinq ans d'intervalle, persistant aprèsajustement sur le niveau socioéconomique. Des relations spécifiques étaient observées après stratification surl'âge, le genre, les causes spécifiques de décès ; le caractère prédictif de la QdVLS variait selon le délai plus oumoins court entre mesure de la QdVLS et mortalité.
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La violence domestique envers les femmes au Mexique : une analyse multidimensionnelle et intersectionnelle

Valle-Fajer, Minea 03 1900 (has links)
En s’inscrivant dans la perspective du féminisme intersectionnelle et en mobilisant des méthodes mixtes, cette recherche tente de mieux comprendre la violence domestique envers les femmes au Mexique, à la fois à travers une analyse du discours des féministes mexicaines et d’une analyse statistique multidimensionnelle de données d’enquête identifiant les facteurs institutionnels, économiques et socioculturels associés au risque de vivre de la violence domestique. Cette thèse se démarque des réflexions féministes traditionnelles faites au Mexique puisqu’elle approche les rapports de genre en lien avec d’autres systèmes d’oppression et de subordination, fondés notamment sur les rapports de classe et l’ethnicité. Ainsi, elle appréhende la violence faite aux femmes en lien avec le patriarcat, sans réduire ce dernier à quelques indicateurs sociodémographiques et comportementaux mesurés au niveau individuel, mais en tenant compte du contexte d’inégalité de genre au niveau régional. Ce faisant, la recherche tente de réconcilier les deux grandes perspectives théoriques qui expliquent la violence conjugale, soit les approches de la violence familiale (qui s’attardent à des facteurs au niveau microsocial) et les approches féministes (qui mettent l’accent sur la structure patriarcale, c’est-à-dire le contexte plus large des inégalités de genre). Les résultats des entretiens réalisés avec des féministes représentant les trois branches du féminisme mexicain (féminisme hégémonique, populaire et autochtone) ont révélé les fractures existantes à l’intérieur du mouvement féministe au Mexique (antagonisme entre l’institutionnalisation et l’autonomie du mouvement féministe). De façon générale, l’analyse des entretiens a montré que l’engagement des féministes envers la cause des femmes est en accord avec les «idéaux types» des trois branches du féminisme mexicain. Les féministes hégémoniques mettent surtout l’accent sur la structure patriarcale de la société mexicaine et sur les inégalités de genre lorsqu’il s’agit de trouver des causes à la violence faite aux femmes. Pour les féministes du secteur populaire, la violence faite aux femmes s’explique autant par les inégalités de genre, que par les effets du système économique capitaliste. Le discours des femmes autochtones semble, quant à lui, tenir davantage compte de l’articulation des rapports de genre, des rapports ethniques, ainsi que des rapports socio-économiques. Néanmoins, nous constatons que les féministes de la branche hégémonique et populaire semblent de plus en plus sensibles à l’entrecroisement de systèmes de domination et d’oppression. Par ailleurs, l’analyse multiniveau effectuée à partir des données de l’Enquête nationale portant sur la dynamique des relations dans les ménages (2006), a révélé plusieurs résultats importants qui méritent d’être soulignés. D’abord on constate que les différences de prévalence des violences entre les municipalités mexicaines sont en grande partie expliquées par leur composition sociale, c’est-à-dire par des caractéristiques des femmes et de leur couple (niveau micro), plutôt que par des différences entre le niveau des inégalités de genre dans les municipalités mexicaines mesurées par l’ISDH (Indice Sexospécifique du Développement Humain). Les résultats des analyses montrent que les femmes autochtones ont en général des taux de violences moins élevés que les femmes métisses (groupe majoritaire). Enfin, en ce qui a trait à la relation entre le contexte d’inégalité de genre et la violence conjugale, les résultats suggèrent que plus l’ISDH d’une municipalité est élevée, plus il y a de femmes qui subissent les formes de violences. Cela va à l’encontre des postulats habituels des théories féministes et suggèrent que les progrès récents de la situation de la femme en matière de santé, d’éducation et de revenu n’ont pas bouleversé les rapports de genre encore très patriarcales qui continuent à privilégier la suprématie des hommes (Casique, 2004). / By adopting the intersectional feminist approach and mobilizing mixed methods, this research seeks to better understand partner violence in Mexico, both through a discourse analysis of the Mexican feminist movement and a quantitative multidimensional level of analysis by identifying the institutional, economic and socio-cultural factors associated with the risk of experiencing domestic violence. This research differs from the traditional feminist reflections made in Mexico because it takes into consideration gender inequality in interaction with other systems of oppression and subordination, mainly based on social class and ethnicity. Thus, it captures partner violence in relation to patriarchy, without reducing it to sociodemographic and behavioral indicators measured at the individual level, but by taking into account the structural context of gender inequality at the regional level. By integrating individual and contextual factors, this research attempts to reconcile the two major theoretical perspectives that explain partner violence, which are the family violence approach (that linger to factors at the micro level) and feminist approaches (which focus on the patriarchal structure, in other terms the broader context of gender inequality). The results of the discursive analysis from the interviews with the feminists representing all three branches of the Mexican feminism (hegemonic, popular and indigenous feminism) revealed existing fractures within the feminist movement in Mexico (antagonism between institutionalization and autonomy of the feminist movement). In general, this analysis showed that the feminists’ gender struggle and their demands are consistent with the "ideal types" of the three branches of the Mexican feminism. Hegemonic feminism focuses mainly on the patriarchal structure of Mexican society and gender inequality when it comes to finding the causes of violence against women. For the popular feminism, violence against women is explained by both gender inequalities and the vulnerable economic situation. The discourse of indigenous women emphasizes the articulation of gender, ethnic and socio-economic inequalities. However, we found evidence that hegemonic and popular feminism seem increasingly sensitive to the intersection of systems of domination and oppression. In addition, multilevel analysis using data from the National Survey of Dynamics of Relationships within Households (2006) revealed several important findings that deserve to be highlighted. Firstly, we show that differences in the prevalence of partner violence among Mexican municipalities are largely explained by their social composition, that is to say, by the characteristics of women and their relationship (micro level), rather than differences between the level of gender inequality in the Mexican municipalities measured by the GDI (gender-Human Development Index). In addition, the results show that indigenous women generally have lower rates of violence that the rest of mestizas Mexican women (majority group). Finally, in regard to the relationship between the context of gender inequality and domestic violence, and contrary with what would be expected, violence is higher in municipalities with higher GDI. This result seems to contradict feminist assumptions. It would seem that despite recent progress in women’s situation in areas such as health, education and income in Mexico, it has not been able to transform the gender order.
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Etude des déterminants géographiques et spatiaux de la qualité de vie liée à la santé en France / Geographic and spatial determinants of health-related quality of life in France

Audureau, Etienne 19 December 2012 (has links)
CONTEXTE : La France est caractérisée par l’existence de fortes disparités socioéconomiques et géographiquesde l’état de santé, le plus souvent objectivées par des indicateurs objectifs de morbidité et de mortalité. Ladistribution territoriale des mesures de santé perçue comme la qualité de vie liée à la santé (QdVLS) reste malconnue en population générale. Une meilleure connaissance de la répartition et des déterminants – en particuliercontextuels - de ces indicateurs subjectifs permettrait de mieux comprendre leur signification par rapport auxindicateurs objectifs et d’apprécier l’intérêt spécifique de leur suivi en population générale.OBJECTIFS : Les objectifs de cette recherche étaient [1] d’étudier l’existence de disparités spatiales de QdVLSdans la population française et d’analyser leur évolution dans le temps, [2] d’étudier les déterminants de laQdVLS à la fois individuels et contextuels dans le cadre d’une analyse multiniveau, et [3] d’évaluer lesassociations écologiques entre QdVLS et mortalité ultérieure à cinq ans d’intervalle.MATERIEL ET METHODES : Les données issues de deux enquêtes transversales nationales représentatives ont étéexploitées : l’enquête Décennale 2003 de l’Insee pour l’ensemble des travaux menés (N=22 743 [1 et 3] ; N=16 732 [2]) et l’enquête Sofres 1995 pour l’analyse de l’évolution temporelle de la QdVLS (N=3 243 [1]). Lequestionnaire utilisé dans les deux enquêtes était le SF-36. [1] Des modèles de régression linéaire multiple àeffets fixes avec recherche d’interactions ont été réalisés pour l’analyse de l’évolution temporelle. [2] L’analysemultiniveau des déterminants contextuels de la QdVLS s’appuyait sur des modèles à effets mixtes, afind’explorer une chaine causale incluant des déterminants aux niveaux individuel, du ménage, de l’unité urbaine etrégional, d’ordre démographique, socioéconomique ou intégrant la notion contextuelle plus complexed’attractivité (taux migratoire, désindustrialisation). [3] Les données de mortalité étaient issues de la statistiquenationale des décès élaborée annuellement par le CépiDc. Des modèles de régression binomiale négative ont étéréalisés pour l’analyse des associations écologiques au niveau régional entre QdVLS en 2003 et mortalitéultérieure (court terme [2003-2005] ; à 5 ans [2007-2009]) et en stratifiant sur le sexe, l’âge et les causesspécifiques de décès.RESULTATS PRINCIPAUX : [1] Une diminution significative de la QdVLS était observée entre 1995 et 2003affectant tous les groupes sociodémographiques et suggérant la possibilité d’un accroissement des disparités pourles catégories les plus fragiles de la population. [2] De fortes disparités régionales de QdVLS étaient retrouvées,persistant après ajustement sur les caractéristiques socioéconomiques individuelles. L’analyse multiniveaupermettait d’identifier des processus de médiation impliquant les variables contextuelles de désindustrialisation,le taux d’accroissement migratoire, le taux d’abstention aux élections, et les comportements liés à la santé. Desinteractions inter-niveaux et intra-régionales étaient identifiées. [3] Des associations écologiques significativesétaient retrouvées au niveau régional entre QdVLS et mortalité à cinq ans d’intervalle, persistant aprèsajustement sur le niveau socioéconomique. Des relations spécifiques étaient observées après stratification surl’âge, le genre, les causes spécifiques de décès ; le caractère prédictif de la QdVLS variait selon le délai plus oumoins court entre mesure de la QdVLS et mortalité. / BACKGROUND: Wide social and geographical disparities are reported in France for morbidity and mortalityindicators. Less is known regarding the spatial distribution in general population of self-rated health (SRH) andhealth-related quality of life (HRQoL). Improving the knowledge of the contextual determinants of HRQoLwould help towards a better understanding of their meaning and interest in general population when it comes tocompare with classical objective indicators.OBJECTIVES: The objectives were [1] to assess existing spatial disparities of HRQoL in French generalpopulation and to investigate their evolution in time, [2] to determine individual and contextual determinants ofHRQoL and [3] to explore the ecological associations between HRQoL and subsequent mortality five years later.METHODS: Data were drawn from two large representative cross sectional surveys: the Insee Decennial HealthSurvey led in 2003 (N=22 743 [study 1 and 3] ; N= 16 732 [2]) and the Sofres health survey led in 1995(N=3243 [1]).The MOS SF-36 questionnaire was used in both surveys. [1] Fixed effects linear models combinedwith interaction tests were used for assessing time trends. [2] Mixed effects linear models were used for themultilevel analysis, exploring a causal pathway including individual and macrolevel factors (household, urbanunit and region) assessing demographics, socioeconomics, and features related to the notion of areaattractiveness (deindustrialization, net migration rates). [3] Mortality data were drawn from the French nationalstatistics of mortality (CepiDc-Inserm). Negative binomial regression models were performed to identifyecological associations at the region level between HRQoL recorded in 2003 and subsequent mortality (shortterm [2003-2005]; 5-years later [2007-2009]), stratifying on age, gender and specific causes of death.MAIN RESULTS: [1] A significant decrease in HRQoL was observed between 1995 and 2003, affecting allsociodemographic categories and suggesting likely widening disparities in the most fragile categories. [2]Regional HRQoL disparities were found, persisting after adjusting on socioeconomic individual characteristics.Multilevel analysis showed some evidence for mediation involving contextual factors like deindustrialization,net migration rates, voter abstention rate and health-related behaviors. Cross-level interactions were found aswell. [3] Significant ecological associations were identified at the region level between HRQoL and mortalityfive years later, persisting after adjusting on deprivation. Specific relationships were observed after stratifying onage, gender, specific causes of death; the predictive ability of HRQoL for mortality was varying depending onthe mortality period considered for analysis.CONCLUSIONS: Our results highlight the interest in assessing HRQoL at the population level and in exploringthe contextual determinants at play. Systematic inclusion of validated and multidimensional HRQoLquestionnaires should be supported in national surveys, so as to improve our knowledge of long term temporaltrends in HRQoL, to promote an increased use of contextual multilevel analyses using such data, and eventuallyto help better identifying sub-groups at risk and optimizing public health interventions.
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Evolución de la confianza en las instituciones en América Latina entre 1995 y 2021, un análisis transnacional, multinivel y longitudinal

Pena Ibarra, Luis Patricio 09 1900 (has links)
Depuis le retour de la démocratie l’Amérique Latine a expérimenté une série de transformations importantes. Les premières, furent économiques et se caractérisent principalement par une grande vague de libéralisation économique qui a signifié entre d’autres choses, un type de changement fluctuant, des réductions des dépenses publiques, ainsi que, la privatisation des entreprises et des services de l’État qui ont fini pour réduire considérablement leur rôle. Les secondes, furent politiques et ont été marquées par l’arrivée des partis de gauche au pouvoir et la mise en œuvre d’une série de politiques sociales visant à réduire la pauvreté et les inégalités, qui ont permis d’améliorer significativement les conditions de vie de millions de Latino-américains. Tous ces changements, en plus de la fréquente alternance entre l’autoritarisme et la démocratie vécue durant les dernières années ont inévitablement eu un effet sur la confiance que les individus ont envers les institutions. Dans ce sens, comment le niveau de confiance institutionnelle en l’Amérique Latine a-t-il évolué au cours des dernières années? Spécifiquement, comment l’alternance au pouvoir des partis de gauche et de droite qui ont gouverné en Amérique Latine durant les derniers trente ans, a-t-il impacté sur les niveaux de confiance que les Latino-américains ont envers leurs institutions? Utilisant un modèle statistique multiniveau longitudinale de mesures répétées, cette recherche a comme premier objectif, de comprendre l’évolution historique du niveau de confiance institutionnelle en Amérique Latine entre 1995 et 2021, à partir de la combinaison des données incluses dans les sondages réalisées par Latinobarómetro, LAPOP et l’Enquête Mondiale des Valeurs (WVS), et comme deuxième objectif, d’estimer l’impact de l’orientation idéologique des individus et des partis au pouvoir sur le niveau de confiance institutionnelle. Les résultats montrent que quand le parti au pouvoir est de gauche, le niveau de confiance moyen envers les institutions est significativement plus élevé. Ils montrent également que la confiance institutionnelle se renforce positivement chez ceux qui déclarent avoir la même orientation que le parti au pouvoir. L’évolution de la confiance institutionnelle dans la région s’explique donc en partie, par l’orientation idéologique des individus et du parti au pouvoir. / Desde el retorno de la democracia América Latina ha experimentado una serie de importantes transformaciones. Las primeras, fueron económicas y se caracterizaron principalmente por una gran ola de liberalización económica que significó, entre otras cosas, un tipo de cambio fluctuante, recortes en el gasto público, la privatización de las empresas y servicios públicos que terminaron por reducir considerablemente el papel del Estado. Las segundas, fueron políticas y estuvieron marcadas por la llegada de los partidos de izquierda al poder y la implementación de una serie de políticas sociales dirigidas a reducir la pobreza y la desigualdad que permitieron mejorar significativamente las condiciones de vida de millones de latinoamericanos. Todas estas experiencias más la frecuente alternancia entre el autoritarismo y la democracia vivida durante los últimos años inevitablemente han ejercido un efecto en la confianza que los individuos tienen sobre las instituciones. En este sentido, ¿Cómo ha evolucionado el nivel de confianza institucional en América Latina los últimos años? Específicamente, ¿Cómo la alternancia en el poder de partidos de izquierda y de derecha que han gobernado en América Latina durante los últimos treinta años, ha impactado en los niveles de confianza que los latinoamericanos tienen de sus instituciones? A través de un modelo estadístico multinivel longitudinal de medidas repetidas, esta investigación tiene como objetivo en primer lugar, comprender la evolución histórica del nivel de confianza institucional en América Latina entre 1995 y 2021, a partir de la combinación de datos incluidos en las encuestas realizadas por Latinobarómetro, LAPOP y la Encuesta Mundial de Valores (WVS), y en segundo lugar, estimar el impacto de la orientación ideológica de los individuos y de los partidos gobernantes sobre el nivel de confianza institucional. Los resultados muestran que cuando el partido gobernante es de izquierda, el nivel de confianza medio hacia las instituciones es significativamente más alto. Por otra parte, muestran que la confianza hacia las instituciones se refuerza positivamente en aquellas personas que declaran tener la misma orientación que el partido gobernante. Por lo tanto, la evolución de la confianza institucional en América Latina se explica en parte, por la orientación ideológica de los individuos y del partido en el poder. / Since the return of democracy, Latin America has experienced a series of important transformations. The first, were economic and were mainly characterized by a big wave of economic liberalization that meant, among other things, a fluctuating exchange rate, curs in public spending, the privatization of public organizations and services that ended up considerably reducing the role of the State. The second, were politics and were marked by the arrival of left-wing parties to power and the implementation of a series of social policies aimed at reducing poverty and inequality that allowed to significantly improved millions of Latin Americans’ life conditions. All those experiences, plus the frequent alternance between authoritarianism and democracy in recent years, have inevitably had an effect on the trust that individuals have in institutions. Therefore, how has the level of institutional trust evolved in Latin America in recent years? Specifically, how has the alternance in power of left and right parties that have governed in Latin America during the last thirty years, had an impact on the levels of trust that Latin Americans have in their institutions? Through a longitudinal multilevel statistical model of repeated measures, this research aims, first, at understanding the historical evolution of the level of institutional trust in Latin America between 1995 and 2021, from the combination of data included in the surveys carried out by Latinobarómetro, LAPOP and the World Values Survey (WVS), and secondly, to estimate the impact of the ideological orientation of individuals and of the ruling parties on the level of institutional trust. The results show that when the ruling party is from the left, the average level of trust towards the institutions is significantly higher. They also show that trust in institutions is positively reinforced in those people who declare that they have the same orientation as the ruling party. Therefore, the evolution of institutional trust in Latin America is explained in part by the ideological orientation of individuals and the party in power.

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