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L'architecture religieuse en Haute-Saône à l'époque gothique : (de la fin du XIIe siècle au début du XIVe siècle) / Gothic architecture in Haute-Saöne

Jeudy, Fabienne 25 February 2011 (has links)
L’art gothique apparu en Île-de-France vers 1135 atteignit le département de la Haute-Saône, partie nord du comté de Bourgogne relevant de l’Empire germanique aux XIIe et XIIIe siècles, à partir des années 1160. Les cisterciens jouèrent un rôle déterminant dans l’introduction de ce nouvel art de bâtir dans la région. À la fin du XIIe siècle, ce mode de construction demeura d’ailleurs l’apanage de leurs abbatiales. Les formules gothiques ne se généralisèrent en effet dans l’ensemble des édifices religieux qu’à l’aube du XIIIe siècle. Ce moment précis marque le point de départ de ce mémoire de doctorat qui a pour objet de déterminer les étapes de formation du gothique comtois et de suivre son évolution jusqu’aux prolongements des modes mises à l’honneur au XIIIe siècle en ce lieu situé à la charnière entre le royaume de France et l’Empire germanique. Malgré l’adoption des formes principales du premier art gothique (voûtement d’ogives, contreforts…), l’architecture demeura dans un premier temps ancrée dans la tradition romane du XIIe siècle particulièrement marquée par le retour à la vita apostolica prôné par la réforme grégorienne. Cette tradition de simplicité ne pouvait être ébranlée que par un ordre disposé à la sobriété, l’ordre cistercien, auquel un certain nombre d’éléments architecturaux caractéristiques furent empruntés pour les premières constructions gothiques comme à Purgerot, Bétoncourt-les-Ménétriers et dans la nef de l’abbatiale de Luxeuil dont le chantier d’envergure s’ouvrit à la fin des années 1230. L’ouverture des maîtres d’œuvres au gothique classique, certes modérée, ne se produisit qu’aux alentours de 1240 (ils conservèrent leur attachement aux valeurs de muralité, à Pesmes par exemple). L’art rayonnant fit son apparition dans les années 1270 à Luxeuil, par l’intermédiaire de la Lorraine proche. Mais la mise en œuvre d’une abside vitrée ne constitua cependant pas une étape irréversible dans la construction car les édifices d’ampleur modeste élevés à la fin du XIIIe siècle et au début du siècle suivant présentent un caractère particulièrement conservateur, en écho sans doute à la nouvelle pastorale : celle des ordres mendiants. Les constructions sont simples et le décor architectural, qui a peu inspiré les sculpteurs en Franche-Comté, infime. Seule la modénature, tout à fait en adéquation avec celle d’édifices contemporains du royaume de France, a permit de situer les édifices dans la fourchette chronologique concernée par le champ de l’étude. Bien connue des maîtres d’œuvres, elle témoigne d’une volonté délibérée de leur part d’adapter les formes nouvelles à la tradition comtoise. L’architecture gothique se trouve donc en Haute-Saône à la fois dans son temps et hors des modes, ce tropisme fait sa singularité / The Gothic art appeared in Ile-de-France by 1135 reached the department of the Haute-Saône, part north of the Burgundy’s county depending on the Germanic Empire in the XIIth and XIIIth centuries, about 1160s. The Cistercians played a role determining in the introduction of this new art to build in the region. At the end of the XIIth century, this mode of construction besides remained the privilege of their abbey churches. The Gothic formulae indeed became widespread in the whole of the religious buildings only at the dawn of the XIIIth century. This precise moment marks the point of departure of this report of doctorate which has for object to determine the stages of formation of the Gothic from Franche-Comté and to follow its evolution up to the repercussions of the fashions put in the honor in the XIIIth century in this place situated in the hinge between the kingdom of France and the Germanic Empire. In spite of the adoption of the main forms of the first Gothic art (diagonal ribs, foothills), the architecture remained at first anchored in the Romanic tradition of the XIIth century particularly marked by the return in the vita apostolica lauded by the Gregorian reform. This tradition of simplicity could only be shaken by an order arranged in the sobriety, the Cistercian order, from which many characteristic architectural elements was borrowed for the first constructions Gothic as to Purgerot, Bétoncourt-les-Ménétriers and in the nave of the abbey church of Luxeuil, the large-scale construction site of which opened at the end of 1230s. The opening of architects in the classic Gothic, certainly moderated, occurred only near 1240 (they kept their attachment in the values of muralité, in Pesmes for example). The radiant art made its appearance in the 1270s in Luxeuil, through the close Lorraine. But the implementation of a glazed apse did not however constitute an irreversible stage in the construction because the buildings of modest scale raised to the end of the XIIIth century and at the beginning of the next century present a particularly conservative character, in echo doubtless in the new pastoral: that of begging orders. The constructions are simple and the architectural decoration, which has not inspired the sculptors in Franche-Comté very much, tiny. Only the mouldings, completely in adequacy with that of contemporary buildings of the kingdom of France, have allowed placing the churches in the chronology. Well known to the architects, they testify of their will deliberated to adapt the new forms to the Franche-Comté’s tradition. The Gothic architecture is thus in Haute-Saône at once in his time and out of the modes, this tropism makes its peculiarity
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Un chantier flamboyant et son rayonnement, Gisors et les églises du Vexin français /

Hamon, Étienne. January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Art et archéologie--Besançon, 1996. Titre de soutenance : Gisors et l'architecture flamboyante dans le Vexin français. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 627-637. Notes bibliogr. Index.
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Les roses flamboyantes en France

Girard, Mireille 06 February 2019 (has links)
Avec "Les roses flamboyantes en France", nous avons voulu présenter une étude systématique d'un sujet encore neuf. Près de quatre-vingt roses, réalisées entre 1380 et 1550, ont d'abord été classifiées en quatre grands types de remplage: les souffiets-mouchettes, les rose à pétales, les multiples cercles, les divers polygones. Par ailleurs, trois périodes principales ont été distinguées : entre 1380 et 1435, entre 1435 et 1480, entre 1480 et 1550. Les derniers chapitres sont consacrés aux roses appréhendées dans leur province respective, afin de mieux souligner leurs tendances et caractères propres, comme la fusion des motifs en Picardie (Amiens, Abbeville), ou encore l'harmonie des roses des Chambiges autour de Paris. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Saint-Denis. L'espace et la mémoire du XIIème au début du XVIème siècle / Saint-Denis. Space and Memory from the 12th to the early 16th century

Berné, Damien 20 February 2016 (has links)
L'activité liturgique et commémorative dont l'abbatiale de Saint-Denis est le cadre a des effets sur sa configuration spatiale bien après l'achèvement de sa construction en 1281. L'adjonction de chapelles latérales au flanc nord de la nef, en 1320-1324, ou les créations et transferts d'autels recensés à la fin du Moyen Âge mettent en évidence le phénomène de pression liturgique qui s'exerce sur l'édifice en marge de ses fonctions principales, c'est-à-dire le culte de saint Denis et l'entretien de la mémoire royale. L’étude des chapellenies et services anniversaires fondés à ses autels entre 1108 et le début du XVIe siècle éclaire le réseau mémoriel qui se forme autour de l'abbaye au cours de cette période, mais aussi l'évolution de la politique des moines vis-à-vis des laïcs. À partir du deuxième quart du XIVe siècle, l'abbé et le chapitre cherchent à canaliser le flux dévotionnel des fondations, y compris royales, tandis que les prêtres de la collégiale Saint-Paul voisine et des paroisses de l'exemption dionysienne sont progressivement associés à leur desserte, formant avec les moines une même communauté. La lecture de la répartition des tâches au sein de l’abbatiale et de ses dépendances, qui vise à reconstituer une géographie de la mémoire à Saint-Denis, révèle l'existence d'espaces réservés et un contrôle strict de la destination des autels, notamment de ceux du chevet. Ainsi, la plupart des officiers claustraux de l'abbaye sont associés spécifiquement à l'un des autels à reliques des chapelles rayonnantes depuis, semble-t-il, l'abbatiat de Suger. Cette exclusivité d'usage ne semble pas repérable dans d'autres établissements comparables, apportant un nouvel exemple de l'unicité dionysienne. / The commemorative and liturgical functions of Saint-Denis influenced the abbey’s spatial configuration for centuries after construction of the core of the church ended in 1281. The addition of lateral chapels on the north side of the nave in 1320-1324, like the creation and movement of altars during the next two hundred years, resulted from the expansion of the abbey’s liturgical engagement beyond its primary responsibilities for the cult of Saint Denis and the commemoration of the kings of France. This study of the chaplaincies and anniversary services established between 1108 and the early sixteenth century casts light on the memory network that develops around the abbey during this period, but also the evolution of the abbey’s policies toward the laymen. From the second quarter of the 14th century onwards, the abbots and chapter try to control the foundations flow (including royal ones). Furthermore, the priests of the collegiate church of Saint-Paul located near the abbey as well as parishes enjoying Dyonisian immunity were gradually associated with services at the abbey’s chapels and thereby incorporated into the Dyonisian community. Focused on the services performed within the abbey church and the establishments immediately dependent on it, this study aims to reconstitute a geography of memory at Saint-Denis. It reveals that the services performed at the different altars were strictly controlled, particularly in the restricted area of the chevet. Therefore, apparently from the time of Abbot Suger, each claustral official of the abbey was generally associated with a specific altar in the radiating chapels. This exclusivity thus distinguished Saint-Denis from other similar establishments, providing yet another example of the uniqueness of the royal abbey.
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De materialibus ad immaterialia : le rôle de la matière dans l'œuvre de Suger de Saint-Denis

Blanchard, Marianne 07 March 2020 (has links)
L’oeuvre écrite de l’abbé Suger de Saint-Denis à propos de la reconstruction de son église abbatiale est l’objet de nombreuses recherches depuis les années 1940. Puisqu’il fut longtemps considéré comme le fondateur de l’architecture dite « gothique », ses écrits ont attiré l’attention de ceux qui cherchaient la source de ce style, la doctrine philosophique derrière l’oeuvre architecturale. Or, les études consacrées à Suger ont évoqué l’exaltation d’un processus anagogique — du matériel vers le spirituel — et mis en valeur l’utilisation de la lumière dans l’église dans certains passages isolés, sans forcément prendre en compte l’ensemble des écrits sur Saint-Denis ni l’ensemble des processus entourant l’édification de l’église. L’abbé donna en effet dans ses écrits une place importante à la production issue des terres du monastère, à leur administration, aux matériaux spécifiques employés dans la construction de l’église et dans la fabrication des objets sacrés et des ornements qu’il avait commandités, ainsi qu’aux méthodes par lesquelles il avait obtenu les moyens d’y parvenir. Il accorda — semble-t-il — une attention très nette au rôle du labeur (labor) et de l’ouvrage (opus) des artisans, à son propre rôle d’administrateur et à la dimension matérielle des oeuvres dédiées à Dieu. Pour Suger, tous ces éléments semblent avoir été inclus dans un processus de donation et de transformation incluant tous les membres du corps social, processus dans lequel il jouait le rôle de maître d’oeuvre en étant tout à la fois administrateur, donateur, auteur et dévot. Nous proposons donc, dans le cadre de ce mémoire, de situer sa conception de la dimension matérielle des oeuvres d’art dans le processus de transformation dont il fut l’auteur.
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Les paroissiales flamboyantes en Puisaye

Bourget, Charles 07 February 2019 (has links)
Cette études des églises paroissiales de Puisaye, partie sud- ouest de l'Yonne en France, vise à formuler une définition syntaxique tant au niveau typologique que stylistique de ce type de construit et à formuler une interprétation sémantique à partir de cette définition syntaxique. Cette syntaxe repose sur la conception énergétique de l'objet d'art mise en forme par Fernande Saint-Martin avec ce que l'on nomme la sémiologie topologique. Nous cherchons à mettre en évidence tant la position stylistique architecturale de la Puisaye par rapport aux régions limitrophes de Paris, de la Champagne, de la Nièvre et du Val de Loire que les significations inconscientes des formulations spatiales régionales qui sont grosso modo séparables en deux grandes familles, les édifices longitudinalement uniformes et les édifices scindés par une coupure transversale. / Montréal Trigonix inc. 2018
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La collégiale de Saint-Julien de Brioude (Haute-Loire) : Recherches sur les liens entre l’architecture ecclésiale, son agencement iconographique, et la liturgie d’une communauté canoniale au Moyen Âge / The collegiate church Saint-Julien at Brioude (Haute-Loire) : Researches on links between church architecture, its iconographic layout and the liturgy of a canonical community in the Middle Ages

Vivier, Fabien 05 February 2014 (has links)
Cette thèse se constitue de deux analyses statistiques qui sont mises au service de l’étude de l’identité culturelle de Saint-Julien de Brioude. Riche d’un luxuriant passé, la compagnie de Brioude entretenait un réseau de relations complexes. Les arts et la liturgie ont constitué notre support pour l’étude identitaire du chapitre. L’étude du bréviaire brivadois nous a permis de montrer l’originalité de la liturgie brivadoise. Cette liturgie n’était pas aussi clermontoise qu’on le présumait jusqu’à présent. Née d’un métissage mêlant la tradition liturgique aquitaine et vellave, la liturgie de Brioude avait été dotée de pièces de chants et d’oraisons propres. La mise en scène spatiale des reliques participait à la typicité de la collégiale que les pèlerins visitaient. À côté du tombeau de Julien, d’autres corps de saints et des reliques faisaient l’objet de dévotions. Le programme sculpté de la collégiale avait été pensé en deux temps. Souvent fidèlement liés aux sujets iconographiques utilisés dans le diocèse de Clermont, les chapiteaux de Brioude avaient été agencés en fonction des zones divisant l’espace ecclésial. Ces zones gigognes se voisinaient en faisant concurrencer l’agencement des reliques, du mobilier et des images. Le chevet faisait dialoguer l’iconographie du Saint-Sépulcre et des croisades avec le tombeau-reliquaire de Julien et les autels secondaires. Les sculptures étaient utilisées comme de véritables signalétiques s’animant autour du drame liturgique. Les images participaient à la constitution d’un espace mémoriel participant à la mémorisation liturgique de l’histoire.Cette étude offre des perspectives dépassant le cadre de la monographie. Liturgie et arts peuvent fournir des éléments de compréhension concrets à propos des échanges culturels et des aménagements de l’espace ecclésial. L’origine familiale des chanoines avait déterminée cette zone (le Brivadois) située à la confluence de l’Aquitaine auvergnate et du Velay (zone tampon avec l’Empire). Le chapitre de Brioude placé au milieu des deux, sans être central, en avait tiré les bénéfices culturels et un rayonnement propre. Le chapitre de Brioude avait ainsi pu façonner sa collégiale afin de célébrer la compagnie canoniale elle-même et le saint dont elle détenait les reliques. Attirer à elle les foules permettait à la compagnie aussi bien de faire perdurer la mémoire du saint patron que de leur procurer les ressources essentielles à leur fonctionnement. La collégiale était réalisée comme un marqueur du paysage déterminant une identité architecturale attractive. / This thesis is made up of two statistical analyses which are at the service of the study of Saint-Julien de Brioude’s cultural identity. Having had a lush history, the Brioude Company kept a complex web of relationships. Both, art and liturgy, were the frame for the identity study of this chapter. The study of the Brivadois breviary proved how unique the Brivadois liturgy was. Unlike what was thought at first, such liturgy was not as close as to that of Clermont-Ferrand. Born from the blending of liturgical tradition from Aquitaine and Velay, the Brivadois liturgy was endowed with singing pieces and specific orations. The spatial staging of the relics partook of the collegiate’s specificity the pilgrims visited. Next to Julien’s gravestone, other Saints’ bodies and relics were subjected to devotions.The collegiate’s sculpted program was designed in two times. As they were often faithfully linked with the iconographic subjects used in Clermont’s diocese, Brioude’s capitals were put together in accordance with the areas dividing the ecclesial space. These nested areas were next to one another and highlighted the differences between the relics, the furniture and the images. The chevet intertwined Saint-Sépulcre’s iconography, along with its Crusades, with Julien’s reliquary gravestone and the secondary altars. The sculptures were used as genuine signage livened up around the liturgical tragedy. The images took part in the setting up of history’s liturgical memorial space.This study gives new perspectives which go beyond the monographic frame. Liturgy and arts can provide us with tangible understanding elements regarding the cultural exchanges and the layout of the ecclesial space. The canon’s familial origin determined this area (the Brivadois) located at the confluence of Auvergne’s Aquitaine and the Velay (buffer zone with the Empire). From the Brioude chapter located between these two, without being central, it extracted the cultural benefits as well as a very own standing. The Brioude chapter thus managed to shape its collegiate so as to celebrate the canonical company itself and the Saint whom she possessed the relics from. Attracting the crowd enabled the company to carry own the patron Saint’s memory and to provide themselves with the essential resources to make it operate. The collegiate was undertaken as a landscape’s landmark determining an attractive architectural identity.

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