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Die "Opferrinnezeremonie" : Bankettideologie am Grab, Orientalisierung und Formierung einer Adelsgesellschaft in Athen /

Kistler, Erich. January 1998 (has links)
Diss.--Universität Zürich. / Notes bibliogr.
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Le sang épuré: La naissance du sentiment et de l'idée de "race" dans la noblesse française, 1560-1720

Devyver, André January 1971 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sidoine Apollinaire et Salvien de Marseille : deux histoires, deux visions du 5e siècle occidental

Julien, François January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’avènement de Jean II : querelles de succession et principes de légitimité (Xe-XIIe siècles) / John II’s accession : succession rivalries and legitimacy principles (10th-12th centuries)

Mourtoux, Jean-François 01 December 2012 (has links)
Ce mémoire traite de l’histoire politique et dynastique de l’empire byzantin du Xe au début du XIIe siècle, et propose de réinterpréter certaines querelles de succession et la stratégie, matrimoniale et politique, des grandes familles aristocratiques. Partant de la querelle de 1118 qui opposa Jean II à sa soeur Anne pour la succession d’Alexis Ier, l’analyse montre que ce conflit recouvrait l’opposition entre deux sources de légitimité, les Comnènes et les Doukai, et de deux principes, primogéniture masculine et primogéniture « absolue ». Cette hypothèse est confirmée par une analyse des relations avant et après le couronnement d’Alexis Ier : la campagne d’Alexis contre Roussel de Bailleul, le contexte des fiançailles d’Alexis Comnène et d’Irène Doukaina, ou la prise de Constantinople sont particulièrement revisités. Ayant dû accorder des garanties à sa belle-famille Doukas, Alexis Ier va utiliser les interdictions de mariage et les circonstances diplomatiques pour annuler les fiançailles de sa fille et de Constantin Doukas, le fils de Michel VII. L’analyse se poursuit par une étude de la révolte de 1057 et met en évidence que Constantin (X) Doukas et Isaac (Ier) Comnène étaient alors les défenseurs des héritières de Constantin Dalassènos, qui était, avec Romain (III) Argyros, le chef d’une des deux familles apparentées par mariage avec les Lécapènes et les Macédoniens. Après avoir vu la stratégie matrimoniale de Romain Ier Lécapène, l’étude montre que Constantin VIII maria sa fille Zôè tardivement afin de réserver le pouvoir à ses lointains cousins et ainsi établir par la pratique un règle de succession à Byzance. / This study deals with the political and dynastic history of the Byzantine empire from the 10th to the early 12th centuries. It offers a reinterpretation of some succession crises and of the matrimonial and political strategy of great aristocratic families. About the conflict which opposed John II and his sister Anna on the succession of Alexius I in 1118, the analysis shows that this conflict was also the opposition of two sources of legitimacy: the Doukas and Comnenus families, and of two principles: masculine and absolute primogeniture. This hypothesis is confirmed by an analysis of the relations between both families before and after Alexis I’s accession: Alexius’ campaign against Roussel, the context of his betrothal with Irene Doukaina, of the taking of Constantinople are particularly revisited. Having reluctantly given warrants to his step-family, Alexius I uses marriage prohibitions to cancel his sister’s betrothal with Constantine Doukas, Michael VII’s son. The study then deals with the revolt of 1057, and shows that Constantine (X) Doukas and Isaac (I) Comnenus were the defenders of the female heirs of Constantine Dalassenos, who was, along with Romanos (III) Argyros, the head of one of the two families related to the Lecapenus and Macedonian dynasties. After an analysis of Romanus I’s matrimonial strategy, the study shows that Constantine VIII married his daughter Zoe so late because he wanted to reserve the power to his distant relatives and thus to establish, through practice, a succession rule in Byzantium.
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Les images monétaires des peuples gaulois : figures primitives ou expressions d'une société en mutation ? : l'exemple des Arvernes, Bituriges, Carnutes, Eduens, Lingons, Meldes, Parisii, Sénons et Séquanes / Monetary images of celtic people : primitive figures or expressions of a changing society ? : the case of Arveni, Bituriges, Carnutes, Aedui, Lingones, Meldi, Parisii, Senones and Sequani‎

Schomas, Héloïse 19 December 2011 (has links)
L’étude se fonde sur environ 600 images monétaires attribuées aux Arvernes, Bituriges, Carnutes, Éduens, Lingons, Meldes, Parisii, Sénons et Séquanes. Les images monétaires forment le plus vaste ensemble iconographique fourni par les Celtes mais paradoxalement, elles ne sont pas considérées à leur juste valeur dans la recherche actuelle et leur étude est une discipline assez récente. Elles souffrent, plus que tout autre domaine concernant l’époque laténienne, de l’absence de textes d’origine gauloise permettant de les comprendre. Pourtant les thèmes abordés par les images se rapportent à la religion, la société et l’aristocratie du second âge du Fer. L’approche pluridisciplinaire (archéologique, littéraire et artistique) de ce travail permet de recréer des liens entre les images monétaires et la société celtique et de compléter de nombreux domaines d’étude. / The study is based on approximately 600 monetary images attributed to Arverni, Bituriges, Carnutes, Aedui, Lingones, Sequani, Parisii, Meldi and Senones. Monetary images form the largest iconographic set provided by the Celts but paradoxically, they are not considered at their fair value in the current research. Indeed, their study is a relatively recent discipline because the Celts left no text allowing their understanding. The different themes of the images relate to religion, society and aristocracy of Iron Age. The multidisciplinary approach (archaeological, literary and artistic) of this work recreates links between monetary images and the celtic society and compleets many areas of study.
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Constantinople et les provinces : le rôle de l’aristocratie aux IXe-XIe siècles / Constantinople and the provinces : the role of aristocracy in the 9th-11th centuries

Andriollo, Luisa 30 November 2013 (has links)
Cette recherche se propose d’étudier l’évolution des relations entre Constantinople et les provinces micrasiatiques de l’Empire entre le IXe et le XIe siècle, en ce qui concerne les formes concrètes de l’administration et de l’exploitation des territoires provinciaux, ainsi que la perception et la représentation culturelle de ce rapport. Nous sommes concentré en particulier sur le rôle politique et social de l’aristocratie. Les représentants de ce groupe social étaient en effet les principaux interlocuteurs politiques du pouvoir impérial ; pendant toute la période considérée, ils remplirent une importante fonction de médiation entre le gouvernement central et la société provinciale, par l’exercice des fonctions publiques et par l’action de réseaux, parfois très étendus, de relations personnelles.Après avoir situé notre travail dans le contexte de la discussion historiographique et avoir reconstruit d’abord la représentation traditionnelle des provinces dans la littérature byzantine, ensuite la structure militaire, administrative et fiscale de l’administration provinciale, nous chercherons à définir les enjeux réels liés au contrôle des territoires orientaux à travers l’étude de trois macro-régions. À chaque fois nous nous efforcerons de déceler les intérêts économiques et stratégiques des institutions centrales, leurs rapports mutuels et leur interaction avec la société locale.Enfin, nous chercherons à décrire l’évolution du profil social de l’aristocratie méso-byzantine, de son idéologie et son attitude vis-à-vis de l’idéal impérial. Une telle analyse peut aider à mieux comprendre la crise qui bouleversa l’Empire à la veille de l’avènement d’Alexis Comnène. / This research aims to study the development of relations between Constantinople and the provinces of Asia Minor belonging to the Byzantine the Empire between the ninth and eleventh centuries. This study includes non only a research on the concrete ways to administer and exploit the provincial jurisdictions, but also the perception and cultural representation of the relation between center and periphery. We focused in particular on the political and social role of the aristocracy. The members of this social group were the main political agents of the imperial power; throughout the period, they filled an important mediating role between the central government and the provincial society, by the public functions they exercised and by the extensive and active networks of their personal relationships.After situating our work in the historiography, we dwell on the traditional representation of the provinces in the Byzantine literature, we also describe the military, administrative and fiscal structures of the provincial administration, seeking to identify the real issues related to the control of these Eastern territories, through the study of three macro-regions. For each of them, we try to identify the economic and strategic interests of the central institutions, their mutual relations and their interaction with the provincial society, particularly with the aristocracy.In the last part of this thesis, we try to describe the evolution of the meso-Byzantine aristocracy social profile, its ideology and its attitude vis-à-vis the imperial ideal. Such an analysis can help to understand the political and structural crisis that shook the Empire on the eve of Alexis Comnenus reign.
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Ancrage spatial et polarisation des pouvoirs de l’aristocratie laïque en Lotharingie méridionale (fin IXe – mil. XIe s.) / Spatial base and territorial policy of the secular aristocracy in the south of Lotharingia (late 9th-11th century)

Martine, Tristan 25 November 2017 (has links)
De la fin du IXe au milieu du XIe siècle, la Lotharingie, ancien cœur de l’empire carolingien, devint une marge du royaume de Francie occidentale, d’abord, puis de Francie orientale, ensuite, sans que ne se développe pour autant une identité lotharingienne. Cette recherche, qui porte sur la Lotharingie méridionale, s’intéresse tout d’abord aux structures de parenté aristocratiques, qui demeurent résolument horizontales et cognatiques. L’interrogation principale porte ensuite sur l’évolution du rapport des aristocrates à leurs espaces de domination. Ce travail montre que l’exercice de la potestas des comtes se fit, jusqu’à la réforme grégorienne, selon des logiques davantage sociales que spatiales : pagus et comitatus ne furent pas des circonscriptions territorialisées. Le territoire ne constituait pas le pouvoir comtal : il en découlait. À l’inverse, les seigneurs furent les premiers à s’ancrer spatialement en fondant des centres castraux dont ils adoptèrent le nom comme cognomen toponymique. Pour ce faire, cette thèse étudie dans le détail les fonctions, la morphologie et la chronologie de l’apparition des différents centres, aussi bien ecclésiastiques que laïques, en s’interrogeant également sur l’existence de « modèles spatiaux ». Une double approche textuelle et archéologique permet de déconstruire l’image d’aristocrates prédateurs et de montrer que si les abbayes et les sièges épiscopaux furent, pour les laïcs, l’objet d’enjeux nombreux, ceux-ci n’étaient pas d’ordre territorial. Elle amène également à reconsidérer l’aimantation castrale, en se détachant notamment d’une compréhension légaliste de ce phénomène et en analysant la coexistence de fortifications d’architectures très différentes. La multipolarisation de l’aristocratie lotharingienne ne peut se comprendre qu’en considérant pleinement les différents acteurs politiques – notamment les évêques –, afin de saisir les rapports de force changeants et la « coopétition » permanente entre ces différentes parties qui expliquent le rythme de cet ancrage spatial à tâtons. Celui-ci est à la fois différent de ce que l’on rencontre en Francie occidentale et en Francie orientale, confirmant le statut singulier de cet espace de l’entre-deux. / From the end of the ninth to the middle of the eleventh century, the Southern part of Lotharingia – the former heart of the Carolingian empire – first became a periphery of the West Frankish kingdom, and then a march of Eastern Francia. However, that does not mean that a Lotharingian identity emerged. To start with, our research indicates that aristocratic kinship patterns remained definitely horizontal and cognatic. The main research problem focuses on the aristocrats’ relations to their spaces of power, and their evolutions. This work shows that, until the Gregorian reform, counts performed their potestas according to a logic which was more social than spatial: pagus and comitatus were not territorialized divisions. Territory was not the core of the counts’ power: it was a consequence of it. Even so, lords were the first to found fortified places thus establishing manifestations of spatial power by assuming the castles’ names as a toponymic cognomen. This dissertation examines the functions, morphologies and chronologies of the emergence of such centers, either ecclesiastical or secular. It also raises questions about the existence of « spatial models ». Evidence from texts and archaeology allows us to deconstruct the image of predatory aristocrats. It also proves that although nobles competed for abbeys and episcopal sees, this rivalry was not territorial; our findings have also brought us to reconsider the growing function of castles by moving away from a legalistic approach to the process of polarization and rather analyzing the coexistence of the quite different fortification styles. One can understand the multipolarization of Lotharingian aristocracy only by fully taking into account the different political protagonists – especially bishops – in order to better grasp the changing power balances and constant « coopetition » between different parties. Those dynamics can explain the uncertain pace of the manifestation of spatial power, the modalities of which were different from both West and East Francia and thus confirm the unique status of this in-between space.
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L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques des pays d'Olt et de Dordogne (Xe-XIe siècles)

Fray, Sébastien 26 November 2011 (has links) (PDF)
La présente étude s'inscrit dans le débat à propos d'une éventuelle " mutation féodale " autour de l'an mil. Il s'agit d'étudier l'aristocratie laïque durant les Xe et XIe siècles, en prêtant une égale attention aux ressorts matériels et idéologiques de sa domination sociale. La signification des transformations que connaît alors l'écriture diplomatique étant au cœur de la controverse, le choix a été fait de partir des sources hagiographiques originaires des abbayes d'Aurillac, Conques et Figeac. Mais le discours hagiographique présente ses propres biais. Afin de s'en prémunir au mieux, on a confronté autant que possible les affirmations des sources hagiographiques aux informations disponibles grâce à d'autres types de documents. La démonstration procède en deux étapes. En recourant aux méthodes de l'hagiologie, la première partie permet de contextualiser la production hagiographique et de s'interroger sur les conditions de sa réception : on s'aperçoit que si les textes latins sont d'abord destinés à être lus par des clercs, de multiples canaux de diffusion orale permettaient aux hagiographes de s'adresser également aux laïcs, en particulier à l'aristocratie. La seconde partie étudie l'évolution de la domination aristocratique à travers ce que permet d'en percevoir l'hagiographie. Elle montre qu'un certain nombre de transformations ont eu lieu dès le début du Xe siècle et permettent de parler d'une " mutation de l'an 900 " : l'émergence de la chevalerie, la mise en place de la féodalité, la montée en puissance des sires, l'importance des châteaux et des milites sont autant de phénomènes qui datent de cette époque. Toutefois, l'an mil connaît deux ajustements non négligeables : le redéploiement de l'identité aristocratique autour des châteaux et le passage d'une conception cognatique de la parenté noble à une autre d'avantage agnatique.
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La dernière manière de Crébillon étude des "Lettres de la Duchesse de***au Duc de*** /

Vincendeau, Marie-Noëlle Menant, Sylvain. January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Littérature française : Paris 4 : 2007. / Titre provenant de l'écran titre. 240 références bibliographiques.
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Entre cosmopolitisme, insertions nationales et ancrages locaux, l'aristocratie au XIXe siècle la Maison d'Arenberg (1820-1919) /

Goujon, Bertrand Brelot, Claude-Isabelle January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Histoire : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. Index.

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