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Cultura homérica e agonismo no jovem Nietzsche

Zanella, Ronaldo 14 March 2014 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T12:11:53Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 1081503 bytes, checksum: 5024bbd6a439d5e87d007bdb51b4acbd (MD5) Previous issue date: 2014-03-14 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Cette étude de Maîtrise (Master) a pour but d´examiner la culture homérique et son contexte hélénique qui occuppent tellement les reflexions entreprises par Nietzsche. Le travail analyse depuis sa dissertation conclusive de l´école fondamentale jusqu´à ses écrits correspondant à la phase initiale de sa philosophie. Compte tenant de l´importance de l´approche homérique mise em oeuvre par le jeune Nietzsche, on tâche de mettre en contexte certains passages concernant les étapes suivantes de son oeuvre, ainsi que certains de ses écrits postumes. Tels passages constituent le corpus de cette dissertation. En fonction d´une meilleure analyse comparative, on n´écarte pas le support philosophique tellement évident pendant cette étape de sa pensé. La comparaison implique faire appel direct aux textes homériques, tout en propiciant une analyse rigureuse de la relation entre le poète de l´antiquité et le philosophe modern. On analyse d´abord l´importance de l´aristocratie. L´arete en tant que valeurs qui se développent dans une culture, tout en se refléchissant sur certains individus composant une aristocracie. Le caractère de ces individus éventuellement s´affronte aux conditions de normatisation de la vie. Pendant que l´art, dans ce processus, se présente comme un courant qui offre la transmission et la transformation culturelle. En suíte on tâche de présenter l´agonisme en tant que valeur constructive de la culture qui démarre de l´affrontement physique dans le récit homérique, en se développant dans la compétition poétique et dramaturgique, tout en s´établissant dans la dialectique philosophique. La perspective imagétique de la colère d´Achille cosntitue un exemple paradigmatique du caractere decadente de l´homme moderne, ainsi qu´une contribution esthétique pour surmonter son état amorphique. On examinte, enfin, la signification originale du terme mythe chez les auteurs épiques, ce qui s´ajoute à la perspective nietzschienne sur Homère, dont resulte une ré-animation du mythe. Telle approche a pour but de redresser un itinéraire pour le ressurgiment de Dionise. Le mythe qui, dès sa condition d´auxiliaire chez les auteurs épiques, devient protagoniste dans la tragédie. Dans la modernité, Dionise, par l intermédiaire de Nietzsche, assume une dimension philosophico-tragique en tant que symbole de l´affirmation irresctricte de la vie. / Esta dissertação de mestrado tem por objetivo investigar a cultura homérica e seu contexto helênico que tanto ocuparam as reflexões de Nietzsche. O trabalho analisa desde a sua dissertação ginasial até os escritos propriamente ditos da fase inicial de sua filosofia. Para justificar a importância da abordagem homérica estabelecida pelo jovem Nietzsche, serão contextualizados trechos das fases subsequentes de sua obra e de escritos póstumos. Esses trechos se referem diretamente ao corpus desta dissertação. Em função de uma melhor análise comparativa não será descartado o suporte filológico tão evidente nesta primeira fase de seu pensamento. A comparação implica a ida direta aos textos homéricos, proporcionando uma análise rigorosa dessa relação entre o poeta-aedo arcaico e o filósofo moderno. Num primeiro momento é analisado a importância da aristocracia. A arete no sentido de valores que crescem numa cultura e resplandecem em determinados indivíduos que formam uma aristocracia, nela o caráter rivaliza com as condições normatizadoras da vida. No ínterim desse evento, a arte é a corrente que oferece a transmissão e a transformação cultural. Dado esse passo, será apresentado o agonismo como um valor construtivo da cultura que parte do confronto físico na narrativa homérica, se desenvolve na competição poética e dramaturga e se estabelece na dialética filosófica. A perspectiva imagética da ira de Aquiles é um exemplo paradigmático para o caráter decadente do homem moderno, e uma contribuição estética para a superação de seu estado amórfico. A seguir investiga-se o sentido original do termo mito nos épicos que somada à perspectiva nietzschiana sobre Homero reacende a vivacidade mítica. Essa abordagem tem como escopo traçar um itinerário para o ressurgimento de Dioniso. O mito que de coadjuvante nos épicos torna-se protagonista na tragédia. Enfim, na Modernidade, Dioniso, por intermédio de Nietzsche, assume uma dimensão filosófico-trágica como símbolo da irrestrita afirmação da vida.
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[fr] LA DÉFENSE DE L`ARISTOCRATIE CHEZ NIETZSCHE / [pt] A DEFESA DA ARISTOCRACIA EM NIETZSCHE

RAFAEL RODRIGUES PEREIRA 06 July 2006 (has links)
[pt] O objetivo deste trabalho é analisar a concepção de aristocracia em Nietzsche. O interesse desse exame está no fato deste autor não possuir um pensamento político explícito, embora sua obra tenha grande influência nesta área. Através de uma aproximação da apologia da aristocracia com outras facetas da filosofia de Nietzsche, pensamos poder explicitar o por quê deste sistema ser considerado o melhor, além de analisar as suas características específicas, ou seja, exatamente que tipo de aristocracia é defendida pelo autor. Dessa forma, esperamos tornar mais explícitas as principais linhas de seu pensamento político. / [fr] L`objectif de ce travail est de faire une analyse de l`aristocratie telle qu`elle est conçue par Nietzsche. L`intérêt de cet examen est dans le fait que le philosophe allemand n`a pas vraiment de pensée politique explicite, quoique son oeuvre ait une grande influence sur ce sujet. Nous essayerons de faire une approximation de l`apologie de l`aristocratie chez Nietzsche avec d`autres aspects de sa philosophie, afin de pouvoir compreendre pourquoi ce système est considéré le meilleur, et quelles sont ses caractéristiques spécifiques. Nous espérons pouvoir ainsi expliciter les points principaux de la pensée politique nietzschéenne.
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Les hôtels aristocratiques à Bruxelles (1600-1730): Etude sociale, spatiale, économique et symbolique d'un enracinement nobiliaire en ville

Guri, Shipé 23 October 2019 (has links) (PDF)
La présente étude interroge le processus d’ancrage de la noblesse titrée, aussi connue sous le syntagme « noblesse de cour » à partir du XVIIe siècle, dans la ville de Bruxelles. Ce rapport est étudié par le biais résidentiel matérialisé par l’hôtel aristocratique. Par là, nous postulons qu’un basculement vers la résidentialité urbaine s’est produit au sein de cette noblesse à partir du XVIIe siècle durant un processus qui l’a enracinée durablement dans la ville, devenue son séjour de prédilection. Nous postulons également que l’hôtel a joué, en la matière, un rôle majeur, devenant un point d’arrimage pour une haute noblesse encore très mobile.Pour mettre en exergue la place de l’hôtel dans ce basculement, nous en proposons une définition intégrée qui le positionne dans le mode de vie et l’identité nobiliaire, dans l’espace urbain, dans la sphère sociale et économique. Cette définition intégrée ne peut se réaliser qu’au prix d’une double lecture qui se traduit par le versant matériel et le versant social de l’hôtel. Les schémas résidentiels de la noblesse se déploient sur un espace élargi et selon des impératifs divers, révélant une mobilité aiguë qui se maintiendra tout au long du XVIIe siècle. C’est pourquoi la possession d’hôtels à Bruxelles depuis la fin du XVe ou le XVIe siècle n’équivaut pas pour autant à une fréquentation intensive de la ville par les grandes lignées de la cour bourguignonne. Par la sédentarisation définitive de la cour, Bruxelles tend néanmoins à prendre une place prépondérante à l’extrême fin du XVIe siècle. Ce statut et le développement démographique et économique concomitant de la ville vont accroître son attrait pour en faire progressivement le lieu de résidence principal de la majorité de la noblesse titrée.Les caractéristiques de l’hôtel de la période moderne révèlent beaucoup de la façon dont la noblesse va s’approprier la ville. L’hôtel se compose de plusieurs corps bâtis (corps de logis, dépendances) et d’espaces non-bâtis (cours et jardins), parcelles souvent acquises progressivement dans un environnement urbain déjà dense. L’emprise foncière de la noblesse se développe sur des pans considérables et la met sur le même pied que les institutions publiques ou les établissements religieux. L’hôtel exprime l’ambivalence des rapports de la noblesse avec la ville :s’intégrer dans le tissu urbain tout en le dominant et en conservant une distance marquant la différence de condition. Ses espaces intérieurs sont à l’avenant, s’assortissant d’un minimum d’une trentaine de pièces dont la spécialisation se confirme en résonance avec les nouvelles fonctionnalités apparues dans les hôtels français.Ces vastes intérieurs se prêtent aisément à la constitution de plusieurs unités résidentielles occupées par plusieurs ménages de la même famille ou pas. A cet égard, il y a lieu de souligner l’intensité du phénomène de la location pratiquée sur l’entièreté ou une partie des hôtels. Dans un marché immobilier aussi réduit que celui des hôtels, toutes les familles ne peuvent accéder à la propriété. L’enjeu économique y prend une part non-négligeable. Certes, le prix d’un hôtel ne pèse pas lourd dans le patrimoine global de la noblesse mais celui-ci se trouve de plus en plus obéré au cours du XVIIe siècle, au fur et à mesure des conflits armés et de l’endettement des familles. C’est pourquoi employer l’hôtel comme outil de crédit ou comme investissement est largement pratiqué par la haute noblesse, à l’instar de la bourgeoisie bruxelloise. Les relations qui s’établissent entre ces deux groupes sociaux notamment autour de l’hôtel en tant que bien immobilier sont multiples et prennent la forme de la rente, de la caution, de la location comme de l’achat. La consommation courante comme celle de luxe ont souvent été la première amorce de ces relations. L’enracinement nobiliaire se produit, par conséquent, aussi économiquement parlant.Si l’hôtel se fait facilement objet économique, si les droits seigneuriaux ne s’attachent pas à lui, il y a lieu de s’interroger sur la valeur symbolique que la noblesse lui accorde. En être propriétaire ne constitue pas un impératif absolu de l’identité nobiliaire en ville. Il suffit d’en être occupant et démontrer à tous la nécessité de disposer d’un espace vaste permettant d’abriter famille, domestiques, chevaux et voitures, insignes reflétant sa condition. Être propriétaire d’un hôtel conserve une aura de prestige auquel nombre de nobles se sont résignés à renoncer. Cependant cela ne les empêche guère de pratiquer une sociabilité axée sur l’ostentation au travers des fêtes, des dîners et des bals. Les visites, manifestation ordinaire de la sociabilité de la bonne société, représentent sans doute la manifestation la plus visible des conséquences de l’ancrage urbain. C’est au XVIIe siècle que se développent ces pratiques sociales facilitées par une proximité géographique entre membres de la noblesse jamais égalée jusque-là. Le parachèvement de l’enracinement urbain de ce groupe social s’exprime de cette manière-là également.En dépit des idées reçues liées à l’hôtel, à aucune autre période, il n’a été mieux associé à l’aristocratie en Europe. Dans les Pays-Bas autrichiens, ce sera également le cas avant que les hôtels ne soient également convoîtés par une noblesse récente et par les institutions de l’Etat, ce qui augure des conversions ultérieures de l’hôtel. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Brussels and its country. Economic growth and aristocratic contributions (early middle ages-XIIIth century)/Bruxelles et ses campagnes. Croissance économique et actions aristocratiques (haut moyen âge-XIIIe siècle)

Charruadas, Paulo 16 December 2008 (has links)
Cette thèse envisage les liens entre la ville de Bruxelles et ses campagnes, dans leurs aspects économiques et sociaux. Elle étudie l'impact de l'espace régional (partie de l'ancien pagus de Brabant) sur les conditions d'émergence de la ville et l'impact, ensuite, de la ville sur les structures régionales, en particulier aristocratiques. Une première partie fait le point sur la croissance rurale et urbaine, sur ses protagonistes, ses modalités et sa chronologie. Que sait-on de l’espace régional avant l’an mil ? Comment se mettent en place les nouvelles structures seigneuriales laïques et ecclésiastiques attestées dans la région à partir du XIe siècle ? Comment se produisent les débuts du développement urbain pour la même époque ? Une deuxième partie tente de faire le point sur le rôle dans la région du prince territorial. Originaire de Louvain, mais implanté dans la région de Bruxelles dès le XIe siècle, quelle assise foncière y détenait-il ? Quelle politique monastique y a-t-il menée ? Quelle stratégie féodale et clientélaire a-t-il adoptée face à la société régionale en vue de construire et de développer son autorité seigneuriale ? Ce volet se consacre spécialement à l’étude et à l’évolution du groupe aristocratique traditionnel, notamment son rapport au prince et à la ville, de même qu’à l’émergence des nouveaux acteurs sociaux et à leur confrontation avec le prince et la société seigneuriale/The Ph.D Thesis considers the links between the city of Brussels and its countryside, in their economic and social aspects. It studies the impact of the regional space (part of the former pagus of Brabant) on the conditions for urbanisation and the impact of the city on regional structures, particularly aristocratic
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Les images monétaires des peuples gaulois : figures primitives ou expressions d'une société en mutation ? : l'exemple des Arvernes, Bituriges, Carnutes, Eduens, Lingons, Meldes, Parisii, Sénons et Séquanes

Schomas, Héloïse 19 December 2011 (has links) (PDF)
L'étude se fonde sur environ 600 images monétaires attribuées aux Arvernes, Bituriges, Carnutes, Éduens, Lingons, Meldes, Parisii, Sénons et Séquanes. Les images monétaires forment le plus vaste ensemble iconographique fourni par les Celtes mais paradoxalement, elles ne sont pas considérées à leur juste valeur dans la recherche actuelle et leur étude est une discipline assez récente. Elles souffrent, plus que tout autre domaine concernant l'époque laténienne, de l'absence de textes d'origine gauloise permettant de les comprendre. Pourtant les thèmes abordés par les images se rapportent à la religion, la société et l'aristocratie du second âge du Fer. L'approche pluridisciplinaire (archéologique, littéraire et artistique) de ce travail permet de recréer des liens entre les images monétaires et la société celtique et de compléter de nombreux domaines d'étude.
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Prosopographie de la société juive du royaume de Judée de 134 av. J.-C. à 73/74 siècle ap. J.-C., d’après l’œuvre de Flavius Josèphe / Prosopography of the Jewish society of the kingdom of Judea between the end of the II th century B.C. and the Ier century AD, in Flavius Josephus reading

Masuez, Nicolas 24 April 2014 (has links)
Le royaume de Judée va, entre la fin du IIème siècle av. J.-C. à l’an 70 ap. J.-C., connaître de profonds bouleversements. La société juive face aux puissances hellénistiques et romaine va réussir à conserver son identité tout en perdant son phare qu’est le Temple. La guerre contre Rome, à partir de 66 ap. J.-C,. révèle des tensions politiques, sociales et religieuses. Il n’y a pas un judaïsme mais des judaïsmes. L’aristocratie sacerdotale de plus arrogante va tenter de conserver son influence à tout prix. Une partie de la population va remettre en cause la structure de la société. Bien souvent ces révoltés, insurgés, tant méprisés par Flavius Josèphe, vont se battre pour défendre un idéal alliant une forme de patriotisme au judaïsme. / The realm of Judea went through profound changes between the end of the 2nd century B.C and theyear 70 A.D. Facing the Hellenistic and Roman powers, Jewish society was going to keep its identity while losing its lighthouse : the Temple.From 66 A.D., the war against Rome revealed political, social and religious tensions. There were different Judaisms, not only one. More and more arrogant, sacerdotal aristocracy tried to maintain its influence at any price.A part of the population challenged the structure of society. These rebels, so much criticized by Flavius Josephus, were often to fight to defend an ideal combining a form of patriotism to Judaism.
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Moines, aristocratie et pouvoirs (843-1204) : étude sur le rôle social et politique de l’élite des moines à Byzance / Monks, Aristocracy and Powers (843-1204) : the Social and Political Role of the Monastic Elite in Byzantium

Hermay, Lucile 27 November 2015 (has links)
Dans les sources de la période médiobyzantine, tous les moines n’apparaissaient pas en marge de la société. Certains se distinguaient très clairement par leurs incursions dans le monde ou dans les affaires terrestres. Ils pouvaient voyager, changer de monastère et surtout fréquenter des laïcs. Ils tissaient des liens avec le monde que les autorités avaient pourtant cherché à rompre, et pouvaient jouir d’une liberté que les lois et canons visaient à contrôler. Partant de ce constat, nous avons donc étudié précisément l’insertion des moines dans les réseaux de pouvoir. La première étape de ce travail de recherche fut de recenser les moines qui se distinguaient dans les sources par une intervention dans le monde terrestre. À partir de cette prosopographie, nous avons pu définir les contours de l’élite des moines, groupe qui se caractérisait par ses nombreuses interactions avec la haute aristocratie. La deuxième étape fut d’étudier les réseaux sociaux de ces moines. Nous avons décrit les modalités de leur insertion dans ces réseaux pour mettre en évidence les différentes logiques de construction et de transmission de leurs liens avec l’aristocratie. Nous avons surtout souligné l’importance des relations construites personnellement. Puis, nous avons analysé leur rôle dans ces réseaux pour démontrer qu’ils étaient sollicités et agissaient moins en tant que moines qu’en tant que membres de clans puissants. Ainsi, le rôle politique et social joué par les moines dans l’Empire byzantin ne pouvait s’expliquer que par leur intégration dans des réseaux sociaux puissants composés de membres de la haute aristocratie constantinopolitaine. / It is evident from Medieval Byzantine sources that not all monks lived on society’s margins. Some of them were highly implicated in worldly affairs. They could travel, move into other monasteries and visit lay people. They built up ties with people that the authorities had sought to break and could even enjoy freedoms that the laws and cannons aimed to control. Based on such observations, I have studied closely how monks could be embedded in political networks. Firstly, I have made a census of the Byzantine monks that distinguished themselves by their intervention in the lay world. Based on this prosopographical study, I have defined the contours of a monastic elite and shown that this was a group who interacted frequently with members of the high aristocracy. Consequently, I have studied in detail the social networks in which such monks belonged. I have attempted to describe and to underline the complexity of how monks build up their networks as well as inherit and possibly transmit them. I also have tried to distinguish their institutional bonds from their personal ones. In doing so, I have demonstrated that they acted and were solicited less often as monks and more often as members of powerful clans. Thus, I have concluded that the political and social role played by monks in the Byzantine Empire can only be explained by their integration in very powerful social networks.
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Les barons de la chrétienté orientale. Pratiques du pouvoir et cultures politiques en Orient latin (1097-1229) / The barons of Eastern Christendom. Practices of power and political cultures in the Latin East (1097-1229)

Besson, Florian 04 December 2017 (has links)
Les États latins d’Orient, nés après le succès de la première croisade (1095-1099), sont dominés par une aristocratie militaire, catholique et latine, qui revendique une supériorité à la fois sociale, culturelle, économique et politique, laquelle lui donne, dans la logique du temps, un droit à gouverner les autres. Il s’agit dans ce travail de s’intéresser aux pratiques de pouvoir de cette classe dominante, autrement dit à l’ensemble des actions et des techniques déployées par les seigneurs pour établir, imposer, légitimer et pérenniser leur domination ; le tout dans un long XIIe siècle allant de la fondation du royaume de Jérusalem à l’arrivée en Orient de Frédéric II Hohenstaufen (1229). Ces pratiques – de la construction des châteaux au service militaire, de la justice aux mariages, du conseil au tirage au sort – structurent les jeux de pouvoir et constituent l’essence même de la nature politique de cette société aristocratique. L’Orient latin est un terrain d’études d’autant plus intéressant que les seigneurs latins, s’ils restent inscrits dans un paysage culturel occidental, savent néanmoins s’adapter aux conditions locales – marquées notamment par une très forte diversité ethnique et confessionnelle – ce qui les pousse à faire preuve d’une réelle inventivité juridique et politique ainsi qu’à emprunter de nombreuses pratiques aux mondes byzantin et musulman. Dans ce terreau particulier germe alors une culture politique originale, qui ne cesse d’évoluer au fil du siècle et qui se caractérise par une intense circulation du pouvoir, à la fois réelle et symbolique, sans cesse remis en jeu pour mieux irriguer l’ensemble de la société seigneuriale. / The Latin East, born in the aftermath of the First Crusade (1095-1099), was ruled by a military, Catholic and Latin aristocracy, which claimed a social, cultural, economic and political superiority. In this work, I studied the practices of power of this dominant class : the lords deployed diverse actions and techniques to establish, impose, legitimate, and perpetuate their domination, during a long twelfth century (from the foundation of the Kingdom of Jerusalem to the arrival in Orient of Frederick II Hohenstaufen in Orient in 1229). These practices - ranging from the construction of castles to military service, from justice to marriages, and from council to lottery - structured the games of power and characterized the political nature of this aristocratic society. The Latin Orient is a rich field of study inasmuch the Latin lords, although they remained part of a Western cultural landscape, nevertheless knew how to adapt to local conditions. These were marked in particular by a very high ethnic and religious diversity, which led the lords to show a real legal and political inventiveness and borrow many practices from the Byzantine and Muslim worlds. In this peculiar society, an original political culture grew and evolved over the course of the century. It was characterized by an intense circulation of power, both real and symbolic, which flew over the whole seigneurial society.
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Écriture et identité aristocratique dans l’oeuvre de Barbey d’Aurevilly / Writing and aristocratic identity in Barbey d’Aurevilly’s work

Sorel, Elise 25 November 2016 (has links)
Notre thèse entend explorer de manière approfondie les modes de relation, problématiques et paradoxaux, de Barbey d’Aurevilly à l’aristocratie, en posant l’hypothèse que cette conscience identitaire est au fondement de sa conception et de sa pratique de l’écriture. Après avoir saisi l’idée que l’auteur se fait de l’identité aristocratique, dans une dynamique évolutive, et avoir décrit avec précision ce qui constitue pour lui les traits d’un aristocrate idéal, nous interrogeons plus particulièrement la manière dont il cherche à mettre en scène cette identité dans son style de vie et dans ses écrits. Comment concilier cette identité avec son statut d’écrivain ? Attaché à une posture aristocratique d’Ancien Régime qui privilégie la tradition de l’amateurisme et une esthétique de la négligence, Barbey d’Aurevilly légitime pourtant son écriture, de manière paradoxale, par le déploiement d’ethé aristocratiques, différents en fonction des genres abordés. Ces ethé donnent légitimité à ses prises de parole, en même temps que leur nature foncièrement ambivalente libère l’écrivain de contradictions personnelles en lui permettant de se réclamer de modèles prestigieux. Nous explorons enfin plus largement la manière dont une telle posture aristocratique influe sur sa conception de l’écriture et de la littérature, à travers une étude poétique et stylistique. / Our thesis intends to explore, through an extensive study, Barbey d’Aurevilly’s problematic and paradoxical ways of relationship to aristocracy, setting the hypothesis that this identity conscience lies at the basis of his conception and his experience of writing. After having grasped the idea that the author has developed about aristocratic identity, following evolutive dynamics, and having precisely described what constitutes for him the features of the ideal aristocrat, we mean to question more particularly the way he tries to assert this identity in his style of life and writings. How is it possible to conciliate this identity with one’s status of writer ? Attached to an aristocratic posture, dating back to the Ancient Regime, which privileges the amateurism tradition and aesthetics of negligence, Barbey d’Aurevilly legitimates nevertheless his writing art, paradoxically, by the display of aristocratic ethé, different according to the various genres involved. These ethé justify his discourses ; meanwhile their fundamentally ambivalent nature sets the writer free of his personal contradictions and enables him to invoke these prestigious models. Finally, we explore more largely the way such an aristocratic posture influences his conception of writing and literature, through a poetical and stylistic study.
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Rois et royauté en Ibérie du Caucase, entre monde romain et monde iranien, de l’époque hellénistique au début du Ve siècle de notre ère / Kings and kingship in Caucasian Iberia, between the Roman and Iranian worlds, from Hellenistic period to the early 5th century CE

Preud'homme, Nicolas 07 December 2019 (has links)
Apparu entre le IIIe et le début du Ier siècle avant notre ère, un pouvoir royal établi à Armazi-Mc’xet’a exerça jusqu’au VIe siècle de notre ère un rôle pivot dans l’histoire de l’ancienne Caucasie, à la charnière de l’Empire romain, de l’Iran et des terres sarmates. Le pays où s’exerçait leur pouvoir, l’Ibérie, amalgamait divers peuples et communautés autour du cours moyen du fleuve Koura, au débouché de la passe du Darial. Composant avec les rivalités dynastiques, le morcellement ethnique, la pluralité des langues et la diversité des cultures, les rois d’Ibérie firent preuve d’une remarquable capacité d’adaptation pour assurer leur emprise territoriale, affirmer leur légitimité et trouver une place de choix dans les réseaux d’alliances transnationaux. Le système politique ibère établit une relation d’équilibre entre l’aristocratie et la cour à travers une diarchie associant le roi et son pitiaxe. Entrée dans l’orbite de Rome après l’invasion de Pompée en 65 avant notre ère, la royauté ibère construisit durant trois siècles un partenariat avec les dirigeants romains qui n’était cependant pas exempt d’ambivalence. Les années 260 de notre ère marquèrent un tournant capital dans l’évolution du pouvoir royal ibère, lorsque l’emprise grandissante des Sassanides instigua un changement dynastique au profit des Mihranides. Dans un contexte d’effervescence spirituelle mettant en concurrence divers courants religieux, les rois ibères décidèrent progressivement de confessionnaliser leur pouvoir. Au début du Ve siècle, l’invention d’une première forme officielle d’écriture géorgienne illustra ce nouveau consensus politique et religieux voulu par une royauté devenue chrétienne. / Since its appearance between the third and the beginning of the first century BCE, a royal power established in Armazi-Mc‘xet‘a exercised until the sixth century CE a pivotal role in the history of Ancient Caucasia, at the hinge of Roman Empire, Iran and Sarmatian lands. The country where their rule was exercised, Iberia, amalgamated various peoples and communities around the middle course of Kura River, near the Darial pass. Composing with ethnic division, linguistic plurality and cultural diversity, the kings of Iberia developed a remarkable capacity of adaptation to ensure their domination, assert their legitimacy and find their place in the transnational networks of alliances. The Iberian political system established a balanced relationship between aristocracy and the royal court through a diarchy associating the king and his pitiaxēs. Entering the orbit of Rome after the invasion of Pompey in 65 BC, Iberian kings shaped during three centuries a partnership with Roman leaders, however not without ambivalence. The decade 260s CE constituted a major turning point in the evolution of royal power in Caucasian Iberia, insofar as the growing grip of Sasanians instigated a dynastic change in favour of the House of Mihranids. In a context of spiritual effervescence putting in competition several religious currents, the Iberian kings gradually opted for a confessionalization of their rule. At the beginning of the fifth century, the invention of a first official form of Georgian writing illustrated this new political and religious consensus established by a kingship converted to Christianism.

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