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Prendre sa place : l'installation comme œuvre et comme pratique identitaire chez deux artistes amérindiennes au Québec /

Marchand, Marie-Ève. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 149-159. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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La voix du territoire : représentations territoriales plurielles dans l’œuvre d’Eruoma Awashish.

Ruestchmann, Clara 06 1900 (has links)
No description available.
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La réponse à la Loi sur les Indiens dans les insoumissions performatives de Lawrence Paul Yuxweluptun, Teharihulen Michel Savard et Louis-Karl Picard-Sioui

Desrochers, Marianne 10 1900 (has links)
No description available.
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L'art dans tous ses territoires au jardin des Premières-Nations : regards sur l’immatériel dans les œuvres du Concours d’œuvre murale éphémère

Lauzon Chiasson, Gabrielle 08 1900 (has links)
De 2003 à 2017, le jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal a été le lieu d’exposition de 12 œuvres d’artistes autochtones dans le cadre du Concours d’œuvre murale éphémère lancé par Sylvie Paré. Ce mémoire rassemble l’ensemble de cette exposition afin d’en relever le discours général et les liens que les œuvres entretiennent entre elles, avec le Jardin et avec les territoires physiques et imaginaires. À travers une analyse formelle et symbolique des œuvres qui intègre les ontologies, épistémologies et méthodologies des Premières Nations, je souhaite réfléchir aux liens qui unissent les notions que sont le regard, le territoire, l’interconnexion et la mémoire. Le premier chapitre s’articule autour du mouvement de distanciation opéré par le regard perçu comme un intermédiaire « objectif » de l’expérience humaine et de la séparation (ou schisme) qu’il engendre entre nature et culture. Je m’intéresse ensuite à la remise en question de cette rupture par le Jardin des Premières-Nations. Le deuxième chapitre de ce mémoire s’intéresse plus spécifiquement aux perspectives obliques adoptées par les œuvres du concours en ce qu’ils se portent sur les mémoires et les marques culturelles laissées par les nations autochtones sur les territoires depuis plus de 10 000 ans. Par ailleurs, si les murales traduisent généralement une inquiétude environnementale, elles le font à travers le regard de différentes « entités » qui y circulent de manière fluide et circulaire dans l’espace, le temps et l’intersubjectivité. Elles explorent les traces physiques et imaginaires des relations entretenues avec le territoire et mettent en lumière l’existence d’une relation de réciprocité avec l’univers dont le territoire tient un rôle dynamique. / From 2003 to 2017, the First Nations Garden of the Montréal Botanical Garden has exhibited each year the mural artwork of an Indigenous artist as part of the Ephemeral mural contest launched by Sylvie Paré. This memoir brings together all of this exhibition in order to highlight the general discourse and the relations that the artworks have with each other, with the Garden and with the physical and imaginary territories. Through a formal and symbolic analysis of this exposition, that integrates the ontologies, epistemology and methodologies of the First Nations, I wish to reflect on the links that unite the notions of gaze, territory, interconnection and memory. The first chapter focuses on the distance generated by the sight seen as an intermediary “objective” of human experience, and the separation (or schism) that it created between the conceptions of nature and culture. I will then look at how the First Nations Garden questions this rupture. The second chapter of this dissertation focuses more specifically on the oblique perspectives adopted by the mural artworks in that they focus on memories and cultural marks left by the indigenous nations on the territories for more than 10,000 years. Moreover, if the murals generally express an environmental concern, they do so through the eyes of different “entities” circulating fluidly and circularly in space, time and intersubjectivity. They explore the physical and imaginary traces of relationships with the territory and highlight the existence of a relationship of reciprocity with the universe in which the territory plays a dynamic role.
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Actions thérapeutiques de résistances en territoire anicinabe : œuvres autochtones contemporaines environnementales en zones urbaines abitibiennes

Turmel-Chénard, Ariane 08 1900 (has links)
En regard aux conclusions de différentes commissions d’enquête (Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées en 2014, Commission de vérité et réconciliation en 2015, Commission Viens en 2019), les blessures perpétrées par le régime colonial canadien aux Autochtones apparaissent impossibles à nier. En territoire anicinabe d’Abitibi, une réelle affirmation culturelle autochtone témoigne alors d’une prise de parole dans l’espace urbain. En lien avec l’histoire de la colonisation du territoire qui les a vus naître, ce mémoire analyse quatre réalisations environnementales publiques : Des pierres qui prient (Pésémapéo-Bordeleau 1997, Amos), Poésie en marche pour Sindy (Pésémapéo-Bordeleau 2017, Val-d’Or), Otipi (Papatè 2017, Val-d’Or) et Orignal (Boulanger, Binette, Happyjack et Kakekayash 2019, Val-d’Or). À travers les propos des artistes (Pascale-Josée Binette, Kigos Papatè et Virginia Pésémapéo-Bordeleau), de travailleuses culturelles impliquées dans les projets rencontré.e.s (Geneviève Béland, Carmelle Adam et Marianne Trudel), puis de penseur.e.s majoritairement autochtones, ces différentes œuvres sont réfléchies comme participant au mouvement autochtone de guérison entamé en Abitibi depuis plusieurs années, et s’opposant aux effets du colonialisme encore perceptibles dans les villes. Ces différentes manifestations culturelles proposent une façon d’être en relation à la nature dans l’espace urbain, plus près d’un rapport animiste qu'anthropocentriste. Pensant leur pratique artistique à partir de leurs cultures ancestrales, ces artistes autochtones contemporains lient leurs blessures à celles de la Terre-Mère et s’expriment ainsi sur les conséquences des développements coloniaux de ce territoire. Ces démarches environnementales autochtones anticoloniales en ces terres urbanisées visent ainsi à rétablir un équilibre. / In light of the conclusions of various commissions of inquiry (National Inquiry into Missing and Murdered Indigenous Women and Girls in 2014, Truth and Reconciliation Commission of Canada in 2015, Viens Commission in 2019), the harm perpetrated by the Canadian colonial regime on Indigenous people is impossible to deny. In the Anicinabe territory of Abitibi, a genuine Indigenous cultural affirmation thus testifies to the fact that they are speaking out in the urban space. This dissertation analyzes four public environmental artworks, connecting them to the history of colonization of the territory where they emerged : Des pierres qui prient (Pésémapéo-Bordeleau 1997, Amos), Poésie en marche pour Sindy (Pésémapéo-Bordeleau 2017, Val-d'Or), Otipi (Papatè 2017, Val-d'Or) and Orignal (Boulanger, Binette, Happyjack and Kakekayash 2019, Val-d'Or). Through my encounters with the artists (Pascale-Josée Binette, Kigos Papatè and Virginia Pésémapéo-Bordeleau), as well as the cultural workers involved in the projects (Geneviève Béland, Carmelle Adam and Marianne Trudel), and building on theories of mostly Indigenous thinkers, these different works are reflected as participating in the Indigenous healing movement that is underway in Abitibi for several years, and as opposing the effects of colonialism that are still perceptible in the cities. These different cultural manifestations propose a way of relating to nature in the urban space closer to an animistic than anthropocentric relationship. Anchoring their artistic practice in their ancestrals cultures, these contemporary indigenous artists link their wounds to those of Mother Earth, hence expressing themselves on the consequences of colonial developments in these lands. These anti-colonial indigenous environmental approaches thus aim to restore a balance in urbanized lands.
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Prendre sa place : l'installation comme œuvre et comme pratique identitaire chez deux artistes amérindiennes au Québec

Marchand, Marie-Ève 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur l'art actuel chez les artistes autochtones au Québec, et la façon dont on peut relier une forme d'expression plastique aux processus de revalorisation identitaire. Pour certains artistes, l'installation, forme artistique du 21e siècle devient véritablement une pratique identitaire au-delà de la pratique artistique, tout en étant pleinement ancrée dans le champ de l'art actuel. En éclairant d'un jour nouveau les questions de territoire, de guérison sociale et des savoirs dits traditionnels, ces oeuvres participent au processus de revitalisation culturelle et de réaffirmation identitaire. Elles représentent ainsi un angle de vue particulièrement intéressant sur un contexte historique politique et social, en impliquant l'artiste, sa communauté, ainsi que la société québécoise dans son ensemble. À plus large mesure, elles touchent aussi une identité panamérindienne qui s'affirme de plus en plus dans un contexte de globalisation où les identités minoritaires luttent contre une assimilation aux valeurs occidentales.
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Modes de gestion et de représentation du territoire dans l’art autochtone actuel au Canada : souveraineté territoriale, souveraineté rhétorique et souveraineté mémorielle

Marcoux, Gabrielle 04 1900 (has links)
Les modes de gestion et de représentation des territoires ancestraux autochtones sont encore aujourd’hui largement enclavés dans des structures rhétoriques colonialistes. Les notions de propriété privée et de frontière étatique, les mythes de la terra nullius et de la découverte, la dominance de l’écriture et la dévaluation de l’oralité, sont autant de préceptes sur lesquels s’appuient à ce jour les outils textuels législatifs et géopolitiques canadiens. Ainsi, les épistémologies autochtones se trouvent marginalisées et délégitimées au sein des lois, des cartes nationales et de certains traités, qui s’imposent comme des cadres naturalisés de création, de transmission et de négation des connaissances spatiales. Lors de processus de revendications territoriales, certains acteurs et actrices politiques se consacrent à une autochtonisation des vocabulaires et méthodologies discursives des arènes juridique et législative, parvenant à y tailler des espaces de résurgence pour les voix autochtones. Néanmoins, un tel exercice de traduction culturelle s’avère souvent hasardeux et unidirectionnel, pouvant mener à une instrumentalisation ou à une dénaturation des savoirs autochtones. Cette thèse porte sur les stratégies développées par des artistes et auteur.es autochtones qui démantèlent, autochtonisent et outrepassent les outils textuels étatiques. Elle vise à démontrer que leur articulation de récits intimes, intergénérationnels et mythologiques comme matrices théorisantes permet une réactivation des réseaux relationnels holistes qui se trouvent à la base même des lois, des pratiques de gestion territoriale et, ultimement, des modes de formation identitaire autochtones évacués des enceintes coloniales. Nous proposons ainsi que les notions de souveraineté territoriale, mémorielle et rhétorique y sont imbriquées dans une triangulation dynamique qui prend racine dans des réalités locales, tout en trouvant écho dans des réseaux transcommunautaires élargis. Dans les œuvres de Nadia Myre, Lawrence Paul Yuxweluptun et Alan Michelson, notamment, de même que dans les écrits théoriques ou fictionnels de Gerald Vizenor et Taiaiake Alfred, les textes coercitifs comme la Loi sur les Indiens sont soit démantelés par le biais de grammaires visuelles endogènes et de structures narratives ancestrales réactualisées, soit extraits de l’enceinte législative et projetés en des espaces de réflexions dialogiques, hétérogènes et non coloniaux. De plus, les artistes Sonny Assu, Olivia Whetung et Christi Belcourt, de même que les autrices Leanne Betasamosake Simpson et Mishuana Goeman, entre autres, initient selon nous, par leurs discours de respatialisation décoloniale, un changement paradigmatique plutôt qu’un simple renversement des relations d’autorité déséquilibrées établies et portées par les cartes nationales et cadastrales. Les récits en résurgence qui articulent leurs représentations contre-cartographiques sont récoltés et transmis par le biais de pratiques matérielles, performatives et affectives témoignant d’une survivance collective des épistémologies autochtones au sein de leurs espaces de formation identitaire, malgré les restructurations de ces territoires par des infrastructures et des discours cartographiques coloniaux. Nous souhaitons donc démontrer, par ce travail d’analyse intertextuelle, que les philosophies holistes, expérientielles et intergénérationnelles ancestrales, retravaillées au moyen des arts, des langues et des récits, fournissent des méthodologies d’effritement de vastes structures rhétoriques hégémoniques, de même que des modèles de création d’espaces transnationaux et décoloniaux d’où émergent de nouveaux possibles. / Territorial management policies and dominant ways of depicting Indigenous lands are still today extensively entrenched in colonial structures and ideologies. The concepts of private property and state borders, the doctrines of discovery and terra nullius, the devaluation of oral traditions and the domination of writing systems, are only but a few of the precepts that underpin contemporary legislative and geopolitical frameworks. Thus, Indigenous epistemologies are often marginalized and delegitimized within legislative texts, national cartography, and certain treaties, which act as all-encompassing frames of knowledge production, dissemination, and negation. During land claim negotiations, First Nations representatives devote themselves to indigenizing the vocabularies and methodologies that shape legal spheres, effectively carving out spaces of resurgence for Indigenous voices. However, such endeavors of cultural translation can prove hazardous and unidirectional, sometimes leading to Indigenous knowledges being manipulated or distorted. This thesis focuses on the strategies developed by Indigenous artists and writers who dismantle, indigenize, and bypass those state-sanctioned texts through their productions. We wish to demonstrate that these creators articulate personal, collective, and mythological stories as theoretical frameworks. In doing so, they reactivate the kinship networks that also shape ancestral laws, land management practices and modes of identity formation, which are often dismissed within colonial discourses. We argue that territorial, rhetorical, and memorial sovereignties are therefore entwined in a dynamic triangulation that simultaneously stems from a local context, and resonates on a transnational level. In Nadia Myre, Lawrence Paul Yuxweluptun, and Alan Michelson’s artworks, as well as in Gerald Vizenor and Taiaiake Alfred’s theoretical and fictional writings, coercive texts such as the Indian Act are either dismantled through the revitalization of endogenous visual grammars and ancestral narrative structures, or extracted from the legislative sphere and relocated in spaces of dialogical, heterogenous, and non colonial reflection. Moreover, we argue that artists such as Sonny Assu, Olivia Whetung, and Christi Belourt, as well as authors like Leanne Betasamosake Simpson and Mishuana Goeman, initiate a paradigmatic change rather than a simple reversal of the skewed authority dynamics conveyed by national cartography and cadastral maps. The stories they use to structure their counter-mapping discourses are harvested and transmitted through material, relational, and performance practices that attest to the survivance of Indigenous epistemologies, despite the restructuring of their traditional spaces of identity formation by colonial infrastructures and mapping tools. Throughout our inter-textual analyses, we wish to demonstrate that holistic, experiential, and ancestral philosophies, when revisited through artworks and stories, provide both decolonial methodologies that may erode hegemonic rhetorical structures, and tools to generate transnational spaces of resurgence.
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Tisser la résurgence à travers le wampum comme approche rhétorique décoloniale de certaines œuvres de Nadia Myre

Benoit-Pernot, Claire-Hélène 12 1900 (has links)
La création artistique autochtone est indissociable des luttes politiques. Dans un contexte colonial, les modes d’être, d’agir et de penser Autochtones sont profondément affectés. L’art est une arme puissante dans cette lutte pour la décolonisation. Cette étude s’intéressera ainsi au potentiel de transformation et de décolonisation de la création artistique autochtone, à travers la pratique artistique de l’artiste Algonquine Nadia Myre. Plusieurs de ses œuvres adressent la mixité identitaire et la violence coloniale subie par les Autochtones. Indian Act (fig.1) dénonce, à l’aide d’une réécriture perlée traditionnelle et participative, un texte de loi colonial qui a conduit à une injustice épistémique profonde. Pour adresser ces problématiques, nous nous ancrerons sur un objet particulier, le wampum. Dans cette recherche, nous le considérerons comme un vecteur de résurgence et de décolonisation profondes. La position socio-politique ancienne et contemporaine essentielle du wampum en fait un support didactique privilégié de résurgence. Grâce à l’utilisation du motif du wampum dans la pratique artistique de Nadia Myre, nous pourrons cheminer à travers ces luttes et comprendre comment les artistes Autochtones les engagent. Le wampum sera présenté comme une rhétorique discursive, matérielle et immatérielle, un hypertexte, un hyperlien (Haas 2007) entre tradition et modernité, oralité et écriture, qui sera supportée par la théorie de l’intermédialité. Jacques Derrida et la Déconstruction seront également convoqués pour examiner le travail de réécriture effectué par Myre dans Indian Act. Il s’agira également de comprendre comment la proposition participative de Nadia Myre pourrait permettre un engagement allochtone vers une justice épistémique décoloniale. / Aboriginal artistic creation is inseparable from political struggles. In a colonial context, Aboriginal ways of being, acting and thinking are deeply affected. Art is a powerful weapon in this struggle for decolonization. This study will therefore focus on the transformative and decolonizing potential of Aboriginal artistic creation through the artistic practice of Algonquin artist Nadia Myre. Several of her works address the mixed identity and colonial violence suffered by Aboriginal people. Indian Act (fig.1) denounces, through a traditional and participatory beaded rewriting, a colonial law that has led to a profound epistemic injustice. To address these issues, we will focus on a specific object, the wampum. In this research, we will consider it as a vector of deep resurgence and decolonization. The essential ancient and contemporary socio-political position of wampum makes it a privileged didactic support of resurgence. Through the use of the wampum motif in Nadia Myre's artistic practice, we will be able to walk through these struggles and understand how Aboriginal artists engage them. Wampum will be presented as a discursive rhetoric, material and immaterial, a hypertext, a hyperlink (Haas 2007) between tradition and modernity, orality and writing, which will be supported by the theory of intermediality. Jacques Derrida and the Deconstruction will also be convened to examine the rewriting work done by Myre in Indian Act. It will also be a question of understanding how Nadia Myre's participatory proposal could enable an allochtonous engagement towards decolonial epistemic justice.
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Expérience artistique d'une jeunesse atikamekw : l'art comme médiation favorisant le dialogue et la communauté comme lieu d'affirmation identitaire

Basile-Martel, Sonia 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Ce mémoire porte sur les apprentissages pouvant émerger d’une expérience artistique basée sur le partage, la rencontre, la réflexion et le dialogue entre une artiste intervenante et des adolescents de sa communauté autochtone d’appartenance. Plus précisément, cette recherche ethnographique à caractère autoethnographique tente de démontrer de quelles façons l’art communautaire, au cœur d’une démarche réflexive, peut contribuer à l’affirmation identitaire d’une jeunesse atikamekw.

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