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La compilation, un outil paradoxal de valorisation des films muets recyclés par Peter Delpeut et coproduits par le Nederlands Filmmuseum [1989-1999]

Fernandez Escareño, Itzia Gabriela 27 April 2009 (has links) (PDF)
La recherche interroge la valorisation des archives du Nederlands Filmmuseum [NFM] à partir du travail de compilation du cinéaste Peter Delpeut. Ce corpus de dix films [1989-1999] se situe à cheval entre deux ambitions qui ne sont pas toujours compatibles, entre une volonté d'archiviste de rendre accessible des films muets [1895-1931] parfois de simples fragments, en restituant leur couleur, en créant une sonorisation et une quête artistique, plus personnel et liée à un cinéaste. Convoquant des sources audiovisuelles mais également écrites et orales, il s'agit d'abord de se demander comment le NFM en vient à produire ces compilations afin de mettre en valeur ses collections, de tracer l'histoire de cette cinémathèque et de suivre la trajectoire de Delpeut, en somme de comprendre la rencontre entre cet homme riche d'une expérience de recherche, de critique et de réalisation et une institution en plein bouleversement de sa philosophie dans les années 1990. Le questionnement s'oriente ensuite sur le processus de fabrication lui-même et de la façon dont fonctionnent ces compilations en vue de montrer comment elles sont prises en tension entre le sensoriel et l'analytique, étant au-delà et en deçà d'une stricte valorisation des films muets du NFM. La dernière partie interroge les usages des compilations, la manière dont elles sont liées à la politique de programmation du NFM, comment elles affectent la dynamique de l'institution et du cinéaste, mais aussi comment elles sortent du cadre de la cinémathèque, évaluant à chaque fois les apports et les limites en terme de transmission d'un patrimoine cinématographique.
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La construction idéologique de la culture populaire comme une identité pour le cinema brésilien (1950-1975) : une synthese dialectique entre la chanchada et le cinema novo

De Oliveira, Joao Alves 25 October 2013 (has links) (PDF)
Ce travail porte sur la construction idéologique de la culture populaire dans les comédies brésiliennes, musicales ou pas, et dans le cinéma novo de la période 1950-1975.Il analyse la façon dont ces comédies (la chanchada), influencées par l'idéal d'une nation hétéroclite mais unique instauré par Getúlio Vargas ont représenté la culture populaire comme une idéologie des classes subalternes. Utilisant le concept de carnavalisation, ces films populaires, influencés par la radio, le théâtre de revue et le cirque, mettaient le monde à l'envers en essayant de corriger les injustices sociales dont étaient victimes les pauvres. Souvent décriées et considérées comme légères et aliénées, elles étaient beaucoup plus critiques que l'on ne disait, ainsi que le démontre cette recherche.En partant du principe que le cinéma novo est le corollaire des débats sur la quête d'une identité pour le cinéma brésilien tenus au cours des années 1950, période très influencée par le Parti Communiste Brésilien, ce travail analyse les trois phases différentes du mouvement. Durant la première, la culture populaire fut construite comme l'opium du peuple et les cinéastes ayant utilisé leur propre monde comme modèle de représentation de la culture populaire. Les films, très autoréflexifs, cherchaient à éveiller la conscience critique des pauvres et à les aider à sortir de l'aliénation. La deuxième, survenue après le putsch militaire de 1964, plongea les cinéastes dans le passé afin de comprendre les erreurs de la gauche et les raisons de sa défaite. Ensuite, la recherche analyse la troisième phase du mouvement quand les cinéastes furent amenés, par un gouvernement libéral qui considérait le cinéma comme un produit marchand qui devait s! e réaliser sur le marché, à changer de voie et à réaliser des films tournés vers le grand public. A ce titre, les films de cette phase, aux formes plus simples, dialoguèrent avec les chanchadas afin de finalement atteindre le peuple, sans jamais renoncer au cinéma d'auteur
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La figure de l'enfermement comme modèle tragique dans la dramaturgie contemporaine colombienne

Camacho lopez, Sandra 08 November 2010 (has links) (PDF)
Avec la dramaturgie colombienne des trente dernières années, nous nous trouvons devant deux itinéraires qui semblent s'entrecroiser, ou mieux, se superposer : le réel, qui correspond au contexte socio-politique colombien et le fictionnel, qui nous permet d'entrevoir un paysage de fiction singulier se dessiner à travers certaines pièces contemporaines colombiennes. Cet entrecroisement entre le réel et le fictionnel nous amène à la figure récurrente de l'enfermement. Nous assistons à la représentation d'un monde où les prisons n'ont plus de barreaux, où l'enfermement est présent au quotidien. Sur scène les personnages sont clôturés leurs espaces physiques et métaphoriques, intérieurs ou extérieurs, qui leurs interdisent toute possibilité d'issue et de conciliation entre les forces opposées qui maintiennent leurs conflits. L'enfermement conduit donc les personnages au sentiment tragique, à la perte du monde et de soi, c'est-à-dire que le tragique perd dans ces pièces le sens transcendant de l'humain. D'où les questions initiales dont nous sommes partis : comment l'enfermement dans un espace dramatique contemporain nous permet-il de retrouver le tragique ? Et où va ce tragique, aujourd'hui, quand la tragédie n'existe plus ? Cette forme actuelle du tragique ne pourrait-elle pas être une nouvelle façon de retrouver l'essence de la tragédie et le " sens de l'humain " ? Ce sont ces interrogations qui donnent leurs lignes directrices à notre recherche.
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La poursuite au cinéma : pérennité d'une forme esthétique

Marcel, Philippe 26 June 2009 (has links) (PDF)
La poursuite est une figure qui accompagne le cinéma depuis ses débuts jusqu'à en devenir, presque, la forme archétypale. Elle a constitué le principal mode de linéarisation des formes courtes du cinéma des premiers temps et reste un mode habituel de structuration des grands récits. Présence et absence de poursuites, existence sous des formes apparentées telles que la filature ou la déambulation, sont des éléments de caractérisation des films particulièrement intéressants. Leurs conditions d'élaboration et de réception sont à replacer dans leur contexte et à étudier dans une perspective d'une histoire des formes. Observer la place qui est donnée à la poursuite par quatre réalisateurs français, d'époques différentes, Louis Feuillade, René Clair, Jean-Pierre Melville et Philippe de Broca, conduit à mettre en évidence sa pérennité. L'analyse comparée de sa mise en scène chez ces cinéastes que tout, parfois, semble opposer, permet d'utiliser la poursuite comme un critère de distinction pour mettre en évidence la valeur symbolique et la signification intrinsèque de cette figure, tant comme forme esthétique que comme forme anthropologique.
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La pratique théâtrale dans l'Allemagne de la seconde moitié du dix-huitième siècle (1760 - 1805)

Valipour, Valeska 24 January 2011 (has links) (PDF)
L'Allemagne du dix-huitième siècle est composée de plus de 300 petits pays se différenciant en ce qui concerne la politique, la religion et la langue. S'y ajoutent des territoires qui ne sont pas allemands, mais sous influence de la culture germanophone.Cette étude analyse alors un territoire qui s'étend de l'Alsace jusqu'en Russie et des pays scandinaves jusqu'en Suisse. Embourbés dans des guerres territoriales, les souverains ne montrent que peu d'intérêt pour le théâtre, et si oui, uniquement pour l'opéra italien et le théâtre français. Au début du siècle, le théâtre professionnel allemand est surtout influencé par le théâtre anglais et un peu par la comédie italienne.Le statut social des acteurs est très mauvais. C'est surtout la bourgeoisie qui se méfie d'eux. A partir des années 1730, sous influence du théâtre français, le théâtre allemand s'émancipe. Dans la seconde moitié du siècle, il devient le moteur del'embourgeoisement de la société. Les actrices se sont beaucoup investies dans cette évolution, non malgré, mais en raison de leur statut social particulièrement mauvais. Longtemps, seules les gender studies se sont intéressées à cette période de l'histoire théâtrale. Une de leurs théories de base définit l'homme et la femme comme deux groupes sociologiques distincts. Cette théorie a été reprise, sans en questionner lavalidité pour l'histoire théâtrale. C'est le point de départ de cette étude, qui compare les vies de plus de 400 actrices et acteurs de l'époque. De nombreux aspects de la vie privée et professionnelle y sont abordés : famille, carrière, finances, situation juridiqueet fréquentations. Ce mémoire démontre que le milieu théâtral de l'époque peut effectivement être divisé en deux groupes : les comédiens ayant grandi au théâtre et ceux y étant arrivés plus tard. En effet, la distinction générale de l'homme et de la femme ne peut être appliquée au théâtre allemand qu'à partir de la fin du dix-huitième siècle.
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La rencontre de l'Autre dans le théâtre français de la Saint-Barthelémy à la Révolution française : enjeux politiques et philosophique (XVIIème-XVIIIème siècles).

Boulaire, Vanessa 28 May 2013 (has links) (PDF)
Les Grandes Découvertes de la Renaissance amènent les Européens à rencontrer de nouveaux peuples dont l'apparaître, les croyances et les modes de vie sont si éloignés, qu'ils vont incarner ensemble l'Autre absolu : le négatif, l'antagoniste de l'Européen blanc et chrétien d'alors. Le théâtre va offrir la possibilité à tous ceux qui ne voyagent pas de rencontrer cet Autre et c'est cette rencontre que nous étudions ici, dans le répertoire du théâtre français, car elle est non seulement une situation dramatique par nature, mais elle va également se faire anthropologique puisqu'elle joue à convoquer d'autres continents sur scène. Toutefois le théâtre n'est qu'artifice et sur scène, l'Autre n'est pas réel puisque créé par des dramaturges français, joué en français par des acteurs français et pour un public français. Nous nous proposons d'étudier cette rencontre depuis la Saint-Barthélemy jusqu'à la Révolution Française, deux événements névralgiques de l'Histoire de France, qui ont à voir avec la violence de l'altérité religieuse et de l'altérité sociale et qui correspondent à deux périodes de renouvellement de l'art dramatique. Nous nous interrogerons donc sur l'identité de cet étrange étranger, si éloigné socialement, politiquement et géographiquement et sur la manière dont le théâtre s'empare de cet Autre si spectaculaire. Les personnages exogènes devenant sur scène de véritables figures à facette, nous poserons la question de savoir si la démarche n'est pas en réalité d'aller au devant de l'Autre dans le seul but de l'interroger sur ce qu'il est pour se définir soi-même. Si l'Amérindien est sauvage, n'est-ce pas pour se conforter sur le fait d'être civilisé ? Si le More est cruel, n'est-ce pas pour se rassurer sur le fait qu'on ne l'est pas ? L'Autre ne sert-il pas en réalité qu'à parler de soi ?
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Peut-on enseigner la présence scénique? Delphine Eliet, une pédagogue à la croisée des théories de l'art du jeu qui ont marqué le XXème siècle théâtral

Irubetagoyena, Keti 18 November 2013 (has links) (PDF)
La présence scénique est une notion complexe du jeu de l'acteur. Pomme de discorde, elle fait s'affronter, schématiquement, les partisans du don et ceux de la technique, les défenseurs de l'énergie contre les stratèges de la réception spectatrice. Il est pourtant une évidence : il ne peut y avoir de présence scénique en soi. Constantin Stanislavski parle d'un " charme scénique " à l'origine d'un " enchantement ", d'une " emprise sur l'auditoire "1 . La présence de l'acteur est décrite comme un pouvoir que ce dernier a sur les sens des spectateurs - pouvoir voilé du mystère dont les mots " charme " et " enchantement " sont empreints. L'acteur n'est présent que dans la réception qu'a le spectateur de sa performance, un truisme, certes, mais qui n'est pas sans conséquences. Sans nier l'évidence d'un don chez les acteurs que l'on dit nés, peut-on considérer la possibilité d'une présence scénique qui, en tant que coprésence, puisse faire l'objet d'une construction ? Partant de l'analyse spectatrice et pratique de la pédagogie de Delphine Eliet à l'École du Jeu, hypothèse est faite qu'une présence scénique pourrait être construite par l'acteur au moyen d'un usage conscient et maîtrisé de cet ici et maintenant qui fait du théâtre un art vivant dont il est l'agent fondamental, usage touchant tous les niveaux du jeu, du muet être-là au projet artistique le plus complet. 1-Cf. STANISLAVSKI, Constantin, La Construction du personnage, traduit de l'anglais par Charles ANTONETTI, Éditions Pygmalion - Gérard Watelet, 1988, pp. 275-176.
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Cinéma d'auteur et doublage : le paradoxe Woody Allen

Brisset, Frédérique 27 November 2012 (has links) (PDF)
Le doublage, mode de TAV le plus répandu en France, est peu étudié par les chercheurs, pour diverses raisons : difficulté matérielle à saisir la parole orale, dévalorisation culturelle d'un mode né de la volonté des studios américains de toucher un public de masse, impossibilité d'assigner au film un auteur dans une production collective. Mais un cinéma d'auteur existe, en marge du système hollywoodien et donc peu représenté aux États-Unis. Woody Allen, cinéaste américain indépendant des majors, est un cas à part : il a su préserver son autonomie artistique tout en usant de réseaux internationaux de diffusion pour s'assurer une véritable reconnaissance en France, grâce aux VOST et VD de ses films. Cinéma d'auteur et doublage sont pourtant antinomiques : l'un s'adresse à un public élitiste, l'autre s'avère ontologiquement lié à une diffusion de masse. Au cœur de ce paradoxe, la mise en français des films d'Allen doit osciller entre deux pôles, l'un tourné vers la parole de l'auteur, l'autre vers la facilitation du travail du spectateur. On étudie ici comment le doublage a pu négocier en diachronie les contradictions de cette situation et quelle place l'auteur occupe encore en VD. L'approche se fonde sur les théories de la réception et les concepts d'Auteur et Spectateur Modèle qui permettent d'appréhender le fonctionnement des diverses instances en jeu dans le contrat de spectature. Basée sur un corpus de 9 comédies couvrant différents genres abordés par Allen en 30 ans, cette étude descriptive et contrastive compare les VO des films, les traductions éditées en français et les VD en utilisant les outils traductologiques de la théorie bermanienne des tendances déformantes.
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Christoph Willibald Gluck 1774-1779 : vers un style universel ? : Contribution à l'analyse d'Iphigénie en Aulide, Armide, Iphigénie en Tauride, Echo et Narcisse

Garde, Julien 13 December 2013 (has links) (PDF)
Lorsque Christoph Willibald Gluck (1714-1787) arrive à Paris à l'automne 1773, onze ans se sont écoulés depuis la création d'Orfeo à Vienne. La rupture avec l'opera seria a été consommée, et le développement des théories de la " réforme " initiées par la collaboration avec Calzabigi s'engage résolument dans la recherche d'un drame européen. Il serait cependant erroné de scinder la carrière du compositeur entre un " avant " et un " après " Orfeo, car l'œuvre de Gluck se définit comme l'épanouissement permanent des premières idées dramatiques appliquées dans ses premiers opéras italiens. Gluck établit sa " réforme " à partir de l'expérience sensible et pratique, questionnant en réalité l'ensemble des genres musicaux européens non pas sur leur légitimité, mais sur ce qu'ils offrent de possibilité d'émancipation. Cette étude s'intéresse aux œuvres françaises dans ce qu'elles développent d'autonomie et d'épanouissement musicaux à partir, étonnamment, du recul pris par rapport à l'indépendance de la musique, et grâce aussi à l'émergence dans l'Europe des Lumières d'une esthétique fondée sur la réunion et la liaison entre les arts. Il s'agit de proposer une contribution à l'étude musicale des dernières partitions certes prises comme autant d'éléments du langage gluckiste, mais également envisagées à partir des suggestions originelles des premières œuvres et, dans la mesure du possible, face aux discussions et polémiques sur la musique et l'opéra de l'époque. Les drames parisiens élucident dès lors le concept de langage universel dont le compositeur se réclame lui-même.
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De la mesure à la démesure vers le dionysiaque : une étude de l'excès dans l'oeuvre du chorégraphe et cinéaste flamand Wim Vandekeybus : sous l'angle de l'intermédialité et de l'importance grandissante de la visualité

Heidelberger, Aurore 04 December 2012 (has links) (PDF)
Wim Vandekeybus est l'un des chorégraphes majeurs de la nouvelle danse belge. Nous proposons à travers cette étude d'analyser son Œuvre sous l'angle de la démesure. Nous nous sommes attachés à un corpus limité d'œuvres appartenant à son travail chorégraphique et cinématographique. La fougue chorégraphique de ses débuts transparaît-elle toujours dans ses pièces les plus récentes comme Blush ou Sonic Boom, où la place de la narration est réévaluée ? Tout d'abord, nous nous sommes focalisés sur la violence du propos chorégraphique. Une temporalité de l'urgence ordonne les actions des interprètes. Les rapports humains sont eux-aussi emprunts d'une certaine tension, notamment les rapports hommes/femmes. Puis, nous nous sommes penchés sur les obsessions du chorégraphe, à la recherche d'un corps au comportement instinctif. La mise en scène d'un corps exacerbé, poussé jusque dans ses retranchements prédomine. Outre une recherche chorégraphique, Wim Vandekeybus s'intéresse à la création d'une image scénique, obtenue par les éclairages ou l'intrusion d'un écran de projection cinématographique. Au contact du médium audiovisuel le corps se déchaine et atteint un état dionysiaque. Le corps filmé dans Blush détient la même force, la même énergie excessive, qui caractérise sa scène. Enfin, la réintroduction du verbe, par les diverses collaborations avec des auteurs contemporains, comme Peter Verhelst, P. F. Thomèse ou Jan Decorte exacerbe les passions et ne conduit point à un assagissement du corps, ni même du propos chorégraphique.

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