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Les collections d’estampes en Europe (v. 1450-v. 1610) / Print Collecting in Europe (ca. 1450-ca. 1610)

Gallian, Nastasia 07 December 2019 (has links)
La naissance des collections de gravures constitue un phénomène mystérieux, qui ne peut être ni daté, ni localisé avec une précision absolue. Les premières manifestations remontent au milieu du XVe siècle, à une époque où les estampes sont collectées dans le but d’être collées dans des textes manuscrits ou imprimés. À partir des années 1470-1480, ces pratiques archaïques sont relayées progressivement par une approche proprement moderne des collections de gravures, qui se diffusent alors dans toute l’Europe, jusqu’à être largement répandues dans certaines couches de la société au moment où l’on bascule dans l’âge baroque. Plusieurs types d’ensembles coexistent à cette époque. Les collections d’amateurs tels que Fernand Colomb, Willibald Imhoff ou Abraham Ortelius témoignent d’une affinité particulière pour l’art de l’estampe et mettent en place les premiers outils pour sélectionner, conserver et classer les gravures. De nombreux princes, tels que Ferdinand de Tyrol et Philippe II d’Espagne, s’intéressent également à ces œuvres, auxquelles ils consacrent une section dans leurs collections encyclopédiques ou leurs bibliothèques. D’autres collections, à but utilitaire, émergent également à cette période. On trouve ainsi des fonds d’estampes dans de nombreux ateliers d’artistes et d’artisans, où elles sont employées pour former les apprentis et servir de modèles ou de supports à la création. Les érudits s’emparent également des gravures et constituent des fonds documentaires spécialisés en histoire, géographie et sciences naturelles. Cette grande diversité dans les pratiques est une des caractéristiques essentielles des premières collections d’estampes. / The origins of print collecting are ill documented and cannot be dated nor located with certainty. The early signs can be traced back to ca. 1450, when prints were collected to be pasted in manuscripts and printed books. From the 1470s-1480s onwards, these archaic practices tended to be replaced by modern collecting. It then spread throughout Europe and became a common practice at the dawn of the Baroque era. There are several types of print collectors at that time. Enthusiasts and connoisseurs such as Ferdinand Columbus, Willibald Imhoff and Abraham Ortelius created special methods for selecting, storing and classifying high quality engravings and woodcuts. Ferdinand of Tyrol, Philip II of Spain and others princes gathered prints in their encyclopedic collections and libraries. Other collectors were interested in using them as sources. Artists and craftsmen kept prints to train apprentices and use them as models and tools in the creative process. Scholars purchased them for their subject-matter and used them as historical, geographical, and scientific documents. This wide range of practices is maybe what define the most early print collecting.
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La pratique du graphisme d'auteur par le roman graphique : exploration de l'identité féminine

Garand, Marie 17 April 2018 (has links)
En sondant la pratique du graphisme d'auteur et le roman graphique, ce mémoire définit une zone convergeant entre le design graphique, les arts visuels et la création littéraire. Il présente deux points de vue : un panorama informatif du graphisme d'auteur et du roman graphique accompagné d'un regard réflexif sur ma pratique de graphiste auteur. Le contexte de ma recherche porte sur l'exploration de territoires identitaires féminins à travers les concepts de fragment, de mémoire, d'autofïction et de monoparentalité. La problématique de recherche est issue de cette question : le graphisme peut-il être utile socialement et servir à améliorer une communauté ? Cette volonté d'engagement social a donné naissance à un projet de praticienne en graphisme d'auteur : l'écriture et l'illustration d'un roman graphique dans lesquelles je prends position en livrant une vision personnelle et positive de la monoparentalité.
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Les Voies du dessin : statut et redéfinitions du dessin dans les avant-gardes occidentales des années 1950-1960 / Graphic paths : the status of drawing in western avant-garde movements of the 1950s and 1960s

Daniel, Hugo 28 November 2015 (has links)
L’absence du dessin des histoires de l’art des années 1950-1960 interroge, alors même que des signes de reconnaissance de la part d’artistes comme Rauschenberg, Hesse, Tinguely,Twombly, Beuys, ou Lebel et d’autres acteurs ont pu être observés.Le dessin doit être défini à partir de ses opérations et compris dans sa relation aux autres médiums. Il est donc considéré comme pratique. En mettant en oeuvre une histoire matérielle, culturelle et sociale de l’art, qui s’appuie sur les dessins eux-mêmes, des documents d’archive et des entretiens avec des acteurs de la période, il s’agit de saisir les relations qui font vivre le dessin.Il s’agit d’appréhender la reconnaissance du dessin et sa redéfinition, entre les interrogations des artistes, les évolutions des critiques et les projets des galeristes et commissaires d’exposition pour montrer comment le dessin se comprend comme une réalité complexe, en acte. Le dessin se redéfinit également comme un moyen de manipuler des images qui deviennent pléthoriques. L’histoire de la psychiatrie confère à la pratique du dessin une valeur expérimentale rarement égalée dans l’histoire de l’art. Cette pratique expérimentale découle de son association à la pensée et met au jour une continuité insoupçonnée dans la période. Qu’il s’agisse d’en renforcer l’assimilation à une « origine de l’art », d’en faire la matrice d’un regard et d’une méthode artistique plus générale, ou le lieu marginal d’une expérience spécifique, la pratique du dessin se comprend dans un éventail large de ses réalités. / Drawing is hardly studied in works of art history focusing on the 1950s and 1960s. This fact is all the more surprising that many artists, such as Rauschenberg, Hesse, Tinguely, Twombly, Michaux or Lebel, but also critics, gallerists and curators took notice of the medium at that time.Drawing must be defined according to its operations and analyzed in its relationshipwith other media. It is approached as a practice. This project is based on a material, culturaland social understanding of art history, it relies on the study of drawings, but also on archive documents and interviews with major figures of the period. From the working process of artists, to the changing discourses of critics and therenewed interest of curators and gallerists, drawing is redefined as a complex object. It allows artists to deal with the flow of images that characterizes the 1950s and 1960s. It also takes on an experimental quality because of its association to the thought process. Psychiatrists andartists have used the practice of drawing to better understand the mind. Whether it is used as an origin of art or as a marginal space implying specific experiences, drawing in the 1950sand 1960s is multi-faceted and is studied as such.

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