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Les jardins collectifs en milieu urbain : espaces d'éducation relative à l'éco-alimentation

Legault, Anne-Marie 04 1900 (has links) (PDF)
Dans un contexte où les problématiques socio-écologiques relatives au système agroalimentaire mondial sont de plus en plus reconnues, plusieurs citoyens cherchent des alternatives permettant d'effectuer un virage vers une éco-alimentation, soit une alimentation saine (diversifiée et sécuritaire), produite, distribuée et consommée dans le respect des processus écologiques et de l'équité des rapports sociaux. Afin de favoriser ce changement radical de culture alimentaire, le champ de l'éducation relative à l'environnement (ERE) axé sur le lien entre les humains et les écosystèmes qui les nourrissent à travers l'alimentation apparaît comme l'une des avenues essentielles à favoriser. Parmi les initiatives ayant émergé dans le but de favoriser l'accès à des ressources alimentaires saines, abordables et locales en milieu urbain où habitent aujourd'hui plus de 50% de l'humanité, l'agriculture urbaine (AU) a gagné en popularité depuis quelques années. Montréal, n'échappant pas à cette tendance mondiale, voit se multiplier diverses formes de culture potagère urbaine, dont l'une, particulièrement dynamique et issue du milieu communautaire, appelée le jardin collectif. Organisé autour d'une parcelle unique cultivée collectivement par un groupe de jardiniers, le jardin collectif urbain peut être porteur d'une mission éducative. Une telle mission reste toutefois le plus souvent implicite, méconnue et peu systématisée. Cette étude, réalisée à partir de deux études de cas menées dans des quartiers aux réalités contrastées de Montréal, a permis d'explorer des initiatives de jardins collectifs portés par des organismes communautaires sous l'angle de leur contribution à l'éducation relative à l'éco-alimentation. À partir d'un ensemble intégré de stratégies de collectes de données, cette recherche permet de présenter ces deux jardins collectifs urbains comme des projets d'éducation ancrés dans le lieu et l'action, où la production alimentaire devient une porte d'entrée privilégiée pour l'apprentissage du vivre-ensemble, l'acquisition de valeurs partagées et des principes à la base d'une éco-alimentation. Parfois structurée, souvent informelle, l'éducation y est vécue comme un processus fluide et évolutif au potentiel multidimensionnel et holistique. Le jardin collectif urbain permet également l'acquisition d'une multitude de savoirs ainsi que la mise en place d'approches et de stratégies novatrices qui laissent une grande place à la créativité et à l'autonomie des participants. En contribuant, même à petite échelle, à la reconstruction des relations individus-communauté-environnement au cœur des quartiers où ils sont localisés, les jardins collectifs deviennent des projets éducatifs comportant des dimensions critique et politique qui gagneraient à être davantage mises en valeur et conscientisées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : agriculture urbaine, jardins collectifs urbains, éco-alimentation, éducation relative à l'environnement, représentations sociales, dimensions critiques et politiques.
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François Bon : la fabrique du présent

Lepage, Mahigan 12 1900 (has links) (PDF)
Le travail littéraire de l'auteur contemporain François Bon (né en Vendée en 1953) reçoit une attention critique grandissante, en particulier dans les universités. Il semble pourtant qu'il fasse l'objet de certains malentendus. « Réaliste », « engagée », l'écriture de Bon aurait aussi une visée « mémorielle ». À l'encontre de ces idées reçues, la présente thèse affirme la prédominance d'une esthétique de l'immédiat présent. Alors que, depuis une dizaine d'années, on redécouvre l'hétérogénéité de la temporalité moderne, caractérisée par la coprésence du passé, du présent et du futur, certaines pratiques artistiques contemporaines, dont l'art narratif de Bon est un très bon exemple, concentrent plutôt leur attention sur le seul présent. L'immédiat présent n'étant pas donné immédiatement, il y a à le construire au moyen des mots et des formes. C'est ce travail de construction qu'il s'agit ici d'interroger. Le problème tient à la discontinuité irréductible de l'immédiat présent, c'est-à-dire à l'alternance qu'il impose entre « venue » et « retrait » (Heidegger). Si l'art de la prose réside dans la fabrication du continu (Goux), comment dès lors faire récit d'un temps fondamentalement disjoint? Pour explorer cette question, on parcourra l'essentiel des écrits de Bon de Sortie d'usine (1982) aux expériences numériques les plus récentes, en analysant d'abord les usines et les garages (première partie), puis les paysages (deuxième partie), enfin les villes (troisième partie). Il s'agira chaque fois de révéler les cohérences intrinsèques (inscrites à l'intérieur des textes) et extrinsèques (les rapports qui s'établissent d'un texte à l'autre) de l'écriture du présent de Bon. Tout du long, on mesurera la portée politique de cet effort esthétique qui vise à la réappropriation de la surface temporelle du monde où se joue le plus immédiat de nos pratiques sociales contemporaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : François Bon, Temps, Présent, Esthétique, Récit, Contemporain.
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Le code source informatique comme artefact dans les reconfigurations d'Internet

Couture, Stéphane 12 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse en communication porte sur le code source informatique. Le code source est l'objet de la programmation informatique et peut être défini comme un ensemble de commandes informatiques humainement lisibles, « écrites » dans un langage de programmation de haut niveau (Krysia et Grzesiek, 2008). Depuis quelques années, le code source fait l'objet d'une signification sociale et politique grandissante. Le mouvement du logiciel libre place par exemple au cœur de sa politique le libre accès au code source. Ce mouvement a d'ailleurs permis l'émergence de nombreux collectifs articulés autour de la fabrication collective du code source. Si plusieurs études se sont attardées aux différents aspects de ces collectifs et aux usages des technologies numériques en général, force est toutefois de constater que le code source reste un objet remarquablement négligé dans les études en communication. L'objectif principal de cette thèse est donc d'aborder frontalement l'artefact code source, en répondant à cette question centrale de recherche : qu'est-ce que le code source et comment cet artefact agit-il dans les reconfigurations d'Internet? Notre problématique s'articule selon trois axes. D'abord, le constat de la signification sociale et politique grandissante du code source, qui s'exprime notamment dans un discours faisant du code source une forme d'expression. Ensuite, la manière dont, pour certains auteurs, le code informatique agit à la manière d'une loi en prescrivant ou limitant certains comportements. Finalement, un dernier axe concerne les rapports d'autorité et le travail invisible dans la fabrication du code source. Sur le plan théorique, notre étude se situe à l'intersection du champ « Science, technologie et société » (STS) et de celui des études en communication. Elle s'appuie largement sur les travaux récents de Lucy Suchman (2007) qui cherchent à poser le regard sur des dynamiques de reconfigurations mutuelles et permanentes des relations entre humains et machines. Notre étude mobilise également certains travaux français se situant en continuité de la théorie de l'acteur-réseau, et s'attardant au travail nécessaire à la stabilité et la performativité des artefacts. D'un point de vue méthodologique, notre étude prend comme terrain SPIP et symfony, deux logiciels qui ont en commun d'être utilisés comme infrastructures dans le fonctionnement de nombreux sites web interactifs, souvent désignés sous l'appellation « web 2.0 ». Les deux logiciels sont originaires de France et continuent de mobiliser un nombre significatif d'acteurs français. Ces projets se distinguent par les valeurs mises de l'avant, plus militantes et non commerciales dans le cas de SPIP, plus professionnelles et commerciales dans le cas de symfony. La langue utilisée dans l'écriture du code source est également différente : français pour SPIP, anglais pour symfony. L'enquête combine l'analyse de documents et de traces en ligne, des entretiens semi-dirigés avec les acteurs des projets, de même que l'observation de différentes rencontres entre les acteurs. Notre étude fait tout d'abord clairement ressortir une certaine ambiguïté entourant la définition de la notion du « code source ». Alors que le code source est souvent appréhendé comme un « texte », « que l'on écrit », l'analyse des définitions plus formelles, ou encore de l'objet désigné par les acteurs par le terme de « code source », montre que cet objet renvoie souvent à différents types de médias, comme des images, et même des artefacts qui ne sont pas directement destinés au fonctionnement des ordinateurs. À l'instar des propos de certains acteurs, nous croyons que la définition de ce qui constitue le code source revêt même une dimension politique, dans ce sens qu'elle tend à valoriser certains types d'activités plutôt que d'autres. L'analyse du processus de fabrication collective du code source dans les deux projets montre également des différences importantes au niveau de l'organisation du code source, de même que dans la mise en œuvre des normes et des « autorisations » d'écriture dans chacun des projets. Ces différences s'articulent avec les valeurs des projets et participent d'une certaine configuration du type d'acteur destiné à interagir avec telle ou telle partie du code source. En conclusion, nous insistons sur le fait que le code source ne doit pas seulement être appréhendé comme étant le noyau des infrastructures d'information. Il doit aussi être appréhendé, dans une perspective communicationnelle et sociologique, comme un artefact à travers duquel des acteurs humains entrent en relation entre eux pour reconfigurer le monde socionumérique au sein duquel ils et elles sont engagés. Suivant l'approche de Suchman, nous proposons donc d'appréhender le code source comme une interface, ou une multiplicité d'interfaces, dans les reconfigurations d'Internet, en insistant sur la manière dont le design de ces interfaces entraîne certaines conséquences, en particulier en privilégiant la participation de certains acteurs plutôt que d'autres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : code source, logiciels libres, artefacts, études STS, reconfigurations humain-machine.
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Métatechnologies et délégation : pour un design orienté-société dans l'ère du Web 2.0

Rieder, Bernhard 23 November 2006 (has links) (PDF)
Dans ce texte, nous utilisons le concept de délégation pour problématiser le rapport homme-machine sous l'angle du pouvoir et du contrôle. Certaines nouvelles technologies, dont ces logiciels que nous avons appelé « métatechnologies », qui filtrent, structurent, organisent et fusionnent des flux d'information et de communication, réalisent – de manière automatique – un travail qui s'approche de celui des média de masse. A travers l'analyse d'une série d'exemples, nous montrons en quel sens ces dispositifs informatiques mélangent théories sociales et théories techniques afin de remplir des fonctions toujours plus culturelles. Partant de ce constat, nous argumentons que l'hybridation entre culture et technique nous force à reconsidérer nos méthodes de développement du logiciel afin de les ouvrir vers une pratique critique de la technique.
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Les comités nationaux d'éthique en science et technologie : au coeur d'une nouvelle forme de démocratie? Analyse de la Commission de l'éthique de la science et de la technologie du Québec (2001-2003) /

Caillé, Geneviève, January 2005 (has links)
Thèse (D. en sociologie)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [479]-504. Publié aussi en version électronique.
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Pluralism and race/ethnic relations in Canadian social science, 1880-1939

Bellay, Susan. January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
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Une théorie libertarienne de la propriété: défense d'un libertarisme à visage humain

Freson, Max January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Clé d'ouverture sur le monde ou langue de Lord Durham? Analyse de cadrage du débat public sur l'enseignement intensif de l'anglais, langue seconde, au Québec

Hébert, Virginie 27 October 2020 (has links)
Cette thèse étudie le rôle joué par le mythe de l’anglais, langue universelle dans le cadrage du débat sur l’enseignement intensif de l’anglais au Québec, une problématique liée à l’enjeu sociopolitique de la question linguistique au Québec. Les théories du cadrage suggèrent que les différentes catégories d’acteurs (politiques, médiatiques et citoyens) « cadrent » les évènements en privilégiant certaines définitions des enjeux sociaux, influençant ensuite les perceptions qu’ont les individus de ces enjeux. Toutefois, pour être efficaces et mobilisateurs, les cadres doivent parvenir à « toucher une corde sensible ». Ils doivent faire écho à certains mythes ou récits historiques culturellement partagés (Snow et Benford, 1988). Or, du fait de son hégémonie à travers le monde, des chercheurs qualifient de « mythe » le discours qui fait de l’anglais la langue universelle et affirment qu’il joue un rôle stratégique dans le cadrage des enjeux linguistiques à travers le monde. Considérant le contexte sociolinguistique unique du Québec, où le français et l’anglais cohabitent et se concurrencent depuis longtemps, on peut se demander comment ce mythe influe sur la manière de cadrer ces enjeux. Dans certains débats entourant l’enseignement de l’anglais au Québec, on observe une tension entre deux manières de cadrer l’anglais : certains le décrivent comme une « clé d’ouverture sur le monde », promesse de réussite individuelle et de mobilité socioéconomique ; d’autres, au contraire, le voient comme la « langue de Lord Durham », une langue dominatrice dont l’expansion, particulièrement dans le contexte québécois, menace la langue française et le sentiment identitaire. La thèse porte plus précisément sur le cadrage du débat public ayant entouré l’annonce d’une mesure d’enseignement intensif de l’anglais, entre février 2011 et 2015. Elle pose la question du rôle joué par le mythe de l’anglais, langue universelle dans ce débat. Réalisée selon un devis méthodologique mixte en trois phases, la recherche débute par une enquête historique qui trace la généalogie des cadres ayant balisé les débats sur l’enseignement de l’anglais au Québec. Dans un second temps, une analyse qualitative permet de répertorier et de décrire les mécanismes de cadrage et de raisonnement qui composent les différents cadres. Enfin, une analyse quantitative de contenu automatisée permet de valider leur présence sur un plus vaste échantillon de textes et de mesurer l’ampleur de leur mobilisation. Les résultats soulignent, d’une part, la nature centrale et polarisante de l’enjeu de l’enseignement de l’anglais dans l’histoire québécoise et montrent qu’il constitue le terrain d’un affrontement idéologique dont la signification le dépasse. Si l’on constate une faible dominance du métacadre globalisant, on voit que cette perspective instrumentale et universalisante n’est pas le propre des récents débats, mais qu’elle s’exprime tout au long de la trame historique québécoise. La thèse permet également de constater la force et la résilience du métacadre nationalisant, particulièrement chez les acteurs citoyens, cela même si l’on observe les signes d’un déclin du mythe de l’anglais, langue de Lord Durham. Enfin, elle montre que, dans le débat québécois sur l’enseignement de l’anglais, le mythe de l’anglais, langue universelle procure un effet de résonance culturelle aux cadres qui le mobilisent. Il permet aux acteurs d’ancrer leur argumentaire dans un récit historique largement partagé et véhicule un certain éthos communicationnel. Il fournit ainsi une grille d’évaluation morale de l’enjeu qui permet de légitimer la position dominante de l’anglais dans le monde et, par le fait même, de justifier l’adoption de politiques favorisant son enseignement. Enfin, la thèse répond au besoin, soulevé par certains chercheurs, d'études qui prennent en compte les dimensions culturelle, sociopolitique et idéologique du processus de cadrage (Oliver et Johnston, 2000). Elle contribue de plus à une meilleure compréhension du rôle des mythes dans ce processus et met en lumière les dynamiques de pouvoir qui concourent à l’émergence, à la montée en puissance, puis à la dominance de certains cadres. En outre, la thèse contribue à éclairer la manière dont se construit et s’articule localement le discours sur l’anglais comme langue mondiale. En combinant de façon unique certains concepts et méthodes d’horizons divers, l’approche méthodologique mixte privilégiée permet ainsi de poser un regard multidimensionnel sur un phénomène complexe et difficile à cerner. / This dissertation studies the role played by the Myth of English as the global language in framing the debate on the intensive teaching of English in Quebec; a notion closely related to Quebec's language issue. Framing theories suggest that different actors (political, media and citizens) "frame" events by favoring certain definitions of social issues, which later influence how individuals perceive these issues. However, to be effective and mobilizing, frames must “strike a chord”. They must resonate culturally with shared historical narratives or myths (Snow and Benford, 1988). In this sense, due to its hegemony around the world, some researchers describe the discourse that constructs English as the universal language as a "myth". They also suggest that this myth plays a strategic role in framing linguistic issues around the world. In the unique sociolinguistic context of Quebec, where the French and English languages have coexisted and competed for a long time, we may wonder how this myth influences the framing of linguistic issues. In some debates surrounding the teaching of English in Quebec, we do observe a tension between two ways of framing English: some describe it as a “key to opening up to the world”, a promise of individual success and social mobility; on the other hand, others see it as the "language of Lord Durham", a dominating language whose expansion, particularly in the Quebec context, threatens the French language and the feeling of collective identity. The dissertation focuses on the framing of the public debate surrounding the announcement of a mandatory intensive English program policy, between February 2011 and 2015 in Quebec. It raises the question of the role played by the Myth of English as the global language in this debate. Using a three-phase mixed methods research design, the dissertation begins with a historical survey tracing the genesis of the frames and myths emerging from different public debates on the teaching of English. In a second step, a qualitative analysis allows us to list the different frames and describe framing and reasoning devices that compose them. Finally, a quantitative automated content analysis of documents from sources involved in the debate helps validate and measure the frames’ presence in this public debate. The results underline the central and polarizing nature of the issue of the teaching of English as a second language in Quebec history and show that it represent a terrain for a long-lasting ideological struggle. We observe a weak dominance of the globalizing master frame and we also note that this instrumental and universalizing perspective is not specific to recent debates, but that it is rather expressed throughout Quebec's history. The study also shows the strength and resilience of the nationalizing master frame, particularly among citizens involved in the debate, even though we observe signs of a decline of the myth of English as Lord Durham’s language. Finally, it shows that, in the Quebec debate on the teaching of English, the myth of English as the global language, provides a cultural resonance effect to the frames which mobilizes it. It allows actors to anchor their arguments in a widely shared historical narrative and conveys a certain communication ethos. It thus provides a moral evaluation grid of the issue which makes it possible to legitimize the dominant position of English in the world and, by the same token, to justify the adoption of policies favoring its teaching. The thesis responds to the need, raised by some researchers, for studies that take into account the cultural, socio-political and ideological dimensions of the framing process (Oliver and Johnston, 2000). It also contributes to a better understanding of the role of myths in this process and highlights the power dynamics that contribute to the emergence, the rise in power, and then the dominance of certain frames. In addition, the thesis helps to shed light on the understanding of how discourse on English as the global language is constructed and articulated locally. By uniquely combining certain concepts and methods from various research traditions, the favored mixed methodological approach offers a multidimensional look to the complex phenomenon of framing and helps to better understand its process.
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La tolérance zéro, l'intolérance construit la déviance. L'intervention auprès des toxicomanes judiciarisés, un regard sur le contrôle social

Rassart, Marc 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour visée d'illustrer l'usage politique d'une doctrine, celle de la tolérance zéro pour arriver à démontrer comment elle construit ce qu'elle requiert de combattre : la déviance. C'est en analysant la condition des toxicomanes judiciarisés avec une perspective interactionniste, en portant l'attention non pas sur le criminel ni le crime, mais sur les mécanismes de définition de la réponse sociale au crime. Nous entreprenons de comprendre la trajectoire d'un individu vers la toxicomanie et la délinquance. La boîte à outils du philosophe Michel Foucault est utilisée pour examiner les présupposés et les différentes positions qui s'opposent dans la sphère de l'intervention auprès des toxicomanes, dans l'objectif de mettre à jour les mécanismes d'assujettissement associés à une progression dans la déviance. La toxicomanie se retrouve à la fois dans le champ de la santé mentale et de la délinquance. La mythologie existante au sein des deux univers se tisse, s'entrelace pour ériger la personne toxicomane comme une créature médico-policière. Deux modalités d'intervention découlent de cette construction : "guérir" et "punir". Par la confection historique de classifications dépréciatives des individus, ces procédés vont introduire une chaine : stigmatisation - exclusion - marginalisation - déviance -incarcération. La dépendance doit cesser d'être vue comme une maladie, arrêter d'être considérée comme un crime, émerger à la fois du champ de la médecine et de la justice pour trouver sa place dans le champ social. Michel Foucault nous invite à voir l'institution avec lucidité, voir la prison comme une manufacture de délinquance. Dans une fonction thérapeutique avec les personnes qui abuse de produits psychotropes, il importe d'interroger nos pratiques, celles qui installent la toxicomanie au quotidien, réfléchir la violence dans la relation d'aide, être attentif aux situations problèmes, où l'agir professionnel doit aller plus loin que les considérations cliniques et s'inspirer de principes tirés de l'éthique.
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La violence territoriale matérielle comme terrorisme d'État? : Israël et les démolitions administratives d'habitations palestiniennes

Saint-Gelais, Jean-François 23 April 2018 (has links)
Si les travaux scientifiques consacrés au terrorisme infraétatique se sont multipliés au cours de la dernière décennie dans le sillon des attentats du 11 septembre 2001, il n’en va pas de même en ce qui concerne l’étude du terrorisme d’État, qui reste marginale. Ce mémoire propose une conceptualisation de la violence physique déployée par un État contre des objets tangibles dans les espaces de vie de populations civiles, nommée « violence territoriale matérielle », et son intégration à la théorisation du terrorisme des Critical Terrorism Studies. Appliquant la conceptualisation à l’examen du cas israélo-palestinien, l’analyse empirique se concentre sur les démolitions administratives d’habitations perpétrées par Israël en Cisjordanie et vise à établir si elles sont constitutives d’une forme de terrorisme d’État.

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