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Perception of hostility and blameworthiness, anger, and aggression in the US, Turkey, and ChinaBenderlioglu, Zeynep A. 01 October 2003 (has links)
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Association entre la dépression et le biais d'attribution hostile chez les individus hostiles et non hostiles : une étude de potentiels reliés aux événementsGasse, Alexandre 07 1900 (has links)
Contexte : Bien que l'hostilité et l'agressivité ne soient pas essentielles au diagnostic de la
dépression, ces symptômes se sont révélés être très prévalents chez les patients déprimés et sont
associés à des niveaux de comorbidité et de sévérité de la maladie plus élevés. En outre, des
études ont montré que la dépression est associée de manière significative à des biais
d’interprétation négatifs et que, selon les théories cognitives de la dépression, ces biais peuvent
représenter un facteur de risque considérable pour l’apparition et/ou le maintien de la maladie.
Alors que les biais d'interprétation négatifs soient reconnus comme un élément fondamental des
modèles cognitifs de la dépression, peu d'études ont examiné les biais spécifiques du traitement
de l'information, notamment le biais d’attribution d’intention hostile, chez des individus hostiles
présentant des symptômes dépressifs. Méthodologie : À l'aide de données pré-recueillies auprès
d'un échantillon de 72 (hommes = 41,6%, femmes = 58,3%) participants hostiles (n = 26) et non
hostiles (n = 46), cette étude visait à examiner l'association entre la dépression et le biais
d'attribution d’intention hostile en déterminant si les scores de niveau de dépression étaient liés
de manière unique aux mesures électrophysiologiques du biais d'attribution hostile. Résultats :
Le groupe hostile a montré des niveaux de dépression et d'agressivité réactive plus élevés que le
groupe non hostile. En outre, les scores de dépression étaient des prédicteurs significatifs de
l'effet N400 dans la condition non hostile, alors que l'agressivité réactive ne l'était pas, tandis que
dans la condition hostile, le modèle global s’est avéré significatif, avec des niveaux de
dépression et d'agressivité réactive montrant tous deux de fortes tendances vers la signification.
Limites : Une petite taille d'échantillon a limité la portée des conclusions de l’étude. De plus, la
sélection de l’échantillon n’a pas permis d'examiner les différences de groupe spécifiques
concernant le biais d'attribution hostile dans les groupes déprimés et non déprimés. Conclusion :
ii
Cette étude souligne l’importance de mieux comprendre les mécanismes de perception associés à
la dépression et d'envisager l'application de techniques de restructuration cognitive pour contrer
les processus d'interprétation biaisés dans des contextes où la dépression et l'agression se
croisent. Cette étude suggère également que des alternatives aux méthodologies d'auto
évaluation pourraient être plus utiles lors de l'évaluation des processus automatiques et
implicites. / Background: Hostility and aggression have been found to be highly prevalent among depressed
patients and are associated with higher comorbidity and illness severity levels. Although
negative interpretation biases are a fundamental element of cognitive models of depression, few
studies have examined the specific biases in information processing, mainly the hostile
attribution bias, found in hostile individuals who present depressive symptoms. Method: Using
pre-collected data from a sample of 72 (male=41,6%, female=58,3%) undergraduate and
community-based hostile (n=26) and non-hostile (n=46) adult participants, the authors aimed to
examine the association between depression and the hostile attribution bias by determining
whether depression level scores were uniquely related to electrophysiological measures of the
hostile attribution bias. Results: The hostile group showed higher measured levels of depression
and reactive aggression, compared to the non-hostile group. Also, depression scores were
significant predictors of the N400 effect in the non-hostile condition, while reactive aggression
was not, whereas in the hostile condition, the overall model was significant, with depression and
reactive aggression levels both showing strong trends towards significance. Limitations: A small
sample size limited the scope of our conclusions. Also, sample selection prevented the authors
from examining specific group differences regarding the hostile attribution bias in depressed and
non-depressed groups. Conclusion: This study highlights the importance of better understanding
the perception mechanisms that are associated with depression and to consider the application of
cognitive restructuring techniques to counter biased interpretation processes in settings where
depression and aggression intersect. This study also suggests that alternatives to self-evaluative
methodologies might be more useful when assessing automatic and implicit processes.
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Electrophysiological markers for hostile attribution bias among individuals with anxietyBoulis, Monica 12 1900 (has links)
Background: Anxiety disorders constitute the most prevalent subgroup of mental health conditions. While anxious individuals are more widely known as being socially withdrawn and shy, recent research highlights a rather non-prototypical image, one that is aggressive. The main goal of this event-related brain potentials (ERPs) study is to augment our knowledge of the neurophysiological responding of hostile attribution biases of anxious individuals to ambiguous situations. Methods: Using pre-collected data from a sample of 68 undergraduate and community-based adult participants, this study aims to explore the N400 deflection utilising Gagnon et al.’s (2016) Hostile Expectancy Violation Paradigm with anxious individuals, and whether the N400 deflection persists after controlling for aggression. Results: A more negative amplitude was observed in response to a critical word that mismatched rather than matched with the character’s expected hostile intention. Regression analyses revealed that anxiety scores negatively predicted the N400 following the mismatched expected hostile intention while controlling for reactive aggression suggesting that the violation of hostile expectancy about the intention behind an ambiguous provocative behavior is more pronounced among anxious participants. Conversely, in the hostile condition, the overall model was significant, although anxiety scores did not account for the overall effect, reactive aggression did. Conclusion: This study provides preliminary evidence that anxiety symptoms are uniquely related to hostile attribution bias independent of reactive aggression. Future research should aim to replicate these findings with a clinically diagnosed sample of individuals with anxiety disorders. / Contexte : Les troubles anxieux constituent un sous-groupe le plus répandu dans les conditions de
santé mentales. Malgré cette prévalence, ils ne reçoivent pas la même reconnaissance en raison des
comorbidités, une étiologie inconnu et une manque de traitement spécifique. Récemment, la
littérature scientifique s'est concentré sur la neuro-imageries de l`anxiété. Par contre, une
compréhension plus complète sur comment l'électrophysiologie et le stress interagissent et mène
aux symptômes de l’anxiété est requis. Méthodologie : À l'aide de données pré-recueillies auprès
d'un échantillon de 68 participants, cette étude visait à étudier la déflexion N400 en utilisant le
Paradigme de la Violation d'Espérance Hostile de Gagnon et al. (2016) chez les individus adultes
présentant de l'anxiété. Résultats : dans la condition non-hostile, nous avons observez une
déflection négative significative du N400 chez les individus qui ont un score de BIAH plus élevée,
en contrôlant pour l’agressivité. Les analyses de régressions ont démontré une déflection négative
du N400. En d’autres mots, les adultes qui ont plus d'anxiété étaient surpris suivant un contexte
hostile et une intention non hostile car il s'attendait à une contexte hostile. Tandis que dans la
condition hostile, le modèle global s’est avéré significatif, par contre l’agressivité réactive a tenu
compte de l'effet global et n’ont pas les scores d’anxiétés. Conclusion : À notre connaissances,
aucune articles scientifiques à explorer le BAIH avec des mesures électrophysiologique du
cerveaux, comme preuve des influences des symptômes d'anxiété sur la cognition. Cette recherche
à augmenter notre connaissance sur la présence du BAIH chez les adultes avec des symptômes
d’anxiété en examinant des marqueurs électrophysiologique du cerveaux. Les implications et
limites de l’étude sont également discutées. Reproduire ces résultats avec un échantillon
cliniquement diagnostiqué de personnes souffrant de troubles anxieux, devrait donc être l'une des
priorités de la recherche future.
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Social Information Processing, Comorbid Mental Health Symptoms, and Peer Isolation among Children with Attention-Deficit/Hyperactivity DisorderBecker, Stephen P. 29 May 2014 (has links)
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Parental Aggression-Related Beliefs and Behaviors as Predictors of their Children's Aggressive-Related Beliefs and BehaviorsSedlar, Aaron Edward 19 November 2015 (has links)
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投資人過度自信行為之研究:以初級市場為例林裕斌, Lin, Yu-Pin Unknown Date (has links)
本文利用國內投資人參與民國八十五年一月至八十九年四月間77家IPO競價拍賣的投標資料為樣本,來探討投資人過度自信以及自我歸因偏誤的情形。實證結果發現:過度自信假說於對個人投資人在初級市場的投資行為仍有適用,並且男女皆有過度自信的現象,但沒有足夠證據顯示男性較女性過度自信。最後當投資者上次報酬為正時,投資者會更積極的投標。而上次報酬為負時,對其下次投標標價的影響並不顯著。此點符合自我歸因假說的推論。
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Beauty And The Beast: The Attractiveness Bias In An Online Peer Mentoring ProgramGarcia, Carollaine 01 January 2012 (has links)
The bias against attractiveness is fairly implicit and furthermore, powerfully impacts people’s subsequent impressions of and behaviors toward others (Cash, Gillen, & Burns, 1977; Dion et al., 1972). Pallet, Link and Lee (2010) examined the effect of various facial spatial configurations on attractiveness and found that raters rated faces as most attractive when the eyeto-mouth ratio approximated 36% of the face length (the "golden ratio"), which coincides with the measurements of an average and thus more attractive face. The present study examined the extent to which the distance of these objectively measured facial features affected mentors’ perceptions of their protégés, the subsequent mentoring given to them, and the protégés’ own behavior (e.g. seek feedback, request specific information).The gender composition of the mentor-protégé dyad was expected to moderate these relationships. I also examined whether, given the expected effects of facial measurements, withholding access to visual cues would affect mentor perceptions and behavior. Participants were 118 mentor/protégé dyads from a large Southeastern university who volunteered to participate in a formal online peer mentoring program. After seeing their protégés’ profiles (and for those in the experimental condition, a picture), mentors chatted with their protégés once a week for 30 minutes for a total of 4 weeks. Results indicated that protégés with facial features moderately distant from the golden ratio were perceived as more similar by mentors in same-gender dyads and received greater mentoring than did protégés closest and farthest from the golden ratio. In opposite-gender dyads, however, mentors reported greater similarity toward those that were farthest from the golden ratio but provided the greatest mentoring to those closest to the golden ratio. The relationship iv between facial measurements and protégé proactivity was moderated by whether or not their mentor had access to their picture. While protégés closest to the ratio were more proactive in the picture condition, those that were farthest from it were more proactive in the non-picture condition. Proactivity was as expected associated with greater levels of mentoring, which was ultimately related to a more fulfilled and beneficial relationship for protégés (i.e. less stress, greater self-efficacy and satisfaction). The results of this study indicate that facial measurements are associated with both differences in mentor and in protégé behavior and that the specific nature of these relationships differs as a function of gender composition. Implications for practice and theory will be discussed
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