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Vers une définition de l'automatisme québécois

Millward, Vincent John January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
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La quête d'une subjectivité au féminin dans l'œuvre de Thérèse Renaud

Théorêt, Émilie January 2008 (has links) (PDF)
Au milieu des années quarante, Thérèse Renaud fréquente le groupe automatiste. Elle publie un premier recueil de poésie à tendance surréaliste, Les Sables du rêve, en 1946. Elle quitte alors le Québec pour s'installer en France où le peintre Fernand Leduc la rejoint et l'épouse. Là-bas, elle signe le manifeste automatiste Refus global en 1948. Son parcours littéraire s'interrompt alors pendant près d'un quart de siècle, période difficile où la jeune femme se cherche une voix artistique. Elle reprend la plume à la fin des années soixante, mais n'arrive à publier un ouvrage qu'en 1978. L'oeuvre se poursuit alors et se diversifie. En effet, roman, récits brefs, poèmes et récits autobiographiques se succèdent jusqu'à sa mort en 2005. Cependant, cette oeuvre demeure méconnue. Ce mémoire s'intéresse aux stratégies d'énonciation qui traversent l'oeuvre littéraire de Thérèse Renaud. En effet, celles-ci marquent de manière particulière l'oeuvre d'une femme en constante lutte pour l'affirmation de sa subjectivité. Quoiqu'elle ait signé le manifeste révolutionnaire, Renaud est prisonnière d'une condition féminine déterminée par des valeurs conservatrices et d'une critique qui l'assimile constamment au Refus global ou à son mari peintre. La subjectivité au féminin tente donc de s'affirmer en marge des discours dominants et patriarcaux. Le mémoire se divise en trois chapitres suivant les trois temps qui ponctuent le parcours de Renaud. Chacune de ces périodes débute par une réédition de la poésie fondatrice de l'oeuvre de Renaud, Les Sables du rêve. Le chapitre portant sur la période automatiste retrace les principaux éléments de la critique universitaire afin de mieux développer le motif du « chemin à parcourir ». C'est grâce à l'image surréaliste que l'auteure effectue une incursion métaphorique, empruntant ce chemin vers l'intérieur de soi et renouvelant ainsi les représentations. Le second chapitre s'attache à la reprise de l'écriture et à l'errance qui caractérise le retour à soi et la quête d'une prise de parole. L'étude de l'affirmation du sujet s'effectue par l'analyse du je autobiographique fragmenté. Dans le récit autobiographique Une mémoire déchirée, la fragmentation du je autobiographique brise le genre canonique alors que, dans le recueil de poésie N'Être, c'est l'effet autobiographique qui rompt avec l'effort d'effacement du sujet lyrique. Le troisième chapitre s'attarde à la fin du parcours. À travers le récit autobiographique Un passé recomposé et le recueil de poésie Les Songes d'une funambule, il analyse la recomposition du sujet à travers la répétition et l'intertextualité. En conclusion, cette étude permet d'affirmer que les stratégies d'énonciations présentent un sujet féminin précaire. Ce mémoire met en valeur la quête subjective qui traverse l'oeuvre de Renaud mais, surtout, soulève la difficulté, voire l'échec d'une telle entreprise. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature québécoise, Poésie, Autobiographie, Thérèse Renaud, Automatisme, Subjectivité, Sujet féminin, Femme, Féminisme.
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Le « geste esthétique » dans le domaine de l'art : étude sur l'expression corporelle dans la peinture gestuelle, le mime et la danse contemporaine

Carton de Grammont Lara, Nuria January 2007 (has links) (PDF)
L'objet d'étude de ce mémoire est le « geste esthétique », c'est-à-dire la valeur de l'acte gestuel dans le domaine des arts. L'idée du « geste anthropologique » est le point de départ pour comprendre son caractère utilitaire, social et dialogique. Sa faculté d'être, à travers le « mimage », un moyen de connaissance par l'appréhension du réel a permis à l'homme de créer au fil de son existence des outils et des techniques efficaces. Le geste est donc un moyen qui a facilité le développement de nos connaissances en matérialisant l'évolution du savoir-faire humain. Cependant, en plus de cette fonction utilitaire, il possède également une valeur affective qui manifeste l'expression de l'être humain. L'homme se communique avec ses semblables en s'exprimant par le langage autant que par son corps, à travers le geste. L'interaction par le dialogue, qui se compose aussi bien de la parole que de l'engagement corporel, nous transforme en une espèce sociale et nous différencie des animaux. Je définis le « geste esthétique » comme un acte possédant une valeur expressive auquel s'incorpore une dimension créative. Dans ce sens, le geste n'est plus seulement un accomplissement communicatif envers quelqu'un d'autre ou bien un acte utilitaire pour produire quelque chose, mais un « vouloir faire » innovateur, une intervention artistique qui nous met en représentation et établie un dialogue avec le spectateur. Le « geste esthétique » peut fonctionner de plusieurs manières dans le contexte de la production de l'oeuvre d'art. Je distingue trois modes d'engagement gestuel: 1) la représentation libre et spontanée qui n'est pas définie a priori par un sujet; 2) la représentation mimétique du geste qui est résolument construite a posteriori par une idée; 3) et un troisième processus qui se situe dans une synthèse de « l'entre-deux ». Afin d'exemplifier ces trois modes expressifs, je reprends diverses manifestations artistiques qui exposent le fonctionnement de la gestuelle esthétique. En premier lieu, je reprends l'idée de la libération expressive du geste à travers l'automatisme pictural dans la peinture moderne de Jackson Pollock, passant par le style performatif de l'automatiste québécois Marcel Barbeau pour arriver à l'interprétation dansée du geste pictural d'Henri Michaux par la chorégraphe Marie Chouinard. Ensuite, je travaille sur la question de la fonction mimétique de la gestuelle chez le mime. D'abord je précise le concept de la « mimésis » chez Platon et Aristote et postérieurement je l'applique aux conditions des deux figures principales du mime contemporain: Marcel Marceau et Étienne Decroux. Finalement, j'analyse le cas de la danse contemporaine à partir de la mise en scène « Luna » de la chorégraphe Ginette Laurin, comme une synthèse de l' « entre-deux » gestuel, car la danse se situe entre le geste « aisthétique » qui explore les capacités kinesthésiques du corps et la théâtralisation du geste dansé. Julia Kristeva a signalé la domination du discours verbal qui exclut la portée expressive du geste, ce mémoire tente précisément de constater l'importance du système sémantique gestuel à partir d'une étude interdisciplinaire sur l'art. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Geste, Esthétique, Expression corporelle, Automatisme et mimésis.
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Contribution à l'étude de l'automatisme surrationnel

Latour, Marie-Josée 11 April 2018 (has links)
Au début des années 40, de jeunes artistes motivés par une volonté de transformer les valeurs établies, tant esthétiques que socio-politiques, se rassemblent autour de Borduas et forment le groupe des automatistes. Ces artistes envisagent l'avènement d'un art nouveau, d'une peinture "vivante", c'est-à-dire libérée de toute idéologie et que l'on conçoit alors comme abstraite. L'Automatisme participe à l'émergence d'une pratique de la Modernité au Québec en posant d'entrée de jeu la question de l'abstraction et en provoquant un affrontement entre les tenants d'un art figuratif et ceux d'un art nouvellement nonfiguratif. Dans le milieu culturel québécois, on assiste ainsi à une volonté de définition de l'esthétique automatiste mais également au désir d'une plus grande compréhension des deux pôles de l'art de cette époque, l'abstraction et la non-figuration. Les artistes automatistes visent à la fois une peinture nonfigurative et une transformation de l'espace traditionnel. Pourtant, ils n'abordent pas, dans l'ensemble, l'abstraction proprement dite: avec l'Automatisme, on quitte la semi-figuration pour parvenir à la semi-abstraction. C'est pourquoi on ne peut considérer l'Automatisme comme une première apparition d'un art pictural québécois résolument abstrait: en ne réussissant pas à modifier en profondeur les structures de composition de l'espace traditionnel, cette pratique aura plutôt joué le rôle de catalyseur dans la transformation radicale de cet espace.
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L'humour objectif : Roussel, Duchamp, "sous le capot : l'objectivation du surréalisme /

Colombet, Marie J. A., January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire de l'art contemporain--Paris 10, 2006. / Bibliogr. p. 499-540.
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Invention du surréalisme et découverte critique du baroque

Vlasie, Diana Elena 02 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse entreprend d'étudier l'invention du surréalisme en regard de la découverte critique du baroque. L'art et la littérature baroques sont nés à la fin du XVIe siècle, mais seront occultés pendant près de deux cents ans. Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle qu'on les redécouvre et qu'on construit même une notion pour les désigner, le baroque. Au courant du XXe siècle, les travaux sur le baroque se multiplient dans toute l'Europe et tentent d'adapter les critères de cette notion issue de l'histoire de l'art à la littérature. Tandis que les chercheurs français commencent peu à peu à s'emparer de cet objet d'étude, le surréalisme se constitue en tant que mouvement et ne cesse de rechercher des prédécesseurs qui ne s'inscrivent pas dans l'histoire littéraire des manuels scolaires. Sans défendre une vision transhistorique du baroque, cette étude interroge d'une part, l'influence de cette notion moderne sur le surréalisme et, de l'autre, les affinités entre les artistes et auteurs nommés baroques et ceux surréalistes. À travers un historique de la réception du baroque, il s'agit dans un premier temps de montrer ce à quoi correspondait précisément la notion de baroque au moment où le surréalisme en était encore à ses débuts, soit jusqu'à la première moitié des années trente. De même, sa perception par les membres du mouvement y est également étudiée. Ce travail de recherche montre ensuite comment la pratique de l'automatisme qui caractérise les débuts du surréalisme est marquée par une théâtralité proprement baroque, telle que les premiers spécialistes l'ont définie. La vision du théâtre chez les baroques et chez les surréalistes se trouve par la suite analysée, afin de montrer cette fois la présence d'éléments communs aux auteurs baroques et à ceux surréalistes. Enfin, le merveilleux surréaliste se trouve mis en parallèle avec la meraviglia baroque, à travers la question des cabinets de curiosités, celle de l'image surréaliste et de la pointe baroque, ainsi que celle du procédé de l'anamorphose. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Surréalisme, Baroque, André Breton, Louis Aragon, Histoire littéraire, Théâtre, Merveilleux.
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Françoise Sullivan, pionnière de la danse moderne au Québec

Gauvin, Sylvie 07 February 2019 (has links)
Lorsque l'on parle d umouvement automatiste, on pense surtout aux moyens d'expression artistique reliés à la peinture et à la littérature. La danse trop longtemps oubliée par les historiens, tint pourtant une place importante dans l'univers automatiste. Françoise Sullivan, Françoise Riopelle et Jeanne Renaud, toutes trois signataires du Refus global, sont les noms que l'on associe à la danse dite automatiste. Ce mémoire traite de l'activité d'une de ces trois danseuses, Françoise Sullivan, qui fut l'une des pionnières de la danse moderne du Québec. Nous avons tenté de brosser un tableau de l'activité artistique, dans le domaine de la danse, de Françoise Sullivan entre 1940 et 1950. Cette reconstitution est fondée sur les témoignages recueillis auprès de Françoise Sullivan elle-même ainsi que sur ceux de Jeanne Renaud et de jeunes danseurs qui ont interprété les oeuvres présentes et passées de l'artiste. Notre travail se divise en deux parties. La première traite du mouvement automatiste, et la deuxième de l'activité chorégraphique de Françoise Sullivan pendant la période qui fait l'objet de notre étude. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Étude de l'action, de la pensée esthétique et de la démarche plastique de Fernand Leduc de 1953-1959

Dupont, Louise 21 February 2019 (has links)
Le peintre Fernand Leduc a développé une trajectoire unique dans l'histoire de l'art québécois. Depuis 1943, il suit une démarche qui l'a mené de l'automatisme aux microchromies actuelles. Entre 1953 et 1959, durant son retour à Montréal, après un séjour de sept ans en France, Leduc vit une véritable révolution esthétique et plastique, celle du passage de l'automatisme à l'abstraction construite. Les sources de cette révolution, de nature philosophique et spirituelle, se retrouvent chez le penseur Raymond Abellio et chez le peintre Jean Bazaine qui ont marqué l'artiste dans son orientation. C'est par son action au sein du milieu de la peinture montréalaise ainsi qu'à travers sa pensée esthétique et sa démarche plastique que Leduc effectue son passage. "Portes rouges", une oeuvre de 1955, nous a semblé représenter un moment charnière de cette période. / Montréal Trigonix inc. 2018

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