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Écologie des érablières à sucre (Acer saccharum Marsh.) à leur limite nord de distribution au Saguenay-Lac-Saint-Jean

Bilodeau, Janie January 1992 (has links) (PDF)
L'inventaire phytosociologique et physique, de même qu'une analyse dendroécologique de six érablières à sucre croissant à leur limite nord de distribution dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean (de part et d'autre du lac Tchitogama et du réservoir du lac Lamothe) a été effectué. Les buts visés étaient de vérifier si dans chacun de ces sites règne un microclimat favorable au développement de l'érable à sucre et d'évaluer le degré de précarité de ces érablières. Les résultats obtenus démontrent que: 1° les données phytosociologiques de même que les analyses de sol sont comparables à celles des autres érablières du Québec (érablière à bouleau jaune); 2° les données abiotiques nous permettent d'infirmer l'hypothèse selon laquelle les érablières à sucre nordiques du Saguenay-Lac-Saint-Jean occupent seulement des endroits protégés où règne un microclimat particulièrement favorable; 3° l'étude des structures d'âge ainsi que des courbes dendrochronologiques de ces peuplements révèlent dans un premier temps que la régénération en érable à sucre est excellente, avec des années productrices de graines qui surviennent par cycle de un à trois ans en général. De plus, les autres essences retrouvées dans les érablières ne semblent pas assez abondantes pour que, dans les années futures, elles envahissent ces peuplements de manière à ce que les érablières évoluent vers d'autres types de formation. Et finalement, les six érablières échantillonnées ont toutes subi des perturbations naturelles ou d'origine humaine et elles ne semblent pas être dans un état de précarité.
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Effets des variations du niveau d'eau du Lac Saint-Jean (P.Q.) sur la migration saisonnière de quelques espèces de poissons, en particulier de la perchaude (Perca flavescens) dans le petit marais de Saint-Gédéon

Tremblay, Harold January 1992 (has links) (PDF)
La présente recherche vise à déterminer les répercussions que peuvent avoir les variations du niveau d'eau du lac Saint-Jean (P.Q.) sur le potentiel de reproduction des espèces de poisson de ce lac. De façon générale, ces variations de niveau d'eau ont un effet direct sur l'ensemble des habitats qui entourent le lac. Quand justement ces habitats sont des sites privilégiés de reproduction, ce phénomène doit être pris en considération. Plus précisément, la perchaude (Perca flavescens), le grand brochet (Esox lucius), le queue à tache noire (Notropis hudsonius) et le mené émeraude (Notropis athérinoides) ont été les espèces étudiées. Tôt au printemps, l'eau s'échappe du marais semi-ouvert qu'est le petit marais de Saint-Gédéon, ce qui peut amener une coupure entre le lac et le marais, site très important de reproduction des espèces ichtiennes au lac Saint-Jean. Habituellement, l'eau provenant du bassin hydrographique que constituent les milliers de kilomètres de terres environnantes vient apporter ce qui est nécessaire pour contrebalancer cette perte d'eau encourue pendant l'hiver et ainsi créer un nouvel équilibre entre le lac et le marais. L'échantillonnage que nous avons effectué en 1987 et 1988 a permis de bien observer deux conditions diamétralement opposées. En 1987, le niveau d'eau a demeuré en dessous de la moyenne observée depuis les 40 dernières années, soit un niveau inférieur à 101,00 m. Ce niveau n'a pas permis un grand volume d'eau dans le canal entre le lac et le marais ce qui a empêché les gros géniteurs de perchaude et de grand brochet en particulier, de pouvoir s'introduire dans le marais. Cette année là, 42 300 spécimens ont été capturés. Dans l'ensemble il s'agissait des petits spécimens de Cyprinidées étudiés tels le queue à tache noire et le mené émeraude. Notons, qu'une pêche de 24 heures, une fois par semaine, à l'aide de verveux placés dans le canal et couvrant la largeur complète de ce canal, a permis ce recensement et ce, du mois d'avril au mois d'octobre. En procédant de la même façon, en 1988, plus de 267 000 spécimens ont été capturés. Le niveau d'eau a, pendant la période d'avril à octobre, maintenu une moyenne supérieure à 101,00 m et atteint une hauteur de 101,57 m à la fin mai. Le niveau d'eau dans le canal de communication est ainsi demeuré suffisamment haut pour permettre aux poissons de circuler aisément vers le marais. De façon générale, nous constatons, et cela particulièrement chez la perchaude et le grand brochet, qu'en 1987, les individus matures n'ont pas eu l'occasion ou très peu de s'introduire dans le marais pendant la période de frai. En 1988, le problème ne s'est pas rencontré. Nous avons constaté que des grandes variations ainsi qu'un niveau d'eau insuffisamment élevée empêchent la frai pour les gros spécimens en freinant la migration vers les sites de reproduction. De plus, ces conditions ne permettent pas l'inondation de la végétation émergente robuste, qui est utilisée comme support pour les oeufs des spécimens de grand brochet et de perchaude. Un niveau d'eau constant, supérieur à 101,00 m dans le lac Saint-Jean, surtout aux mois d'avril et mai, serait souhaitable pour faciliter l'accès au marais et ainsi augmenter les chances d'optimiser les succès de reproduction. Eventuellement, l'installation de barrages et de passes migratoires à l'entrée des marais, pourrait aider à réduire les effets de ces variations du niveau d'eau. Toutefois, nous n'en sommes pas rendus à cette étape, car il reste encore beaucoup à faire pour bien comprendre toutes les interactions existantes entre le Petit marais de Saint-Gédéon et le lac Saint-Jean.
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La contribution entomologique et taxinomique de l'abbé Léon Provancher

Desmeules, Mélanie January 2003 (has links) (PDF)
L'abbé Léon Provancher (1820-1892) est connu dans l'histoire des sciences au Québec comme un naturaliste. Fondateur et animateur de la première revue consacrée aux sciences naturelles au Québec, Le Naturaliste canadien, Provancher consacre la plus grande partie de sa vie à l'étude de plusieurs branches de l'histoire naturelle, de la botanique à l'entomologie en passant par la conchyliologie, l'ornithologie, la mammalogie et l'ichtyologie. C'est toutefois dans le domaine de l'entomologie qu'il effectue ses travaux les plus importants. Les recherches qu'il mène sur l'ordre des Hyménoptères, la publication de ses découvertes dans Le Naturaliste canadien et la parution de trois volumes de la Petite faune entomologique du Canada lui valent une considération internationale. Cependant, au Québec, les historiens tardent à reconnaître sa contribution scientifique. Le présent mémoire, qui se situe à la jonction de l'histoire et de l'entomologie, vise à combler cette lacune. L'analyse du réseau de correspondance entomologique de Provancher, du contenu de sa bibliothèque scientifique et du corpus des Hyménoptères qu'il découvrit a permis de constater que Provancher utilise une démarche scientifique dans l'élaboration de son ?uvre entomologique et taxinomique. Sa contribution scientifique se situe principalement d ans ces deux disciplines qui étaient en plein développement au XIXème siècle, en Amérique du Nord. Ces connaissances nous montrent clairement que Provancher, malgré son isolement relatif, était un savant très impliqué dans le développement de la science de son temps. Il contribue ainsi, plus que tout autre, au désenclavement du Québec dans le domaine des sciences naturelles en jetant les bases de la recherche en entomologie, en conchyliologie et en botanique.
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Isolation et caractérisation de composés bioactifs de la résine de sapin baumier (Abies balsamea (L.) Mill)

Mercier, Sylvain January 2013 (has links) (PDF)
L'exploitation forestière est un important vecteur économique au Québec. La région du Saguenay-Lac-St-Jean compte pour 17% de toute la superficie forestière de la province et en 2008-2009, c'est cette région qui coupait le plus de résineux sur son territoire. Les questionnements concernant la gestion et l'avenir de la forêt québécoise ont entraîné en 2010 la parution du Bilan d'aménagement forestier durable au Québec 2000-2008. Plusieurs défis à relever pour les années futures y sont énoncés, plus particulièrement celui de déterminer le potentiel économique et biologique des produits forestiers non ligneux (PFNL). Le développement de produits biopharmaceutiques (ainsi que nutraceutiques et cosméceutiques) est de loin la voie de valorisation privilégiée pour les PFNL. Il est intéressant de souligner que 25 à 50% des médicaments présentement sur le marché mondial proviennent de sources naturelles. L'objectif du projet de recherche proposé est d'approfondir les connaissances sur l'exsudat d'une espèce de la forêt boréale : le sapin baumier (Abies balsamea). Les précédentes recherches du laboratoire LASEVE ont démontré le potentiel de ce PFNL en tant que source de nouvelles structures de molécules ainsi que pour l'exploitation des propriétés cytotoxiques et antibiotiques de certains de ses extraits. À cet égard, 13 molécules ont été isolées du précipité et du filtrat obtenus après la trituration de la résine de sapin baumier dans l'hexane, soit l'acide (24E)-3a-hydroxy-23-oxocycloart-24-èn-26-oïque, l'acide 3a-hydroxy-23-oxocycloart-25(27)-èn-26-oïque, l'acide (25R)-3,4-seco-9BH-lanosta-4(28),7-diène-3,26-dioïque, l'acide (24E)-3,4-seco-9BH-lanosta-4(28),7,24-triène-3,26-dioïque, l'abiesanordine C, le methyl 13-oxo-podocarp-8(14)-èn-15-oate, le methyl 15-hydroxydéhydroabiétate, le (12E)-15-nor-8-hydroxy-12-labdèn-14-al, le 8-hydroxy-14,15-dinor-11-labdèn-13-one, l'acide abiesonique, l'acide 3a-hydroxy-23-oxolanosta-7,24E-dièn-26-oïque, l'acide firmanoïque et le 3B-hydroxy-abiénol. Parmi ces molécules, trois sont des composés rapportés pour la première fois dans la littérature. Certains extraits bruts sont particulièrement actifs comme le précipité et le filtrat hexane qui possèdent une bonne activité antibactérienne sur Staphylococcus aureus après 6h, soit de 2,7 ± 0,5 ug/ml et de 2,3 ± 0,4 ug/ml respectivement ainsi que certaines autres fractions non travaillées exprimant des IC50 sur la même bactérie de 2,87 ± 0,09 et de 3,5 ± 0,8 ug/ml. L'acide 3a-hydroxy-23-oxocycloart-25(27)-èn-26-oïque et l'acide firmanoïque ont été reconnus comme étant légèrement antibactériens sur S. aureus avec une IC50 après 6h de respectivement 8 ± 1 et 4,6 ± 0,1 uM. Le précipité provenant de l'oléorésine possède une bonne activité cytotoxique pour un extrait brut, soit de 30 ± 3 ug/ml sur les cellules cancéreuses du poumon (A-549) et de 31 ± 2 (ug/ml sur les cellules cancéreuses du colon (DLD-1). Parmi les molécules non rapportées dans l'article scientifique, l'acide firmanoïque est la molécule qui démontre l'effet cytotoxique le plus marqué avec une valeur de 66 ± 4 uM sur les cellules A-549 et de 58 ± 5 uM sur les cellules DLD-1. En conclusion, les nouvelles découvertes sur cette résine s'inscrivent dans l'optique de la valorisation de la recherche sur les PFNL, objectif énoncé dans le Bilan d'aménagement forestier durable au Québec 2000-2008.
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Prédation planctonique des deux principaux poissons fourrages pélagiques du Lac Saint-Jean : l'éperlan arc-en-ciel et l'omisco

Plourde, Jérôme January 2011 (has links) (PDF)
Le lac Saint-Jean est reconnu comme étant un endroit de prédilection pour la pêche sportive à la ouananiche. Cependant, ce poisson a connu des fluctuations importantes de son abondance. Ceci a poussé la communauté, et particulièrement les scientifiques à s'intéresser à la structure du réseau trophique de ce saumon d'eau douce. L'éperlan arc-en- ciel et l'omisco sont deux poissons fourrages en importance au lac Saint-Jean. Ces poissons sont susceptibles d'effectuer une prédation importante sur le zooplancton lors de leurs jeunes stades. Le but de cette étude était de décrire et quantifier cet impact. Pour ce faire, huit missions d'échantillonnage ont eu lieu en 2009 pour la récolte de poissons allant du stade larvaire au stade juvénile. Un total de 312 éperlans arc-en-ciel et 123 omiscos ont été examinés pour décrire le régime alimentaire. Par la suite, 78 éperlans arc-en-ciel et quatre taxons planctoniques ont été analysés pour mesurer leur teneur en mercure. En utilisant un modèle de bilan massique de mercure, des taux de consommation ont été calculés pour les éperlans de l'année et ceux âgés d'un an. Les résultats de cette étude ont démontré que le régime alimentaire de l'omisco et de l'éperlan était différent. L'omisco se nourrit principalement de proies zoobenthiques et de proies zooplanctoniques littorales. De l'autre côté, les jeunes éperlans arc-en-ciel de l'année se nourrissent exclusivement de zooplancton. Les éperlans arc-en-ciel âgés d'un an favorisent une alimentation de zooplancton. Ils peuvent également inclure à l'occasion des insectes dans leur alimentation. D'autre part, le taux de consommation de zooplancton par l'éperlan arc-en-ciel a varié en fonction du développement. Au début du stade larvaire, ce poisson ingère près de 70 % de son propre poids corporel alors que ce pourcentage décroit entre 11 et 25 % pour le reste de l'été. En automne, la consommation atteint moins de 5 %. À sa deuxième saison de croissance, la consommation de l'éperlan arc-en-ciel est à son maximum au début de l'été avec des taux de presque 30 % par rapport à son poids corporel. À l'automne, ce pourcentage décline pour atteindre entre 0 et 5 %. La consommation importante en début de saison est nécessaire pour la prise de poids et la bonne croissance. La biomasse du zooplancton qui est à son maximum durant l'été et basse durant l'automne pourrait expliquer les patrons saisonniers de consommation observés. Ces résultats combinés à l'abondance de poissons dans le lac Saint-Jean permettront de quantifier l'impact de ces poissons sur le zooplancton en vue d'une meilleure gestion des stocks.
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Étude des huiles essentielles d'espèces végétales de la flore laurentienne : composition chimique, activités pharmacologiques et hémi-synthèse

Piochon, Marianne January 2008 (has links) (PDF)
Au Québec, le potentiel pharmacologique des huiles essentielles issues de plantes de la flore laurentienne a été très peu étudié. Dans ce contexte et en tenant compte du savoir médicinal des autochtones, les chercheurs du laboratoire LASEVE de l'UQAC étudient leur potentiel pharmacologique ainsi que celui de leurs constituants volatils. Dans cette optique, ce projet de maîtrise visait à évaluer les activités anticancéreuse, antioxydante, anti-inflammatoire, antifongique et antibactérienne de plusieurs huiles essentielles issues de plantes de la forêt boréale. Suite à ce criblage biologique, l'huile essentielle de bourgeons de peuplier baumier s'est remarquablement distinguée des autres espèces de par son activité anticancéreuse (IC50 12-16 Hg/mL). Une étude approfondie de la composition chimique de cette huile essentielle a donc été entreprise à partir de bourgeons récoltés à différentes périodes de l'année. Le composé majoritaire, l'ot-bisabolol, un alcool sesquiterpénique bien connu pour sa non-toxicité, a été identifié et dosé dans chaque huile essentielle. Une activité cytotoxique marquée envers les lignées cancéreuses de poumon (A549) et de côlon (DLD-1) a été observée pour ce composé (IC50 18 et 26 u.g/mL). L'a-bisabolol P-D-fucopyranoside, un sesquiterpène glycosidé naturel, a été synthétisé avec cinq autres glycosides d'a-bisabolo! O-D-glucoside, p-D-galactoside, p-D-xy!oside, a-L-rtiamnoside et a-D-mannoside). Pour la première fois, la synthèse de glycosides d'un sesquiterpène selon la procédure inverse de Schmidt a été réalisée et avec d'excellents rendements (83-95%). Leur activité anticancéreuse a été évaluée contre un large éventail de cellules cancéreuses. Dans la plupart des cas, l'addition d'une section sucre a eu pour effet d'améliorer l'activité cytotoxique de l'a-bisabolol. Parmi les six glycosides synthétisés, l'a-bisabolol a-L-rhamnoyranoside a exercé la plus forte cytotoxicité (!C50 40-64 u.M) surpassant celle de la molécule initiale. Par ailleurs, au cours de ce projet, l'huile essentielle des fleurs de Solidago puberula a également été étudiée car son profil chimique n'avait jamais été établi. Une activité anticancéreuse modérée a été détectée pour cette huile essentielle (IC50 DLD-1: 30 ± 4 u,g/mL). Une autre partie importante de ce projet visait à étudier Sa composition et le potentiel pharmacologique des hydrolats, produits secondaires obtenus !ors de l'extraction des huiles essentielles par entraînement à la vapeur d'eau. Les hydrolats ont en effet été très peu étudiés. Pour la première fois, la composition chimique de plusieurs hydrolats a été analysée ainsi que leur activité biologique. Ainsi, i'hydrolat de bourgeons de Populus balsamifera a démontré une activité antioxydante intéressante à l'aide du test chimique ORÂC (23 ± 10 u.mo! Trolox/mg). Ceux de Solidago puberula et Monarda didyma ont démontré une activité anti-inflammatoire intéressante en inhibant fortement le relâchement d'oxyde nitrique dans les macrophages murins stimulés avec une molécule induisant l'inflammation (LPS). Au final, les résultats de ce projet de maîtrise auront permis de mettre en évidence le potentiel thérapeutique des huiles essentielles et hydrolats de plantes de la flore laurentienne et d'ouvrir la voie à de futures études.
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Étude sur la composition des glycosides du sapin baumier Abies balsamea (L.) Mill.

Moor, Vincent de January 1994 (has links) (PDF)
Les glycosides sont une classe de composés qui présentent une grande panoplie de structures. A ce jour, leur rôle biologique n'a été traité que superficiellement dans la littérature. Ce projet porte sur la caractérisation des glycosides du sapin baumier et particulièrement de la partie aglyconique volatile qui les compose. Les objectifs spécifiques du projet sont : 1. Identifier les aglycones volatils des glycosides des aiguilles du sapin baumier et en établir la composition relative moyenne sur 15 individus. 2. Identifier quelques aglycones monoterpéniques liés en cooccurrence par leur teneur avec les monoterpènes de l'huile essentielle. 3. Identifier les structures phényles propanes liées susceptibles de participer à la biosynthèse de la lignine. 4. Caractériser d'une façon préliminaire quelques fonctions des structures moléculaires des composés isolés par CLHP préparatif à l'aide de la spectroscopie IR et UV-visible. 5. Établir pour quelques glycosides, l'évolution de la productivité primaire nette au cours de la saison estivale. Note : L'annexe 1 a été ajouté lors de la correction du document. Il est axé sur le traitement statistique des données quant à l'établissement des chimiotypes; de l'influence de la période de collecte ; et de la cooccurrence entre composés libres et liés. Il rend une interprétation plus objective des données et traduit un meilleur cheminement scientifique à la validation des résultats et à leur compréhension.
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Réponse immunitaire humorale induite par le virus de la nécrose pancréatique infectieuse (VNPI) chez la truite mouchetée (Salvelinus fontinalis L.), et caractérisation de l'immunoglobuline produite

Corbeil, Serge January 1991 (has links) (PDF)
Dans cette étude visant à mieux connaître l'immunité humorale de la truite mouchetée (Salvelinus fontinalis) nous avons évalué l'influence de deux paramètres, soit l'injection du virus de la nécrose pancréatique infectieuse (VNPI) et le temps d'incubation, sur la production d'anticorps spécifiques. De plus, cette étude nous a permis de caractériser les IgM produits. Nous avons injecté une solution d'adjuvant de Freund à un premier groupe de truites mouchetées adultes, porteuses du VNPI et maintenues à 8°C. Nous avons injecté une solution composée d'adjuvant de Freund et de VNPI à un second groupe de truites également porteuses et maintenues à 13°C. Nous n'avons pas détecté d'anticorps spécifique au VNPI, chez les truites injectées à l'adjuvant, bien que ces dernières fussent porteuses du virus. Ce constat semble indiquer que ces truites auraient développé une tolérance immunitaire contre le VNPI. Par contre, nous avons détecté de forts taux d'anticorps spécifiques dans le second groupe. Ceci laisse supposer que le protocole d'injection d'adjuvant et de VNPI, provoquerait le surpassement du ou des mécanismes de tolérance pour permettre l'expression de la réponse immunitaire. L'application des techniques de séroneutralisation, de chromatographie d'exclusion et d'électrophorèse, nous a permis de constater que les anticorps produits chez la truite mouchetée sont probablement des IgM d'un poids moléculaire d'environ 669 000 daltons.
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Variable spatiale de la matière organique dissoute en fonction de la masse moléculaire nominale dans les eaux de la rivière Saguenay

Wang, Fenghai January 1991 (has links) (PDF)
Cinq échantillons d'eau de surface ont été prélevés entre Aima et Chicoutimi le 6 juillet 1989. Les distributions de la matière organique dissoute en fonction de la masse moléculaire nominale ont été obtenues selon la méthode de Means et al. (1976) par la filtration séquentielle sur les gels Séphadex G-10, G-15, G-25 et G-50. Les limites d'exclusion, exprimées en masse moléculaire nominale, pour ces quatre gels sont respectivement d'environ 700, 1 500, 5 000 et 20 000. En général, les distributions obtenues ne sont pas uniformes; elles varient peu d'amont en aval, indiquant une origine principalement allochtone située en amont de la rivière. n observe peu de matière organique de masse moléculaire nominale inférieure à 100 et supérieure à 20 000. Des métaux lourds en trace (Pb++, Cd++ et Cu++) complexés par la matière organique dissoute ont été dosés par polarographie. Les teneurs dans les fractions étaient trop faibles pour être mesurées. Par contre, le dosage de ces métaux dans les échantillons originaux sous forme complexée et libre a montré que les teneurs en cuivre étaient entre 0,7 et 3,8 ppb, que les teneurs en plomb variaient entre 0,4 et 2,1 ppb d'une station à l'autre et que le cadmium présentait une teneur de 0,3 ppb à la station #1. Le carbone organique et l'azote organique dans les fractions ont été mesurés. Les teneurs les plus élevées ont normalement été observées dans les fractions de masse moléculaire nominale supérieure à 5 000. Le rapport entre la teneur en carbone organique et en azote organique (C/N) dans les fractions a été évalué. Il était d'environ 40 dans les fractions de masse moléculaire nominale faible (inférieure à 680) et environ 20 dans les fractions de masse moléculaire nominale élevée (supérieure à 680). Ces rapports C/N correspondent aux valeurs observées par Buffle (1977) pour l'acide fulvique et l'acide humique. La corrélation entre la teneur en carbone organique (C) et la surface des pics (S) sous les chromatogrammes a été établie comme C=531,311 + 31,620 S avec un coefficient de corrélation r=0,61.
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Contrôle de l'ovogénèse chez tilapia nilotica : effets de la température et de l'illumination nocturne

Mukasikubwabo, Vénantie January 1990 (has links) (PDF)
Dans les milieux halieutiques africains et autres des régions à climat chaud, les tilapias et en l'occurrence Tilapia nilotica (Oreochromis niloticus) sont caractérisés par un cycle de reproduction assez court. Cependant, au Rwanda, il s'est avéré que l'élevage en étangs de T. nilotica a suscité des problèmes principalement au niveau de sa reproduction, au niveau de la production d'alevins (10 à 30 alevins/femelle/mois) et au niveau de la production pendant la saison sèche à la suite des brusques changements de température de l'eau (19 à 28oC). Pour trouver une solution à ces problèmes, nous avons tenté d'analyser l'impact de l'illumination nocturne et de la température sur le contrôle de la reproduction. Dans les deux (2) cas, il nous a fallu déterminer les variations des paramètres liés à la reproduction telle que la variation de l'indice gonadosomatique (IGS) des géniteurs utilisés lors de notre expérimentation. Grâce aux techniques histologiques, les tailles des cellules germinales ont été également estimées en vue de nous renseigner sur l'avancement de l'ovogénèse chez T. nilotica. Pour ce qui concerne l'effet de l'illumination nocturne sur la reproduction, les expériences ont été réalisées sur le terrain, à la station piscicole de Rwasave au Rwanda. Pour ce faire, un échantillon de référence (échantillon R) était prélevé avant chaque expérience afin de nous indiquer l'état des gonades des géniteurs. Quant à l'expérimentation proprement dite, celle-ci a porté sur des géniteurs placés dans deux (2) happas dont l'un a été soumis à une illumination nocturne à raison de quatre (4) heures par nuit pendant sept (7) jours successifs et l'autre (témoin) sans illumination nocturne. Après dix (10) jours à compter du début de la deuxième expérience (expérience 2), nous avons constaté que l'amplification moyenne des gonades des géniteurs du nappas illuminé (IGSm de 5,8%) était significativement supérieure (p <0,01) à celles de ceux de l'échantillon R (IGSm de 3,32%) et ceux du groupe témoin (IGSm de 4,09%), et ces deux dernières n'étant pas significativement différentes. Une étude portant sur les diamètres des ovocytes a également prouvé que l'ovogénèse est accélérée chez les géniteurs ayant subi l'illumination, comparée à ceux du happas témoin. Cependant, à la fin de l'expérience 2 (18 jours au total), les géniteurs du happas illuminé présentaient une régression en poids des gonades (IGSm de 4,88%) alors que les gonades des géniteurs du happas témoin augmentaient de poids (IGSm de 4,92%). Cette diminution de l'IGS des géniteurs du happas illuminé est probablement due à la ponte provoquée par l'accélération de l'ovogénèse. Ce facteur s'avère également responsable de l'amplification des ovaires et, par ricochet, de l'avancement de l'ovogénèse très prononcé chez les mêmes géniteurs femelles après le premier échantillonnage. Ces résultats ont été supportés par la troisième expérience (expérience 3) au cours de laquelle nous avons enregistré une chute spectaculaire de l'IGSm des géniteurs du happas illuminé. En effet, au début de cette expérience l'IGSm était de 5,4% et 18 jours plus tard, l'IGSm est devenu 3,56% pour les femelles illuminées et 5,63 % pour les femelles témoins. Le test "t" de student a révélé que les IGSm des géniteurs des deux happas étaient significativement différent (p <0,01). Quant au facteur de température, les expériences ont été effectuées en laboratoire d'aquiculture de l'UQAC, et ont consisté à soumettre trois groupes de géniteurs femelles à trois températures différentes (19oC, 23oC et 28oC). A cette fin, nous avons relevé que les géniteurs élevés à 23oC présentaient des gonades (IGSm de 7,79%) dont l'amplification était similaire à celui des gonades des géniteurs soumis à 28oC (IGSm de 6,88%), les gonades des deux (2) groupes précédents étant plus amplifiées par rapport à ceux élevés à 19oC (3,52%). De plus, la variation des diamètres des cellules germinales est proportionnelle à celle de l'IGS des mêmes géniteurs. La température de 23oC nous a donc semblé idéale pour la reproduction du T. nilotica et, par conséquent, pour son élevage. Quant à celle de 19oC, elle freine la reproduction tout en synchronisant les ovaires des géniteurs. Enfin, tenant compte des effets de développement germinal des deux (2) facteurs (lumière et température) sur la reproduction de T. nilotica, et tenant compte qu'il est plus facile et moins coûteux d'illuminer un étang que de le réchauffer et le maintenir à 23oC, nous concluons que l'illumination nocturne serait une méthode plus appropriée pour moduler la reproduction.

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