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Bruxisme et réhabilitation bucco-dentaire

Bouvattier, Caroline Hoornaert, Alain. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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La balance sympatho-vagale et le bruxisme du sommeil

Huynh, Nelly January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Effet d'un appareil d'avancement mandibulaire sur la genèse du bruxisme lors du sommeil

Landry, Marie-Lou January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude des variations respiratoires associées à une activité rythmique des muscles de la mastication durant le bruxisme du sommeil

Khoury, Samar January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Étude des variations respiratoires associées à une activité rythmique des muscles de la mastication durant le bruxisme du sommeil

Khoury, Samar January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les facteurs de risque des désordres temporo-mandibulaires

Velly, Ana Míriam 06 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Les désordres temporo-mandibulaires (DTM), un défi pour la médecine dentaire, forment un ensemble de sous-désordres, qui comprennent entre autres la douleur myofasciale (DMF) et le déplacement du disque (DD). Ces désordres peuvent causer de la douleur au niveau des muscles masticatoires ou au niveau de l'articulation temporo-mandibulaire (ATM), un bruit articulaire accompagnant les mouvements de la mâchoire et/ou la limitation des mouvements mandibulaires. Jusqu' à ce jour, plusieurs études ont essayé, mais sans succès, d'identifier les facteurs de risque des DTM. La majorité de ces études soulèvent des doutes quant à la méthodologie de sélection des sujets et aux méthodes d'analyse. L'inconsistance de la classification des DTM, causée par les difficultés associées à leur hétérogénéité et par le chevauchement des signes et symptômes, est une autre explication possible des controverses entourant les facteurs de associés avec l'occurrence des DTM. La présente thèse est centrée sur deux problématiques : l'étiologie des DTM et le processus de classification de ces désordres. Pour la première problématique, cette thèse identifiera les facteurs de risque des DTM et de leurs sous-groupes avec une méthodologie plus appropriée. Pour le deuxième objectif d'améliorer la classification des DTM, cette thèse utilisera une méthode de classification automatique, qui permit l'inclusion d'un bon nombre de variables importantes, qui généralement sont exclues de la classification clinique. La première étude de cette thèse, l'article l, a été élaborée pour identifier les facteurs associés à l'occurrence et à la chronicité des DTM. Pour atteindre cet objectif, les patients atteints de DTM ont été sélectionnés dans deux cliniques dentaires et les témoins dans une seule, par la même dentiste. Les patients atteints de DTM ont été classés en fonction du moment de l'apparition des DTM : cas incidents (un an ou moins) et cas prévalents (plus d'un an), respectivement, pour identifier les facteurs associés à l'occurrence et à la chronicité des DTM. Cette étude a identifié le serrement sans grincement et le serrement combiné au grincement des dents, ainsi que le traumatisme, comme des facteurs associés à l'occurrence des DTM. L'âge et le sexe ont été les facteurs spécifiques de la chronicité. L'identification des facteurs de risque pour la DMF a été l'objectif du deuxième article. L'effet des facteurs psychologiques sur les autres facteurs de risque a été évalué. Le serrement avec ou sans grincement, le traumatisme, l'anxiété et la dépression, jouent un rôle dans l'occurrence de la DMF. La chronicité de ces désordres semble être associée aux femmes. La troisième étude de cette thèse a comme objectif d'identifier les facteurs de risque pour un autre groupe de DTM : le DD. Les résultats de cette étude montrent que le serrement de dents quand il est combiné au grincement des dents, les traitements orthodontiques et l'anxiété, sont associés au DD. Tous ces résultats suggèrent que le serrement, sans grincement ou combiné au grincement des dents, et la dépression entraînent des désordres musculaires plutôt qu'articulaires. J La quatrième étude, dans le but d'améliorer la classification des sujets atteints de DTM, a utilisé la méthode de classification automatique, qui fait appel au coefficient de Gower et à la méthode de Ward, pour discriminer davantage entre les patients qui présentent les DTM. Cette étude, qui utilise comme variables les signes, les symptômes et les interférences avec la vie causés par les DTM pour classer les patients, a identifié quatre sous-groupes de patients atteints de DTM qui se distinguent par la valeur de ces variables. Le groupe l et le groupe 2 ont des désordres plutôt articulaires que musculaires, se différenciant par la généralisation du désordre et de l'interférence causée par la condition. Le groupe 3 semble être atteint, comme le groupe l, d'un désordre plus généralisé, mais plus musculaire qu'articulaire. Le groupe 4 est caractérisé par des désordres articulaires avec une certaine interférence avec la vie, mais sans la douleur. Les effets dans la vie quotidienne, ainsi que l'état de dépression et de tension, sont plus prononcés chez les patients des groupes l et 3. Le serrement des dents combiné au grincement a été associé aux groupes l et3 où il y avait plus de douleur musculaire généralisée. Aussi, les facteurs psychologiques ont été plus associés aux groupes où il y avait une histoire de dépression ou de tension causée par la condition, ainsi qu'aux groupes avec désordres généralisés, sauf dans le cas du groupe 4. Le traitement orthodontique et le sexe féminin ont été associés spécifiquement au groupe 2, atteint de désordre articulaire localisé. La discussion générale de cette thèse inclut les résultats précédents, leur limitation, les forces, leur application thérapeutique. À la fin, elle propose un modèle étiologique alternatif.
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Hypoxie transitoire en relation avec les activités rythmiques des muscles de la mastication chez les patients atteints du bruxisme du sommeil

Dumais, Isabelle 06 1900 (has links)
Study Objectives: Sleep bruxism (SB) is a repetitive jaw-muscle activity characterized by clenching or grinding of the teeth and/or by bracing or thrusting of the mandible occurring during sleep. SB is scored, from electromyographic traces, as rhythmic masticatory muscle activity (RMMA). Most RMMA occurred during sleep in association with sleep arousal. Since not all RMMA episodes were associated with sleep arousal we hypothesized that some event could be observed in relation to small fluctuations of the oxygen level resulting in mild desaturation/hypoxia. Methods: Sleep laboratory or home recordings from 22 SB (teeth grinding) patients were analyzed from our data bank. A total of 143 RMMA/SB episodes were classified in 4 categories: (i) no arousal & no body movement; (ii) arousal + & no body movement; (iii) no arousal & body movement +; (iv) arousal + & body movement +. Minimum blood oxygen levels were assessed from finger oxymetry signal: 1) during the baseline period before RMMA, i.e., an average of 7 s before RMMA onset (-20 s to -14 s); 2) during RMMA, i.e. a window of 15 s corresponding to -5 s before the onset until +10 s after the episode. For all episodes, the minimum oximetry values were compared for each patient. Results: There was a significant variation of blood oxygen level over time (p=0.001) with a statistically significant transient hypoxia during RMMA at time (+7),(+8) and (+9) s. The variation over time was similar among the 4 groups (non significant group*time interaction p=0.10) and no overall difference was observed between groups (p=0.91). Of the 22 subjects, 6 subjects (27%) remained equal or had a slight increase in SaO2 (+8) s after the RMMA/SB onset compared to baseline (-20 s to -14) s, 10 subjects (45%) showed a small decrease in SaO2 (>0 to <1%) and 6 others (27%) had a decrease of 1-1.8%. Conclusions: These preliminary findings suggest that in some SB patients, RMMA episodes are potentially triggered by minor transient hypoxia. Key words: sleep bruxism, oximetry, desaturation, hypoxia, rhythmic masticatory muscle activity / Objectifs: Le bruxisme du sommeil (BRS) est une activité répétitive des muscles de la mâchoire caractérisée par le serrement et le grincement des dents et/ou par le bracing et le thrusting de la mandibule durant le sommeil. Les mouvements des muscles de la mâchoire que l’on appelle activité rythmique des muscles de la mastication (ARMM) sont des activités oromotrices qui constituent le modèle de base du BRS. La plupart des ARMM sont reliées à un micro-éveil de sommeil. Étant donné que ce ne sont pas tous les épisodes qui sont associés à un micro-éveil, notre hypothèse est qu'une légère désaturation/hypoxie en oxygène pourrait contribuer à l'apparition de certains épisodes d'activité rythmique des muscles de la mastication associé au bruxisme du sommeil-grincement des dents (ARMM/BRS). Méthodologie: Des enregistrements polysomnographiques en laboratoire ou ambulatoire de notre banque de données de 22 patients BRS ont été analysés. Leurs épisodes d'ARMM/BRS sont ensuite classifiés en 4 catégories : (i) sans micro-éveil & sans mouvement; (ii) micro-éveil + & sans mouvement; (iii) sans micro-éveil & mouvement +; (iv) micro-éveil + & mouvement +. Les valeurs minimales de saturation en oxygène sont évalués : 1) à la valeur de base avant le début de l'ARMM, correspondant à une moyenne de 7 sec avant le début de l'épisode, équivalent de (-20) sec à (-14) sec; 2) pendant l'ARMM dans une fenêtre temporale de 15 sec, correspondant de (-5) sec avant le début jusqu'à (+10) sec après l'épisode. Ensuite pour tous les épisodes, tous les points minimaux en oxymétrie sont comparés pour chaque patient. Résultats: Il y a une variation significative de la saturation en oxygène dans le temps (p=0.001) avec une hypoxie transitoire statistiquement significative durant l'ARMM à (+7), (+8) et (+9) sec. La variation dans le temps était semblable pour les 4 catégories (interaction non significative catérogie*temps p=0.1) et pas de différence globale n'est observé entre les catégories (p=0.91). Sur les 22 patients, 6 (27%) ont eu une légère augmentation ou sont restés stables dans la saturation en oxygène (+8) sec après le début de l'ARMM comparé à la valeur de base; 10 (45%) ont eu une légère diminution (>0 à <1%) et 6 autres (27%) ont eu une désaturation en oxygène de 1 à 1.8%. Conclusion: Ces résultats préliminaires suggèrent que chez certains patients BRS, les épisodes d'ARMM/BRS sont possiblement déclenchés par une légère hypoxie transitoire. Mots-clés : bruxisme du sommeil, oxymétrie, désaturation, hypoxie, activité rythmique des muscles de la mastication
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Sleep bruxism is associated with a rise in blood pressure

Nashed, Angela 04 1900 (has links)
Objectifs : Le bruxisme survenant au cours du sommeil est un trouble du mouvement caractérisé par du grincement de dents et l’activité rythmique des muscles masticateurs (ARMM). Le bruxisme/ARMM est souvent associé à des mouvements du corps et des à éveils corticaux. Une séquence d’activation précède le ARMM/bruxisme. Ces événements incluent une augmentation des variables suivants : l’activité sympathique (-4 minutes), les activités encéphalographique (-4 second), le fréquence cardiaque, l’amplitude de la respiration (-1 second) et l’activité des muscle suprahyoïdiens (-0.8 second). La présente étude a examiné l’association entre le bruxisme et les changements de la pression artérielle. Méthodes: Dix sujets avec le bruxisme (5 hommes, 5 femmes, âge moyen = 26 ± 1,8) ont complétés 3 nuits de polysomnographie qui comprenait l'enregistrement non invasive de la pression artérielle. La première nuit a servi de dépistage et d’habituation au laboratoire. L'analyse a été réalisée sur les deuxièmes et troisièmes nuits enregistrements. Seuls les épisodes de bruxisme isolés survenant au cours du stade 2 du sommeil ont été utilisés pour l’analyse, pour un total de 65 épisodes. Les mesures des pressions systolique et diastolique ont été prises 20 battements avant et 23 battements après l'apparition de chaque épisode bruxisme lors du sommeil. Les épisodes de bruxisme ont été classés comme suit: 1) bruxisme avec éveil cortical; 2) bruxisme avec mouvement du corps (MC), 3) bruxisme avec éveil cortical et MC. Une quatrième catégorie, bruxisme seul, a également été analysée, mais utilisée comme donnée préliminaire puisque la catégorie se composait de seulement 4 épisodes de bruxisme. Résultats: Les deux pressions systolique et diastolique ont augmenté avec les épisodes de bruxisme. Cette augmentation a été statistiquement significative pour la pression systolique et diastolique pour les épisodes de bruxisme avec éveil cortical et/ou MC (p ≤ 0,05). L’augmentation moyenne de la pression (systolique / diastolique ± SE) a été : 28,4 ± 2,4/13,2 ± 1,5 mm Hg pour le bruxisme avec éveil cortical; 30,7 ± 1,6/19.4 ± 2.3 mm Hg pour bruxisme avec MC; 26.4 ± 2,8 / 14,6 ± 2.0mm Hg pour bruxisme avec éveil cortical et MC; 22,9 ± 5,2/12,4 ± 3,3mm Hg pour les épisodes de bruxisme seuls. Conclusion: Le bruxisme du sommeil est associé à des hausses de la pression artérielle pendant le sommeil. Cette hausse est supérieure dans les épisodes de bruxisme associés à un éveil cortical et / ou MC, qui sont souvent associés avec les événements bruxisme. Ces résultats sont en accord avec nos observations antérieures, où le bruxisme est précédé par une augmentation de l'activité sympathique et de la tachycardie sinusale. / Objectives: Sleep Bruxism (SB) is a movement disorder identified by tooth grinding and rhythmic masticatory muscle activity (RMMA). It is often associated with body movements and sleep arousals. Increases in autonomic sympathetic activities that characterize sleep arousal precede SB. These events include an augmentation of the following variables: sympathetic cardiac activity (-4 minutes), electroencephalography frequencies (-4 seconds), heart rate and respiratory amplitude (-1 seconds), and suprahyoid muscle activity (-0.8 seconds). This study examined whether these sympathetic activities are associated with significant changes in arterial blood pressure (BP). Methods: Ten subjects with SB (5 male; 5 female; mean age ± standard error = 26 ± 1.8) underwent 3 nights of full polysomnography that included non-invasive beat to beat BP recording. The first night served as a screening and habituation night. Analysis was performed on second and third night recordings. Overall analysis was based on single SB episodes occurring in stage 2 sleep only, for a total of 65 episodes. Systolic and diastolic BP measurements were taken from a window of 20 beats before and 23 beats after onset of each SB episode. SB episodes were categorized as: 1) SB + cortical arousal; 2) SB + body movement (BM); 3) SB + cortical arousal + BM. A fourth category, SB alone, was also analysed but used as preliminary data since the category consisted of only 4 episodes. Results: Both systolic and diastolic BP increased with SB episodes. This increase was significant for both systolic and diastolic BP for SB events with cortical arousal and/or BM (p≤0.05). The average BP surges (systolic/diastolic ± SE) were: 28.4 ± 2.4/13.2 ± 1.5mm Hg for SB + cortical arousal; 30.7 ± 1.6/19.4 ± 2.3mm Hg for SB + BM; 26.5 ± 2.8/14.6 ± 2.0mm Hg for SB + cortical arousal + BM; 22.9 ± 5.2/12.4 ± 3.3mm Hg for SB episodes occurring alone. Conclusion: Sleep bruxism is associated with blood pressure fluctuations during sleep. This BP surge is greater in SB episodes associated with cortical arousal and/or BM, which often co-occur with SB events. These results are congruent with our previous observations, where SB is preceded by a rise in sympathetic activity and sinus tachycardia.
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Effets d'un appareil d'avancement mandibulaire calibré sur le bruxisme relié au sommeil

Landry-Schönbeck, Anaïs January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Rhythmic Masticatory Muscle Activity during Sleep: Etiology and Clinical Perspectives

Carra, Maria Clotilde 06 1900 (has links)
L’activité rythmique des muscles masticateurs (ARMM) pendant le sommeil se retrouve chez environ 60% de la population générale adulte. L'étiologie de ce mouvement n'est pas encore complètement élucidée. Il est cependant démontré que l’augmentation de la fréquence des ARMM peut avoir des conséquences négatives sur le système masticatoire. Dans ce cas, l'ARMM est considérée en tant que manifestation d'un trouble moteur du sommeil connue sous le nom de bruxisme. Selon la Classification Internationale des Troubles du Sommeil, le bruxisme est décrit comme le serrement et grincement des dents pendant le sommeil. La survenue des épisodes d’ARMM est associée à une augmentation du tonus du système nerveux sympathique, du rythme cardiaque, de la pression artérielle et elle est souvent en association avec une amplitude respiratoire accrue. Tous ces événements peuvent être décrits dans le contexte d’un micro-éveil du sommeil. Cette thèse comprend quatre articles de recherche visant à étudier i) l'étiologie de l’ARMM pendant le sommeil en relation aux micro-éveils, et à évaluer ii) les aspects cliniques du bruxisme du sommeil, du point de vue diagnostique et thérapeutique. Pour approfondir l'étiologie de l’ARMM et son association avec la fluctuation des micro-éveils, nous avons analysé le patron cyclique alternant (ou cyclic alternating pattern (CAP) en anglais), qui est une méthode d’analyse qui permet d’évaluer l'instabilité du sommeil et de décrire la puissance des micro-éveils. Le CAP a été étudié chez des sujets bruxeurs et des sujets contrôles qui ont participé à deux protocoles expérimentaux, dans lesquels la structure et la stabilité du sommeil ont été modifiées par l'administration d'un médicament (la clonidine), ou avec l'application de stimulations sensorielles (de type vibratoire/auditif) pendant le sommeil. Dans ces deux conditions expérimentales caractérisées par une instabilité accrue du sommeil, nous étions en mesure de démontrer que les micro-éveils ne sont pas la cause ou le déclencheur de l’ARMM, mais ils représentent plutôt la «fenêtre permissive» qui facilite l'apparition de ces mouvements rythmiques au cours du sommeil. Pour évaluer la pertinence clinique du bruxisme, la prévalence et les facteurs de risque, nous avons effectué une étude épidémiologique dans une population pédiatrique (7-17 ans) qui était vue en consultation en orthodontie. Nous avons constaté que le bruxisme est un trouble du sommeil très fréquent chez les enfants (avec une prévalence de 15%), et il est un facteur de risque pour l'usure des dents (risque relatif rapproché, RRR 8,8), la fatigue des muscles masticateurs (RRR 10,5), les maux de tête fréquents (RRR 4,3), la respiration bruyante pendant le sommeil (RRR 3,1), et divers symptômes liés au sommeil, tels que la somnolence diurne (RRR 7,4). Ces résultats nous ont amenés à développer une étude expérimentale pour évaluer l'efficacité d'un appareil d'avancement mandibulaire (AAM) chez un groupe d'adolescents qui présentaient à la fois du bruxisme, du ronflement et des maux de tête fréquents. L'hypothèse est que dans la pathogenèse de ces comorbidités, il y a un mécanisme commun, probablement lié à la respiration pendant le sommeil, et que l'utilisation d'un AAM peut donc agir sur plusieurs aspects liés. À court terme, le traitement avec un AAM semble diminuer l'ARMM (jusqu'à 60% de diminution), et améliorer le ronflement et les maux de tête chez les adolescents. Cependant, le mécanisme d'action exact des AAM demeure incertain; leur efficacité peut être liée à l'amélioration de la respiration pendant le sommeil, mais aussi à l'influence que ces appareils pourraient avoir sur le système masticatoire. Les interactions entre le bruxisme du sommeil, la respiration et les maux de tête, ainsi que l'efficacité et la sécurité à long terme des AAM chez les adolescents, nécessitent des études plus approfondies. / Approximately 60% of the general adult population experiences rhythmic masticatory muscle activity (RMMA) during sleep. The etiology of this movement is not yet understood. However, it has been demonstrated that an increased frequency of RMMA may have detrimental consequences on the stomatognathic system. In this case, RMMA is considered the manifestation of a sleep-related motor disorder known as sleep bruxism (SB). According to the definition of the International Classification of Sleep Disorders, SB is the activity of tooth grinding and clenching during sleep. The occurrence of SB-related activity, i.e., RMMA, is associated with rises of sympathetic tone, heart rate, blood pressure, and it is frequently concomitant with larger respiratory breaths. All these events can be described within a sleep arousal. The present thesis includes four research articles aimed to study i) the etiology of RMMA during sleep in relation to sleep arousal; and ii) the clinical perspectives of SB assessment and management. To further investigate the etiology of RMMA and its association with sleep arousal fluctuations we analyzed the cyclic alternating pattern (CAP), a scoring method to assess sleep instability and describe sleep arousal pressure. CAP was scored in SB subjects and controls that participated in two experimental protocols in which sleep architecture and stability were altered by either a medication (i.e., clonidine), or sensory stimulations (i.e., vibratory/auditory). Under these experimental conditions known to increase sleep instability, we were able to show that sleep arousal is not the trigger or cause of RMMA, rather the “permissive window” that facilitates the occurrence of RMMA during sleep. To evaluate the clinical relevance of SB, we conducted a survey on a 7-17 year old orthodontic population to investigate the prevalence and risk factors associated with SB. It appeared that SB is a highly prevalent sleep disorders in children (15% of prevalence), and is a risk factor for tooth wear (odds ratio, OR 8.8), jaw muscle fatigue (OR 10.5), frequent headache (OR 4.3), loud breathing during sleep (OR 3.1), and several sleep complaints, such as daytime sleepiness (OR 7.4). These findings led us to design an experimental trial using a mandibular advancement appliance (MAA) in adolescents in order to investigate the possible relationship between SB, snoring, and headache. We hypothesized that a common underlying mechanism related to breathing during sleep may be responsible for all concomitant conditions. The short-term use of an MAA appeared to reduce SB (up to 60%), and improve snoring and headache complaints in adolescents. However, the precise mechanism of action of MAA remains under debate; its effectiveness can be either related to the improvement of breathing during sleep, or its influence on the masticatory system. The interactions between SB, breathing, and headache as well as the long-term effectiveness and safety of the MAA in adolescents need further investigations. / L’attività ritmica dei muscoli masticatori (ARMM) durante il sonno si osserva in circa il 60% della popolazione generale adulta. L'eziologia di questo movimento non è stata ancora del tutto compresa. Tuttavia, è dimostrato che un’aumentata frequenza di ARMM può avere conseguenze negative sul sistema stomatognatico. In questo caso, l’ARMM è considerato la manifestazione di un disturbo motorio del sonno noto come bruxismo. Secondo la Classificazione Internazionale dei Disturbi del Sonno, il bruxismo è l'attività di digrignamento e serramento dei denti durante il sonno. La comparsa di episodi di ARMM durante il sonno è associata a un aumento del tono del sistema nervoso simpatico, della frequenza cardiaca, della pressione arteriosa, ed è spesso in concomitanza con un aumentato volume inspiratorio. Le variazioni di questi parametri fisiologici sono compresi nel contesto di un arousal (micro risveglio) del sonno. Questa tesi comprende quattro articoli di ricerca volti a studiare i) l'eziologia dell’ARMM durante il sonno in relazione all’arousal, ed a valutare ii) l’inquadramento clinico del bruxismo nel sonno. Per approfondire l'eziologia dell’ARMM e l’associazione con l’arousal nel sonno, abbiamo analizzato il cyclic alternating pattern (CAP), che permette di valutare l'instabilità del sonno e descrivere la potenza degli arousals. Il CAP è stato esaminato in soggetti con bruxismo e soggetti controllo che hanno partecipato in due protocolli sperimentali, in cui la struttura e la stabilità del sonno sono stati modificati con la somministrazione di un farmaco (la clonidina), o con l’applicazione di stimolazioni sensoriali (di tipo vibratorio/uditivo) durante il sonno. In queste condizioni sperimentali caratterizzate da un’aumentata instabilità del sonno, siamo stati in grado di dimostrare che l’arousal non è la causa o il generatore dell’ARMM, ma piuttosto la "finestra permissiva" che facilita il verificarsi di questi movimenti ritmici durante il sonno. Per valutare la rilevanza clinica del bruxismo, abbiamo condotto uno studio epidemiologico in una popolazione pediatrica afferente alla clinica di ortodonzia per studiare la prevalenza e i fattori di rischio associati al bruxismo. Questa ricerca ha evidenziato che il bruxismo è un comune disturbo del sonno nei bambini (con una prevalenza del 15%), ed è un fattore di rischio per usura dentale (odds ratio, OR 8.8), fatica dei muscoli masticatori (OR 10.5), mal di testa frequenti (OR 4.3), respirazione rumorosa durante il sonno (OR 3.1), e diversi sintomi legati al sonno, quali la sonnolenza diurna (OR 7.4). Questi risultati ci hanno portato a progettare uno studio sperimentale per valutare l’efficacia di un apparecchio di avanzamento mandibolare (AAM) in un gruppo di adolescenti che presentavano al contempo bruxismo, russamento e frequenti cefalee. L’ipotesi è che nella patogenesi di tali comorbidità, vi sia un meccanismo comune, probabilmente legato alla respirazione durante il sonno, e che l’utilizzo di un AAM possa quindi avere un beneficio multiplo. Il trattamento a breve termine con un AAM sembra diminuire l’ARMM (fino al 60%) e migliorare il russamento e i mal di testa negli adolescenti. Tuttavia, l'esatto meccanismo di azione degli AAM rimane incerto; la loro efficacia può essere correlata sia al miglioramento della respirazione durante il sonno, ma anche all’influenza che questi apparecchi svolgono sul sistema masticatorio. Le interazioni tra il bruxismo nel sonno, la respirazione, e le cefalee, così come l'efficacia e la sicurezza a lungo termine degli AAM negli adolescenti, necessitano di ulteriori studi clinici.

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