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The first Kingdom of Burgundy : the history and archaeology of a successor state in the south eastern France and western SwitzerlandBoyson, David B. January 1990 (has links)
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'Il fault faire guerre pour paix avoir' : crusading propaganda at the Court of Duke Philippe le Bon of Burgundy (1419-1467)Heron, Andrew Glen January 1991 (has links)
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"Nos decanus et capitulum Ecclesie Bisuntine". Le chapitre cathédral de Besançon : un corps social et son insertion dans l'Etat bourguignon (1404-1477). / "Nos decanus et capitulum Ecclesie Bisuntine". Besançon's canon chapter : a social stratum and its insertion in the Burgundian State (1404-1477).Legendre, Sandrine 25 November 2011 (has links)
Le chapitre métropolitain de Besançon compte quarante-cinq chanoines dirigés par un doyen. Ce corps social a pour fonctions de desservir les deux cathédrales de Besançon, d'élire et de conseiller l'archevêque.L'étude de leurs origines géographiques et sociales, de leurs carrières et de leurs actions politiques permet de comprendre les relations de ce chapitre et de l'Etat bourguignon au XVème siècle. Cette étude est essentiellement réalisée par le biais des actes et des délibérations capitulaires. Elle s'accompagne de deux annexes proposopographiques.Le quartier capitulaire est un premier indice du mode et du niveau de vie des chanoines. La seconde moitié du XVème siècle est florissante : les maisons canoniales, souvent ruinées laissent la place à des bâtiments de meilleur qualité, les salles communes et les cathédrales subissent des travaux de réfection et d'embellissement.Entre 1404 et 1477, la collation ordinaire des quarante cinq prébendes canoniales reste majoritaire. Mais les ducs de Bourgogne, émettent des recommandations qui infléchissent le recrutement : la noblesse comtoise est remplacée par des membres de l'administration ducale, souvent d'origine bourgeoise, comtoise ou bourguignonne.Les cumuls et l'absentéisme sont fréquents à partir de 1440, entraînant une moins bonne discipline et des difficultés à desservir correctement le culte. Paradoxalement, la présence des membres de l'administration bourguignonne dans la chapitre élève la culture juridique et améliore la gestion du temporel.Au XVème siècle, l'espace comtois s'articule autour d'une capitale religieuse, Besançon, d'un pôle économique et financier, Salins et d'une capitale politique, Dole. On constate qu'une grande part des dignitaires du chapitre bisontin a une carrière antérieure à la collégiale Saint-Anatoile de Salins et a des liens familiaux avec les membres du Parlement dolois.Le chapitre et les archevêques font face à des luttes violentes avec la Commune entre 1390 et 1452. Les archevêques Alors que Girard d'Athies et Thiébaut de Rougemont sont des courtisans qui imposent leur puissance, Jean de Rochetaillée, diplomate de talent allié aux cercles polinois négocie le traité de Rouen de 1435. Son décès entraîne une crise de succession où le concile de Bâle est mêlé. Les relations du chapitre avec Quentin Ménard, que le duc impose, restent très froides. Enfin, le chapitre se montre capable de s'opposer aux volontés du duc en s'appuyant sur le Parlement de Dole et en trouvant un allié en Charles de Neuchâtel, un grand noble comtois, archevêque entre 1463 et 1498. / Besançon's urban chapter was a social unit composed of forty-five canons, led by a Dean. This order's role was to organize the service in Besançon's cathedrals, to elect the archbishop, and to advise him on important matters. Studying the social background and careers of its members allows us to better understand how Besançon's chapter fit into the political life of the state of Burgundy in the 15th century. This study's main sources are the chapter's deliberations and official records. Two prosopographical appendices supplement them.Studying the chapter's district yields the first clues as to the canons' lifestyle and social status. Built on a hillside, it was surrounded by a fortified wall. The Sainte-Brigide hospital, the capitular rooms and the archives were all shared buildings. The second half of the 15th century was also characterised by important works of renovation and improvement of their houses ans of both cathedrals.From 1404 to 1477, the usual mode of recruitment was through cooptation; the dukes of Burgundy would issue recommendations, which would in turn influence the selective process through which canons were nominated. The nobility of Franche-Comté which served the state of Burgundy was gradually replaced by members of the Duchy's civil service, often originating from Burgundy's or Franche-Comté's middle-classes. From 1440 onwards, it became more and more common for canons to hold several jurisdictions, or to fail to attend meetings regularly. This led to a loosening of discipline as well as difficulties in holding religious services. However, a growing relationship with Burgundy's administration led to the improvement of the chapter's legal knowledge as well as the management of worldly matters.Throughout the 15th century, three cities were at the heart of Franche-Comté: Besançon, its religious capital, Salins, its financial and economic centre, and, finally, Dole, its political heart. Most of the chapter's dignitaries had started their careers in the collegiate church Saint-Anatoile of Salins, and had family ties with members of the Parliament in Dole.Between 1390 and 1452, the chapter and the archbishops had to face violent struggles with the town authorities. The archbishops Girard d'Athies and Thiébaut de Rougemont were courtiers who had no qualms in imposing their own power. Jean de Rochetaillée, who came after them, was a diplomat allied to the political circles in Poligny, and had artfully negociated the Treaty of Rouen in 1435. His death led to conflicts regarding his succession, in which the Basel council got involved. The chapter's relationship with Quentin Ménard remained very distant, since his presence had been imposed by the Duke. The chapter finally demonstrated it was capable of resisting the Duke's will by relying on the Dole Parliament and by forging an alliance with Charles de Neuchâtel, who belonged to the Franche-Comté nobility and was archbishop from 1463 to 1498.
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Représentations, usages et pouvoirs de l'émotion dans le discours politique des ducs de Bourgogne (XIVe - XVe siècles) / Representations, Uses and Powers of Emotion in the Dukes of Burgundy’s Political Discourse (14th – 15th centuries)Smagghe, Laurent 13 November 2010 (has links)
Manifestation extérieure des secrets mouvements de l’âme, l’émotion possède un caractère universel, mais les sociétés fondent pour partie leur cohérence sur des pratiques communes de l’affectivité qui peuvent l’emporter sur cette expérience individuelle. Le prince, dont le corps et le geste concentrent les regards, n’échappe pas aux injonctions d’un habitus idéal dans lequel les émotions jouent un rôle essentiel, entre valorisation et transgression. Cette étude a l’ambition de montrer en quoi celles-ci sont convoquées en renfort de la communication politique. L’espace des Pays-Bas bourguignons des deux derniers siècles du Moyen Âge a été retenu, et l’on a voulu délimiter le contexte culturel à l’origine d’un discours de l’émotion pour le gouvernant, en retenant un corpus de sources diversifié. Une réflexion préalable sur la dimension protéiforme du corps et sur le portrait émotionnel du prince idéal permet de mettre en évidence une affectivité et une expressivité particulières pour celui-ci. Ces caractères sont des préalables pour l’usage privilégié de la colère, omniprésente dans les sources, dont la représentation sert l’exercice de la justice mais peut également conduire à des passages à l’acte préjudiciables pour la dignité et la majesté. Entre la joie des manifestations festives et les souffrances qui semblent consubstantielles à l’exercice du pouvoir, les auteurs esquissent un portrait du prince d’émotion bourguignon difficilement réductible à nos catégories modernes, ce dont rend bien compte la polysémie des larmes. Au-delà des stratégies narratives, il est cependant possible de proposer des pistes pour élucider la nature des émotions proposées ainsi que leur insertion dans un discours global sur le pouvoir. / As an outward manifestation of the soul’s secret moves, emotion has a universal dimension. However, societies establish part of their consistency upon a common practice of feelings which may override individual experience. The ruler, whose body and gesture are the centre of every attention, cannot elude injunctions of an ideal habitus in which emotions play a substantial part, between promotion and transgression. This study emphasizes the extent to which emotions support political communication. The Burgundian Low Countries in the Late Middle Ages have been examined, and the cultural context in which emotion as a ruling practice emerged has been outlined, thanks to a diversified corpus of sources. In a first part, the study of the body’s protean dimension reveals that the ruler’s ideal image embodies specific feelings and expressiveness. These characteristics prelude to a privileged use of an omnipresent anger in sources, to which the exercise of power and justice owe more than a little. Yet, this emotion is also likely to drive the ruler to a detrimental acting out for his dignity and majesty. Between joy demonstrated in the context of a culture of feasts, and pain which seems to be consubstantial to power, emerges the portrait of the emotional prince of Burgundy which can not be outlined with modern categories of language, as shown by the ambiguity of tears. Beyond narrative strategies, it is yet possible to propose some perspectives of interpretation to elucidate the nature of proposed emotions and the way they may be integrated in a general ideology of power.
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Hapsburg-Burgundian Iconographic Programs and the Arthurian Political Model: The Expression of Moral Authority as a Source of PowerHADERS, THOMAS MICHAEL 23 April 2008 (has links)
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A Study of the Secular Music of the Major Composers at the Court of Burgundy in the Fifteenth CenturyCouch, Reginald Leon 01 1900 (has links)
The present work is intended to ascertain the most important stylistic developments of one major composer, Binchois, and several lesser composers: Grenon, Fontaine, Vide, Joye, Constans, Morton and Hayne. All of these musicians were employed by Philip the Good, Duke of Burgundy (1420-1467), when he was one of the richest, most powerful and most respected of all the sovereigns of Europe.
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Étude sur l'oeuvre de Jacques du Clercq : le témoignage d'un Arrageois sur l'histoire de son temps / Studies on the work of Jacques du Clecq : Testimony of an Arrageois about history of his timeColella-Denis, Loïc 10 December 2015 (has links)
Les mémoires de Jacques du Clercq appartiennent à l'importante production historiographique qui naît, au milieu du XVe siècle, dans le giron des Valois de Bourgogne. Nous proposons une étude de ce texte en suivant trois axes de recherche principaux. Il s'agit d'abord d'étudier la personnalité de l'auteur inconnu qu'étaient Jacques du Clercq en nous arrêtant, notamment, sur son milieu familial. Il est essentiel, également de jauger ses lectures et donc des sources qu'il utilisa pour disserter sur l'histoire de son temps. Dans un second temps, nous étudions la manière dont il conduit la rédaction de son texte. Enfin, naturellement, il s'agit de s'intéresser, dans une troisième partie, à sa pensée politique. / The memories of Jacques du Clercq belongs to the important historiographical production which is born, in the middle of the XVth century, in the environment of the Valois of Burgundy. We propose a study of this text by following three main areas of research. First, we study the personnality of the unknown author whom was Jacques du Clercq and is family's background. The analyse of his sources of information, which he used to talk about the history of his time, was essential to. In a second part, we study the way he composed his text. Finally, we invoke the problematic of his political thought.
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La guerre, le Prince et ses sujets. Les finances des Pays-Bas bourguignons sous les règnes de Marie de Bourgogne et de Philippe le Beau (1477-1506) / The War, the Prince and his Subjects. The Finances of the Burgundian Netherlands under the Reigns of Mary of Burgundy and Philipp the Fair (1477-1506)Sablon du Corail, Amable 02 December 2017 (has links)
Entre 1477 et 1493, l’État bourguignon traversa la plus grave crise de son existence. Face à Louis XI, les successeurs de Charles le Téméraire durent d’abord défendre l’intégrité territoriale de leurs possessions. À l’intérieur de celles-ci, ils furent confrontés aux revendications des villes de Flandre et de Brabant, porteuses d’un projet politique fondé sur l’autonomie urbaine. Au contexte politique très difficile, s’ajoute une conjoncture défavorable, en raison du très haut niveau des salaires, et donc du coût de la guerre, à la fin du XVe siècle. Les structures financières et militaires de l’État bourguignon montrèrent très vite leurs limites, obligeant les capitaines de Maximilien de Habsbourg à vivre d’expédients, de réquisitions et de pillages. Après la défaite des rebelles de Flandre, de Hollande et de Brabant, l’État bourguignon, désormais recentré sur les Pays-Bas, poursuivit son intégration sous le règne de Philippe le Beau. L’acceptation d’une fiscalité commune, débattue dans les assemblées représentatives des principautés et aux États généraux, est au cœur de ce processus. / Between 1477 and 1493, the Burgundian state was confronted with the most serious crisis of its history. Against Louis XI, the successors of Charles the Bold had to defend the territorial integrity of his heritage. Within the Burgundian Netherlands, they were challenged by the claims of the largest Flemish and Brabantine cities, who promoted a political agenda based on urban autonomy. Besides the political background, the economic environment raised other difficulties, owing to the general high level of wages, which dramatically increased the cost of war at the end of the XVth century. The fiscal and military structures of the Burgundian state quickly found their limits and collapsed several times, forcing Maximilian’s captains to live by one’s wits, requisitioning supplies, extorting money or plundering the countryside, so that the inability of the medieval state to lastingly finance war invariably led to outbursts of violence. After the defeat of the Flemish-Brabantine revolt, the political integration of the Habsburg-Burgundian Netherlands made continuous progress. The rise of a common tax system, discussed at the States-General, without offending the strong particularism of the Netherlands principalities, played a crucial role in this process.
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Marie de Bourgogne et le Grand Héritage : l’iconographie princière face aux défis d'un pouvoir en transition (1477-1530) / Mary of Burgundy and the Great Heritage : princely iconography facing the challenges of power in transitionKaraskova, Olga 21 March 2014 (has links)
Marie de Bourgogne (1457–1482), fille unique de Charles le Téméraire et de ce fait « la plus grande héritière qui fust de son temps », a jusqu’ici attiré assez peu d’attention de la part des spécialistes du XVe siècle. Une figure ambiguë, dont l’image oscille entre deux concepts opposés : une duchesse faible et inexpérimentée, qui ne joua qu'un rôle de pion dans la grande partie diplomatique entre l’Empire et la France, – ou bien une princesse résolue et indépendante qui savait ce qu'elle voulait et réussit à imposer sa volonté, Marie reste généralement dans l'ombre de ses proches parents. Il semble bien que cette attitude envers la duchesse est surtout le fait de la politique de ses descendants et successeurs, qui employaient son image dans leurs propres intérêts. Désireux de légitimer la transition du pouvoir de la Maison de Valois à celle des Habsbourg, ils ont opté pour la représentation de Marie comme héritière de Bourgogne, dame noble et pieuse dévouée à son mari et à sa famille, et non comme une femme de pouvoir. Cette image de la princesse semble être si puissante que souvent les historiens furent amenés à croire que l’œuvre politique sous le règne de Marie était principalement l'affaire de son époux. Ils concentrèrent alors leur attention sur Maximilien, le faisant ainsi – volontairement ou non – le héros principal de l'épopée bourguignonne pendant les années de crise qui ont suivi la mort du Téméraire. Or la réalité fut plus complexe. Jamais réellement retirée de la vie politique, ne cessant de voyager à travers ses pays afin d'assurer et affirmer l'omniprésence de l'autorité ducale, suivant de près les affaires politiques, Marie prit aussi un soin tout particulier à la création et la promotion de son image. La jeune duchesse qui, dès son accès inattendu au pouvoir en janvier 1477, dut affronter les attaques et les intrigues de Louis XI ainsi que les émeutes de ses sujets, fut de toute évidence parfaitement consciente, non seulement d’être la dernière héritière de la glorieuse maison de Bourgogne-Valois, mais encore d’être en position de faiblesse de par sa condition de femme. Elle chercha alors des réponses adéquates à ses défis – réponses militaires et diplomatiques ainsi qu’« iconographiques ». Ses ambitions, de souligner les liens dynastiques, d’appuyer la légitimité de sa succession et de son pouvoir suo jure, d’affirmer ses droits aux pays bourguignons, ainsi que d’asseoir son autorité sur les sujets indociles, ont influencé considérablement sa conséquente politique de représentation. Une étude de cette politique, fondée sur le regroupement inédit d’œuvres littéraires, historiographiques et iconographiques, et leur analyse, nous permettra d’abord de souligner la construction et l’évolution symbolique de l’image de Marie de Bourgogne en tant que femme régnante, mais aussi de reconsidérer une période de l’histoire de l’État bourguignon, celle de la transmission du pouvoir de la maison de Valois de Bourgogne à la dynastie des Habsbourg. / Mary of Burgundy (1457-1482) as ruler seems to be rather a non sequitur topic for a study as her short reign – sandwiched between those more important of her belligerent father, Charles the Bold, and her imposing spouse, Maximilian of Austria – is often marginalized by researchers. A somewhat ambiguous figure, whose image hovers somewhere in the space limited by two opposing concepts – an inexperienced and weak duchess, a mere pawn in the great political game played between France and the Holy Roman Empire, and a self-determined young princess who knew what she wanted and managed to dictate her will, praised by her biographers, Mary still remains generally in the shade of her nearest kinsmen despite the abundant publications concerning the Duchy of Burgundy.This attitude towards Mary was mainly formed by the politics of her successors and descendants, who employed her image in their own interests; eager to legitimize the transition of power from the House of Valois to that of the Habsburgs, they opted for the representation of Mary as the heiress of Burgundy, a noble and pious lady devoted to her family, and not as an independent sovereign. This image of “Mary the Rich” appears to be so powerful that often historians focus their attention primarily on Maximilian, thus – involuntarily or not – making him the main hero of the Burgundian epic of the crisis years. The real situation was, however, more complex. Never in fact retired from political life, never ceasing to travel across her lands in order to ensure and state the ubiquity of ducal authority, Mary was taking great care in creating and promoting her image, sending out to her contemporaries easily recognizable signs communicating her strong sense of who she was and how she wished to be seen. Recollected and examined with closer attention, these symbolic messages could depict a different image of this “lady of the country”, who was “revered and feared more than her husband”, according to the omniscient Philippe de Commynes, and reveal the clear political and cultural intentions she wanted to convey. Based on a number of important works of literature, history and iconography associated with the duchess as well as on various accounts on her, provided either by her contemporaries or – in a certain manner – by herself, principally through performing highly symbolic acts or through artistic commissions, the present research aims thus to reassess the person and the actual role of Mary of Burgundy in the history of the Burgundian state.
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La nation anglo-allemande de l'Université de Paris pendant la domination anglo-bourguignonne (1418-1436)Drolet, Sébastien January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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