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Humanism at the University of Paris in the early RenaissanceMarcus, Leslie Bennett, 1937- January 1962 (has links)
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L'Université de Paris et le pouvoir royal sous le règne de Louis XI (1461-1483)Racicot, Annie January 2000 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La peregrinatio academica portugaise vers l'Alma mater parisienne, XIIe-XVe sièclesFarelo, Mário Sérgio January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le statut de la grammaire et la place de Donat dans les Communia gramatice : (anonyme, XIIIe siècle, ms. Paris, Bibliothèque nationale de France, fonds latin 16617, fol. 183rb-205vb)Létourneau, René 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Très peu, voire rien n'a été écrit sur la place du célèbre grammairien latin Donat (IVe siècle) dans les spéculations des maîtres es arts parisiens du milieu du XIIIe siècle, ni d'ailleurs sur le statut de la grammaire en tant que nouvelle science, au sens où l'entend Aristote dans les Seconds analytiques et le reste de son oeuvre. Le premier paradigme est intimement lié au second. On n'étudie pas n'importe quel livre à la Faculté des arts médiévale ; chacun représente un pilier du gigantesque édifice qu'est alors la disciplina philosophica : Donat, dans la science grammaticale, complète Priscien (VIe siècle). C'est pourquoi nous avons traité de ces deux thématiques : la "place de Donat" d'après le "statut de la grammaire", suivant l'ordre logique dudit raisonnement. Fondée essentiellement sur une édition et une traduction partielles des Communia gramatice - un compendium grammatical universitaire de cette époque - la crédibilité de notre étude est également soutenue par plusieurs autres sources directes, essentiellement la littérature universitaire de base. Nous avons voulu ainsi dresser le portrait littéraire le plus éclairant et le plus vraisemblable possible entourant l'état de la grammaire en plein coeur de la très influente Université de Paris médiévale.
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La nation anglo-allemande de l'Université de Paris pendant la domination anglo-bourguignonne (1418-1436)Drolet, Sébastien January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les discours de Pierre Plaoul au Parlement de Paris (1406) : un exemple des rhétoriques française et latine au Moyen Âge tardifCormier, David C. 08 1900 (has links)
Le 27 mai 1406, le théologien parisien Pierre Plaoul comparaît devant la cour du Parlement de Paris en tant que représentant de l’Université de Paris dans une affaire qui l’oppose à l’Université de Toulouse. Il y prononce un sermon en latin, ce que la cour lui reproche instantanément, lui demandant de parler en français pour la prochaine séance. Le 7 juin, lors de sa deuxième comparution, il parle cette fois en langue vernaculaire et prononce un discours extrêmement différent du premier, autant dans son genre que dans son registre de citations. Les deux discours sont conservés dans le registre X1a4787 des Archives nationales de France. L’édition des discours permet de comprendre le raisonnement derrière leurs différences, mais il permet surtout de constater que le discours français fait état d’une érudition encore plus grande que son homologue latin et que son orateur n’était nullement gêné par l’usage de la langue vernaculaire. Remis dans le contexte historiographique actuel, il en ressort que l’utilisation du français par Plaoul concorde parfaitement avec l’abandon du modèle de rapport diglossique entre latin et français pour la fin du Moyen Âge, lui préférant plutôt un rapport de langues en contacts. Ce postulat est soutenu par les nombreuses occurrences d’universitaires médiévaux démontrant une excellente maîtrise d’un registre savant de la langue vulgaire, des poètes, aux prédicateurs en passant par les practiciens du droit. Un examen plus attentif de l’utilisation de la langue française par les docteurs en théologie du règne de Charles VI vient aussi appuyer l’hypothèse selon laquelle les universitaires du bas Moyen Âge considéraient la langue vernaculaire comme un instrument approprié à la transmission de la culture savante. / On May 27th 1406, the Parisian theologian Pierre Plaoul appeared before the court of the Parliament of Paris as a delegate of the University of Paris. His alma mater was involved against the University of Toulouse in an affair concerning the great schism. Plaoul made a speech in Latin, which the court immediately reproved, intimating him to speak French the next time. He did so on his second appearance on June 7th, but in a speech dramatically different from the first one. The French speech had a different genre and cited different authorities. Both instances are preserved in the X1a4787 register of the Archives nationales de France. The edition of both speeches helps us to understand the motivation behind such dramatic changes in style. But above all, it shows that the French speech was perhaps even more scholarly than the Latin one, and that the orator was not at all hindered by the use of French rather than Latin. Further analysis of the text shows that this instance is totally in line with the actual research’s tendency. Rather than viewing the relation between the vernacular and Latin of the late Middle Ages as being diglossic, current research prefers a dynamic of language contact. This view is supported by the many instances of medieval academics exhibit an excellent mastery of high-level French, be they poets, preachers or practitioners of law. A closer look at the use of the vulgar language by the doctors of theology during the reign of Charles VI also supports the hypothesis according to which late medieval scholars considered French as an apporiate mean of transmission for scholarly culture.
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La nation anglo-allemande de l'Université de Paris pendant la domination anglo-bourguignonne (1418-1436)Drolet, Sébastien January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les collèges normands à Paris à la fin du Moyen Äge. Histoire institutionnelle et étude prosopographique de leur recrutement / Norman Colleges in Paris in the late Middle Age. An institutional history and Prosopographic Analysis of their RecruitmentBernard-Schweitzer, Marion 20 January 2018 (has links)
Les collèges universitaires, qui se multiplièrent à Paris à compter de la seconde moitié du XIIIe siècle, jouèrent au cours des XIVe et XVe siècles un rôle croissant au sein de l’Université. Plusieurs de ces établissements étaient destinés à l’accueil d’étudiants d’origine normande, qui choisissaient le plus souvent la capitale du royaume de France pour y poursuivre leurs études. Ce travail se consacre à l’étude de quatre d’entre eux, les collèges du Trésorier (fondé en 1268), d’Harcourt (fondé en 1311), de Justice (fondé en 1349) et de Maître-Gervais (fondé en 1371) ; textes de fondation et textes statutaires livrent de précieux éléments sur leur constitution et leur organisation. Ces établissements accueillirent jusqu’à la fin du Moyen Âge plusieurs centaines de maîtres et étudiants ; une étude prosopographique permet de déterminer les principales caractéristiques de ces socii : origine géographique et sociale, études et carrière au sein de l’Université, détention de bénéfices ecclésiastiques. Les sources permettent également de saisir l’existence d’un réseau de relations entre ces maîtres et étudiants, dont la nation de Normandie et les collèges se faisaient les relais. Le tome 2 présente une édition de pièces justificatives (actes de fondation, statuts, comptes) ainsi que des fiches prosopographiques. / University colleges, multiplied in Paris from the second half of the thirteenth century ; during the fourteenth and fifteenth centuries, they played a growing role within the University. Several of these were meant host scholars of Norman origin, who most often chose the French royal capital to further their education. This thesis is devoted to the study of four of them ; the colleges of Trésorier (founded in 1268), Harcourt (1311), Justice (1349) and Maître-Gervais (1371); the acts of foundation and statutory texts provide valuable information on their creation and organization. Until the end of the Middle Ages, these colleges welcomed several hundred masters and students; a prosopographic study helps determining their main characteristics: geographical and social origins, studies and careers within the University, possession of ecclesiastical benefices. The sources also make it possible to grasp the existence of a network of relationships between these masters and students, which the Norman nation and the colleges were fostering. The second volume of this thesis gathers several edited document, including: foundation acts, statutes, accounts, as well as prosopographic files.
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Les professeurs de l'université de Paris au XIXème siècle et le droit romain / The professors at the university of Paris in the XIXth century and roman lawDucret, Patricia 16 November 2012 (has links)
Notre recherche sur les professeurs de droit romain à l’Université de Paris au XIXe siècle tente de démontrer la constitution d’une école historique. La prosopographie met en lumière le milieu géographique et social des professeurs par le biais des contrats de mariage, des déclarations de successions et des inventaires après décès. Après avoir examiné la vie privée des romanistes, nous avons étudié leur parcours depuis leurs études doctorales jusqu’à l’obtention d’une chaire, en observant le mode d’accès au professorat. Nous avons aussi voulu mettre en exergue leur choix de carrière : la recherche, l’enseignement, la carrière administrative, la pratique juridique, la magistrature ou la politique. Enfin, nous voulions déterminer dans quelle mesure il existait une école historique chez les romanistes, malgré le carcan exégétique. Pour cela nous les avons dissociés des civilistes et avons recherché leurs spécificités puisqu’ils s’en différenciaient dans leurs conceptions et méthodes d’enseignement, comme en témoigne leur production scientifique. Nos sources nous ont conduite à puiser dans le vaste patrimoine que constituent leurs oeuvres pour déterminer les domaines du droit romain qu’ils privilégiaient. Les romanistes ont réussi à faire triompher une méthode évolutive, même sous l’emprise exégétique, pour constituer progressivement ce que nous appelons une « école historique romaniste / Our research concerning the professors of Roman Law at the University of Paris in the XIXth century attempts to demonstrate the emergence of a historical school of thought. It’s prosoprography that brings to light the Professors’ geographical and social environment through marriage contracts,declarations of inheritance and inventories after death. After examining at the Romanists’ private life,we studied both their career paths from their PhD studies up to their professorships and the means of access to this Professorship.We also intended to highlight their career choices : research, teaching,administrative responsibilities, practice of law, judiciary or politics. Finally, we aimed to determine the extent to which a Romanist historical school of thought existed in spite of the exegetical straightjacket. To reach that goal, we separated them from the Civilists and looked at their own specificities as they differed in both the conception and the methods of teaching as shown by their scientific output. Our sources led us to draw on their works to determine which fields of Roman Law they would have favoured. The Romanists succeeded in ensuring the triumph of an evolutionary approach, despite being under an exegetical constraint, which gradually built up to what we can definitively call a “Romanist historical school of thought
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