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The Great Schism

Maxson, Brian Jeffrey 19 March 2018 (has links)
The Great Schism was a period in European history between 1378 and 1417 during which two and sometimes three people claimed to be the legitimate pope. The Great Schism began after several cardinals argued that the election of Pope Urban VI in 1378 had been coerced by a hostile mob in Rome. The cardinals subsequently elected a different, competing pope, Clement VII. Different rulers in Europe supported one of the two popes, usually due to political expediency more than religious sentiment or legal arguments. The Great Schism eventually ended with the election of a single pope, Martin V, in 1417; however, the power of the papacy was dealt an irrevocable blow.
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Les humanistes français face aux crises du début du XVe siècle / French humanists face up with critical times at the beginning of the XVth century

Jollivet, Lucie 13 December 2013 (has links)
Le royaume de France connaît durant la première moitié du XVe siècle une série de crises qui affectent l’ensemble de la société et engendrent un profond bouleversement. Alors que les humanistes français livrent déjà une âpre bataille philologique et littéraire contre leurs adversaires italiens, pour exercer le leadership culturel de l’Europe, ils élaborent en parallèle un projet de société, afin de guérir cette dernière des maux qui l’accablent. L’enjeu de notre recherche réside donc dans l’identification du projet humaniste français et de ses ténors, en croisant sources « littéraires » et données historiques, ce qui permet de réviser la vision actuelle de l’humanisme.Dans un ensemble d’oeuvres à première vue hétérogène et dont certaines sont encore inédites, allant du poème à l’exégèse biblique, Pierre d’Ailly, Nicolas de Clamanges, Jean Gerson et Alain Chartier, qui exercent des fonctions très différentes, expriment le même amour de la patrie. Un à un, les fauteurs de crise sont dénoncés, les péchés de chacun révélés, le diagnostic établi. Pour mener leur tâche à bien, les auteurs usent de tout leur talent, de larges connaissances et surtout de méthodes critiques qu’ils veulent rationnelles afin d’éclairer des textes parfois obscurs et controversés. Sur cette base, ils esquissent les contours d’un monde rénové par la réactualisation du pacte conclu avec Dieu, condition indispensable du retour à la paix. Alors, les pouvoirs spirituel et temporel pourront restaurer le droit en mettant sur pied une norme plus rigoureuse, en particulier en matière d’homicide. Les chrétiens évoluant ainsi dans un monde où règneront la concorde et la justice pourront enfin accéder au bonheur / Le royaume de France connaît durant la première moitié du XVe siècle une série de crises qui affectent l’ensemble de la société et engendrent un profond bouleversement. Alors que les humanistes français livrent déjà une âpre bataille philologique et littéraire contre leurs adversaires italiens, pour exercer le leadership culturel de l’Europe, ils élaborent en parallèle un projet de société, afin de guérir cette dernière des maux qui l’accablent. L’enjeu de notre recherche réside donc dans l’identification du projet humaniste français et de ses ténors, en croisant sources « littéraires » et données historiques, ce qui permet de réviser la vision actuelle de l’humanisme.Dans un ensemble d’oeuvres à première vue hétérogène et dont certaines sont encore inédites, allant du poème à l’exégèse biblique, Pierre d’Ailly, Nicolas de Clamanges, Jean Gerson et Alain Chartier, qui exercent des fonctions très différentes, expriment le même amour de la patrie. Un à un, les fauteurs de crise sont dénoncés, les péchés de chacun révélés, le diagnostic établi. Pour mener leur tâche à bien, les auteurs usent de tout leur talent, de larges connaissances et surtout de méthodes critiques qu’ils veulent rationnelles afin d’éclairer des textes parfois obscurs et controversés. Sur cette base, ils esquissent les contours d’un monde rénové par la réactualisation du pacte conclu avec Dieu, condition indispensable du retour à la paix. Alors, les pouvoirs spirituel et temporel pourront restaurer le droit en mettant sur pied une norme plus rigoureuse, en particulier en matière d’homicide. Les chrétiens évoluant ainsi dans un monde où règneront la concorde et la justice pourront enfin accéder au bonheur
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Le scandale aux XIVe et XVe siècles d'après les chroniques contemporaines en latin et en français / The scandal in the fourteenth and fifteenth centuries according to contemporary chronicles in Latin and French

Demichelis, Hélène 08 April 2017 (has links)
Les XIVe et XVe siècles sont une époque de bouleversements des valeurs spirituelles et morales accompagnés d’un éveil de l’opinion publique. L’État se construit et autour du roi une société politique se constitue : ce sont les principaux protagonistes des chroniques. L'étude du scandale aux XIVe et XVe siècles d'après les chroniques contemporaines offre un panel d'exemples variés permettant l’analyse de pratiques ou de discours que l’on peut qualifier d’émotionnels. Ces recherches se tournent vers une histoire politique plus attentive aux acteurs qui jouent un rôle important dans l’histoire des pouvoirs. Les textes permettent de retrouver la définition du scandale donnée par les chroniqueurs. Elle sort des cadres officiels pour devenir celle de l'auteur, lui-même se faisant le reflet des sensibilités. C’est un événement qui choque, sort de la norme et provoque du bruit et du tapage. Il heurte la morale et cause l'indignation lorsque les affaires sont mises au grand jour. Les chroniqueurs partagent avec leurs contemporains une peur réelle du scandale et de ses conséquences. Il faut le dénoncer et y mettre fin pour échapper à la colère divine qu'il peut susciter. L'analyse du vocabulaire et de la communication construite autour de cette notion permet de comprendre comment le scandale est perçu et défini par ses acteurs. Le rôle joué par le pouvoir royal dans la gestion de ces affaires montre que celui-ci, à la fin du XVe siècle tend vers une institutionnalisation du scandale. / The fourteenth and fifteenth centuries are times of upheavals in spiritual and moral values followed by a wakening of public opinion. The State is arising as well as a political society which represents, along the king, the main actors in chronicles. The study of scandal in the fourteenth and fifteenth centuries according to contemporary chronicles offers a range of diversified examples which enable the study of practices or speeches that can be qualified as emotional. These studies are part of a political history more attentive to the actors who seem to play an important role in the history of powers. Texts allow to find the definition of the scandal given by the chroniclers. It goes beyond official frameworks to become that of the author who reflects himself the sensibilities. Scandal appears to be shocking and it represents what oversteps the norm and triggers rumour and fuss. It goes against all conventions and causes indignation when the light is thrown on. Chroniclers share with their contemporaries a real fear of scandal and its consequences so it has to be denounced and ended in order to avoid the divine wrath that can be lead to.The analysis of the vocabulary and the communication built around this notion allow to understand how the scandal is perceived and defined by the actors. The role played by the royal power in the management of its affairs shows that this one, at the end of the fifteenth century, moves towards an institutionalization of the scandal.
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Les discours de Pierre Plaoul au Parlement de Paris (1406) : un exemple des rhétoriques française et latine au Moyen Âge tardif

Cormier, David C. 08 1900 (has links)
Le 27 mai 1406, le théologien parisien Pierre Plaoul comparaît devant la cour du Parlement de Paris en tant que représentant de l’Université de Paris dans une affaire qui l’oppose à l’Université de Toulouse. Il y prononce un sermon en latin, ce que la cour lui reproche instantanément, lui demandant de parler en français pour la prochaine séance. Le 7 juin, lors de sa deuxième comparution, il parle cette fois en langue vernaculaire et prononce un discours extrêmement différent du premier, autant dans son genre que dans son registre de citations. Les deux discours sont conservés dans le registre X1a4787 des Archives nationales de France. L’édition des discours permet de comprendre le raisonnement derrière leurs différences, mais il permet surtout de constater que le discours français fait état d’une érudition encore plus grande que son homologue latin et que son orateur n’était nullement gêné par l’usage de la langue vernaculaire. Remis dans le contexte historiographique actuel, il en ressort que l’utilisation du français par Plaoul concorde parfaitement avec l’abandon du modèle de rapport diglossique entre latin et français pour la fin du Moyen Âge, lui préférant plutôt un rapport de langues en contacts. Ce postulat est soutenu par les nombreuses occurrences d’universitaires médiévaux démontrant une excellente maîtrise d’un registre savant de la langue vulgaire, des poètes, aux prédicateurs en passant par les practiciens du droit. Un examen plus attentif de l’utilisation de la langue française par les docteurs en théologie du règne de Charles VI vient aussi appuyer l’hypothèse selon laquelle les universitaires du bas Moyen Âge considéraient la langue vernaculaire comme un instrument approprié à la transmission de la culture savante. / On May 27th 1406, the Parisian theologian Pierre Plaoul appeared before the court of the Parliament of Paris as a delegate of the University of Paris. His alma mater was involved against the University of Toulouse in an affair concerning the great schism. Plaoul made a speech in Latin, which the court immediately reproved, intimating him to speak French the next time. He did so on his second appearance on June 7th, but in a speech dramatically different from the first one. The French speech had a different genre and cited different authorities. Both instances are preserved in the X1a4787 register of the Archives nationales de France. The edition of both speeches helps us to understand the motivation behind such dramatic changes in style. But above all, it shows that the French speech was perhaps even more scholarly than the Latin one, and that the orator was not at all hindered by the use of French rather than Latin. Further analysis of the text shows that this instance is totally in line with the actual research’s tendency. Rather than viewing the relation between the vernacular and Latin of the late Middle Ages as being diglossic, current research prefers a dynamic of language contact. This view is supported by the many instances of medieval academics exhibit an excellent mastery of high-level French, be they poets, preachers or practitioners of law. A closer look at the use of the vulgar language by the doctors of theology during the reign of Charles VI also supports the hypothesis according to which late medieval scholars considered French as an apporiate mean of transmission for scholarly culture.
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Les Français à Constance : Participation au concile et construction d’une identité nationale (1414-1418) / The French in Constance (1414 – 1418) : the participation in the Council and the building of a national identity

Vallery-radot, Sophie 17 May 2011 (has links)
Le concile de Constance est convoqué par le pape Jean XXIII en vue de mettre un terme au schisme qui déchire la chrétienté occidentale depuis 1378. Les Pères conciliaires sont également désireux de réformer l’Église et de mettre un terme aux abus qui y règnent. En tout état de cause, rien ne laisse supposer d’un premier abord que le concile de Constance soit l’occasion pour les Français qui s’y trouvent d’affirmer et de construire leur identité nationale. Pourtant, l’organisation du concile en nations favorise le regroupement des Français et rend nécessaire des prises de décisions communes. Entre 1415 et 1417, si les divergences existent entre les membres de cette nation composite, le sentiment national et la défense d’intérêts communs prennent une place croissante. Par ailleurs, la translation de la guerre de Cent Ans au concile rend les relations des nations anglaise et française de plus en plus conflictuelles. L’alliance du roi des Romains Sigismond avec Henri V isole les Français au concile. Face à toutes ces difficultés, la plus grande partie des membres de la nation française tend à s’unir et à faire corps autour de l’ambassade de Charles VI. Au nom de la loyauté envers la couronne, l’ambassade du roi de France cherche à prendre le contrôle de la nation française et à orienter ses décisions de façon à les rendre conformes aux intérêts du roi. / Pope John XXIII convened the oecumenical council of Constance to end the schism splitting the western Christianity since 1378. The council Fathers were also eager to reform and rid the Church of the prevailing influence peddling. Anyhow, at first glance nothing suggested that the council of Constance would give the attending French party an opportunity to assert and build up their national identity.Still, the council’ organisation around nations prompted the French to pool together and called for common stances in decision-making. Between 1415 and 1417, while differences still existed amongst the members of this composite nation, a feeling of national loyalty and the fight for common interests became increasingly important.In addition, due to the emergence of the 100 years’ war in the midst of the council, the French-English relationships became ever more conflicting. The French were isolated in the council as a result of the Roman king Sigismond’ alliance with Henry V.As a result of these mishaps, most members of the French nations felt prompted to unite and stand solidly behind Charles VI’ ambassadors.In the name of their pledge of allegiance to the Crown, the French king’s embassy endeavoured to gain control of, and orientate the French nation’s decision in a sense favouring the king’s interest.
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České země a avignonské papežství v letech 1378-1419, diplomatické aspekty / The Czech lands and the avignon papacy in the period 1378-1419, diplomatic aspects

Vlková, Tereza January 2012 (has links)
0 ABSTRACT In my thesis I focus on the political situation in the Kingdom of Bohemia and the Kingdom of France during the Great Western Schism, particularly its first two thirds. I put emphasis on the personality of Honoré Bovet, who was a diplomat and a messenger of the French king and who visited the court of the Bohemian king, Wecleslas IV. in 1399 My work is based on primary and secondary sources and scientific and specialised literature concerning the subject mentioned above. In addition I made use of my one- semester study program in France where I attended the lectures of and consultations with French medieval historians. First I describe in the thesis the ecclesiastical and political situation in both kingdoms. The next chapters are dedicated to the personality of Honoré Bovet and his writings related to his opinion on the Great Western Schism and the church in general. As a result of the research I present a general attitude of the French Kingdom to the Bohemian Kingdom, particularly king Wenceslas IV, in the period of the Great Western Schism and the dual papacy. Moreover, based on his writings I express Bovet's view of the Schism and the personalities involved in the Schism.

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