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" Un peuple se sauve lui-même" Le Solidarity Movement et la restructuration de l'activisme afrikaner en Afrique du Sud depuis 1994

Thibault-Couture, Joanie 01 1900 (has links)
Malgré la déliquescence du nationalisme afrikaner causée par la chute du régime de l’apartheid et la prise du pouvoir politique par un parti non raciste et non ethnique en 1994, nous observons depuis les années 2000, un renouvèlement du mouvement identitaire afrikaner. L’objectif de cette thèse est donc de comprendre l’émergence de ce nouvel activisme ethnique depuis la transition démocratique. Pour approfondir notre compréhension du phénomène, nous nous posons les questions suivantes : comment pouvons-nous expliquer le renouvèlement de l’activisme afrikaner dans la « nouvelle » Afrique du Sud ? Comment sont définis les nouveaux attributs de la catégorie de l’afrikanerité ? Comment les élites ethnopolitiques restructurent-elles leurs stratégies pour assurer la pérennité de la catégorie dans l’Afrique du Sud post-apartheid ? Qu’est-ce que la résurgence d’une afrikanerité renouvelée nous apprend sur l’état de la cohésion sociale en Afrique du Sud et sur la mobilisation ethnolinguistique en général ? La littérature sur le mouvement post-apartheid fait consensus sur la disparition du nationalisme afrikaner raciste, mais offre peu d’analyses empiriques et de liens avec les nombreux écrits sur le mouvement nationaliste afrikaner pour comprendre les dynamiques de ce nouveau phénomène et effectue peu de liens avec les nombreux écrits sur le mouvement nationaliste afrikaner. Notre argument est que le nouvel activisme afrikaner est en continuité avec la trajectoire du nationalisme afrikaner, plus précisément avec le courant conservateur. Les entrepreneurs ethnopolitiques suivent les voies tracées par leurs prédécesseurs en reproduisant des stratégies politiques, institutionnelles ainsi qu’une structure idéologique dont les fondements sont semblables à ceux du mouvement nationaliste. Les entrepreneurs ethnopolitiques structurent l’activisme afrikaner selon trois processus. D’abord, ils procèdent au cadrage des nouveaux attributs de la catégorie en faisant notamment de l’autosuffisance communautaire, le cœur de l’afrikanerité. Ensuite, ils essayent d’institutionnaliser une nouvelle catégorie identitaire, qu’ils appellent les minorités discrimines raciales et ethniques. Ce processus de group-making vise à susciter une action collective déployée autant au niveau national qu’international, pour exercer une pression sur le gouvernement de l’ANC, accusée de discriminer les Afrikaners. Enfin, les entrepreneurs ethnopolitiques mettent sur pied un réseau d’organisations ethniques pour assurer la reproduction de l’afrikanerité et assurer la survie ethnique. Ces niches écologiques permettent de se substituer à l’État en offrant aux membres de la communauté des services et en créant des espaces réservés à la routinisation de l’afrikanerité. / The thesis aims at understanding the restructuration processes of the Afrikaner movement following the South African democratic transition. Despite the collapse of Afrikaner nationalism caused by the end of the apartheid regime and the seizure of political power by a non-racist and non-ethnic party in 1994, we have seen a renewal of the Afrikaner identity movement since the 2000s. The aim of this thesis is therefore to understand the emergence of this new ethnic activism since the democratic transition. To deepen our understanding of the phenomenon, we ask the following questions: how can we explain the renewal of Afrikaner activism in the « new » South Africa? How are the new attributes of the Afrikaner category redefined? How do the ethnopolitical elites restructure their strategies to ensure the reproduction of the category within the new national context? What does the resurgence of a renewed Afrikanerity tell us about the state of social cohesion in South Africa and the ethnolinguistic mobilization in general? The literature on the post apartheid movement makes consensus on the death of the racist Afrikaner nationalism but offers little empirical analysis to understand the dynamics of this new phenomenon and the links with the many writings on Afrikaner nationalism are not made. To remedy these empirical shortcomings, our argument is that the new Afrikaner activism is in continuity with the trajectory of Afrikaner nationalism, more precisely with the conservative current. Ethnopolitical entrepreneurs follow the paths traced by their predecessors by reproducing political and institutional strategies as well as an ideological structure whose foundations are similar to those of the nationalist movement. However, continuity means that institutions must adapt to changing contexts in order to persist over time. In our case, the democratic transition has paved the way for institutional adaptation processes and historical awakening. Afrikaner activism is restructured through three processes. Ethnopolitical entrepreneurs are engaged in a framing process of the new attributes of the category in which community self-sufficiency is defined as the heart of Afrikanerity. Then, these elites try to institutionalize a new category as the new foundation of the political action of the movement. This is how ethno-political entrepreneurs mobilize what they call discriminated racial and ethnic minorities. This group-making process aims to stimulate collective action by depicting a frame of injustice to prove that Afrikaners are discriminated against by the government. This political strategy is deployed both nationally and internationally to exert pressure on the ANC government. Finally, ethnopolitical entrepreneurs have set up a network of ethnic organizations to ensure the reproduction of Afrikanerity and ensure ethnic survival. These ecological niches make it possible to replace the State by offering the members of the community services and by creating spaces for the routinization of Afrikanerity.
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Youth employment incentives : activation policy in Denmark, France and the United Kingdom (2008-2016)

Dinan, Shannon 06 1900 (has links)
Les jeunes (15 à 29 ans) sont particulièrement vulnérables aux chocs économiques et la capacité à intégrer le marché du travail est une étape importante influençant leur bien-être à long terme. La crise financière de 2007-08 a donc eu des effets importants sur eux. En réponse, les États capitalistes avancés ont adopté une série de politiques pour aider les jeunes. Pourtant, malgré ces nouvelles politiques, les dépenses publiques pour le marché du travail n’ont pas augmenté de manière stable lors de la période. Les analyses récentes semblent confirmer qu’au lieu d’investir dans les programmes plus dispendieux, les États adoptent des politiques axées sur une rhétorique de droits et de responsabilités. En effet, selon certains chercheurs, les États ont adopté des politiques qui créent des incitatifs pour joindre le marché du travail au lieu d’investir dans le capital humain. La recherche actuelle appuie l'argumentaire que les États-providence convergent autour de politiques de faible coût. Nonobstant les pressions pour le changement, les États ont différents besoins. Ainsi, il reste improbable qu’ils adoptent les mêmes solutions. Aucune analyse récente n’a étudié les politiques d’emploi des jeunes adoptées depuis la crise financière. Cette thèse pose alors la question, comment est-ce que les États-providence ont modifié leurs politiques de transition depuis la crise financière? La thèse répond à cette question à partir de trois cadres analytiques du changement politique. Ces cadres sont appliqués à trois études de cas : le Danemark, la France et le Royaume-Uni. Afin de pleinement considérer ces politiques dans toute leur complexité, cette thèse se sert d'une typologie des incitatifs d'activation pour comparer des mélanges d'instruments entre gouvernements. Une fois les mélanges d'incitatifs déterminés, une analyse de process-tracing détermine comment les États ont modifié leurs politiques de transition depuis la crise financière. Ces recherches nous permettent de constater que ces trois pays ont adopté de nouvelles politiques pour l’emploi des jeunes depuis la crise financière. Dans chaque étude de cas, les États ont adopté des politiques qui perpétuent la logique d’action dominante. Or, chaque étude de cas a aussi adopté des politiques qui dévient de la logique d’action dominante. Ces changements sont expliqués à l'aide de trois cadres théoriques, l'apprentissage, les ressources et l'institutionnalisme historique. Cette recherche contribue à la littérature de l'État-providence en outrepassant la littérature existante et donnant un rapport détaillé des politiques d'activation pour les jeunes et de leur adoption depuis la crise financière. / Youth (15 to 29-year-olds) are vulnerable to economic shocks, and the ability to enter the labour market has significant effects on their long-term wellbeing. Consequently, the 2007-08 financial crisis had the potential to affect youth gravely, which is why welfare states adopted a series of policy initiatives to help youth in the post-crisis. Although countries adopted policies, traditional data such as labour market policy expenditures do not reveal increased spending consistent with higher unemployment levels. Research also shows welfare states have favoured policies that reinforce incentives to join the labour market and help individuals market their skills over more expensive policies that invest in human capital since the financial crisis. These analyses support the argument welfare states are converging around low-cost policies. These pressures notwithstanding, the adoption of similar policies is unusual because the needs between countries remain diverse. For that reason, and despite the factors inhibiting change, countries should not be adopting the same policies to respond to high youth unemployment. This dissertation investigates this complex policy environment by using a typology of activation incentives to compare policy instrument mixes between governments. Process-tracing is then used to determine how welfare states modified their youth employment policies since the financial crisis. First, qualitative data is used to identify the different policy mixes adopted in each case. Second, the policymaking process is analyzed using process-tracing methods. Research findings indicate all three cases, Denmark, France, and the United Kingdom, adopted new youth policies after the financial crisis. In addition to funding policies that continue typical logics found in each country, evidence shows each case adopted policies that deviate from established logics. These results are explained using three theoretical frameworks to identify mechanisms for change: policy learning, power resources and historical institutionalism. For each case, the dissertation outlines how these factors interacted to affect the policymaking process. This research contributes to welfare state literature by going beyond existing quantitative analysis to provide an in-depth account of youth activation policies and the policymaking process in the post-crisis.
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L'évolution historique de la politique monétaire chinoise / The historical evolution of china’s monetary policy

Han, Junyu 22 June 2017 (has links)
Au cours des six dernières décennies, la Chine a connu un passage d’une économie planifiée à une économie de marché. Durant la même période, un changement profond a eu lieu dans les instruments et la mise en œuvre de la politique monétaire. Cependant, jusqu’à présent, la politique monétaire chinoise se distingue considérablement de celui des économies de marché développées. Durant la période de l’économie planifiée, la Chine a adopté le système de la banque unique et le système de gestion des crédits hautement centralisée. Ces systèmes permettait à la Banque populaire de Chine (la BPC) de contrôler directement le volume d’émission de liquidités et les transferts bancaires par le plan de liquidités et le plan de crédit afin d’ajuster les agrégats monétaires. Durant la période de la transition économique, la Chine a progressivement abandonné son système de la banque unique. Néanmoins, la BPC n’était pas encore une banque centrale véritablement indépendante, parce qu’elle conservait une partie de ses opérations de financement direct à l’appui du développement des agents non-financiers. Même si la BPC a commencé à employer les leviers indirects pour ajuster la dynamique monétaire, elle a continué à mettre en œuvre les instruments d’ajustement direct. En 1994, année où la Chine a entamé des réformes économiques plus importantes, a été établi un système de la banque centrale véritablement indépendant, qui a ensuite été amélioré en 1998. La BPC a exercé, de façon exclusive, les fonctions d’une banque centrale et a mis en œuvre sa politique monétaire principalement à travers des instruments d’ajustement indirect. Cependant, la BPC n’a pas totalement abandonné l’usage du contrôle administratif direct sur les agrégats de crédits. L’autorité monétaire chinoise renforce progressivement le contrôle des activités du système bancaire parallèle, la centralisation de la politique monétaire et son efficacité depuis 2014, par peur de la hausse du levier financier et de l’endettement élevé. / Over the past six decades, China has experienced an institutional change from a planned to a market economy. During the same period, an in-depth change in the instruments and implementation of China’s monetary policy has occurred. However, until now, China’s monetary policy retains considerable differences compared with that of developed market economies. During the planned economy period, China adopted a mono-banking system and a highly centralized credit management system. Under a mono-banking system, the People’s Bank of China (PBC) could directly control the issuance volumes of cash and bank transfers by means of the cash plan and the credit plan to adjust monetary aggregates. During the economic transition period, China gradually abandoned the mono-banking system. However, the PBC still did not become a truly independent central bank because it retained part of its direct financing operations in support of non-financial agents’ development. Although the PBC began to employ indirect levers to adjust monetary dynamics, it continued to implement the monetary policy principally by means of direct adjustment instruments. Since China’s accession into wider economic reforms in 1994, a truly independent central banking system was established and eventually improved in 1998. The PBC has exclusively exercised the functions of a central bank and implemented its monetary policy principally by means of indirect adjustment instruments; however, it did not fully abandon the use of direct administrative controls over credit aggregates. Out of fear for rising financial leverage and high indebtedness (in particular of non-financial corporations), since 2014 China’s monetary authority gradually enhanced the monitoring of shadow banking activities, and thereby the centralization and effectiveness of monetary policy.
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La evaluación y el cambio institucional en la sociedad del conocimiento : un estudio de caso en la Universidad del Valle - Colombia

Rengifo Millán, Maritza 10 1900 (has links)
Les sociétés contemporaines affrontent le défi de s’intégrer et s’adapter à un processus de transformation qui vise la construction de sociétés du savoir. Ce processus doit notamment son élan aux institutions d’enseignement supérieur qui constituent un espace privilégié où on bâtit l’avenir d’une société à partir des savoirs et celles-ci doivent faire face aux nouveaux enjeux sociaux, économiques et politiques qui affectent tous les pays du monde. La quête de la qualité devient donc un processus constant d’amélioration et surgit l’intérêt par l’évaluation au niveau universitaire. Par conséquent, cette recherche s’attache au sujet de l’évaluation à l’enseignement supérieur et s’enfonce dans le débat actuel sur les changements provoqués par les évaluations institutionnelles produisant un défi puisqu’il s’agit d’une prise de conscience fondée sur la culture de la qualité. L’autoévaluation est une stratégie permettant aux institutions d’enseignement supérieur mener des processus intégraux de valorisation dont le but est d’identifier les faiblesses des facteurs qui ont besoin d’améliorer. Le résultat conduit à l’élaboration et à la mise en œuvre d’un plan d’amélioration pour l'institution, programme académique ou plan d’études. À travers l’orientation du modèle d’évaluation systémique CIPP de Stufflebeam (1987), on a pu analyser de façon holistique la mise en place de l’autoévaluation depuis son contexte, planification, processus et produit. Ainsi les objectifs de la thèse visent l’identification du développement de la deuxième autoévaluation afin d’obtenir une reconnaissance de haute qualité et effectuer la mise en œuvre du plan d’amélioration auprès des programmes académiques de Licence en Comptabilité et Gestion de l’entreprise de la Faculté de Sciences de l’Administration de l’Université du Valle en Colombie. À travers l’appropriation de la théorie Neo-institutionnelle les changements apparus après l’autoévaluation ont été également analysés et interprétés et ont ainsi permis l’achèvement des fins de la recherche. La méthodologie développe la stratégie de l’étude de cas dans les deux programmes académiques avec une approche mixte où la phase qualitative des entretiens semi-structurés est complémentée par la phase quantitative des enquêtes. Des documents institutionnels des programmes et de la faculté ont aussi été considérés. Grâce à ces trois instruments ont pu obtenir plus d’objectivité et d’efficacité pendant la recherche. Les résultats dévoilent que les deux programmes ciblés ont recouru à des procédés et à des actions accordées au modèle de l’Université du Valle quoiqu’il ait fallu faire des adaptations à leurs propres besoins et pertinence ce qui a permis de mener à terme la mise en œuvre du processus d’autoévaluation et ceci a donné lieu à certains changements. Les composantes Processus Académiques et Enseignants sont celles qui ont obtenu le plus fort développement, parmi celles-ci on trouve également : Organisation, Administration et Gestion, Ressources Humaines, Physiques et Financières. D’autre part, parmi les composantes moins développées on a : Anciens Étudiants et Bienêtre Institutionnel. Les conclusions ont révélé que se servir d’un cadre institutionnel fort donne du sens d’identité et du soutien aux programmes. Il faut remarquer qu’il est essentiel d’une part élargir la communication de l’autoévaluation et ses résultats et d’autre part effectuer un suivi permanent des plans d’amélioration afin d’obtenir des changements importants et produire ainsi un enracinement plus fort de la culture de la qualité et l’innovation auprès de la communauté académique. Les résultats dégagés de cette thèse peuvent contribuer à mieux comprendre tant la mise en œuvre de l’autoévaluation et des plans d’amélioration aussi que les aspects facilitateurs, limitants, les blocages aux processus d’évaluation et la génération de changements sur les programmes académiques. Dans ce sens, la recherche devient un guide et une réflexion à propos des thèmes où les résultats sont très faibles. Outre, celle-ci révèle l’influence des cadres institutionnels ainsi que les entraves et tensions internes et externes montrant un certain degré d’agencement par le biais de stratégies de la part des responsables de la prise de décisions dans les universités. On peut déduire que la qualité, l’évaluation, le changement et l’innovation sont des concepts inhérents à la perspective de l’apprentissage organisationnel et à la mobilité des savoirs. / Contemporary societies face the challenge of incorporating and adapting themselves to a transformation process aimed at the construction of knowledge societies. Such process is especially oriented by Institutions of Higher Education, which are seen as a privileged space where the future of a society is forged through knowledge and as such, they face the new social, economic, and political challenges affecting the world. Thus, the search for quality education becomes a continuous improvement process which brings about the interest in educational evaluation in the university milieu. This research study deals with the evaluation of higher education as part of the current debate concerning the changes and challenges triggered by institutional evaluation, an awareness-raising process based on the quality culture. As an strategy, self-evaluation allows institutions for higher education to carry out holistic assessment processes aimed at detecting weaknesses in those institutions requiring improvement. Therefore, the outcome of this serves as basis for the design and implementation of an improvement plan, not only for each institution but also for each study program. Stufflebeam’s (1987) CIPP systemic model was used to holistically analyze the implementation of self-evaluation, considering variables such as context, planning, process, and product. The objectives of the study were: 1. Find out how the second self-evaluation process of the Public Accounting and Business Administration study programs of the Administrative Sciences Faculty of Universidad del Valle, aimed at obtaining high-quality reaccreditation from the Ministry of National Education of Colombia, was carried out; 2. Implement the Improvement Plan for such study programs; and 3. Analyze and interpret the changes arising from this self-evaluation, by using the Neo-institutional Theory. The methodology evolved around a case study of two study programs. A mixed approach was chosen, where the qualitative stage of semi-structured interviews was complemented by the quantitative stage of surveys. The data also included institutional documents dealing with information about the two study programs and about the Faculty. The findings show that both study programs followed right procedures and carried out correct actions in order to fit the Universidad del Valle Institutional Model by making the necessary adjustments to meet their needs and pertinence, which led to the successful implementation of the self-evaluation process. Likewise, it was found that the factors with the best improvement rate were Academic Processes, Teaching Stuff, Organization, Administration and Management, Human Resources, Infrastructure, and Financial Resources. Contrary to this, the factors with the lowest improvement rate were Alumni and Institutional Welfare. We conclude that following a sound institutional framework provides study programs with an identity and support and, at the same time, it allows them to implement follow-up improvement plans that bring about significant changes resulting in the rooting of the quality culture and innovation of the academic community. These findings can shed light into a better understanding of the implementation of self-evaluation and that of improvement plans. In addition, they can be instrumental in recognizing the importance of facilitating factors as well as constraining factors that may hamper evaluation processes and the generation of changes within the study programs. Thus, this research study can be seen as a reflection guide on a subject which has been scarcely dealt with. It is also important as it exposes the role played by institutional frameworks and the internal and external pressures exerted on administrative staff members involved in decision-making processes at institutions of higher education. All in all, it can be said that quality, evaluation, change, and innovation are inherent concepts to the organizational learning perspective and to the mobility or knowledge transfer.
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RAISING A NEW COLLECTIVE VOICE THROUGH GREENFIELD UNION ORGANISING : The mobilisation and unionisation of workers and the establishment of a collective agreement at Foodora in Sweden

Banasiak, Sophie January 2021 (has links)
Following an actor-centred approach to institutional change, the aim of the study was to explore the process of ‘greenfield organising’ through which unions and collective bargaining structures are established in workplaces where there are none initially. A qualitative theory-oriented single case study, using some principles of the grounded theory, analysed the organising process and negotiations at Foodora in Sweden that resulted in a collective agreement. Besides, a phenomenographic approach was employed to understand participants’ conceptions of an organising success. Riders and union officials of the Transport union were interviewed for both parts of the study. The empirical material of the case study also included a survey conducted by the union, the Transport and Foodora collective agreements, media reports and articles, organisational webpages, social media, and legal acts. The results showed that workforce fragmentation and isolation were obstacles to the riders’ mobilisation but social interactions, through which pre-existing networks were mobilised and new relations were built, were central to the organising process. These bonds facilitated the transformative agency exerted by the riders and the union, which was based on intense involvement, learning and strategy. Thereby, they were able to influence influential factors and to build new social structure through increased union membership and a new collective agreement. These outcomes might be considered emerging components of an organising success, which the participants conceive mainly in terms of high level of union membership, workers’ solidaristic engagement and knowledge of their rights, reaching a collective agreement, working conditions improvement. The main conclusions of the study are, firstly, that a relational approach to social reality is required to understand the mobilisation of actors and the significance of institutional contradictions for them. Secondly, resources mobilisation and strategic capabilities were key dimensions of the agency exerted by actors. Finally, this agency, albeit embedded in constraining structural conditions, was able to some extent to achieve institutional change. / Syftet med studien var att via ett aktörsinriktat tillvägagångssätt utforska så kallad "greenfield-organisering"- det vill säga institutionella förändringar inom vilka fackföreningar och förhandlingsstrukturer etableras på arbetsplatser där det till en början saknas sådana. Inspirerad av grundad teori genomfördes en kvalitativ teoriorienterad single case-studie för att analysera organiseringsprocessen och de fackliga förhandlingarna med Foodora i Sverige och som sedan resulterade i ett kollektivavtal. Därtill användes även fenomenografisk metod för att förstå deltagarnas uppfattningar om en framgångsrik organisering. Cykelbud och Transports fackliga tjänstemän intervjuades för båda delarna av studien. Ytterligare empiriskt material som utforskades i case-studien, var en facklig undersökning, Transports och Foodoras kollektivavtal, mediarapporter och artiklar, organisatoriska webbsidor, sociala medier, samt lagstiftning. Resultaten visade att fragmentering och isolering av arbetsstyrkan var ett hinder för cykelbudens mobilisering, men att sociala interaktioner, genom vilka redan existerande nätverk mobiliserades och nya relationer byggdes, var centrala i organiseringsprocessen. Dessa band underlättade transformativ handling – "agency" – för cykelbuden och facket, som baserades på intensivt engagemang, lärande och strategiskt handlande. Därigenom kunde de påverka viktiga faktorer och bygga upp en ny social struktur genom ökat fackligt medlemskap och ett nytt kollektivavtal. Resultatet kan betraktas som komponenter av en framgångsrik organisering på en arbetsplats, som deltagarna främst tänker på i form av hög facklig anslutning, solidariskt engagemang från arbetare och kunskap om sina rättigheter, vikten av att ha ett kollektivavtal och förbättrade arbetsvillkor. Studiens huvudsakliga slutsatser är, för det första, att det krävs ett relationellt förhållningssätt till den sociala verkligheten för att förstå aktörernas mobilisering och institutionella motsättningar. Den andra slutsatsen är att resursmobilisering och strategiska förmågor var viktiga dimensioner av aktörers handlingar - "agency." Trots att det var inbäddade i begränsande strukturella förhållanden kunde dessa handlingar slutligen i viss utsträckning uppnå institutionell förändring. / Suivant une approche du changement institutionnel centrée sur l'acteur, l'objectif de cette étude était d'explorer le processus d’implantation syndicale à travers lequel des syndicats et structures de négociation collective sont mis en place sur des lieux de travail qui en sont initialement dépourvus. Une étude de cas, qualitative et à finalité théorique, reprenant certains principes de la “grounded theory” - “théorie ancrée”, a eu pour objet d’analyser le processus d'organisation et de négociations à Foodora en Suède ayant abouti à un accord collectif. En outre, une étude phénoménographique a été menée afin de comprendre les conceptions qu’avaient les participant/e/s d'une implantation syndicale réussie. Des entretiens ont été conduits avec des livreurs/se de Foodora et des responsables du syndicat Transport pour les deux volets de l'étude. Le matériau empirique comprend également, pour l'étude de cas, les résultats d’une étude menée par le syndicat, les accords collectifs sectoriel et conclu avec Foodora, des articles et reportages dans les médias, les sites Internet et réseaux sociaux des organisations, ainsi que des textes législatifs. Les résultats de l’étude ont montré que la fragmentation du collectif de travail et l’isolement des livreurs/ses ont été des obstacles à leur mobilisation; a contrario, les interactions sociales, à travers lesquelles des réseaux préexistants ont été mobilisés et de nouvelles relations ont été construites, ont été au cœur du processus d'organisation. Ces liens ont facilité l’action transformatrice des livreurs/ses et du syndicat, basée sur un engagement intense, l’apprentissage et une approche stratégique. Ils ont pu ainsi, d’une part, influencer des facteurs influents dans leur contexte, et d’autre part, mettre en place de nouvelles structures sociales à travers l’élargissement de la base syndicale et la négociation d'un nouvel accord collectif. Ces résultats peuvent être considérés comme des composantes émergentes d'une implantation syndicale réussie, que les participant/e/s conçoivent principalement en termes de niveau élevé de syndicalisation, d’engagement solidaire des travailleurs/ses, de connaissance par celles/ceux-ci de leurs droits, de mise en place d’un accord collectif, et d'amélioration des conditions de travail. L'étude conclut principalement, d'une part, qu'une approche relationnelle de la réalité sociale est nécessaire pour comprendre la mobilisation des acteurs/rices et la signification pour elles/eux des contradictions institutionnelles. D’autre part, la mobilisation des ressources et les capacités stratégiques ont été des dimensions clés de leur agence. Enfin, cette agence bien qu’insérée dans des conditions structurelles contraignantes a pu, dans une certaine mesure, réaliser un changement institutionnel.

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