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De pré-textes en prétextes : Le cinéma d'Arturo Ripstein / From pre-texts to pretexts : The cinema of Arturo Ripstein

Fortin, Maria 12 November 2015 (has links)
Ce travail de recherche propose d'étudier le cinéma d'Arturo Ripstein, et se concentre plus particulièrement sur un corpus de films, tous élaborés à partir d'oeuvres préexistantes. La notion de "pré-texte" fait référence à ces dernières, dont l'origine est dans la plupart des cas littéraire, mais aussi cinématographique. L'analyse des réélaborations ripsteiniennes entend mettre en avant le prétexte qui se cache derrière le recours au pré-texte. En d'autres termes, il s'agit, pour chacun des huit films sélectionnés, de dévoiler le message que l'artiste a souhaité véhiculer, ou l'intention sous-jacente de l'acte créatif. La dialectique local/global traverse l'ensemble de la thèse. Elle est d'abord visible à travers son architecture , dans la mesure où notre travail part des pré-textes mexicains, puis s'intéresse aux productions du Tiers monde, pour terminer avec les pré-textes issus de la culture européenne. Mais nous avons aussi souhaité la mettre en évidence en évoquant, au sein des différentes parties, les phénomènes d'intertextualité, d'interfilmicité, et les stratégies de production, qui octroient au cinéma de Ripstein une dimension transnationale. / This research explores Arturo Ripstein's cinema, and focuses more particularly on a corpus of films which are all based on pre-existent works. The notion of "pre-text" refers to the latter, whose originsare in most cases leterary, but also cinematographic. The analysis of Ripstein's reworking saims at highlighting the pretext hiding behind the use of the pre-text. In other words, for each of the eight selected movies, we try to reveal the message the artist wished to convey, or the underlying intention of the creative act. The local/global dialectic is present throughout the whole thesis. It is first visible in its structure, given that our work takes as its starting point Mexican pre-texts, then examines Third World productions, and finally the pre-texts originating in European culture. But this dialectic is also illustrated, in the different parts of our work, through the phenomena of intertextuality or interfilmicity, and the strategies of production give Ripstein's cinema a transnational dimension.
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La herencia de la época de oro en el cine mexicano de los años noventa : La ley de Herodes y Danzón

Cyr, Isabelle 06 1900 (has links)
Notre mémoire cherche à identifier les traces du cinéma de “l’âge d’or” dans le cinéma mexicain des années quatre-vingt-dix. Au Mexique, l’apogée que le cinéma industriel a connu entre 1935 et 1955 a établi les principaux genres et normes du cinéma national. Le cinéma produit durant cette période, abondamment diffusé par la télévision et la vidéo et apprécié de la critique, continue d’influencer la production contemporaine. En concentrant notre analyse sur deux films en particulier, Danzón (1991) de María Novaro et La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, nous étudions d’une part, comment le cinéma des années quatre-vingt-dix rend hommage au cinéma de l’âge d’or et, d’autre part, comment on l’utilise pour commenter les nouvelles tendances dans la politique et la production culturelle. La diffusion continue du cinéma de l’âge d’or nous permet d’expliquer en partie son influence sur les cinéastes mexicains contemporains. Par ailleurs, le contexte de néolibéralisme et de globalisation des années quatre-vingt-dix nous permet d’avancer d’autres hypothèses concernant les raisons qui ont amené ces cinéastes à récupérer des éléments de la culture “nationale-populaire”. Nous pensons que ce contexte pourrait expliquer autant l’hommage que la critique que font les films contemporains du cinéma de l’âge d’or. Notre analyse des références au cinéma de l’âge d’or dans le cinéma des années quatre-vingt-dix s’appuie sur la théorie de l’intertextualité dans le cinéma. / This thesis studies the traces of the so-called “golden age” of Mexican cinema in films produced in the nineties. In Mexico, the upsurge of cinematic production between 1935 and 1955 established the principal norms and genres of a national cinema. The cinema of this era, critically acclaimed and widely diffused through television and video, continues to influence contemporary filmmaking. Focusing our analysis on two films, María Novaro’s Danzón (1991) and Luis Estrada’s La ley de Herodes (1999), we study how films from the nineties at once render homage to golden age cinema and use it to comment upon new trends in Mexican politics and cultural production. The continued diffusion of golden age cinema allows us to partially explain its influence on Mexican filmmakers working in the nineties. The nineties’ historical context, strongly marked by neoliberalism and globalization, allows us to propose further hypotheses as to why contemporary filmmakers have recuperated elements of “national-popular” cinema. We believe that this context explains both the homage and the criticisms that today’s films direct towards the cinema of the golden age. Our analysis of the dialogue between the films produced in these two periods borrows from theories of filmic intertextuality. / Nuestra memoria busca identificar las huellas del cine de la llamada “época de oro” en el cine mexicano de los años noventa. En México, el auge de la producción cinematográfica que tuvo lugar entre 1935 y 1955 estableció las normas y los géneros principales del cine nacional. El cine de esta época, altamente difundido por la televisión y el video, y apreciado por los críticos, sigue influyendo en la producción contemporánea. Concentrando nuestro análisis en dos películas en particular, Danzón (1991) de María Novaro y La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, estudiamos cómo el cine de los noventas rinde homenaje al cine de la época de oro, por un lado, y cómo se refiere a ese cine para comentar las nuevas tendencias en la política y en la producción cultural, por otro. La difusión continua del cine de la época de oro a través el tiempo nos permite explicar en parte su influencia en los cineastas mexicanos de los años noventa. Por otra parte, el contexto de neoliberalismo y de globalización de los años noventa nos permite avanzar otras hipótesis en cuanto a las razones que empujaron a los cineastas a recuperar elementos de la cultura “nacional-popular”. Pensamos que ese contexto explica tanto el homenaje como la crítica que las películas contemporáneas hacen hacia el cine de la época de oro. Nuestro análisis del diálogo entre las películas producidas en estas dos épocas se apoya en la teoría de la intertextualidad en el cine.
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Estereotipo, frontera y género : una lectura negociada de tres cintas de la India María

Pineda-Dawe, Mariana 12 1900 (has links)
Jouée par María Elena Velasco depuis la fin des années 1960, la India María met en scène une indienne « authentique » qui, malgré son statut et ses limitations sociales, dénonce le traitement des institutions auxquelles elle est soumise : les systèmes politique, judiciaire, économique et religieux. Néanmoins, lors des premières projections des films sur le grand écran, la critique portait essentiellement sur les aspects superficiels et a réprouvé la façon dont les indiens et le Mexique étaient représentés, car jugée réactionnaire. Au début des années 1990, des chercheurs ont commencé à étudier ses films en proposant une lecture « négociée » : ils s’intéressent à l’effet humoristique produit sur le public par sa performance et ses aventures, en même temps qu’ils reconnaissent l’ambigüité du personnage et des narrations, tout en soulignant les discours ethnique et de classe. À travers l’analyse de Tonta, tonta pero no tanto (Bête, bête, mais pas trop) de Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá (Ni d’ici ni de là-bas) de María Elena Velasco (1988), et Sor Tequila (Sœur Tequila) de Rogelio González (1977), mon mémoire contribue à cette lecture en étudiant trois sujets : le stéréotype cristallisé dans ce personnage, afin de démontrer comment celui-ci permet une critique de la société mexicaine ; les nouveaux enjeux culturels auxquels le système néolibéral affronte les autochtones ; et la transformation du masculin et du public à travers une construction alternative du féminin. / Played by María Elena Velasco since the late 1960s, La India María brings to life an “authentic” indigenous woman who despite her social standing and limitations, denounces the treatment of institutions to which she’s subjected: the political, judicial, economic, and religious systems. However, since her first appearances in theaters, critics have focused more on superficial aspects of her performance, judging that indigenous peoples and Mexico were represented in a reactionary way. Since the beginning of the 1990s, researchers have proposed a “negotiated” reading of her movies: they paid attention to the effects Velasco’s humorous performance and adventures had on her audience, but they also recognized the ambiguity of the character and storylines, all the while stressing the ethnic and class discourses. Through the analysis of Tonta, tonta pero no tanto (Foolish, Foolish But Not so Much) by Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá (Neither From Here nor From There) by María Elena Velasco (1988), and Sor Tequila (Sister Tequila) by Rogelio González (1977), my thesis contributes to this reading by studying three subjects: the stereotype as represented by this character, in order to show how it criticizes Mexican society; the new cultural challenges that the Neoliberal system presents to indigenous peoples; and the transformation of masculine gender models and the public through an alternative construction of feminine gender models. / Representada por María Elena Velasco desde finales de la década de 1960, La India María encarna una indígena “auténtica” que no obstante sus limitaciones y su posición social es capaz de denunciar el tratamiento de instituciones a las cuales está sometida: el sistemas político, el judicial, el económico y el religioso. Sin embargo, desde su debut en la pantalla grande, la crítica se concentró esencialmente en los aspectos superficiales de su interpretación, juzgándola reaccionaria por la manera de representar a los indígenas y a México. Desde comienzos de la década de 1990, algunos investigadores comenzaron a estudiar sus cintas proponiendo una lectura “negociada”: teniendo en cuenta los efectos cómicos que su interpretación y sus aventuras tenían sobre su audiencia, pero reconociendo la ambigüedad del personaje y de las narrativas, y considerando los discursos étnico y de clase. A través del análisis de Tonta, tonta pero no tanto de Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá de María Elena Velasco (1988), y Sor Tequila de Rogelio González (1977), mi memoria contribuye a esta lectura con el estudio de tres temas: el estereotipo encarnado por la India María para demostrar que su uso critica a la sociedad mexicana; los desafíos culturales para los indígenas con la entrada del sistema neoliberal; y la transformación de lo masculino-público a través de una construcción alternativa de lo femenino.
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La herencia de la época de oro en el cine mexicano de los años noventa : La ley de Herodes y Danzón

Cyr, Isabelle 06 1900 (has links)
Notre mémoire cherche à identifier les traces du cinéma de “l’âge d’or” dans le cinéma mexicain des années quatre-vingt-dix. Au Mexique, l’apogée que le cinéma industriel a connu entre 1935 et 1955 a établi les principaux genres et normes du cinéma national. Le cinéma produit durant cette période, abondamment diffusé par la télévision et la vidéo et apprécié de la critique, continue d’influencer la production contemporaine. En concentrant notre analyse sur deux films en particulier, Danzón (1991) de María Novaro et La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, nous étudions d’une part, comment le cinéma des années quatre-vingt-dix rend hommage au cinéma de l’âge d’or et, d’autre part, comment on l’utilise pour commenter les nouvelles tendances dans la politique et la production culturelle. La diffusion continue du cinéma de l’âge d’or nous permet d’expliquer en partie son influence sur les cinéastes mexicains contemporains. Par ailleurs, le contexte de néolibéralisme et de globalisation des années quatre-vingt-dix nous permet d’avancer d’autres hypothèses concernant les raisons qui ont amené ces cinéastes à récupérer des éléments de la culture “nationale-populaire”. Nous pensons que ce contexte pourrait expliquer autant l’hommage que la critique que font les films contemporains du cinéma de l’âge d’or. Notre analyse des références au cinéma de l’âge d’or dans le cinéma des années quatre-vingt-dix s’appuie sur la théorie de l’intertextualité dans le cinéma. / This thesis studies the traces of the so-called “golden age” of Mexican cinema in films produced in the nineties. In Mexico, the upsurge of cinematic production between 1935 and 1955 established the principal norms and genres of a national cinema. The cinema of this era, critically acclaimed and widely diffused through television and video, continues to influence contemporary filmmaking. Focusing our analysis on two films, María Novaro’s Danzón (1991) and Luis Estrada’s La ley de Herodes (1999), we study how films from the nineties at once render homage to golden age cinema and use it to comment upon new trends in Mexican politics and cultural production. The continued diffusion of golden age cinema allows us to partially explain its influence on Mexican filmmakers working in the nineties. The nineties’ historical context, strongly marked by neoliberalism and globalization, allows us to propose further hypotheses as to why contemporary filmmakers have recuperated elements of “national-popular” cinema. We believe that this context explains both the homage and the criticisms that today’s films direct towards the cinema of the golden age. Our analysis of the dialogue between the films produced in these two periods borrows from theories of filmic intertextuality. / Nuestra memoria busca identificar las huellas del cine de la llamada “época de oro” en el cine mexicano de los años noventa. En México, el auge de la producción cinematográfica que tuvo lugar entre 1935 y 1955 estableció las normas y los géneros principales del cine nacional. El cine de esta época, altamente difundido por la televisión y el video, y apreciado por los críticos, sigue influyendo en la producción contemporánea. Concentrando nuestro análisis en dos películas en particular, Danzón (1991) de María Novaro y La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, estudiamos cómo el cine de los noventas rinde homenaje al cine de la época de oro, por un lado, y cómo se refiere a ese cine para comentar las nuevas tendencias en la política y en la producción cultural, por otro. La difusión continua del cine de la época de oro a través el tiempo nos permite explicar en parte su influencia en los cineastas mexicanos de los años noventa. Por otra parte, el contexto de neoliberalismo y de globalización de los años noventa nos permite avanzar otras hipótesis en cuanto a las razones que empujaron a los cineastas a recuperar elementos de la cultura “nacional-popular”. Pensamos que ese contexto explica tanto el homenaje como la crítica que las películas contemporáneas hacen hacia el cine de la época de oro. Nuestro análisis del diálogo entre las películas producidas en estas dos épocas se apoya en la teoría de la intertextualidad en el cine.
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Estereotipo, frontera y género : una lectura negociada de tres cintas de la India María

Pineda-Dawe, Mariana 12 1900 (has links)
Jouée par María Elena Velasco depuis la fin des années 1960, la India María met en scène une indienne « authentique » qui, malgré son statut et ses limitations sociales, dénonce le traitement des institutions auxquelles elle est soumise : les systèmes politique, judiciaire, économique et religieux. Néanmoins, lors des premières projections des films sur le grand écran, la critique portait essentiellement sur les aspects superficiels et a réprouvé la façon dont les indiens et le Mexique étaient représentés, car jugée réactionnaire. Au début des années 1990, des chercheurs ont commencé à étudier ses films en proposant une lecture « négociée » : ils s’intéressent à l’effet humoristique produit sur le public par sa performance et ses aventures, en même temps qu’ils reconnaissent l’ambigüité du personnage et des narrations, tout en soulignant les discours ethnique et de classe. À travers l’analyse de Tonta, tonta pero no tanto (Bête, bête, mais pas trop) de Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá (Ni d’ici ni de là-bas) de María Elena Velasco (1988), et Sor Tequila (Sœur Tequila) de Rogelio González (1977), mon mémoire contribue à cette lecture en étudiant trois sujets : le stéréotype cristallisé dans ce personnage, afin de démontrer comment celui-ci permet une critique de la société mexicaine ; les nouveaux enjeux culturels auxquels le système néolibéral affronte les autochtones ; et la transformation du masculin et du public à travers une construction alternative du féminin. / Played by María Elena Velasco since the late 1960s, La India María brings to life an “authentic” indigenous woman who despite her social standing and limitations, denounces the treatment of institutions to which she’s subjected: the political, judicial, economic, and religious systems. However, since her first appearances in theaters, critics have focused more on superficial aspects of her performance, judging that indigenous peoples and Mexico were represented in a reactionary way. Since the beginning of the 1990s, researchers have proposed a “negotiated” reading of her movies: they paid attention to the effects Velasco’s humorous performance and adventures had on her audience, but they also recognized the ambiguity of the character and storylines, all the while stressing the ethnic and class discourses. Through the analysis of Tonta, tonta pero no tanto (Foolish, Foolish But Not so Much) by Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá (Neither From Here nor From There) by María Elena Velasco (1988), and Sor Tequila (Sister Tequila) by Rogelio González (1977), my thesis contributes to this reading by studying three subjects: the stereotype as represented by this character, in order to show how it criticizes Mexican society; the new cultural challenges that the Neoliberal system presents to indigenous peoples; and the transformation of masculine gender models and the public through an alternative construction of feminine gender models. / Representada por María Elena Velasco desde finales de la década de 1960, La India María encarna una indígena “auténtica” que no obstante sus limitaciones y su posición social es capaz de denunciar el tratamiento de instituciones a las cuales está sometida: el sistemas político, el judicial, el económico y el religioso. Sin embargo, desde su debut en la pantalla grande, la crítica se concentró esencialmente en los aspectos superficiales de su interpretación, juzgándola reaccionaria por la manera de representar a los indígenas y a México. Desde comienzos de la década de 1990, algunos investigadores comenzaron a estudiar sus cintas proponiendo una lectura “negociada”: teniendo en cuenta los efectos cómicos que su interpretación y sus aventuras tenían sobre su audiencia, pero reconociendo la ambigüedad del personaje y de las narrativas, y considerando los discursos étnico y de clase. A través del análisis de Tonta, tonta pero no tanto de Fernando Cortés (1972), Ni de aquí ni de allá de María Elena Velasco (1988), y Sor Tequila de Rogelio González (1977), mi memoria contribuye a esta lectura con el estudio de tres temas: el estereotipo encarnado por la India María para demostrar que su uso critica a la sociedad mexicana; los desafíos culturales para los indígenas con la entrada del sistema neoliberal; y la transformación de lo masculino-público a través de una construcción alternativa de lo femenino.

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