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L'exposition et la prévention de la réponse dans la thérapie cognitive comportementale du trouble obsessionnel-compulsif: Utilité et efficacité de la réalité virtuelle

Laforest, Mylène 30 May 2014 (has links)
Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) se caractérise par la présence de pensées, images ou impulsions qui provoquent une détresse (obsessions) qui est habituellement soulagée par des rituels mentaux ou comportementaux (compulsions). De nos jours, le traitement reconnu comme étant le plus efficace est la thérapie cognitive comportementale (TCC), et plus particulièrement la technique d’exposition et de prévention de la réponse (EX/PR). Dans la plupart des études ainsi que dans les contextes pratiques, les individus souffrant du TOC sont habituellement traités par l’exposition in vivo, c’est-à-dire qu’ils sont exposés à des stimuli contaminés réels. Toutefois, ce traitement comporte des limites. Les études récentes démontrent l’efficacité des environnements virtuels à induire une réaction d’anxiété chez les phobiques ainsi que son potentiel comme outil dans le cadre d’exposition dans le traitement de troubles anxieux (Robillard et al., 2003). Dans un premier temps, une recension des écrits portant sur la possibilité de l’utilisation de cette technologie dans le traitement du TOC est effectuée et la question de la contribution de la réalité virtuelle dans la TCC du TOC est explorée. Dans un deuxième temps, nous examinons l’efficacité d’un environnement virtuel à induire une détresse chez les personnes souffrant d’un TOC (n = 12) à sous-type de contamination en comparant les résultats aux mesures subjectives et objectives à ceux d’un groupe contrôle (n = 20). Les résultats aux ANOVAs à mesures répétées ont démontré une réaction d’anxiété significativement plus élevée chez le groupe souffrant du TOC comparé au groupe contrôle. Dans un troisième temps, nous examinons à l’aide d’un devis à niveaux de bases multiples en fonction des individus l’efficacité d’un traitement cognitif comportemental d’une durée de 12 sessions avec exposition in virtuo quant à la réduction des symptômes chez trois participantes souffrant d’un TOC à sous-type principal de contamination. Des analyses de séries chronologiques ont été menées sur les données et ont révélées une amélioration statistiquement significative chez les participantes. Ces études préparent le terrain pour des études contrôlées effectuées à partir d’un échantillon plus large en plus de montrer le potentiel de la réalité virtuelle dans le traitement de troubles anxieux chroniques et complexes.
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L'exposition et la prévention de la réponse dans la thérapie cognitive comportementale du trouble obsessionnel-compulsif: Utilité et efficacité de la réalité virtuelle

Laforest, Mylène January 2014 (has links)
Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) se caractérise par la présence de pensées, images ou impulsions qui provoquent une détresse (obsessions) qui est habituellement soulagée par des rituels mentaux ou comportementaux (compulsions). De nos jours, le traitement reconnu comme étant le plus efficace est la thérapie cognitive comportementale (TCC), et plus particulièrement la technique d’exposition et de prévention de la réponse (EX/PR). Dans la plupart des études ainsi que dans les contextes pratiques, les individus souffrant du TOC sont habituellement traités par l’exposition in vivo, c’est-à-dire qu’ils sont exposés à des stimuli contaminés réels. Toutefois, ce traitement comporte des limites. Les études récentes démontrent l’efficacité des environnements virtuels à induire une réaction d’anxiété chez les phobiques ainsi que son potentiel comme outil dans le cadre d’exposition dans le traitement de troubles anxieux (Robillard et al., 2003). Dans un premier temps, une recension des écrits portant sur la possibilité de l’utilisation de cette technologie dans le traitement du TOC est effectuée et la question de la contribution de la réalité virtuelle dans la TCC du TOC est explorée. Dans un deuxième temps, nous examinons l’efficacité d’un environnement virtuel à induire une détresse chez les personnes souffrant d’un TOC (n = 12) à sous-type de contamination en comparant les résultats aux mesures subjectives et objectives à ceux d’un groupe contrôle (n = 20). Les résultats aux ANOVAs à mesures répétées ont démontré une réaction d’anxiété significativement plus élevée chez le groupe souffrant du TOC comparé au groupe contrôle. Dans un troisième temps, nous examinons à l’aide d’un devis à niveaux de bases multiples en fonction des individus l’efficacité d’un traitement cognitif comportemental d’une durée de 12 sessions avec exposition in virtuo quant à la réduction des symptômes chez trois participantes souffrant d’un TOC à sous-type principal de contamination. Des analyses de séries chronologiques ont été menées sur les données et ont révélées une amélioration statistiquement significative chez les participantes. Ces études préparent le terrain pour des études contrôlées effectuées à partir d’un échantillon plus large en plus de montrer le potentiel de la réalité virtuelle dans le traitement de troubles anxieux chroniques et complexes.
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Trouble d'anxiété généralisée évaluation d'un traitement cognitif-comportemental combiné à des stratégies de régulation des émotions et d'acceptation et d'engagement expérientiel

Carrier, Marie-Hélène January 2009 (has links)
La présente thèse de doctorat est soumise sous forme d'articles. Elle est constituée de deux articles. Le premier article a pour but de faire état des nouvelles avenues de développement mises récemment de l'avant pour améliorer le traitement cognitif-comportemental pour le trouble d'anxiété généralisée (TAG). Il aborde les principaux mécanismes explicatifs de l'étiologie et du maintien du TAG dans la perspective cognitive-comportementale, les principales composantes des modèles conceptuels testés empiriquement ainsi que les traitements qui y sont associés. Ensuite, l'article fait état des nouvelles avenues de traitement qui ont été nouvellement identifiées à la lumière des récentes découvertes dans les mécanismes conceptuels du TAG et qui pourraient augmenter l'efficacité des traitements cognitifs-comportementaux déjà existants. Le deuxième article évalue l'efficacité d'un nouveau traitement cognitif-comportemental (TCC) qui combine des stratégies thérapeutiques découlant du modèle de la thérapie centrée sur la régulation des émotions (ERT) et du modèle de l'acceptation et de l'engagement expérientiel (ACT) au traitement cognitif-comportemental reconnu comme empiriquement efficace pour traiter le trouble d'anxiété généralisée (TAG). Un protocole expérimental à niveaux de base multiples est utilisé afin de mesurer auprès de trois participants l'effet de 19 séances de traitement sur les symptômes du TAG, le niveau d'anxiété générale et de dépression et la qualité de vie des participants. Les résultats démontrent une amélioration cliniquement significative des symptômes de TAG et de la qualité de vie chez deux participants qui se sont maintenus au suivi de 3 mois. Par ailleurs, tous les participants démontrent des niveaux d'inquiétude, d'anxiété générale, de même que de dépression en deçà des populations cliniques au suivi de trois mois. Les résultats de cette étude suggèrent que ce type de traitement semble efficace dans le traitement du TAG, bien que des études contrôlées comportant des échantillons plus nombreux soient nécessaires afin de conclure à l'efficacité thérapeutique de ce nouveau traitement. Des recherches futures devront aussi examiner la contribution de chacune des composantes du traitement à l'efficacité de cette nouvelle approche.
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Évaluation de l'implantation d'un programme cognifitif-comportemental au CJM-IU : de la quantité à la qualité

Ayotte, Marie-Hélène January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les éléments facilitant ou entravant la mise en place des activités individuelles de l'approche cognitive-comportementale : les représentations sociales des éducateurs

Boisclair, Johanne January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les éléments facilitant ou entravant la mise en place des activités individuelles de l'approche cognitive-comportementale : les représentations sociales des éducateurs

Boisclair, Johanne January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le programme cognitif-comportemental au CJM-IU : l'effet du degré d'exposition au programme sur l'ampleur des troubles de comportement des adolescentes six mois après leur admission au CJM-IU

Magnan-Tremblay, Laurence 06 1900 (has links)
L’implantation de programmes probants dans les milieux d’intervention peut comporter son lot de difficultés pour les gestionnaires ainsi que les intervenants en contexte de réadaptation pour adolescents. En effet, les contraintes auxquelles peuvent être confrontés les milieux de pratique mènent parfois à la modification des programmes, ceci en vue de faciliter leur implantation. Il devient alors important de documenter ainsi qu’identifier l’effet des éléments associés à la fidélité d’implantation lorsque les programmes d’intervention sont évalués. En plus d’évaluer l’effet du degré d’exposition au programme cognitif-comportemental implanté dans les unités d’hébergement du Centre jeunesse de Montréal – Institut universitaire (CJM-IU) sur l’ampleur des troubles de comportement des adolescentes, ce mémoire propose une nouvelle piste de recherche. Puisque la recherche empirique ne permet pas encore d’identifier les conditions selon lesquelles il serait possible de modifier les programmes d’intervention qui sont adoptés dans le contexte de la pratique, cette étude propose d’élaborer une logique d’exposition au programme qui s’inspire des principes d’intervention efficace élaborés par Andrews et ses collègues (1990). Cette approche permettrait d’adapter le niveau d’intervention aux caractéristiques de la clientèle, et ce, tout en s’assurant de l’efficacité du programme cognitif-comportemental. L’échantillon de cette étude est donc constitué de 74 adolescentes hébergées au CJM-IU pour une durée de six mois. Les résultats indiquent d’abord que les activités du programme cognitif-comportemental ont été appliquées de façon plutôt irrégulière et bien en deçà de la fréquence initialement prévue, ce qui rend bien compte des difficultés à implanter des programmes en contexte de pratique. Les résultats suggèrent aussi une diminution de l’ampleur des troubles de comportement six mois après l’admission au CJM-IU pour les adolescentes qui étaient caractérisées par une ampleur des troubles de comportement plus marquée au moment de leur admission et qui ont complété un plus grand nombre d’auto-observations durant leur placement. / The implementation of evidence-based programs into real world settings can be a difficult process for administrators and educators with adolescent clientele. Practice settings are faced with constraints that may lead to the modification of intervention programs in order to facilitate their implementation. It is therefore imperative to document and measure the effect of these modifications when programs are evaluated. However, because research hasn’t yet identified the conditions in which it is possible to modify programs for use in intervention settings, this study proposes a new approach based on the principles of effective treatment elaborated by Andrews and his colleagues (1990). This approach allows for the modification of intervention levels while ensuring the effectiveness of the cognitive-behavioral program. This study sampled 74 adolescent girls hosted at the Centre jeunesse de Montréal – Institut universitaire (CJM-IU) over 6 months in order to assess the effects of the cognitive-behavioral program dosage among behavioral disorders. The results indicate that cognitive-behavioral therapy was applied in an irregular fashion and much less frequently than originally planned, which speaks to the difficulties encountered in implementing evidence-based programs in real-world settings. The results also suggest that the adolescent girls with more characteristics of a behavioral disorder and who completed more auto-evaluations during their rehabilitation showed significantly fewer behavioral problems 6 months after the beginning of the treatment.

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