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Le discours de la persuasion : une étude pragmatique et cognitive / The discourse of persuasion : a pragmatic and cognitive review

Da Silva Anunciacao, Jessica 25 November 2013 (has links)
Cette recherche a comme objectif d’analyser le discours persuasif dans le cadre du discours religieux. Notre travail dissèque les outils utilisés par les locuteurs pour persuader les auditeurs à l’appui d’un vaste présupposé théorique. Cette thèse s’appui sur les propositions d’étude du domaine de la rhétorique, de l’analyse du discours, de la pragmatique et de la linguistique cognitive.Nous démontrons que ces domaines si différents peuvent être complémentaires dans l’étude des techniques persuasives. Nous avons identifié et analysé certaines opérations cognitives orchestrées par le cerveau humain lors de la persuasion. Ces opérations sont identifiables grâce à des indices linguistiques spécifiques.L’ossature de cette recherche consiste à expliquer comment est structuré le discours religieux et persuasif et de quelles techniques disposent les orateurs. Grâce aux réponses à ces questions centrales, nous sommes en mesure de connaître plus profondément les astuces du discours de la persuasion qui peuvent être utiles bien au-delà du domaine de la linguistique / This research has as an objective analysis of the persuasive speech in the context of religious discourse. Our work dissects the tools used by speakers to persuade listeners to support a broad theoretical assumption. This thesis is supported on the proposed study area Rhetoric of discourse analysis, pragmatics and cognitive linguistics.We show that if these different areas can be complementary in the study of persuasive techniques. We have identified and analyzed some orchestrated by the human brain during cognitive processes of persuasion. These operations are identified by specific linguistic cues.The framework of this research is to explain how the religious structured and persuasive speeches and what techniques have speakers. With answers to these key questions, we are able to know more deeply the tricks of speech of persuasion that can be useful well beyond the field of linguistics
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Négation et Diffraction de la volonté en éducation / Negation and Diffraction of willl in education

Praz, Jean 27 April 2017 (has links)
Entre 1880 et 1920, l’institution scolaire en France, les pédagogues et les professeurs de pédagogie, les enseignants dans leurs commentaires, les parents souvent inquiets en appellent à la volonté qui explique l’échec lorsqu’elle manque, qui galvanise les énergies si elle s’exerce et qui élève l’esprit quand elle est une ascèse. Au même moment, silencieusement parce que dans les marges de la communauté éducative, se forment les conditions même de la disparition de la volonté. L’Education nouvelle de congrès en congrès desserrera l’étau de cette volonté anémiante. Edouard Claparède invitera à dévolontariser la volonté. L’écho de Jean-Jacques Rousseau prônant l’épanouissement de l’enfance retrouvée légitimera cet effacement de la volonté. Et très vite de volonté il ne sera plus question. Comment expliquer cette contradiction entre cette omniprésence de la volonté et sa disparition ? Deux voies : l’une qui analysera la volonté même, l’autre qui décrira des pratiques éducatives où la volonté a joué un rôle ou celles d’où elle s’est retirée. L’enquête s’en tiendra au mot même de volonté dans ses composants sémantiques et dans l’histoire de sa traduction du grec ou du latin au français, puis au concept qui lui correspond : décomposition en traits, description de ses modalités et évaluation de sa teneur ontologique en dessinant la scène de toute action. Apparaîtront quatre dimensions de la volonté : effort, intention, décision et force, dimensions qui renverront aux vertus épistémiques, à la logique de l’action et à une conception de l’homme. Autrement dit, à quelle anthropologie la volonté comme force correspond-elle ? Et son éviction, quel sujet implique-t-elle ? D’autre part, si la volonté est intention et décision, ne relève-t-elle pas de la logique de l’action, comme son contraire l’acrasie ? Enfin, identifier volonté et effort, c’est redécouvrir les vertus épistémiques de la studiosité, de la curiosité, de l’attention, c’est dire ce qu’elles sont et comment les développer. Il est un dernier point qu’on ne saurait négliger : la volonté, ou du moins son contraire qu’est la paresse, met en jeu l’assise métaphysique de tout homme.Cette analyse sera corrélée, sinon à des pratiques éducatives puisque l’archive en est souvent absente, du moins à des théories ou à des comptes rendus de pratiques dans des genres littéraires le plus divers. D’abord, Célestin Freinet parce qu’il a critiqué la volonté comme instance morale, mais a gardé la notion d’effort s’appuyant peut-être sur le travail comme force d’émancipation, en tout cas comme émanation de la vie. Ensuite Piaget qui transforme la volonté en un contraire de la ligne de moindre résistance dans une conception évolutionniste, la naturalisant ainsi. Puis, Maine de Biran et Pestalozzi qui fondèrent une école presque ensemble, l’un faisant de l’effort le constituant premier de l’homme, l’autre hésitant entre l’épanouissement dévolontarisé et les nécessaires contraintes de toute action. Descartes aussi parce qu’il éduque la volonté conçue comme décision et qu’il la place au cœur de sa logique de sorte que l’homme se caractérise par la générosité qui est l’aptitude à poser des actes judicieux. Enfin, Dewey et Kilpatrick qui substitueront à la volonté l’intérêt s’opposant à l’éducation comme jeu et aux conceptions d’Herbart pour qui rien ne venait de l’élève et pour qui tout s’imposait de l’extérieur. Ce parcours s’achève par une mise en rapport de ces conceptions de la volonté et de certains traits d’anthropologie dans le but de dessiner une logique où le recours à la volonté correspond à un sujet vide et où l’effacement de la volonté suppose un sujet doté d’une intériorité qui ne demande qu’à s’exprimer. Puis, la fiction d’un compte rendu d’un congrès de philosophie de l’éducation permettra de reprendre les perspectives des uns et des autres et d’exprimer leur style de pensée. S'ouvrent alors les perspectives, dans une vision naturaliste, d'un sujet se constituant .... / Between 1880 and 1920 the academic institution of France, pedagogues and professors of pedagogy, teachers writing school reports and worried parents, have called upon the concept of will to explain failure where there is a lack of it, to galvanise energy where it is present and to raise the spirit in the field of asceticism. At the same time, the very conditions for the extinction of the concept of will have been growing quietly, at the margins of the education community. The Modern School Movement, from conference to conference, have been loosening the grip on this debilitating concept. Edouard Claparède suggests the ‘dewilling’ of will. The echo of Jean-Jacques Rousseau defending the blossoming of a rediscovered childhood, adds further weight to the idea of the fading out of the notion of will. How long before the question of will becomes no longer relevant? How can this contradiction between the omnipresent subject of will and its disappearance be explained? There are two approaches: the first analyses will itself, the second describes the educative practices where will plays a role or those where it is absent. The inquiry analyses the semantic components of the word, from its translation in Greek or Latin to French. Alongside this, it investigates the concept behind the word: its distinguishing features, the description of its modalities and its ontological constitution, describing the nature and the elements that make up an action. Four dimensions of will are identified: effort, intention, decision and strength. These dimensions clearly refer to epistemic virtues, the logic of action and the concept of what it is to be human. Put another way, to which anthropological system does will, as a strength, correspond? And in its absence, what idea of human behaviour do we conceive? On the other hand, if will is intention and decision, can it not be assumed that it comes from the logic of action, along with its opposite, akrasia. Finally, to identify will in terms of effort, is to revisit the epistemic virtues of studiousness, curiosity and attention, stating what they are and how to develop them. Another aspect that deserves consideration: will, or at least its opposite, laziness, calls into play the metaphysical bases underpinning human existence. This analysis correlates if not to the educative practices, archival material not often existing, at least to the theories or accounts of practices to be found in the myriad literary genres. Firstly, Célestin Freinet who criticised the idea of will as a moral value, but maintained the idea of effort, emphasing perhaps the notion of work as a liberating force, as an expression of life. Then Piaget, working within the school of evolutionary theory, who transforms will into an opposite of the path of least resistance. This is followed by Maine de Biran and Pestalozzi who almost founded a school together, the former identifying effort as the principal characteristic of man, the later hesitating between the blossoming of the individual that happens outside of will and the essential limits of any given action. Decartes conceives will as a decision which he places at the centre of his theory that man is characterised by generosity, which he defines as the ability to be reasonable. Lastly Dewey and Kilpatrick who substitute will for interest, opposing the idea of education as a game and Herbart’s idea that nothing comes from the student, everything is imposed from external sources. The journey finishes with a bringing together of the concepts of will and certain anthropological features, the aim of which is to draw upon logic where will is called upon in a situation of personal need or is eliminated, presuming that the individual’s inner life is left unexpressed. The imaginary reporting to a fictitious conference between the various educational philosophers would allow the sharing and reformulating of each other’s perspectives along with the investigation of their various styles of thought...
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La chaleur urbaine en climat nordique : évaluation et représentation à l'échelle du piéton

Boiné, Kévin 24 April 2018 (has links)
Le confort humain devient un enjeu primordial en relation aux questions sur la chaleur urbaine liées aux changements globaux du climat qui émergent dans les climats nordiques. Les centres urbains rassemblent généralement un nombre élevé de piétons et représentent toujours le cœur dense d'une ville. Ces centres-ville présentent une densité de population élevée qui augmente graduellement la quantité de piétons se déplaçant dans les rues. Cette recherche étudie les ambiances lumineuses et thermiques pour évaluer et représenter la chaleur urbaine à l'échelle des piétons dans un centre urbain de la ville de Québec, Canada, qui se classe dans les régions à climat froid. Une étude sur les îlots de chaleur urbains est réalisée dans les quartiers de Saint-Jean-Baptiste et de Cap-Blanc pour visualiser la perception de la chaleur urbaine par les piétons en été. La recherche utilise une balade architecturale, la promenade urbaine, pour réaliser un sondage des propriétés physiques de l'environnement. La promenade urbaine désigne l'expérience sensorielle in situ d'un piéton en ville. Une stratégie innovante de représentation spatio-temporelle des données caractérise les résultats de la recherche. Les résultats sont ainsi tous présentés selon un axe spatial en ordonnée et un axe temporel en abscisse. La prise de mesures qualitatives et quantitatives selon le champ de vision de l'humain rythme la promenade urbaine. La méthodologie utilisée permet d'établir un protocole expérimental captant et représentant les données physiques environnementales (températures de surfaces et de l'air) et données photographiques. Les résultats permettent de localiser les éléments favorisant le phénomène d'îlot de chaleur urbain à travers l'étude des matériaux utilisés en surface. La spatio-temporalité des résultats présentés permet d'effectuer une comparaison des différentes typologies urbaines rencontrées durant la promenade urbaine dans la ville de Québec. L'analyse (des résultats) permet de réaliser d'une part une étude comparative de deux typologies urbaines à travers la réaction lumineuse et thermique des surfaces et d'autre part une étude sur l'expérience d'un piéton pendant une promenade urbaine complète. / Human comfort is essential in relation to urban heat issues related to global climate changes. City centers generally associate with a high concentration of pedestrians and still represent the district prone to urban heat. This research studies lighting and thermal atmospheres to evaluate and represent urban heat at the pedestrian scale in an urban center of Quebec City, Canada, which consists of a cold climate. The study on urban heat islands in the Saint-Jean-Baptiste and Cap-Blanc districts was performed at the pedestrian scale to visualize the perception of urban heat in summer. The research uses an architectural stroll, the urban walk, to carry out a survey of the environment physical properties. The urban walk designates the in situ sensory experience of a pedestrian in the city, La promenade urbaine. An innovative spatio-temporal representational strategy characterizes the results of the research. The results are thus synthesized along a spatial axis in ordinate and a temporal axis on the abscissa. Qualitative and quantitative measurements according to the human field of vision describe the urban promenade. The developed methodology enables to establish an experimental protocol linking environmental physical data (surface and air temperatures) and photographic data. The results allow locating the physical elements favoring the phenomenon of urban heat island through the study of the materials used on the surface. The spatio-temporality of the results compares the different urban types encountered during the urban walk in Quebec City. Results illustrate two different levels of environmental interpretations of the ambient evaluations in relation to urban heat island. The first level consists of a comparative study of two urban types through lighting and thermal reactions of surfaces while the second consists of a longitudinal study on the experience of a pedestrian during a complete urban walk.
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LA MEDIATION GRAMMATICALE EN ECOLE ELEMENTAIRE, Eléments de compréhension de l'activité enseignante

Clauzard, Philippe 11 June 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objectif de comprendre la situation d'apprentissage grammatical en école élémentaire, en l'étudiant sous l'angle de l'activité des enseignants, au travers, tout particulièrement des épisodes repérés comme significatifs d'un glissement vers le conceptuel. Elle cherche à identifier les caractéristiques spécifiques de ces situations de mutation, les types de schèmes de glissements conceptuels comme les modèles opératifs et les stratégies singulières développés par les acteurs en fonction de la structure conceptuelle de la situation d'enseignement/apprentissage de la grammaire en école élémentaire. <br />Nous avons repéré deux concepts organisateurs de cette structure conceptuelle : les glissements conceptuels (instanciation d'une secondarisation dans l'apprentissage grammatical) et l'ajustement d'un type de grammaire à un niveau de classe.<br />La recherche a été conduite en collaboration avec dix-huit professeurs des écoles. Les données ont été recueillies à partir d'enregistrements vidéo des séances de classe et d'autoconfrontations des enseignants. <br />Les résultats mettent en évidence le rôle central que jouent les épisodes de glissement conceptuel, dans une conceptualisation progressive au sein d'un cadre notionnel très abstrait et complexe pour les écoliers. Ils montrent que l'activité des enseignants en classe de grammaire se caractérise de la manière suivante : <br /><br />(a) l'apprentissage de la grammaire forme un champ conceptuel cohérent et hiérarchisé avec des continuités et ruptures au regard des différents concepts connectés les uns aux autres formant in fine le concept de phrase grammaticale (très complexe et abstrait pour les écoliers), avec des types de grammaire intuitive, implicite ou explicite qui convoquent un ajustement de la part des maîtres de grammaire,<br />(b) cet apprentissage exige un temps de conceptualisation long qui va de 7 ans à 10 ans en école élémentaire et se poursuit pendant les années de collège, ce temps se subdivise en « paliers » de conceptualisation qui vont du « concept provisoire » au « concept institué » en liaison avec des types de glissement conceptuel correspondants,<br />(c) les épisodes de glissement conceptuel sont les indicateurs dans les interactions de classe d'une secondarisation, d'un changement de registre de conceptualisation marquant le passage de l'épi - langage au méta – langage ; ils soulignent un moment d'apprentissage, un possible de conceptualisation,<br />(d) le modèle opératif de l'enseignant (avec l'ensemble de ses conceptions et expériences personnelles) influe sa didactique grammaticale dans le choix d'un support phrastique (phrase problème évoluant vers une phrase modèle d'objet linguistique), d'un procédé didactique, des tâches scolaires ; il est à l'origine de stratégies individuelles caractérisables.<br />(e) Par delà les différences, il apparaît un genre commun d'apprentissage grammatical et trois dimensions essentielles : la norme, le jeu et l'analyse. Sans les deux premières, il n'existe pas de formation à l'analyse. L'accès à l'analyse est probablement, plus facile sur la langue, parce que, la langue est ce qui se prête le plus facilement au jeu : on joue avec les mots. Et la dimension « jeu » permet l'accès à la dimension « analyse ». La grammaire, un jeu dans les petites classes, avant de devenir dans les grandes classes un enjeu épistémique... <br /><br />Une traduction en démarche de formation professionnelle des résultats de la recherche conduirait à former des enseignants qui apprennent à contrôler les épisodes de glissement, à la fois chez eux et dans l'effet produit sur les élèves. Grâce à des debriefing, il conviendrait de permettre aux jeunes enseignants d'analyser la manière dont ils ont procédé à des glissements (comme le soulignent Goigoux et Bautier, les enseignants sont très peu conscients de leurs pratiques de secondarisation). On pourrait leur permettre notamment d'identifier les épisodes de glissement qu'ils ont produits, de les caractériser, d'évaluer leur pertinence dans les effets produits chez les apprenants. Il serait aussi souhaitable de leur faire travailler les trois dimensions de l'objet « grammaire », que nous avons précédemment décrites : norme, jeu, analyse et peut-être leur faire prendre conscience de leurs convictions et motivations, leurs conceptions sur la grammaire à interroger. Ce serait conduire les enseignants à reconnaître le geste professionnel d'étayage qu'est le glissement conceptuel, qui prend en compte les objets d'enseignement dans toute leur épaisseur.

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