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„La Paresse“ – Thema mit Variationen

Schönjahn, Claudia 06 September 2019 (has links)
Eine junge nackte Frau, bäuchlings auf einem mit gemusterter Decke überzogenen Diwan ruhend, streichelt eine Katze. Eine makellos weiße Fläche beschreibt den schönlinig‐straffen Körper, der sich von dem raffiniert ornamental gemusterten Grund abhebt – eine natürlichunschuldige und zugleich verführerische Aktdarstellung. Man spürt förmlich die wohlige Trägheit an einem heißen Sommertag, die aus dieser höchst zutreffend „La Paresse – Die Trägheit“ betitelten Komposition spricht. Félix Vallotton, der Schöpfer dieses 1896 entstandenen Holzschnitts, war einer der Protagonisten der Ende des 19. Jahrhunderts europaweit einsetzenden Renaissance des Holzschnitts. In den japanischen Farbholzschnitten, die seit der erzwungenen Öffnung des Landes nach Europa gelangt waren und eine wahre Japonismus‐Welle ausgelöst hatten, sahen europäische Künstler einen Weg aus dem als überholt betrachteten akademischen naturalistischen Illusionismus.
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Faire ou ne pas faire? : travail et paresse dans l'activité artistique au tournant du XXIe siècle (1980-2014) / To do or not to do? : labour and laziness in artistic activity at the turn of the XXIst century (1980‑2014)

Riou, Pascale 20 October 2017 (has links)
Notre thèse se propose d’étudier l'activité artistique contemporaine au tournant du XXIe siècle par le prisme de l’antagonisme entre travail et paresse. Le travail, autant que la professionnalité, la production et la monstration, par exemple, mais aussi la paresse, l’amateurisme, le dilettantisme ou encore le désœuvrement sont des notions qui questionnent l'activité artistique et que les artistes questionnent. Elles renvoient à la place de l'artiste dans la société, à la liberté et l'oisiveté créatrice que les représentations sociales et culturelles lui confèrent, à son activité comme travail non aliéné, modèle potentiel d'activité humaine. Il s’agit de comprendre l'art dans son étymologie (ars, artis : manière d'être, manière d'agir), de s’attacher aux œuvres d'art comme aux pratiques, aux gestes comme aux processus afin de pointer les enjeux de l’œuvre et de sa représentation, des images et statuts des artistes, du temps et de l'espace de la pratique, des conditions et régimes de celle-ci. / Our thesis proposes to study contemporary artistic activity at the turn of the twenty-first century by the prism of the antagonism between labour and laziness. Labour, as well as professionalism, production and demonstration, for example, but also laziness, amateurism, dilettantism or even idleness, are notions that question artistic activity and that artists question. They refer to the place of the artist in society, the freedom and creative idleness that social and cultural representations confer on him, his activity as a non-alienated work, a potential model of human activity. It is about understanding art in its etymology (ars, artis: way of being, way of acting), to attach ourselves to the works of art as to the practices, the gestures as the processes in order to point the issues of the work and its representation, the images and status of the artists, the time and space of the practice, the conditions and the regimes of this.
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Proposition d'une arithmétique rationnelle paresseuse et d'un outil d'aide à la saisie d'objets en synthèse d'images

Jaillon, Philippe 30 September 1993 (has links) (PDF)
La solution la plus commune pour résoudre les problèmes de précision liés aux arithmétiques des ordinateurs est l'utilisation d'arithmétiques exactes. Nous proposons dans la première partie de cette thèse une optimisation très puissante des arithmétiques rationnelles : l'arithmétique rationnelle paresseuse. L'originalité de cette arithmétique est de retarder les calculs exacts jusqu'à ce qu'ils deviennent soit inutiles, soit inévitables. Ainsi les calculs exacts qui ne sont pas nécessaires ne sont jamais faits. L'arithmétique paresseuse se présente sous la forme d'une bibliothèque autonome prenant à sa charge les problèmes de précision et qui est indépendante des programmes qui l'utilisent. La deuxième partie de cette thèse présente un outil de modélisation dont le principal intérêt est d'utiliser l'image des objets comme support à leur modélisation sous forme d'arbre de construction. Cet outil est interactif, l'utilisateur pourra de cette manière ne modéliser que ce dont il a besoin et avec le niveau de détails le plus adapté à ses applications. Les extensions que nous proposons dans le domaine de l'incrustation d'images de synthèse dans des images naturelles permettent de traiter correctement l'ombrage de la scène finale en tenant compte de la nature des éclairages, des ombres portées et des reflets.
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Performer la paresse

Daoust, Ariane 07 1900 (has links) (PDF)
Partant d'une formulation énigmatique du philosophe allemand Gotthold Ephraim Lessing (1729-1781), « Paressons en toutes choses, hormis en aimant et en buvant, hormis en paressant », ce mémoire est constitué d'une série d'exemples qui permettent d'interroger le potentiel subversif, critique, de la paresse dans un système basé sur les idéologies du travail et de la productivité, mais aussi, dans le monde de l'art dominant où règnent ces mêmes idéologies. Nous avons mis au cœur de cette réflexion le paradoxe que comporte le fait même de travailler sur la paresse et, comme on le dit en d'autres mots, le paradoxe de performer la paresse. Sans chercher à résoudre ce paradoxe, ce mémoire postule plutôt l'existence d'une paresse active, décidée ou même effective qui permet justement d'activer sa dimension heuristique et critique. Les cas de figure de Marcel Duchamp, Mladen Stilinović et Goran Dordevic, exacerbent ce paradoxe pour articuler sa faille logique et nous invitent à découvrir la problématique de la paresse en art comme manière d'être plutôt que comme producteur d'objets d'art, ce qui correspondrait à la logique productiviste. La structure de ce mémoire reprend la formule de Lessing que nous avons décomposée partie par partie, chapitre par chapitre. Le premier chapitre a pour assise théorique la figure de Bartleby, héros d'une nouvelle d'Herman Melville qui a inspiré les penseurs modernes et contemporains Gilles Deleuze, Michael Hardt et Antonio Negri, Slavoj Zizek et Giorgio Agamben, et constitue aussi une synthèse des lectures sur la critique du productivisme (André Gorz). Dans le second chapitre, en partant des auteurs Raoul Vaneigem, Roland Barthes et Giorgio Agamben, il s'agit d'imaginer ce que serait une communauté de paresseux, une communauté fondée sur l'amour. Dans le troisième chapitre, il s'agit de démontrer qu'en art il est possible d'être occupé tout en étant paresseux, à condition qu'on n'ajoute rien à ce qui est déjà là. Dans le quatrième et dernier chapitre, la paresse est vue en fonction de son ontologie à partir de Spinoza, de Nietzsche et de Barthes. Une lecture d'un entretien avec l'artiste Mladen Stilinović témoigne d'une façon d'entendre la paresse dans la perspective de l'art. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : paresse en art, performer la paresse, art conceptuel, Mladen Stilinović, Marcel Duchamp, Goran Dordevic.
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Influence des enseignants sur l'estime de soi des adolescents : étude exploratoire auprès d'adolescents et de leurs enseignants

Moltrecht, Brigitte January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le droit à la paresse en droit social / The right to be lazy in social law

Bouthière, Nicolas 07 November 2019 (has links)
La situation des individus situés en dehors du travail interroge sur la perception qu’a le droit des inactifs et sur les protections conférées à ces derniers, notamment la protection de leur dignité sociale. La notion de paresse, qui pourrait être définie comme la propension à ne rien faire, est absente des dictionnaires juridiques et revêt un sens péjoratif dans les rares textes qui en font usage. L’étude se propose de dessiner les contours de ce que pourrait être un droit à la paresse, et plus spécifiquement un droit collectif à la paresse, en étudiant dans l’ordre juridique français à l’aune de l’activité de travail et du droit de la protection sociale, la façon dont les comportements paresseux sont perçus par le droit et s’il est des situations empreintes d’oisiveté qui permettent de conférer à la paresse une forme de licéité. La recherche s’est intéressée à la fonction et la valeur sociale du travail, pour mieux déconstruire les rapports de dépendance à l’activité de travail qui s’établissent au préjudice du développement du temps de vie personnelle des travailleurs. / The situation of individuals outside work questions the perception of the law of the inactive and the protections afforded to them, including the protection of their social dignity. The notion of laziness, which could be defined as the propensity to do nothing, is absent from legal dictionaries and has a pejorative meaning in the few texts that make use of it. The study proposes to draw the outline of what could be a right to laziness, and more specifically a collective right to laziness, by studying in the French legal order in the yard of the work activity and the social welfare law, the manner in which lazy behavior is perceived by law, and the idleness of situations that make laziness a form of lawfulness. Research has focused on the function and social value of work, in order to better deconstruct the relationships of dependence on the work activity that are established to the detriment of the development of the personal life time of workers.
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Figures d’endormis et théories du sommeil de la fin du Moyen Âge à l’aube de l’époque moderne : Le sommeil profond et ses métaphores dans l’art de la Renaissance / Representations of Sleepers and Theories of Sleep from the Late Medieval to the Early Modern Period

Seretti, Marina 12 December 2015 (has links)
Le sommeil profond, distinct du rêve qu’il accompagne, a bien souvent été occulté par ce dernier au sein des études philosophiques et historiques. La présente recherche, consacrée aux figures d’endormis et aux théories du sommeil à la Renaissance, propose de combler en partie cette lacune en partant de l'hypothèse selon laquelle le sommeil profond, bien qu’il échappe à la conscience, n'en demeure pas moins chargé de sens et de valeurs. L’imaginaire bifurque pour créer, en lieu et place d’une absence de connaissance, une source vive de métaphores. Placé au confluent des traditions chrétiennes et païennes, l’art de la Renaissance offre à l’interprétation une multiplicité de figures endormies. Métaphores visuelles, pétries par la littérature de l’époque, nourries de théories qu’elles transforment en retour. À travers elles, dormir constitue bien souvent l’indice du péché, car « l’oisiveté est mère de tous les vices ». Mais, la métaphore change avec la pose du dormeur, son lieu et son environnement également. Selon les œuvres, le sommeil devient l’emblème de l’enfance ou de la vieillesse (premiers et derniers sommeils), une métaphore d’ignorance et d’oubli (sommeil léthéen), la figure du secret et de la foi (repos contemplatif), du désespoir et de la mélancolie (sommeil de tristesse), de l’amour céleste et du ravissement (vacance de l’âme) ou bien du rapt et de la volupté (érotisme léthargique). L’énigme du sommeil donne forme aux questions insolubles qui ne cessent de nous mettre en éveil : images léthargiques de bonheur, d’amour et de mort qui n’en finissent pas de hanter l’imaginaire contemporain, « métaphores absolues » dont l’histoire ne cesse de s’inventer. / Scores of historical and philosophical studies have been devoted to dreams. However, the notion of deep sleep (as opposed to dreams) seems to have been thoroughly neglected. The present study attempts to fill this gap by analyzing representations of sleepers and theories of sleep in the Renaissance. My working hypothesis is that even though deep sleep appears to be located outside of the realm of consciousness, it amounts nonetheless to a heavily determined notion, both semantically and axiologically. Sleep seems to offer a form of imaginative diversion, as the absence of knowledge gives free rein to fanciful metaphors. At the crossroads of Christian and pagan traditions, Renaissance art offers a cornucopia of representations of sleep. They constitute visual metaphors, deeply influenced by the literature and theoretical writings of the period, on which they had in turn a tremendous impact. Thus, sleep is often equated with sin, as « idle hands are the devil's workshop », but its meaning also depends on the sleeper's attitude, location and context. For instance, sleep can be depicted as an emblem of early childhood or old age (first or last sleep), a metaphor for oblivion (Lethean sleep), a figure of ecstasy and faith (contemplative rest), an image of melancholy (sleep of sadness), of spiritual rapture (vacation of the soul) or sensual ravishment (lethargic eroticism). Whichever the case, sleep always remains an enigma, a Protean concept assuming the shape of virtually unanswerable questions : lethargic images of happiness, love and death that are still haunting the contemporary imagination, « absolute metaphors » constantly reinventing themselves and their history.
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Négation et Diffraction de la volonté en éducation / Negation and Diffraction of willl in education

Praz, Jean 27 April 2017 (has links)
Entre 1880 et 1920, l’institution scolaire en France, les pédagogues et les professeurs de pédagogie, les enseignants dans leurs commentaires, les parents souvent inquiets en appellent à la volonté qui explique l’échec lorsqu’elle manque, qui galvanise les énergies si elle s’exerce et qui élève l’esprit quand elle est une ascèse. Au même moment, silencieusement parce que dans les marges de la communauté éducative, se forment les conditions même de la disparition de la volonté. L’Education nouvelle de congrès en congrès desserrera l’étau de cette volonté anémiante. Edouard Claparède invitera à dévolontariser la volonté. L’écho de Jean-Jacques Rousseau prônant l’épanouissement de l’enfance retrouvée légitimera cet effacement de la volonté. Et très vite de volonté il ne sera plus question. Comment expliquer cette contradiction entre cette omniprésence de la volonté et sa disparition ? Deux voies : l’une qui analysera la volonté même, l’autre qui décrira des pratiques éducatives où la volonté a joué un rôle ou celles d’où elle s’est retirée. L’enquête s’en tiendra au mot même de volonté dans ses composants sémantiques et dans l’histoire de sa traduction du grec ou du latin au français, puis au concept qui lui correspond : décomposition en traits, description de ses modalités et évaluation de sa teneur ontologique en dessinant la scène de toute action. Apparaîtront quatre dimensions de la volonté : effort, intention, décision et force, dimensions qui renverront aux vertus épistémiques, à la logique de l’action et à une conception de l’homme. Autrement dit, à quelle anthropologie la volonté comme force correspond-elle ? Et son éviction, quel sujet implique-t-elle ? D’autre part, si la volonté est intention et décision, ne relève-t-elle pas de la logique de l’action, comme son contraire l’acrasie ? Enfin, identifier volonté et effort, c’est redécouvrir les vertus épistémiques de la studiosité, de la curiosité, de l’attention, c’est dire ce qu’elles sont et comment les développer. Il est un dernier point qu’on ne saurait négliger : la volonté, ou du moins son contraire qu’est la paresse, met en jeu l’assise métaphysique de tout homme.Cette analyse sera corrélée, sinon à des pratiques éducatives puisque l’archive en est souvent absente, du moins à des théories ou à des comptes rendus de pratiques dans des genres littéraires le plus divers. D’abord, Célestin Freinet parce qu’il a critiqué la volonté comme instance morale, mais a gardé la notion d’effort s’appuyant peut-être sur le travail comme force d’émancipation, en tout cas comme émanation de la vie. Ensuite Piaget qui transforme la volonté en un contraire de la ligne de moindre résistance dans une conception évolutionniste, la naturalisant ainsi. Puis, Maine de Biran et Pestalozzi qui fondèrent une école presque ensemble, l’un faisant de l’effort le constituant premier de l’homme, l’autre hésitant entre l’épanouissement dévolontarisé et les nécessaires contraintes de toute action. Descartes aussi parce qu’il éduque la volonté conçue comme décision et qu’il la place au cœur de sa logique de sorte que l’homme se caractérise par la générosité qui est l’aptitude à poser des actes judicieux. Enfin, Dewey et Kilpatrick qui substitueront à la volonté l’intérêt s’opposant à l’éducation comme jeu et aux conceptions d’Herbart pour qui rien ne venait de l’élève et pour qui tout s’imposait de l’extérieur. Ce parcours s’achève par une mise en rapport de ces conceptions de la volonté et de certains traits d’anthropologie dans le but de dessiner une logique où le recours à la volonté correspond à un sujet vide et où l’effacement de la volonté suppose un sujet doté d’une intériorité qui ne demande qu’à s’exprimer. Puis, la fiction d’un compte rendu d’un congrès de philosophie de l’éducation permettra de reprendre les perspectives des uns et des autres et d’exprimer leur style de pensée. S'ouvrent alors les perspectives, dans une vision naturaliste, d'un sujet se constituant .... / Between 1880 and 1920 the academic institution of France, pedagogues and professors of pedagogy, teachers writing school reports and worried parents, have called upon the concept of will to explain failure where there is a lack of it, to galvanise energy where it is present and to raise the spirit in the field of asceticism. At the same time, the very conditions for the extinction of the concept of will have been growing quietly, at the margins of the education community. The Modern School Movement, from conference to conference, have been loosening the grip on this debilitating concept. Edouard Claparède suggests the ‘dewilling’ of will. The echo of Jean-Jacques Rousseau defending the blossoming of a rediscovered childhood, adds further weight to the idea of the fading out of the notion of will. How long before the question of will becomes no longer relevant? How can this contradiction between the omnipresent subject of will and its disappearance be explained? There are two approaches: the first analyses will itself, the second describes the educative practices where will plays a role or those where it is absent. The inquiry analyses the semantic components of the word, from its translation in Greek or Latin to French. Alongside this, it investigates the concept behind the word: its distinguishing features, the description of its modalities and its ontological constitution, describing the nature and the elements that make up an action. Four dimensions of will are identified: effort, intention, decision and strength. These dimensions clearly refer to epistemic virtues, the logic of action and the concept of what it is to be human. Put another way, to which anthropological system does will, as a strength, correspond? And in its absence, what idea of human behaviour do we conceive? On the other hand, if will is intention and decision, can it not be assumed that it comes from the logic of action, along with its opposite, akrasia. Finally, to identify will in terms of effort, is to revisit the epistemic virtues of studiousness, curiosity and attention, stating what they are and how to develop them. Another aspect that deserves consideration: will, or at least its opposite, laziness, calls into play the metaphysical bases underpinning human existence. This analysis correlates if not to the educative practices, archival material not often existing, at least to the theories or accounts of practices to be found in the myriad literary genres. Firstly, Célestin Freinet who criticised the idea of will as a moral value, but maintained the idea of effort, emphasing perhaps the notion of work as a liberating force, as an expression of life. Then Piaget, working within the school of evolutionary theory, who transforms will into an opposite of the path of least resistance. This is followed by Maine de Biran and Pestalozzi who almost founded a school together, the former identifying effort as the principal characteristic of man, the later hesitating between the blossoming of the individual that happens outside of will and the essential limits of any given action. Decartes conceives will as a decision which he places at the centre of his theory that man is characterised by generosity, which he defines as the ability to be reasonable. Lastly Dewey and Kilpatrick who substitute will for interest, opposing the idea of education as a game and Herbart’s idea that nothing comes from the student, everything is imposed from external sources. The journey finishes with a bringing together of the concepts of will and certain anthropological features, the aim of which is to draw upon logic where will is called upon in a situation of personal need or is eliminated, presuming that the individual’s inner life is left unexpressed. The imaginary reporting to a fictitious conference between the various educational philosophers would allow the sharing and reformulating of each other’s perspectives along with the investigation of their various styles of thought...
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Le discours des vices et des vertus aux époques carolingiennes et ottonienne. De l'écrit à l'image (IXe - XIe siècle) / The discourse of vices and virtues in the Carolingian and Ottonian periods. From writing to image (9th-11th century)

Rodrigues, Perrine 17 October 2018 (has links)
Le discours des vices et des vertus est une étude qui porte sur la définition des notions de bien et de mal, de droit et d’interdit dans le cadre de la renouatio carolingienne, débutée sous le règne de Charlemagne et poursuivit sous ses successeurs, puis redynamisée sous le règne des Ottoniens. Les genres littéraires et artistiques où apparaissent les allégories des vices et des vertus constituent un corpus très varié de sources (judiciaire, morale, iconographique…). La diversité des sources permet de faire émerger la définition d’un idéal permettant de conduire l’homme à son salut, tout en mettant en place des codes moraux et une norme qui permettent d’encadrer la société dans tous les domaines. / The discourse of vices and virtues is a study which deals with the definition of the notions of good and evil, law and prohibition in the context of Carolingian renouatio, begun under the reign of Charlemagne and continued under his successors, then revitalized under the reign of Ottonians. The literary and artistic genres in which allegories of vices and virtues appear, constitute a very varied corpus of sources (judicial, moral, iconographic, etc.). The diversity of sources makes it possible to emerge the definition of an ideal allowing to lead the man to his salvation, while setting up moral codes and a norm which make it possible to regulate the society in all areas.

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