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Phénoménologie de la conscience de culpabilité essai de pathologie éthique.Hisashige, Tadao. January 1984 (has links)
Th.--Lett.--Paris 10, 1982.
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Gewissensverständnis in der evangelischen Dogmatik und Ethik im 20. Jahrhundert /Freund, Annegret. January 1994 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Sektion Theologie--Jena--Friedrich-Schiller-Universität, 1989. / Bibliogr. p. [187]-199.
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Le développement du jugement moral et sa praxisLapierre, Bernard, January 2000 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2000. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Formation of conscience : a moral theological problem : a study in the context of Karl Heinz Peschke's "Christian ethics /Anosike, John Emeka. January 1900 (has links)
Diss.--Moral theology--University of Bonn, 2000. / Bibliogr. p. 333-346.
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La conscience /Laszlo-Fenouillet, Dominique. Cornu, Gérard, January 1993 (has links)
Th.--Droit. / Bibliogr. p. 521-546. Index.
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La Figure de Socrate et la conscience moraleBouchard, Denis, Bouchard, Denis 11 January 2025 (has links)
Socrate, figure énigmatique entre toutes, est le symbole du sage accompli, du philosophe. Il fascine, déroute et inquiète, mais ne laisse pas indifférent quiconque ose s'approcher de lui. Plusieurs grands esprits s'en réclament et tirent leur inspiration de son œuvre. Nous avons choisi de cerner les motivations qui nourrissent cet engouement. L'ironie est pour Socrate un moyen de descendre dans la conscience de chacun; un outil lui permettant d'abaisser les barrières de la suffisance. Elle encourage l'interlocuteur à prendre conscience de sa carence cognitive. L'ironie socratique est avant tout pédagogique. Elle cherche à éveiller l'esprit de sa torpeur en le confrontant aux contradictions internes qui résultent du raisonnement habilement mené par le maître. Si l'ironie cherche à sortir l'âme de sa léthargie, le dialogue sera le terrain sur lequel s'opère ce cheminement. En effet, l'ironie prend vie grâce au dialogue. Ce dernier est essentiel, car il mobilise les interlocuteurs et les pousse à l'échange dialectique. Le dialogue est l'occasion pour l'esprit de s'affirmer, certes, mais aussi et surtout, la chance de confronter raison et opinion. De plus, il est relation; relation à soi-même comme avec autrui. Socrate tenait à cet aspect relationnel, car de la rencontre dialogique pouvait surgir la vérité. Ici entre en jeu la maieutique, qui avait pour tâche de mettre au monde les pensées de chacun afin de constater si celles-ci correspondent a la vérité ou à une simple opinion. Nous constatons alors que le ÀÔyoç, qui est parole et raison, est le phare qui guide l'esprit vers le sentier de sa découverte intérieure. Ce qui nous conduit au fameux "yvw0i aauxôv", l'impératif suprême de la démarche socratique. La connaissance de soi est en effet pour Socrate l'unique et essentielle voie qui puisse conduire l'esprit au sein de son intériorité, la seule façon de découvrir le fondement intime de son être vrai. A cet effet, la pensée réflexive se révélera d'une utilité irremplaçable, puisqu'elle doit assumer cette conquête de soi qui anime l'esprit. La réflexion sur soi, mère de la philosophie, conduit l'esprit à poser une hiérarchie des valeurs au sein de l'univers matériel et intelligible qui l'entoure. Les biens contemplatifs, les plus dignes d'intérêt pour Socrate, sont donc les seuls qui méritent vraiment notre attention. Ainsi, la connaissance de soi sera pour l'esprit le moyen d'atteindre son épanouissement total. La conscience morale est l'aboutissement de ce cheminement dialectique. Elle est l'apogée de la méthode de Socrate, sa fin ultime. C'est l'esprit qui a une vision claire de l'absolu à faire sien, du bien à atteindre comme besoin vital. Cette conscience est celle qui guide l'esprit et lui procure la certitude de soi. Elle pose le moi comme principe d'action pour soi et au sein du monde. Tous les efforts de Socrate tendirent vers cet idéal. Il a cherché à libérer l'esprit afin de le rendre présent à lui-même. Socrate a assumé cet apostolat afin de rendre le bonheur accessible à l'humain. Car, en fin de compte, toute action humaine n'est-elle pas tendue vers la conquête de ce bonheur qui épanouit la personne?
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Entstehung und Entwicklung des Gewissens im Spiegel der griechischen TragödieStebler, Ursula. January 1971 (has links)
Originally presented as the author's thesis, Bern. / Bibliography: p. 7-10.
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Les deux consciences : de l'étant-humain à l'Être et retour / The two consciousnesses : from human beings to Being and returnGraftieaux, Jean-Pierre 02 June 2009 (has links)
Le fait d’être conscient, en éveil et donc en veille, implique une relation, éthique en ce qu’elle manifeste ses capacités d’ouverture sur l’altérité. Il suit de là que la conscience de soi est aussi conscience de l’autre. Cette conscience, interface entre l’Etre et l’être humain, est conscience morale, conscience dont la structure interne n’est pas le remord (repli sur soi tourné vers l’intériorité) mais ek-sistence vers autrui. Au nom de quoi une telle conscience se laisse t-elle nécessairement interpeller et comment se manifeste sa capacité à sortir de soi ? L’Être, porteur du discours ontologique de l’inquiétude, la convoque à s’ouvrir à l’être. L’intrusion de l’inquiétude dans ma conscience l’enjoint à une authenticité : celle d’avoir à être pour autrui, obligation manifestée et inscrite dans mon devoir. Le je suis conscient (qui n’est pas le j’ai conscience) signifie je suis présent d’une présence qui n’est pas une coïncidence et qui me renvoie par l’Être à ma responsabilité pour l’être. Au dieu des philosophes donneur d’Être répond une conscience dont l’effectivité n’est pas divine mais strictement humaine. Une conscience qui renvoie à une finalité commune quant à la relation entre le patient et le médecin, celle de ne pas en faire une relation d’objet et qui répond à une interrogation existentielle de la finitude humaine : pourquoi y a-t-il de l’Être / The fact of being conscious, awake and therefore in a watchful state implies a relation, which is ethical in that it reveals its ability to become aware of otherness. From then on it follows that self consciousness is also consciousness of the other. This consciousness – an interface between Being and human beings is in fact some moral consciousness whose internal structure cannot be based on remorse, which is withdrawal into oneself turned towards interiority, but based on the act of ek-xsistere which is turned towards others. In whose name should such consciousness necessarily be questioned? In what manner does it reveal its ability to come out of the self? Being as carrying the ontological discourse of anxiety invites consciousness to open up to human beings. The intrusion of anxiety in our consciousness enjoins it to be authentic, that is of having to be for others, an obligation shown and inscribed in our duty. “I am conscious” means that I am present, a presence which is no coincidence and sends us back via Being to our responsibility for human beings. To the god of philosophers, the one that gives Being, responds a consciousness whose efficiency is not from divine essence but strictly from human one. This consciousness refers to a common aim regarding the relation between patient and medical doctor, that of not making it a relation of objects, and which answers the existential interrogation of human finitude: why is there some Being
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Les deux consciences : de l'étant-humain à l'Être et retourGraftieaux, Jean-Pierre 02 June 2009 (has links) (PDF)
Le fait d'être conscient, en éveil et donc en veille, implique une relation, éthique en ce qu'elle manifeste ses capacités d'ouverture sur l'altérité. Il suit de là que la conscience de soi est aussi conscience de l'autre. Cette conscience, interface entre l'Etre et l'être humain, est conscience morale, conscience dont la structure interne n'est pas le remord (repli sur soi tourné vers l'intériorité) mais ek-sistence vers autrui. Au nom de quoi une telle conscience se laisse t-elle nécessairement interpeller et comment se manifeste sa capacité à sortir de soi ? L'Être, porteur du discours ontologique de l'inquiétude, la convoque à s'ouvrir à l'être. L'intrusion de l'inquiétude dans ma conscience l'enjoint à une authenticité : celle d'avoir à être pour autrui, obligation manifestée et inscrite dans mon devoir. Le je suis conscient (qui n'est pas le j'ai conscience) signifie je suis présent d'une présence qui n'est pas une coïncidence et qui me renvoie par l'Être à ma responsabilité pour l'être. Au dieu des philosophes donneur d'Être répond une conscience dont l'effectivité n'est pas divine mais strictement humaine. Une conscience qui renvoie à une finalité commune quant à la relation entre le patient et le médecin, celle de ne pas en faire une relation d'objet et qui répond à une interrogation existentielle de la finitude humaine : pourquoi y a-t-il de l'Être
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Le jugement de la conscience morale dans la philosophie pratique d’Emmanuel Kant.Corriveau, Julien 12 1900 (has links)
Le concept de conscience morale (Gewissen) est présent tout au fil du corpus kantien, bien qu’il soit moins développé que d’autres idées jugées plus fondamentales. Pourtant, l’étude de ce concept montre que, loin de se limiter à un rôle accessoire, il lie de manière importante sensibilité et intelligibilité, loi morale et devoir, ainsi qu’objectivité et subjectivité au sein de la philosophie pratique kantienne. En plus de la décrire comme un instinct, ou suivant la métaphore du tribunal, Kant dit de la conscience morale qu’elle est une forme de jugement. Toutefois, il n’est pas clair de savoir en quoi ce jugement se distingue du jugement moral de l’entendement, ni sur quoi il porte exactement. L’examen de ces questions nous conduira à dégager trois sens du jugement de la conscience morale qui nous permettront de rendre compte de la diversité des occurrences de ce thème dans les textes de Kant et de mieux situer les interprétations des différents commentateurs. / The concept of moral conscience (Gewissen) is present throughout Kant's works, even though it is not as developed as other ideas generally considered as more fundamental. However, a close examination of this concept reveals that, far from being simply instrumental, it constitutes an important link between the ideas of sensibility and indelibility, moral law and duty, and objectivity and subjectivity in Kant's practical philosophy. Apart from defining moral conscience as an instinct, or through the use of the court of justice metaphor, Kant describes conscience as a judgment. But how this type of judgment can be distinguished from the moral judgment of reason, or what it judges exactly, is not obvious. Examining these questions will lead us to highlight three meanings of the judgment of the moral conscience, allowing a more accurate understanding of the different ways Kant conceives the concept, and a way to classify the interpretations of kantian specialists. / Ce projet a été réalisé grâce à une bourse du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.
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