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Considérations économiques et décolonisation en Afrique subsaharienne, 1956-1960 : la perception des dirigeants français

Mireault, Ghislain January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Décolonisation de l'alimentation des peuples autochtones : étude du cas de la communauté Anishnabe de Lac Simon

Atallah, Nour January 2017 (has links)
L’alimentation des peuples autochtones a été énormément affectée par la colonisation. Les politiques et stratégies assimilatrices du gouvernement occupant visaient souvent les ressources et pratiques alimentaires des peuples autochtones pour les éliminer. La dépossession des Autochtones de leurs territoires, la création des réserves et les pensionnats ne sont que quelques-uns des événements marquants qui ont eu des impacts directs et indirects sur l’alimentation de ces peuples et, en conséquence, sur leur santé. Loin d’être un chapitre clos du passé, les impacts de la colonisation sont encore visibles et donnent lieu à des problématiques sociales auxquelles les communautés autochtones tentent de remédier. Cette recherche s’intéresse donc aux différentes initiatives alimentaires qui existent dans la communauté Anishnabe de Lac Simon. À travers un sondage, des groupes de discussion et l’observation participative, je tente d’élucider les impacts que ces initiatives ont eu sur les habitudes alimentaires des participants et comment elles contribuent à la décolonisation de l’alimentation de la communauté.
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Le nationalisme arabe, vu par L'Humanité et Le Populaire (1945-1962)

Boisjoli, Andréanne January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Désapprendre l’art de « ne pas voir » la violence coloniale au Canada : cultiver des subjectivités relationnelles décolonisatrices

Savard, Marianne 28 April 2022 (has links)
Les structures du colonialisme d’occupation au Canada perpétuent encore aujourd’hui les dépossessions des Autochtones au bénéfice des occupant·es, ainsi que les tentatives de substitution des occupant·es aux peuples autochtones, suivant ce que Patrick Wolfe appelle une logique de l’élimination. Il ne suffit pas de déclarer notre reconnaissance du territoire autochtone. À titre de Zhaaganaash (occupante blanche sur un territoire Omàmìwinini/algonquin non cédé), il m’incomberait de « participer au processus de décolonisation », suivant l’appel à la justice 15.2 de l’ENFFADA (2019). Toutefois, la logique coloniale, incluant une épistémologie de l’ignorance, conditionne la population générale à naturaliser les hiérarchies désirées et à « ne pas voir » la violence coloniale — historique et contemporaine — au Canada. Alors que mon projet initial visait à cultiver des possibilités de subjectivité occultées par le patriarcat, à la lumière de la pensée de Luce Irigaray, mes études féministes m’ont fait voir l’urgence de la décolonisation. Je vois dans la pensée philosophique de Luce Irigaray une dimension déconstructrice (de la constitution du sujet, de son discours, et de ses « projet[s] téléologiquement constructeur[s] » d’un monde à son image et selon ses intérêts) et une dimension reconstructrice de possibilités alternatives (fondées sur ses concepts de la limite, l’intervalle, l’efflorescence, et l’éthique de la différence sexuelle, entre autres). Plus je lis son œuvre, et plus je lis de perspectives autochtones diverses, plus je vois comment les processus théoriques que décrit Luce Irigaray sont opérationnalisés contre les peuples autochtones sous le colonialisme d’occupation au Canada, et comment certaines nouvelles possibilités imaginées par Luce Irigaray — notamment pour les femmes — exist(ai)ent déjà, concrètement, chez certains peuples autochtones au Canada. Je soutiens que certaines théories irigaréennes sont ouvertes à des prolongements anticoloniaux et décolonisateurs utiles pour ouvrir la réceptivité d’occupant·es, au-delà des fragilités blanches et occupantes, à diverses perspectives autochtones essentielles au désapprentissage de nos aveuglements coloniaux et à la culture de subjectivités relationnelles qui sont spécifiquement décolonisatrices selon la définition de Tuck et Yang (2012). Le colonialisme d’occupation étant trop complexe pour s’expliquer à partir d’une seule théorie (Wolfe, 2006), mon projet consiste à développer un cadre d’analyse multidisciplinaire (incluant, mais non limité à la philosophie irigaréenne), dont la loupe de sélection se constitue de diverses perspectives autochtones. J’explore ce que voudrait dire la décolonisation en termes concrets dans mon quotidien de Zhaaganash.
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La décolonisation de la recherche quantitative : stratégies et obstacles en contexte québécois

Wisniewski, Janec 21 May 2024 (has links)
Depuis la publication de Decolonizing Methodologies, l'érudition méthodologique autochtone fut principalement alignée avec la recherche qualitative, tandis que la recherche quantitative est souvent délaissée en raison d'une méfiance associée aux méthodologies positivistes. Cependant, dans les récentes années, on observe une critique émergente des approches quantitatives de la recherche puisqu'elles placent les peuples autochtones dans un discours déficitaire. Effectivement, on note que les statistiques autochtones ont un caractère négatif qui met l'accent sur les différences, les disparités, les désavantages, les dysfonctionnements et les problèmes sociaux. Cette réalité est problématique puisque les statistiques qui proviennent des analyses quantitatives constituent la principale base de données probantes pour la politique autochtone. Par ailleurs, au Québec, on note que très peu de protocoles de recherche ont été établis par les organisations autochtones et communautés, que les formations éthiques sont inadéquates, etc. Dans ce contexte, ce projet de mémoire explore quels sont les stratégies et les obstacles à la décolonisation de la recherche quantitative au Québec. En somme, en analysant les stratégies et protocoles de recherche par les institutions québécoises et les organismes autochtones, on observe que la majorité des organismes mobilisent conjointement les principes de PCAP®, l'approche basée sur les forces et la recherche participative basée sur la communauté. Ainsi, dans l'absence des stratégies, dont les principes FAIR et CARE, on perçoit qu'au Québec les stratégies de décolonisation de la recherche ciblent autant les approches qualitatives que les approches quantitatives. Par ailleurs, les stratégies organisationnelles ciblent principalement les chercheurs dans leurs responsabilités individuelles envers les communautés, tandis que très peu mettent l'accent sur la nécessité d'apporter des changements institutionnels. En addition, nous identifions un ensemble d'obstacles en lien avec la difficulté de préserver l'anonymat, les difficultés de contrôler les données sur internet, le manque de donnée agrégée de qualité, les difficultés d'établir des relations collaboratives en raison de temps, de financement, de ressources humaines, le manque de mécanismes pour l'application de l'ÉPTC2, etc. / Since the publication of Decolonizing Methodologies, Indigenous methodological scholarship has primarily been aligned with qualitative research, while quantitative researchis often neglected due to a distrust associated with positivist methodologies. However in recent years, we have observed an emerging criticism of quantitative approaches toresearch because they place indigenous peoples in a deficit discourse. Indeed, indigenousstatistics are criticized for being highly negative and for emphasizing differences, disparities, disadvantages, dysfunctions, and social problems. This reality is problematicsince the statistics that come from quantitative analyzes constitute the main evidencebase for Indigenous policy. Furthermore, in Quebec, we note that very few research protocols have been established by indigenous organizations and communities, that ethicaltraining is inadequate, etc. In this context, this project explores the strategies and obstacles to the decolonization of quantitative research in Quebec. In short, by analyzingthe research strategies and protocols by Quebec institutions and Indigenous organizations, we observe that most organizations jointly mobilize the principles of OCAP®, the strengths-based approach and community-based participatory research. Thus, in theabsence of strategies, including the FAIR and CARE principles, we see that in Quebec the strategies for decolonizing research target both qualitative and quantitativeapproaches. Furthermore, organizational strategies mainly target researchers in theirindividual responsibilities towards communities, while very few emphasize the need tomake institutional changes. In addition, we identify a set of obstacles linked to the difficulty of preserving anonymity, the erroneous use of secondary data, publicly accessibledata or data protected by law, the difficulties of controlling data on the internet andthe emergence of cybercolonialism, the lack of quality aggregated data, the difficultiesof establishing collaborative relationships due to time, financing, human resources, theabsence of regulation of artificial intelligence, the lack of mechanisms for the applicationof TCPS2, etc.
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La décolonisation au Mali et au Sénégal, 1958-1962 : essai d'explication d'une évolution politique contrastée

Dagenais, Dominic January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le maquis scripturaire : mémoires d'acteurs de la Guerre d'indépendance en Algérie : la wilaya-I Aurès - Nememcha / The scriptural maquis : the memories of actors in the algerian war of independence : the province( Wilaya) I. Aures Nememcha

Nedjar, Dahmane 11 July 2016 (has links)
Cette étude est concentrée sur deux zones de la wilaya-I Aurès –Nememcha, la zone-II qui correspond au massif occidental de l’Aurès, principal foyer de l’insurrection du 1er Novembre 1954, devenu en 1956-1959 l’un des foyers de la dissidence contestant le Congrès de la Soummam, ainsi que la zone-I, région de Batna, ‘’capitale de l’Aurès’’. Le contexte volontairement réduit, rendait la recherche pertinente par la diversité des textes du corpus faisant l’objet d’une lecture globale et critique : ils sont écrits par un communiste, un réformiste religieux, un étudiant gréviste, trois chefs successifs de la wilaya-I, un ancien dissident, un chef de Zaouïa, des anciens militants du PPA-MTLD ayant été proches des messalistes durant la crise du parti, et divers autres documents. Une longue familiarité avec cette région et de l’historiographie locale a permis à l’auteur de cette étude, de ne pas s’arrêter aux explications de type anthropologique, et de traiter de questions de sociologie de l’histoire, en les inscrivant dans le champ de l’histoire : il en va ainsi de la dissidence, un sujet qui ne peut être épuisé par le seul fait du tribalisme. Il demeure que la profusion de mémoires d’acteurs de la guerre d’indépendance apparus à la fin des années 1980, sont tardifs et se conforment à une mémoire officielle, commandée par des dogmes, constituant des mythes incapacitants qui découragent toute perspective historique quand il s’agit du domaine de l’Aurès.La confrontation de cette littérature mémorielle permet toutefois de construire des objets de l’histoire, une fois ces mythes incapacitants circonscrits et reconnus comme tels. / This study focused on two areas of the province-I -Nememcha Aures, the zone-II which corresponds to the western massif of the Aures, main focus of the insurrection of November 1, 1954, in 1956-1959 became one of outbreaks of dissent challenging the Congress of Soummam and the -I area corresponding to the region of Batna, '' capital of the Aures. '' The context of the research and voluntarily reduced, became relevant by the diversity of texts adopted in the corpus subject to a comprehensive and critical reading: they are written by a Communist, a religious reformer, a student strike, three successive heads wilaya-I-Nememcha Aures, a former dissident, a leader of zawiya, former activists of PPA-MTLD having been close Messalists during the crisis of the party, and various other documents. Long familiarity with this region of the Aures and local historiography has enabled the author of that study, not to stop the anthropological explanations, and treat issues of sociology of history, in the registering in the field of history: it is the case of dissent, a subject that can not be exhausted by the mere fact of tribalism. It remains that the profusion of memories of actors in the war of independence emerged in the late 1980s, are late and comply official memory, controlled by dogmas, constituting incapacitating myths that discourage any historical perspective when he'is the domain of the Aures. The confrontation of this voluminous literature memorial but allows to build objects of history, once these debilitating myths identified and recognized as such.
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Les enjeux de la traduction d'ouvrages de sciences sociales sur les Autochtones au Québec, et traduction critique commentée d'un extrait de The White Man's Gonna Getcha: The Colonial Challenge to the Crees in Quebec par Toby Morantz

Raynault-Desgagné, Patricia January 2017 (has links)
Ce mémoire porte sur les enjeux traductologiques qui se posent dans le contexte de la traduction d’un texte sur les Cris de la Baie-James paru en 2002 à la McGill-Queen’s University Press et écrit par une ethnohistorienne de l’Université McGill, Toby Morantz. Les défis de traduction rencontrés lors de la traduction de cet ouvrage et les réflexions qu’ils ont provoquées m’ont amenée à me questionner de façon plus large sur les enjeux associés à la traduction et à la publication d’ouvrages anthropologiques portant sur les Autochtones au Québec. J’ai en effet pu constater, au cours de mes études et de ma carrière en anthropologie, qu’il existait, au Québec, une forme de « chasse gardée » académique entre les universités quant aux nations étudiées. Un recensement des œuvres sur le sujet en traduction démontre également qu’un nombre famélique de traductions ont été produites de ce genre d’ouvrages au cours des cinquante dernières années, que ce soit du français vers l’anglais ou l’inverse. Ce mémoire porte donc, dans un premier temps, sur l’identification de certains éléments contextuels, notamment le contexte éditorial, qui permettraient d’expliquer la faible quantité de traductions d’ouvrages portant sur les Premières Nations, mettant en perspective le capital symbolique relatif des différents acteurs impliqués dans ce genre de publications ainsi que du sujet d’étude. Dans un deuxième temps, je me pencherai sur les enjeux associés à la traduction en soi d’une œuvre anthropologique en cette ère postcoloniale. Je me suis en effet posé la question, tout comme l’auteure se l’était posée lors de l’écriture de l’ouvrage dont il est question ici, à savoir s’il était possible et souhaitable, pour les anthropologues eurocanadiennes que nous sommes, de participer à la « décolonisation » de l’histoire au moyen de la traduction d’un texte ethnohistorique, dans le contexte éditorial actuel au Québec. Enfin, je ferai état des étapes du processus de traduction qui entrent en jeu lors de la traduction d’un ouvrage de ce genre, afin de mettre en contexte les différentes solutions de traduction choisies.
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Décoloniser la recherche en contexte autochtone : progrès et défis d’une collaboration éthique en milieu urbain

Racine, Audrey 27 January 2020 (has links)
Un changement s’est opéré dans les 20 dernières années au Canada concernant la recherche effectuée auprès des peuples autochtones. En réponse aux nombreuses critiques indiquant le manque de contrôle des communautés autochtones quant aux recherches les concernant, différentes communautés et organisations ont développé leurs propres protocoles de recherche afin de s’assurer que celle-ci se fasse de manière éthique et avec leur collaboration. Comme ces pratiques de recherche touchant spécifiquement les communautés autochtones hors réserve en milieu urbain ne sont que très peu discutées dans la littérature académique, l’étude de cas suivante permettra d’avoir une meilleure compréhension de la réalité autochtone urbaine et des défis que celle-ci pose pour les chercheurs lorsque la communauté à l’étude se trouve en situation d’itinérance ou à risque d’itinérance. À partir d’un corpus d’entretiens qualitatifs semi-dirigés auprès de chercheurs à la fois autochtones et non autochtones ainsi qu’auprès d’un groupe de participants majoritairement inuit ayant eu une expérience de recherche antérieure, cette thèse permet de démontrer que malgré les différents défis que présente le milieu autochtone et particulièrement en milieu urbain, la recherche demeure possible grâce au désir des individus de participer et aux partenariats qu’établissent les chercheurs avec les communautés. Si la recherche participative en communauté se veut une solution à une collaboration éthique entre chercheurs et communautés autochtones permettant une décolonisation de la recherche, certaines contraintes institutionnelles rendent aussi plus difficile l’opérationnalisation d’une telle méthodologie.
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Les possessions françaises en Inde dès les années 1920 jusqu'à l'indépendance : histoire d'un revirement politique

Stech, Zorian 09 1900 (has links)
Peu de personnes se rappellent de la présence de la France en Inde. Quelques parties de l’Inde sont restées françaises jusqu’en 1954. À cette date, l’Inde française, consistant de quatre petits établissements (Pondichéry, Yanaon, Karikal et Mahé), était en pleine décadence et éclipsée par d’autres colonies françaises, plus grandes, plus lucratives et plus importantes pour la Métropole. L’Indochine et l’Algérie ne sont que deux exemples. Toutefois, les Français n’étaient pas disposés à abandonner leurs possessions en Inde sans résistance. Le présent mémoire cherche à expliquer la valeur des possessions françaises en Inde et les raisons de la fin de la tutelle française. Le titre du mémoire indique qu’un certain changement a eu lieu dans la politique française vis-à-vis de ses possessions en Inde. L’étude commence par un résumé de la situation politique et économique de l’Inde française depuis la fin de la dernière occupation anglaise en 1814 jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale. L’année 1920 est choisie comme point de départ de la période visée par le mémoire. Portant sur les années 1920, le premier chapitre examine l’hégémonie du parti Gaebelé qui a eu toutes les caractéristiques d’une dictature. Indifférentes à la vie politique de l’Inde française, les autorités métropolitaines étaient surtout attirées par le commerce que la colonie offrait dans la production de tissus et l’exportation d’arachides. Après la chute du parti Gaebelé, l’Inde française a été plongée dans une longue période d’agitation, un thème clé du deuxième chapitre sur les années 1930. Inconscientes de la réalité politique, les autorités métropolitaines ont toujours accordé la priorité au commerce. Durant les années 1940, l’Inde française n’a jamais arrêté de se rapprocher de l’Inde britannique. Ce rapprochement a aussi persisté lorsque l’Inde britannique est devenue l’Union indienne en 1947. Soudainement, les Français ont senti le besoin de réaffirmer leur position d’autorité en Inde française. Le commerce est passé au second plan au profit d’une série de réformes politiques. Toutefois, ce brusque changement de politique fut trop tardif. Le quatrième chapitre, centré surtout sur la période de 1950 à 1954 et vu à travers l’exemple d’Édouard Goubert, a souligné la méconnaissance des autorités métropolitaines des réalités qui confrontaient l’Inde française. Lorsque Goubert a cessé de servir comme porte-parole et principal allié du gouvernement français en Inde, les possessions françaises en Inde furent rattachées une par une à l’Union indienne. Rétrospectivement, les faits économiques, vitaux pour le début du mémoire, sont quasiment absents de deux derniers chapitres. Se retrouvant face à la menace de perdre leurs possessions en Inde, les Français ont compris que l’Inde française était précieuse pour des raisons autres que le commerce. Un accent particulier fut mis pour souligner ces avantages culturels et politiques. De petite taille, les possessions françaises étaient importantes pour l’ordre et la stabilité dans les autres colonies de l’Empire. Parallèlement, elles représentaient des points d’appui pour l’expansion de la culture française dans l’immense sous-continent indien. / Few people today can relate to the presence of the French in India. That said, a few cities in India remained under the control of the French until 1954. By then, French India, consisting of four cities (Pondicherry, Yanaon, Mahe, and Karikal) had reached its irrevocable point of decline, overshadowed by other French colonies that were larger, more lucrative and more important to France. Indochina and Algeria are but two examples. Even so, it must be stated that the French were reluctant to abandon their possessions in India without any resistance. This particular thesis seeks to explain the value of the French possessions in India and the reasons that led to their demise. The title of the thesis suggests that a certain change occurred in the politics of the French vis-à-vis their possessions in India. The thesis commences with a summary of the political and economic situation in French India from the end of the last British occupation in 1814 until the end of World War I. The year 1920 was chosen as a starting point for this thesis. Focusing on the 1920’s, the first chapter examines the hegemony of the Gaebelé party which had all the characteristics of a dictatorship. Indifferent to the political climate in French India, politicians in Paris felt most attracted by the colony’s commerce, especially its production of textiles and exports of oleaginous plants. After the fall of the Gaebelé party, French India plunged into a long period of turmoil and political unrest. This is a key theme of the second chapter analyzing the 1930’s. Unaware of the political realities, authorities in Paris continuously prioritized the colony’s commerce. During the 1940’s, French India never stopped drawing closer to British India. This connection persisted after the independence of British India in 1947. Suddenly, the French felt an urge to reaffirm their position of authority in French India. The colony’s commerce fell second to a series of political reforms. Nevertheless, the timing of this abrupt shift was too late. The fourth chapter, centered on the period from 1950 to 1954, confirms the lack of awareness of the French authorities in Paris for the realities confronting French India. The example of Edouard Goubert is a case in point. As soon as Goubert ceased to serve as the main spokesperson and ally of the French government in French India, the remaining French possessions were incorporated one by one to India. In retrospect, facts concerning the colony’s commerce and economy, while being vital in the beginning, are hardly mentioned in the last two chapters of the thesis. Faced with the very real threat of losing their possessions in India, the French understood that French India was valuable for reasons other than commerce. A particular emphasis was placed on the cultural and political value of French India. Small in area, French India was significant in maintaining order and stability in the other colonies of the French Empire. Simultaneously, the French possessions in India represented starting points for the expansion of French culture in the vast Indian sub-continent.

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