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La morphologie des grèves au Québec, 1940-1970 : une analyse quantitative

Ouellet, Richard 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Seul et avec l'autre : ethnologie de la vie en colocation dans le quartier Limoilou à Québec

Pastinelli, Madeleine 25 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2001-2002 / Le phénomène des ménages non familiaux, plus communément appelé colocation, connaît un développement important au Québec depuis les 10 dernières années. Une enquête de terrain auprès d'informateurs qui vivent en colocation permet de mieux comprendre cette nouvelle façon d'habiter, d'organiser le quotidien et de négocier le rapport à l'autre. La constitution d'un ménage éphémère, exempt d'engagement à long terme, avec un non-intime donne lieu à un jeu permanent de rapprochement et de mise à distance dans la construction d'un chez-soi. Vivre en colocation, c'est être à la fois seul dans sa trajectoire de vie et avec d'autres au quotidien. Les colocataires élaborent un discours identitaire paradoxal qui leur permet de jouir d'une grande mobilité et de vivre transitoirement une temporalité immédiate. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Production sociale de l'individualité et médiation juridique dans la transition du féodalisme au capitalisme d'après les recueils de jurisprudence du Parlement d'Aix-en-Provence publiés par Hyacinthe de Boniface

Larue, Richard 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Contribution à l'étude des objets en pierre en Mésopotamie au dynastique archaïque

Bellemare, France 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour but principal de mieux -faire connaître certains artefacts en pierre du Ille millénaire en Mésopotamie. Un profil général en a été tracé à partir de l'analyse d'objets provenant de huit sites mésopotamiens. Un chapitre est consacré à l'étude du matériau et des techniques de fabrication des objets. Ensuite, le matériel lithique provenant du site de tell Atij (campagne 1986) a été étudié en détail. En conclusion, les résultats obtenus sur ce site ont été mis en parallèle avec le profil général établi précédemment. Par l'application d'une méthode assistée par ordinateur, je crois avoir été en mesure, malgré les informations lacunaires dont je disposais, de relever les caractéristiques propres à ces objets. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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George-Étienne Cartier

Best, Henry B. M. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Joseph Fleury de la Gorgendière, 1676-1755, négociant de Québec

Larouche, Jeannette 25 April 2018 (has links)
Joseph Fleury de La Gorgendière, né à Québec en 1676 et décédé au même endroit en 1755, s'avère, de l'avis même de ses contemporains, un des plus importants négociants de la Nouvelle-France. Sa carrière devient ainsi intéressante â étudier d'autant plus qu'il oeuvre dans plusieurs secteurs de l'économie coloniale pendant presque tout le XVIIIe siècle français. La Gorgendière débute en affaires en 1702 comme commis au Fort Frontenac pour la Compagnie de la colonie. En 1708, il se tourne vers le commerce maritime. Son appartenance matrimoniale â un clan lié au commerce atlantique, celui des Grignon, pourrait bien expliquer l'orientation que prend alors sa carrière. Le commerce qu'il entreprend par la suite avec ses deux frères, l'un installé â La Rochelle et l'autre â La Martinique en est une manifestation. De 1708 â 1720, il armera plusieurs vaisseaux et effectuera également des investissements dans les pêcheries, les fourrures et l'agriculture. Bien qu'il semble avoir réalisé un surplus de capital, il éprouve certaines difficultés à recouvrer ses créances rapidement dans la colonie. Cette difficulté et les pertes d'argent subies dans l'exploitation du poste de Témiscamingue quelques années plus tard s'avèrent probablement responsables en grande partie des difficultés financières qu'il rencontre en 1726 dans son association avec son frère Charles. Au début des années 1720, déjà la carrière de La Gorgendière avait pris un nouveau tournant. Le négociant, qui jusqu'à cette date avait oeuvré uniquement dans le secteur privé, va évoluer davantage maintenant dans celui du public. Sa carrière s'organise désormais surtout autour des activités des administrateurs et des financiers métropolitains. A ce niveau, les possibilités de profits étaient nettement meilleures qu'à celui strictement colonial et les créances possiblement plus sûres. La Gorgendière, qui avait atteint une certaine envergure, cherchait naturellement à transiger avec l'Etat. La confiance que lui témoignent au fil des ans les administrateurs en place lui permettra de s'intégrer à ce cercle fermé de privilégiés qui pouvaient faire affaires avec l'Etat et de donner à sa carrière une nouvelle tournure. Cela commence à s'esquisser en 1719 lorsque La Gorgendière devient sous-fermier de la traite de Tadoussac et se poursuit lorsqu'il obtient en 1730 le peste d'agent au Canada de la Compagnie des Indes occidentales. La Gorgendière, par cette fonction, semble avoir atteint l'apogée de sa carrière. Tout en s'occupant des affaires de la compagnie, le négociant poursuit ses propres activités qui s'insèrent souvent dans les rapports qu'il a établis avec l'Etat. Assurément, la carrière du négociant a pris de l'ampleur depuis 1720. Toutefois, a sa mort, La Gorgendière laisse une fortune d'environ 80,000 livres. D'un homme qui brassait de si grosses affaires, on aurait pu s'attendre a plus. La guerre de la Succession d'Autriche pourrait expliquer cette situation. Elle donne en effet l'occasion aux négociants bordelais, qui contrairement aux négociants rochelais peuvent satisfaire les conditions d'armement en cette période, de s'immiscer dans le commerce canadien. Leur intervention brise les liens transatlantiques d'avant-guerre. La Gorgendière en aura peut-être souffert. Ses trois garçons ne suivent pas sa trace. A part le plus jeune des trois, on peut parler de régression sociale, sinon d'immobilisme. Ses quatre filles concluent de bons mariages. Une comparaison de la carrière de La Gorgendière avec celles des grands négociants du XVIIe siècle, tels Charles Aubert de La Chesnaye et François Hazeur, est intéressante à faire. Ces négociants enregistrent des faillites coup sur coup. La Gorgendière, quanta lui, obtient malgré certaines difficultés, une réussite relative. Pourquoi? Selon nous, cette différence s'explique par le fait que La Gorgendière a pu profiter d'une conjoncture plus favorable et de la présence grandissante de l'Etat. La question mériterait d'être approfondie. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'évolution du rôle de la sage-femme dans la région de Québec de 1620 à 1840

Laforce, Hélène 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Autonomie politique et originalité des civilisations dans le golfe du Bénin : le cas des Guin ou Mina d'Anecho (du 17e au 19e siècle)

Wilson, Seth 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le bailliage montréalais et ses officiers de justice

Lahaise, Robert 11 April 2018 (has links)
Dans un régime où le roi n'a de comptes à rendre qu'à Dieu et où sa suprême volonté semble devoir tout régir, on pourrait sans doute s'attendre à retrouver un ensemble de structures quasi stratifiées. Il appert cependant que la réalité soit plus mouvante. Certes, la centralisation monarchique accomplie en France vers la fin du moyen âge, y a provoqué par la suite le déclin des justices seigneuriales. La métropole possède alors des cadres définis et apparemment rigoureux. Elle ne saura toutefois les imposer intégralement à toutes ses colonies. Ainsi, en Nouvelle-France, l'incapacité de la Compagnie des Cent-Associés et l'isolement dont souffrent Québec, Trois-Rivières et Montréal, auront pour effet d'y reproduire, pour un court laps de temps, un esprit autonomiste de type féodal. Depuis Roberval, premier justicier officiel de la Nouvelle France - Cartier n'ayant reçu que le titre de maître des bateaux et le pouvoir d'y nommer les officiers qu'il veut - jusqu'à l'établissement du Conseil souverain en 1663, l'appareil judiciaire n'évolue guère au Canada. Le 12 janvier 1598, le lieutenant-général de La Roche reçoit des prérogatives à peu près identiques à celles de Roberval, alors que Champlain se voit attribuer en 1612 les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Avec l'établissement de la Compagnie des Cent-Associés, le roi se réserve "la provision des officiers de la justice souveraine" éventuelle, et stipule en 1640 que "le tout (devra se faire) suivant et conformément à la coutume de la prévôté et vicomte de Paris que la compagnie entend être observée et gardée par toute la Nouvelle-France". Montmagny reçoit encore en 1645 plein "pouvoir (...) de juger souverainement et en dernier ressort (…) tant les soldats qu'autres habitants des dits lieux". Le népotique Lauson a beau créer en 1651 une sénéchaussée devant servir d'intermédiaire entre les justiciers seigneuriaux et le gouverneur lui-même, l'administration générale de la justice n'en vaire guère pour autant. En fait, des débuts de la colonie jusqu'à l'établissement du Conseil souverain, la justice demeure l'apanage quasi-exclusif du gouverneur, même si la Communauté des Habitants reçoit en 1647 et en 1648 des pouvoirs exécutifs, législatif et judiciaire. Seule anicroche à son absolutisme, l'éloignement des différents tribunaux force le gouverneur à laisser aux juges une certaine autonomie en matière civile. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La pratique et l'idéologie coopérative à Québec 1935-1955

Ouellet, Line 25 April 2018 (has links)
L'ensemble de cette recherche tente de répondre â la question suivante: quels sont les intérêts et les enjeux de la pratique coopérative et de l'idéologie qui la sous-tend pour les divers groupes sociaux qui y adhérent? Une ébauche d'explication de ce phénomène est fournie par la mise en relation de la pratique coopérative avec sa base sociale i.e. les caractéristiques sociales des différents groupes s'impliquant dans cette pratique. Le cadre théorique de cette étude s'appuie sur des définitions opérationnelles des concepts d'idéologie et de classe sociale. Les idéologies sont ici définies non seulement comme des systèmes de pensées mais aussi comme un ensemble de pratiques nécessaires au fonctionnement de la société. Ainsi, le discours coopératif n'est pas innocent, il exprime, en sous-texte, des intérêts, des enjeux. D'où l'importance de lier ces discours à ceux qui les tiennent. Le concept de classe sociale nous permet donc de situer les coopérateurs dans l'ensemble de la dynamique sociale puisque chaque classe est déterminée par la place qu'elle occupe dans les rapports de production et de reproduction d'une formation sociale. Une étude de la pratique coopérative à Québec fait ressortir ces caractéristiques. Entre 1935 et 1955, un plus grand nombre de coopératives sont fondées; ces dernières, souvent précaires, relèvent du secteur tertiaire; la majorité des coopérateurs fondateurs appartiennent soit au groupe des employés subalternes soit à la petite-bourgeoisie; et ce sont, dans 95% des cas, les coopérateurs-fondateurs de la petite-bourgeoisie qui collaborent à la revue Ensemble!, l'organe officiel du Conseil supérieur de la coopération. En dernier lieu, nous démontrons cette hypothèse: au moment où l'Etat ne figurait pas encore comme une voie de développement possible et que la concentration toujours plus grande du capital remettait en cause l'existence de l'entreprise familiale, la coopération offrait, elle, des solutions permettant de créer une économie "à notre mesure". C'est pourquoi nous crayons que la petite-bourgeoisie, un groupe particulièrement menace par les transformations économiques alors en cours, a répondu le plus largement au discours coopératif de cette période. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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