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L'évolution de l'alphabétisation dans le comté de Portneuf, 1690-1849

Veilleux, Christine 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Louis-Antoine Dessaulles, rédacteur du Pays (1er mars 1861-24 décembre 1863), journaliste libéral doctrinaire

Piette, Christine 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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La conception de la démocratie chez l'École sociale populaire, 1930-1960

Demers, Christiane 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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The Conservative Party and bilingualism 1967-1976

Stairs, William J. 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La perception de l'homme physique dans l'encyclopédie en France au XVIIIe siècle (1751-1772)

Ratelle, Maurice 25 April 2018 (has links)
La perception de l'homme physique dans l'Encyclopédie représente un élément de base dans l'élaboration d'un projet de société idéale. L'état des connaissances scientifiques trace les grandes lignes de structures sociales où chaque catégorie de corps s'inscrit dans des modèles de comportements et de rôles sociaux. L'avant-gardisme des encyclopédistes traîne encore de lourds boulets passéistes. La science se bat encore contre des a priori et les encyclopédistes, malgré leur désir de rigueur, ne peuvent s'empêcher d'en reproduire plusieurs. L'Encyclopédie est cependant un vaste cri de victoire de la science sur les faussetés et les incohérences issues du passé. Le désir de renouvellement y est présent, spécialement dans la volonté de la recherche d'une science du corps. Celui-ci est perçu à la fois comme animal et comme machine, et l'on aura tendance à lui associer les caractéristiques explicatives correspondantes; puissance déterminante d'un tempérament de vie et adoptabilité mécanique d'une machine transformable au gré des climats et de l'évolution des civilisations. La notion de vie, à la racine de la vision du monde, reflète, de prime abord, les grands schémas organisationnels de la structure sociale de l'Ancien Régime. Ainsi, la grande chaîne des êtres vivants s'étale sur une échelle hiérarchique de la vie, et la vie de chaque être obéit à un accroissement graduel de ses forces vives. Au départ le foetus n'a que la vie végétale, qui se transforme en vie animale à la naissance. Lentement l'enfant acquiert la vie de l'homme. Il en atteint la plénitude à l'adolescence, âge où il accède à la capacité de procréation. Puis l'homme atteint la perfection à l'âge viril, s'il est en parfaite santé naturellement. Enfin, il commence à voir décroître sa vie, à mesure qu'il se dessèche vers la mort. C'est ainsi que les encyclopédistes dessinent une place de choix à l'adulte mâle. Le corps n'est pas seulement inscrit dans son état de nature; il répond également à un état de société. Singulièrement, ces deux états nous renvoient à une structure "sociale" de type patriarcal, structure que l'on affirme être naturelle. Le modèle de la famille sert d'exemple pour autoriser et absoudre toute hiérarchisation sociale. Cette hiérarchie sera appuyée, au niveau des individus, par des distinctions de caractère physique et intellectuel. Par leurs aptitudes particulières, les corps, dans une certaine mesure, sont destinés à effectuer certains types de fonctions, de métiers ou de professions. Ici également, l'Encyclopédie n'échappe pas à la valorisation de la hiérarchie; l'intellectuel se place en tête dans ce qu'il nomme les professions glorieuses, alors que les simples ouvriers et travailleurs appartiennent aux professions honnêtes et au-dessus des bouchers, des éboueurs et autres métiers de "néant". De l'état de nature du corps surgit un état "moral" ou "mental" spécifiquement esquissé par l'agencement particulier des quatre tempéraments; sanguin, bilieux, phlegmatique et mélancolique. Le "moral" de l'être humain sera également touché par l'état de vigueur ou de faiblesse de sa condition physique, par son sexe, son environnement, et enfin par tout ce qui peut influencer la réceptivité de ses sens. Ces derniers lui fourniront, par les perceptions, les sentiments, les idées et les concepts. A ce niveau, l'âme et le corps s'influencent mutuellement pour le meilleur et pour le pire. L'âme obéit à des lois qui sont similaires aux lois du corps. Comme lui, elle peut être mal "conformée"; comme lui, elle est malléable. Elle peut être faible, forte, d'une méchanceté animale ou d'une bonté civilisée, reflétant ainsi une hiérarchisation des âmes identique à celles des êtres vivants. La hiérarchie sociale inscrite dans la nature des corps englobe donc toute l'entité humaine, et l'intellectuel, l'être de raison, détient dans une société idéale une place de choix. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'histoire dans les écrits polémiques des premiers théoriciens du communisme français (1830-1848)

Beaudoin, Pierre 25 April 2018 (has links)
Cette étude essaie de dégager la nature et la fonction de l'histoire, telle qu'elle se présente dans le discours idéologique des premiers théoriciens du communisme français (1830- 1848). Après avoir fait ressortir le caractère essentiellement conflictuel des idéologies politiques du XIXe siècle, ce mémoire tente de démontrer la nécessité qu'ont les théoriciens du communisme de se référer à l'histoire afin de fonder leur projet unitaire: la Communauté. Nous verrons que l'histoire, intégrant le passé, le présent et le futur, se présentera comme une totalité harmonieuse, —opposé e à une réalité conflictuelle— fournissant une image rassurante qui pourra justifier la prétention totalitaire du communisme. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Opération survie : le parti conservateur à la recherche d'une nouvelle identité (1942-1948)

Doyon, J. Michel 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La crèche Saint-Vincent-de-Paul et l'enfant né hors mariage (1901-1915)

Picard, Jacqueline 13 August 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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L'alphabétisation de la Côte-du-Sud, 1680-1869

Hamelin, Pierre 25 April 2018 (has links)
L'alphabétisation peut se définir comme un moyen de communication entre les individus ou les groupes d'individus basé sur l'apprentissage des techniques de la lecture, de l'écriture et du calcul. La diffusion de ces techniques, enseignées séparément et non simultanément jusqu'au XIXe siècle, dépend de multiples facteurs. La situation géographique et climatique du pays ou de la région, son type d'économie, sa structure politique, sociale et religieuse, l'existence ou non d'un réseau d'écoles et la mentalité populaire favorable ou hostile à l'instruction influencent grandement le développement de l'alphabétisation. La Côte-du-Sud est une de ces régions où l'alphabétisation de la population subit ou profite de la conjoncture générale. Situé sur la rive sud du Saint-Laurent, ce territoire s'étend grosso modo de Berthier à Rivière-du-Loup (ouest-est) et du fleuve aux frontières américaines (nord-sud). Son économie repose essentiellement sur l'agriculture. Les ressources de la pêche et de la forêt sont également exploitées. Quelques industries se retrouvent à Rivière-Ouelle (huiles de poisson), mais surtout à Saint-Thomas. La colonisation de la Côte-du-Sud a commencé au milieu du XVIIe siècle, les bonnes terres de la région de Québec étant rapidement occupées. Saint-Thomas deviendra d'ailleurs renommée pour le rendement et la qualité de ses récoltes de blé. Entre 1680 et 1869, l'alphabétisation de la Côte-du-Sud ne diffère pas beaucoup de celle de la province de Québec. Peu de gens signent les registres paroissiaux à l'occasion de leur mariage (moins de 20%). Sur les cinq paroisses que nous avons étudiées, Saint-Thomas, L'Islet et Berthier possèdent les meilleurs résultats (18.9% â Berthier et 21.8% dans les deux autres localités). Cap Saint-Ignace et Rivière-Ouelle suivent avec respectivement 14.1 et 12.6%. Les habitants de ces deux paroisses vivant dispersés sur un territoire assez grand, il leur est plus difficile d'envoyer leurs enfants à l'école, quand il y en a. Les femmes possèdent une alphabétisation presque aussi bonne que celle des hommes (18.3% contre 18.4%). Leur force musculaire étant généralement considérée moins grande que celle des hommes, elles sont davantage disponibles pour aller à l'école. Le garçon, lui, travaille. Aussi, peu à peu, les filles surpassent leurs homologues masculins (XIXe siècle). Seuls les hommes de Berthier signeront toujours plus que leur épouse. L'alphabétisation varie également selon le métier ou le groupe socioprofessionnel des conjoints. Les gens pratiquant une profession qui exige une solide instruction (professions libérales, marchands, etc.) savent très majoritairement signer. Par contre, ceux qui effectuent des travaux manuels (cultivateurs, journaliers, etc.) ignorent pour beaucoup l'usage de l'écriture. Le degré d'alphabétisation d'une personne correspond donc à l'utilité qu'une telle technique, coûteuse et ardue (savoir écrire demande beaucoup d'effort), peut avoir dans la vie quotidienne. L'âge et la nationalité des individus jouent aussi un rôle important dans le développement de l'alphabétisation. Les jeunes filles et les hommes adultes signent d'ailleurs plus que les autres. L'origine ethnique nous montre de son côté des différences de comportement face à l'alphabétisation. Ainsi les Anglais et les Français signent plus que les Canadiens français. Les pays perçoivent plus ou moins bien l'importance de l'alphabétisation et favorisent l'instruction de leurs populations au gré des intérêts nationaux. En Nouvelle-France, l'instruction est laissée entre les mains du clergé, suivant ainsi la tradition venue d'Europe. Il n'existe pas d'écoles à cette époque sur la Côte-du-Sud. Quelques maîtres ambulants et les curés éduquent les enfants. Les premières législations scolaires (1801: Institution Royale, 1824: Loi des écoles de Fabrique) ne donnent pas les résultats escomptés. L’apathie générale n'est guère secouée. La loi de 1829 augmente le nombre des écoles, mais la qualité de l'enseignement demeure médiocre. Il faut attendre 1841 et 1846 pour que le système scolaire prenne forme et dure jusqu'à nos jours. Au début, la population de la Côte-du-Sud, et du Québec en général, a mal accueilli ces lois, surtout à l'imposition d'une taxe pour le maintien des écoles (Guerre des Eteignoirs). Peu à peu, les mentalités se sont cependant transformées et les gens ont perçu l'importance d'instruire leurs enfants. L'alphabétisation populaire en a évidemment beaucoup profité. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La morphologie des grèves au Québec, 1940-1970 : une analyse quantitative

Ouellet, Richard 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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