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La Mètis d'Hermès

Côté, Valérie January 2008 (has links) (PDF)
Il ne fait aucun doute, en lisant l'Hymne homérique à Hermès, que ce fils de Zeus est une divinité à mètis. Méditant des ruses profondes, l'oeil perçant et l'esprit ingénieux, ami de la nuit noire, Prince des Brigands, ravageur et impudent, le rusé fils de Maïa ne laisse pas de doute sur la nature de ses dons extraordinaires. Hermès est la divinité à mètis par excellence. Cette intelligence rusée, qu'on définit comme un avantage sur la force, s'exerçant dans les situations incertaines et ambiguës, est pourtant trop souvent mise de côté dans les études le concernant. On s'intéresse plutôt au Psychopompe, au Berger, au dieu des passages, au Messager, à l'inventeur de la lyre, de l'écriture, à ses liens avec les autres divinités, parfois en s'appuyant très largement sur l'Hymne à Hermès, mais toujours en négligeant l'aspect du dieu qui en ressort le plus: sa mètis. Dans la continuité des recherches déjà entreprises par M. Detienne et J-P. Vernant, cette étude vise donc à combler les lacunes dans la connaissance concernant le dieu Hermès, principalement au niveau de cette qualité qu'elle estime être à la base de son identité. À partir de témoignages mythologiques, historiques et philosophiques, concernant autant Hermès que la mètis, elle analyse la mètis particulière à Hermès, pour trouver ce qu'on pourrait appeler sa « mètis protectrice ». L'analyse des fonctions d'Hermès et des usages qu'il fait de ses dons semble en effet pointer en direction d'une divinité à caractère principalement protecteur. Une orientation qui se serait répercutée jusque dans les fonctions plus tardives du dieu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grèce, Études classiques, Divinité, Mythologie, Ruse.
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Un rituel des dévots de la déesse Lalitã : la petite pữjã de la tradition Kaula

Labbé, Yvon January 2002 (has links)
Ce mémoire se propose d’étudier la Srïcakrapüjâ de la tradition kaula sous sa forme simplifiée de la Laghu-püjâ (LP). Il en présente une introduction, une traduction, ainsi qu’une translittération du texte tel qu’on le transmet actuellement au sein de cette communauté. Ce travail permet de cerner le milieu sâkta-saiva où se sont développées ces pratiques et de mieux comprendre les notions de Srividyâ, de Sricakra, de guru, de montra-dïksâ, de sàdhaka, de guru-kula, de guru-paramparà, de sampradâya, etc. Il se propose également de dégager l’anthropologie culturelle et religieuse propre au lettré hindou initié (sâdhaka-pandita) et de souligner le mode particulier de transmission (pürna-dïksâ) de cette voie de sagesse (Srividyâ) qu’est l’adoration du divin au féminin (devî / sakti), une adoration-participation (bhaktî), par ailleurs, qui ne se limite pas à une caste précise, à un sexe, ou à une origine sociale ou religieuse particulière. L’analyse des composantes essentielles de ce rituel fait saisir une façon originale d’intégrer les différents yoga {karma, jnàna, bhakti et ràja-yoga) et amène à comprendre le sens dynamique que l’éveil ritualisé de la Kundalinï-sakti donne à des termes comme japa, dhyâna, bhâvanâ, etc. Finalement, cette étude ouvre à la logique d’organisation interne de la LP qui repose essentiellement sur une anthropo-cosmologie spécifique, sur une symbolisation centrée sur le cœur (hrdaya / bïjàksara Sauh) et sur une construction triadique du Srïyantra (tritaya) qui est l’une des façons dont l’hindouisme sàkta passe du Multiple à l’Un.
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Le rôle et le statut de Théodore de Banville, poète spiritualiste, dans la pensée et la poétique de Stéphane Mallarmé / The Role and the status of Théodore de Banville, a spiritual poet, in Stéphane Mallarmé’s thought and poetics

Matsumura, Yuko 19 October 2012 (has links)
Le spiritualisme se définit comme un accès à la divinité à travers l’ « esprit » ou l’ « âme » et la divinité comme lecentre de la pensée cosmogonique de l’harmonie. La structure de ce spiritualisme est le point fondamental – parmi denombreux autres – qui rapproche Banville de Mallarmé. La transmission de cette structure est donc l’influence la plusremarquable que Banville exerce sur Mallarmé. Son art étant fondé sur ce principe, Banville joue là son rôle le plusimportant pour Mallarmé, qui lui accorde donc un statut divin. Les autres legs de Banville à Mallarmé convergent vers cepoint.L’évolution de Mallarmé vis-à-vis de cet héritage est parallèle à celle du statut de Banville à ses yeux et à sa propreévolution spirituelle. Nous suivons celle-ci selon trois thèmes directeurs : l’idéalisme, le lyrisme et le sacerdoce littéraire quisont étudiés dans ses oeuvres de sciences, de vers et de théâtre.À cette fin, la vie de Mallarmé est divisée en quatre périodes : de l’automne 1861 à l’été 1864 ; de l’automne 1864 auprintemps 1866 ; du printemps 1866 à août 1885 ; d’août 1885 à septembre 1898. C’est dans la « Symphonie littéraire » de1864 que l’influence de Banville devient décisive. Cette étude prend en considération les différences entre les deux poètes,en s’orientant sur la réception de Banville par Mallarmé, et l’arbitraire de ce dernier dans l’interprétation de Banville. / The spiritualism is defined as an access to the divinity through “spirit” or “soul”, and the divinity as the center of acosmogonic thought of the Harmony. The structure of this spiritualism is the fundamental point – among many others –which brings closer Banville and Mallarmé. So the transmission of this structure is the most remarkable influence exercisedby Banville on Mallarmé. Banville’s art being based on this principle, Mallarmé gives him a divine status. The otherheritages from Banville to Mallarmé lead to this point.Mallarmé’s evolution in relation to this heritage is parallel to the evolution of Banville’s status, as well as to his ownspiritual evolution. We follow the latter according to three topics: idealism, lyricism and literary priesthood, studied in hisscientific works, verse and dramatic pieces.To this end, Mallarmé’s life is divided into four periods: from autumn 1861 to summer 1864; from autumn 1864 tospring 1866; from spring 1866 to august 1885; from august 1885 to September 1898. It is in his “Symphonie littéraire” thatBanville’s influence becomes decisive. Our study takes into consideration differences between the two poets, focusing onMallarmé’s perception of Banville and on his arbitrary interpretation of the latter.
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La singularité de la prose mythologique de Madame Flore dans la Pugnition de l'amour contempné (1540) : étude sur l'antérotisme floréen

Lambert, Sara Emmanuelle January 2007 (has links) (PDF)
Cette étude montre en quoi la prose mythologique de madame Flore est singulière en étudiant l'antérotisme de La Pugnition de l'Amour contempné (1540). Elle constitue la première recherche qui porte spécifiquement sur cet état de l'oeuvre plutôt que sur les Comptes amoureux (s. d.) et postule que, des deux états de l'oeuvre de madame Flore, les Comptes amoureux représentent le second état à l'encontre de ce qu'une certaine critique affirme. Ce mémoire apporte un argument de poids en faveur de la préseance de la publication de La Pugnition de l'Amour contempné (1540) sur les Comptes amoureux [1542] en raison de la cohérence de l'idéologie amoureuse antérotique qui traverse La Pugnition et qui fait justement défaut aux contes plus disparates des Comptes amoureux, ouvrage davantage préoccupé par la dénonciation de l'« impareil » mariage entre vieux barbons et jeunes tendrons. Ce mémoire, qui cherche aussi à mettre au jour les lignes directrices de la pensée mythologique de celle qui dit les désirs des femmes émanant d'une société chrétienne qui voudrait les voir chastes et pudiques, se subdivise en quatre chapitres. Le premier étudie le langage mythologique qui voit le jour à la Renaissance, sous le règne de François 1er. Le deuxième retrace les origines gréco-romaines du concept d'Anteros ainsi que des traditions qui en découlent. Le troisième analyse trois traditions antérotiques à la Renaissance avec leurs antécédents médiévaux. Ces trois traditions sont: l'antérotisme vengeur des amours méprisées, l'antérotisme contre l'amour humain et l'antérotisme de l'amour réciproque (ou Contramour). Le quatrième chapitre, quant à lui, étudie l'antérotisme des quatre contes et des parties lacunaires de La Pugnition pour montrer que, d'un côté, ce premier état de l'oeuvre présente la tradition antérotique en faisant du dieu Amour un dieu vengeur des amours méprisées, associant ainsi sa divinité à Anteros, et que de l'autre, il présente la tradition contre l'amour humain non pas sous la forme du dieu Amour, mais sous la forme d'un personnage, Cebille, qui se refuse obstinément à l'amour. L'étude que nous présentons ici redonnera, c'est notre souhait, envie à la critique contemporaine de réétudier pour elle-même et dans une autre perspective l'édition souvent méprisée (parce que considérée incomplète) de La Pugnition et, par extension, motivera quelques férus de littérature renaissante à s'intéresser à ce courant quelque peu trop méconnu par la critique contemporaine qu'est l'antérotisme alors qu'Anteros vivait sous diverses formes sous la plume des poètes et prosateurs de la Renaissance. À la lumière de cette étude, il sera, pour d'autres aimants du sujet floréen, à nouveau opportun de chercher à savoir qui, de tous les renaissants érudits et amateurs d'Anteros, pourrait se cacher derrière le pseudonyme probable de madame Flore. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Madame Jane ou Jeanne Flore, La Pugnition de l'Amour contempné, Comptes amoureux, Langage, Mythologie, Antérotisme, Anteros, Eros, Contramour, Amour, Marguerite de Navarre, Renaissance, XVIe siècle.
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Le symbolisme du monosandalisme et de la claudication dans l'Antiquité gréco-romaine

Lapensée, Valérie 02 1900 (has links) (PDF)
L'apparence et la représentation sous toutes leurs formes ont constitué des aspects très importants dans la société gréco-romaine. La beauté des corps et la perfection dominaient toute une mentalité sociale. Cependant, les Anciens n'ont pas omis de représenter la laideur, elle aussi, sous plusieurs formes. C'est dans cet ordre d'idées que l'on peut observer des cas d'imperfection des membres inférieurs : la claudication et le monosandalisme. Ces deux phénomènes visibles dans la littérature et dans l'art iconographique ont chacun des significations particulières. La position instable des monosandales et des boiteux dévoile un symbolisme rattaché, souvent, à un phénomène social. L'objectif de ce mémoire est d'étudier le symbolisme qui peut émaner des cas de monosandalisme et de claudication. Pour ce faire, nous avons, dans un premier temps, observé le contexte dans lequel on retrouve des monosandaloi. Nous avons pu constater que leur pied déchaussé était en lien avec l'instabilité des initiés lors d'un rite de puberté et de passage. Cette position instable témoignerait d'un changement de statut social. Par ailleurs, nous avons observé que dans certains cas de monosandalisme, la position unichaussée serait aussi liée à un rituel magique ayant pour objectif soit d'éloigner les ennemis, soit d'invoquer les divinités chtoniennes. Nous avons, dans un deuxième temps, soupesé le cas d'Héphaïstos, divin boiteux. Son statut particulier dans l'Olympe reflèterait une mentalité sociale. Enfin, l'analyse des cas de monosandalisme a mené à la conclusion que la position unichaussée reflétait un moment instable vécu par les monosandales. Que ce soit des initiés à la veille ou lors d'une initiation, que ce soit un guerrier affrontant la mort ou un usurpé reprenant ce qui lui appartient de droit, la position des unichaussés témoigne de cet état d'instabilité dans laquelle ils se trouvent. Pour sa part, l'analyse du cas particulier d'Héphaïstos a démontré que sa claudication était possiblement liée à la vision négative que l'on se faisait des claudicants. Les circonstances de sa naissance illustrent bien cette malédiction que l'on associait aux enfants difformes. D'autre part, la boiterie, affectant la verticalité de l'homme et son autonomie, se voit comme la pire difformité. Les boiteux se retrouvaient ainsi en bas de l'échelle sociale. Cette analyse a aussi mené à la conclusion que la claudication d'Héphaïstos est probablement liée au fait qu'il est forgeron, métier artisanal que les Grecs méprisaient. Sa posture courbe et son apparence hideuse refléteraient l'idée que l'on se faisait du travail manuel. La position instable des monosandales ou des claudicants témoigne donc d'un symbolisme particulier. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : monosandalisme, claudication, symbolisme, Antiquité, Héphaïstos
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La figure mythique de Prométhée dans la philosophie de Platon

Beaudin, Jean-Philippe A. 06 1900 (has links) (PDF)
Je m'intéresse au traitement fait de la mythologie traditionnelle chez Platon. Afin de comprendre le travail sur le mythe (selon l'expression de Hans Blumenberg) fait par Platon, je me penche particulièrement sur une figure mythique traditionnelle, celle de Prométhée. En un bref survol synthétique, j'étudie d'abord ce qu'on doit entendre par « figure mythique de Prométhée ». J'établis que cette figure est associée au don du feu aux hommes (don rendu possible par un vol du feu aux dieux), à un épisode de supplice résultant de ce vol, par son caractère de dieu à mētis et par un caractère philanthropique. J'étudie par la suite chacune des quatre occurrences du mythe dans le corpus platonicien. Dans le Protagoras, je remarque que le mythe sert plusieurs objectifs : divertissement des auditeurs, diversion afin d'exposer des idées pouvant choquer, procédé sophistique élaboré, etc. Prométhée joue alors un rôle curieux: non seulement il rend possible la civilisation, mais, dans le cadre du dialogue lui-même, il finit par être évoqué en une opposition entre philosophie et sophistique. C'est à une intention semblable que participe la figure prométhéenne dans le Gorgias, bien que de façon plus effacée, alors que Platon oppose la vie philosophique à celle des rhéteurs. Dans Le Politique, Prométhée joue le rôle semblable à celui du Protagoras, donateur du feu, don participant au règne de Zeus et de l'exercice de la raison par les hommes. Finalement, dans le Philèbe, Platon compare la dialectique au don du feu de Prométhée, en en faisant un don encore plus précieux. J'arrive à deux constats. D'une part, Platon reprend toujours la figure prométhéenne de façon relativement fidèle aux traditions mythiques déjà connues, non sans l'avoir épurée de ses certains traits pourtant constants dans la tradition mythique - son caractère de dieu à mētis, qui est significativement limité, et son supplice. D'autre part, je constate que la figure de Prométhée est employée à chaque fois que Platon traite d'epimeleia, du soin, et alors qu'il s'agit de faire la promotion de la philosophie, soit pour elle-même, soit encore en opposition avec la sophistique et la rhétorique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Platon, Prométhée, Mythologie, Mythe, Antiquité, Philosophie, Philosophie grecque
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Parcours d'une quête spirituelle vécue à travers la danse des Orixas et la technique Silvestre

Clermont, Marie-Ève 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse au lien qui existe entre la danse et la spiritualité. Son but est de faire la lumière sur le rôle que la danse peut jouer dans une quête spirituelle. Pour illustrer ce propos, je me suis intéressée à deux formes de danse que je pratique et qui tirent leurs origines du Brésil : la danse des orixas, qui appartient au rituel afro-brésilien du candomblé, et à la technique Silvestre, qui emprunte au candomblé certains symboles gestuels. Cette recherche est de type qualitatif; elle entre dans la catégorie ethnographique parce qu'elle tente d'interpréter, de décrire et de comprendre une expérience, un phénomène. Témoignages, notes de terrain, observations sont les outils de cueillette de données que j'ai utilisés. Cette réflexion tente d'éclairer, entre autres, les questionnements suivants : pourquoi utilise-t-on la danse pour accomplir une quête spirituelle? Est-ce que le dépassement des limites physiques procurerait un dépassement des limites psychiques de la personne, et vice-versa? Pourquoi l'homme occidental moderne éprouve-t-il une attirance pour un ailleurs traditionnel? Ce travail met en perspective les deux types de sociétés auxquelles il s'intéresse. Il questionne certaines valeurs véhiculées par l'une ou l'autre de ces deux sociétés. Au terme de ce parcours ressort un paradoxe propre à l'homme occidental moderne : son goût pour l'ailleurs, son envie de se projeter vers l'extérieur serait intimement lié au besoin de mieux se connaître et de se connecter avec ce qu'il y a de plus profond en lui-même. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Danse des orixas, Technique Silvestre, Transe, Possession, Spiritualité.
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Le dieu de la médecine Asclépios dans la Périégèse de Pausanias : original ou représentatif de son époque?

De Vries, Martina 11 1900 (has links) (PDF)
Le dieu de la médecine, Asclépios, est généralement présenté comme un héros thessalien divinisé au cours des siècles. Parmi ses plus grands sanctuaires, on trouve ceux d'Épidaure, de Pergame et de Cos. Le dieu atteint son âge d'or au cours des IIe et IIIe siècles ap. J.-C. Il est par ailleurs un personnage complexe. Toutefois, à la lecture des dix livres de la Description de la Grèce ou Périégèse de Pausanias, écrite au IIe siècle ap. J.-C., nous faisons face à l'image d'un dieu tout-puissant n'ayant connu aucun changement au fil du temps. Pausanias semble avoir une vision figée d'Asclépios, bien que très respectueuse du grand dieu. Cette vision semble avoir été représentative de son époque : la Seconde Sophistique, courant littéraire du IIe siècle ap. J.-C., proposait le retour à une religion grecque très proche de celle de l'époque classique. Par contre, Pausanias est original en ce qu'il relate la version messénienne du mythe d'Asclépios – version que nous n'avons que rarement croisée chez un autre auteur - nous laissant avec l'impression qu'il devait exister deux divinités nommées Asclépios : un héros divinisé de la cité de Messène et le dieu médecin connu à travers l'Empire romain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grèce antique, IIe siècle ap. J.-C., Mythes, Asclépios, Pausanias.
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L'influence de la mythologie orphique sur la conception de l'immortalité de l'âme chez Platon

Forget, Martin January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'apothéose de Dionysos dans les Dionysiaques de Nonnos de Panopolis : à qui profite l'Olympe?

Fanguet, Alice 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur le thème de l'apothéose de Dionysos dans l'épopée de Nonnos de Panopolis, poète égyptien du Ve siècle p.C., intitulée les Dionysiaques. Cette étude s'intéresse à la nature et au rôle de la déification pour le héros et pour l'œuvre. Le premier chapitre pose les bases de la recherche en présentant la nature des trois Dionysos de l'histoire, Zagreus, Bacchos, Iacchos, ainsi que leurs liens avec la sphère divine. Cette première étape montre que l'apothéose est progressive chez Nonnos puisqu'elle se déroule tout au long de l'épopée. L'ascension finale de Dionysos dans l'Olympe n'est plus qu'une formalité qui donne l'occasion aux trois entités dionysiaques d'être honorées conjointement. Une fois la nature de l'apothéose établie, le second chapitre s'intéresse au rôle de l'ascension divine pour la structure de la trame narrative et pour les autres personnages. Il y est question de la sincérité des mystères et des espoirs de salut dans le récit. Le dernier aspect de cette section concerne le sérieux de l'épopée et de son héros Dionysos, en lien avec ses objectifs d'écriture, subordonnés à l'esthétique de l'époque, la paideia et la poikilia.

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