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L'apothéose de Dionysos dans les Dionysiaques de Nonnos de Panopolis : à qui profite l'Olympe?

Fanguet, Alice 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur le thème de l'apothéose de Dionysos dans l'épopée de Nonnos de Panopolis, poète égyptien du Ve siècle p.C., intitulée les Dionysiaques. Cette étude s'intéresse à la nature et au rôle de la déification pour le héros et pour l'œuvre. Le premier chapitre pose les bases de la recherche en présentant la nature des trois Dionysos de l'histoire, Zagreus, Bacchos, Iacchos, ainsi que leurs liens avec la sphère divine. Cette première étape montre que l'apothéose est progressive chez Nonnos puisqu'elle se déroule tout au long de l'épopée. L'ascension finale de Dionysos dans l'Olympe n'est plus qu'une formalité qui donne l'occasion aux trois entités dionysiaques d'être honorées conjointement. Une fois la nature de l'apothéose établie, le second chapitre s'intéresse au rôle de l'ascension divine pour la structure de la trame narrative et pour les autres personnages. Il y est question de la sincérité des mystères et des espoirs de salut dans le récit. Le dernier aspect de cette section concerne le sérieux de l'épopée et de son héros Dionysos, en lien avec ses objectifs d'écriture, subordonnés à l'esthétique de l'époque, la paideia et la poikilia.
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Gott im Bild : Eidôlon : Studien zur Herkunft und Verwendung des Septuagintabegriffes für das Götterbild / L'image de Dieu : Eidôlon : études sur l'origine et l'emploi du concept de la Septante pour désigner l'effigie des déités / The image of God : Eidôlon : the origin and the usage of the concept of idolatry in the Septuagint

Plangger, Stefanie 28 September 2018 (has links)
Actuellement, le concept « idole » a basculé dans la sphère triviale du culte de personnes et renferme, néanmoins, des traces du sens antique du mot. Le terme d’idole met l’accent sur le moment de la vénération et c’est précisément là que réside la difficulté : la combinaison de l’adoration et de la plasticité d'une image va à l’encontre de la théologie de l’Ancien Testament de la vénération unique et sans image de JHWH. Le point de départ de cette étude est le mot grec eidôlon, qui est ancré dans le sujet de l’image des divinités depuis la Septante et qui fait office de terme fixe pour désigner les déités étrangères. Il en ressort qu’il n’existe pas d’expression standard pour une image de culte dans la culture grecque. La comparaison et l’analyse exacte des équivalents hébreux et grecs forment la majeure partie de la thèse. Dans le cas d’eidôlon il n’existe pas d’équivalent standard mais un bon nombre de termes hébreux qui sont tous reproduits par le terme grec dans la LXX. Par ailleurs, le terme eidôlon apparaît dans des textes d’importance cruciale pour la foi israélite (voir sa fréquence dans le deuxième commandement du Décalogue et dans le Chant de Moïse). Il s’agit d’une manœuvre stratégique et théologique des traducteurs, car ce terme renferme tous les éléments majeurs des divinités étrangères. Il existe donc une différenciation claire entre le dieu d’Israël et toutes les autres divinités. / The concept “idol” derives from ancient Greek, which is still used today. Nowadays, an Idol designates first and foremost the cult of personality but the traces of the ancient meaning are partly preserved. The term idol focuses on the veneration of foreign deities and their pictorial representations. Therefore, idols contrast with the monotheism and an iconism of the god of Israel. This study elaborates the original meaning of the Greek word eidôlon which becomes the standard expression for divine images since its usage in the Septuagint and afterwards. It seems that there did not exist a major term for cult images in the Greek culture. The comparison and the exact analysis of the Hebrew and Greek equivalents form the major part of the thesis. In the case of eidôlon there does not exist a Hebrew standard equivalent but a variety of Hebrew lexemes which are all translated by the Greek word in the Septuagint. In general, eidôlon appears in important and authoritative texts (Exodus 20: the Second Commandment,Deuteronomy 32: The Song of Moses). Concerning the choice of terminology, eidôlon is astrategic and theological move of the translators because this Greek expression includes allmajor characteristics of foreign deities. A clear distinction between JHWH the god of Israel andall other deities becomes clear.
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Les figures de la divinité chez Sartre, Giraudoux et Camus : trois pièces écrites sous l’Occupation allemande.

Colon III, Phillip 04 1900 (has links)
Les mouches, Sodome et Gomorrhe et Caligula présentent des divinités parodiant et critiquant les dirigeants politiques de l’Occupation (1940-1944), ainsi que l’usage par les dictateurs des idéologies religieuses traditionnelles dans le but de soumettre l’humanité à des régimes totalitaires. Divinités théâtrales autrefois infaillibles et toutes-puissantes, les figures analysées dans ce mémoire relèvent des remises en question de la divinité et du pouvoir politique du XXe siècle. Notre mémoire comporte trois chapitres examinant les discours de ces figures de la divinité sous des angles dramaturgique, sémiologique, philosophique et pragmatique avec comme point de départ l’hypothèse suivante : tout porte à croire qu’en limitant l’emprise de divinités fictives, et ce, en grande partie à travers les failles dans leurs discours, Sartre, Giraudoux et Camus ont tenté de neutraliser les discours correspondants d’hommes réels dans la conscience collective de l’époque. Les auteurs étudiés ont profondément modifié l’image traditionnelle de la divinité théâtrale en minant sa force langagière et en s’interrogeant sur son identité. Les divinités choisies pour cette étude annoncent la décomposition du personnage ayant lieu après 1950 : elles ont un statut dévalorisé de même qu’un langage à la force perlocutoire diminuée. Sans véritable emprise sur l’humanité, dépendant du théâtre, des simulacres, de l’histrionisme, ainsi que des faiblesses humaines, ces divinités caricaturales s’exposent à compromettre leurs régimes et sont réduites à une influence fortement limitée par la liberté des hommes. En actualisant ces mythes et récits ainsi, Sartre, Giraudoux et Camus ont tenté de discréditer, par extension, les dirigeants européens de l’époque. / Les mouches, Sodome et Gomorrhe, and Caligula present divinities parodying and criticizing the political leaders of the Occupation (1940-1944), as well as the use by dictators of traditional religious ideologies for subjugating humanity to totalitarian regimes. Theatrical divinities once infallible and all-powerful, the figures analyzed in this study are the product of the questioning of the divinity and political powers of the twentieth century. Our thesis is comprised of three chapters which examine the discourses of these figures of the divinity from dramaturgical, semiological, philosophical and pragmatic perspectives in order to consider the following hypothesis : everything leads to believe that by limiting the ascendency of fictional divinities, largely by the means of weaknesses in their discourses, Sartre, Giraudoux and Camus tried to neutralize the corresponding discourses of real men in the collective conscience of the period. The authors studied profoundly modified the traditional image of theatrical divinities by undermining the force of their language and by questioning their identity. The divinities chosen for this study announce the decomposition of the personnage which took place after 1950 : their status is undermined and the perlocutionary force of their language is lessened. Without a real stronghold on humanity, depending on theatre, pretence, histrionics, and human weaknesses, these caricatured divinities expose themselves to compromising their regimes and are reduced to an influence highly limited by man’s liberty. By updating these myths and accounts in this way, Sartre, Giraudoux and Camus tried, by extension, to discredit the European leaders of the period.
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Les figures de la divinité chez Sartre, Giraudoux et Camus : trois pièces écrites sous l’Occupation allemande

Colon III, Phillip 04 1900 (has links)
No description available.
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La divinité au Proche-Orient et en Égypte aux IIIe et IIe millénaires avant J.-C. Étude comparative / Divinity in the Near East and in Egypt in the IIIrd and IInd Millennia B.C.E. A comparative study

Othman, Berenice 09 November 2013 (has links)
L’étude s’interroge sur la notion de divinité dans l’Égypte et le Proche-Orient anciens, à l’aide des témoignages archéologiques et textuels qui la révèlent. Partant des premières représentations plausibles de puissances divines individualisées, vers la fin du IVe millénaire avant J.-C., l’enquête croise les données de la documentation iconographique et des sources écrites pour tenter d’identifier les spécificités des conceptions du divin dans chaque ensemble culturel, mais aussi leurs traits communs, au long des IIIe et IIe millénaires. Les religions du Proche-Orient et de l’Égypte se sont en effet, durant cette période, rejointes sur nombre de points, aussi bien dans la traduction formelle du divin que dans son expression conceptuelle. Aussi se pose la question de savoir si de telles similitudes sont le fruit de développements intrinsèques ou si des influences mutuelles en sont responsables. Les interactions dans le domaine de la religion, de plus en plus probables au cours du temps, sont avérées au IIe millénaire, au moins sur le plan de l’iconographie. Les contacts entre le Levant et la Vallée du Nil sont alors multiples, favorisant les imprégnations culturelles. Cependant, celles-ci ne se font pas au hasard : des priorités politiques ou enjeux idéologiques, que l’étude s’emploie à mettre en évidence, président aux emprunts réciproques. Certains décalages tiennent au statut même du corpus religieux au sein des sociétés, en particulier à celui de la littérature mythique. En dernière analyse, la démarche comparative touche aux fondements du polythéisme et aux mécanismes de « traduction », de « syncrétisme » et autres interprétations qu’il rend possibles. / This study aims at questioning the notion of divinity as conveyed by the ancient cultures of Egypt and the Near East, on the basis of archaeological and written evidence. Starting from the first plausible representations of divine powers pictured as individual beings, around the end of the 4th millennium B.C.E., the investigation confronts iconographical and textual data in order to identify, for both cultural areas under discussion, the peculiarities of their conceptions of the divine, as well as their common features, during the 3rd and 2nd millennia. At that time, indeed, the religion of the Near East and that of Egypt concurred in many respects, either in the formal depiction of the divine or in its conceptual expression. Hence the question arises whether such similarities were the outcome of intrinsic developments or resulted from mutual influences. Interactions in the realm of religion grow more and more likely in the course of time, and they can be ascertained for the 2nd millennium, at least as far as iconography is concerned. It is a period of intensive contact between the Levant and the Nile Valley, an incentive to cultural intermingling. However, those exchanges did not happen at random: the reciprocal borrowing depended on political priorities or ideological stakes, as the study seeks to highlight. Some discrepancies stem from the very status religious texts held within their own societies, especially mythical literature. Ultimately, the principles of polytheism and the processes of « translation », of « syncretism », and the other interpretations it allows, are the central issue of this comparative approach.
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An historical and sociological study of the personnel of the cult of the Magna Mater and Attis in the roman period

Thomas, G. S. R. January 1974 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La place des animaux dans la relation mortelles-divinités : le cas d’Artémis et de Déméter / The place of animals in the relationship women-goddesses : the case of Artemis and Demeter

Amory, Annabelle 20 October 2017 (has links)
Réunissant des sources littéraires, épigraphiques, archéologiques, iconographiques et archéozoologiques, cette thèse étudie la question de la symbolique de l’animal dans la relation entre le mortel et la divinité, en s’intéressant particulièrement à Artémis et à Déméter, deux déesses en charge des problèmes des femmes à différents moments de leur vie. Pour répondre à cette interrogation, deux corpus sont mis en place : le premier répertorie 83 sanctuaires de Déméter et Artémis ayant un rapport avec les animaux, et énumère toutes les offrandes qui y ont été retrouvées, ainsi que les mythes et inscriptions associées. Le second corpus se place du côté de l’animal et regroupe les représentations et les textes hors sanctuaires attestant d’un lien entre l’espèce et l’une des deux divinités, mais reprend également les offrandes d’animaux déjà étudiées dans le premier catalogue, en les classant par type iconographique. L’analyse synthétique des données des corpus rassemble les animaux sous trois principales symboliques. Premièrement, la fécondité des femmes est au centre des préoccupations, pour assurer la pérennité de la cité. Ả ce titre, le porc entretient avec Déméter une relation particulière : durant les Thesmophories, il est utilisé pour assurer la fertilité à la fois des semailles et des femmes. Auprès d’Artémis, ce sont les animaux des milieux humides et l’eau qui favorisent la vie. Le bétail d’élevage est également offert aux deux divinités pour assurer la pérennité du troupeau et, par extension, de la cité. Ensuite, la femme avant son mariage est perçue comme un animal sauvage qu’il faut domestiquer. Artémis veille alors sur les jeunes filles et, en tant que déesse des passages, assure cette domestication par le mariage lors de l’arkteia, un rite d’initiation pendant lequel les fillettes font « l’ourse ». Divinité de la nature sauvage, elle a, tout comme la Pόtnia Théron, un pouvoir de vie et de mort sur les animaux mais aussi sur les femmes, qu’elle n’hésite pas à punir pour leur transgression, comme pour Callisto et Atalante. Artémis comme Déméter sont également des divinités kourotrophes qui s’occupent des enfants sans distinction de sexe et reçoivent des offrandes en conséquence. Enfin, si les animaux semblent auprès des deux déesses se rapporter principalement aux femmes, le cheval et le chien évoquent également le statut de citoyen, obtenu après une longue éducation dont Artémis est la garante. Ils sont aussi des animaux chthoniens et, au même titre que le serpent, le cochon et la tortue, permettant le lien entre le monde des vivants et celui des morts. Certaines espèces évoquent avec leur simple présence la divinité : c’est le cas du sanglier de Kalydon, qu’Artémis utilise pour se venger des hommes, et des victimes des sacrifices, qui permettent de communiquer avec les divinités. Malheureusement, certaines occurrences animales restent en marge de ces trois symboliques : elles sont offertes en trop petit nombre ou à d’autres divinités, ne permettant pas de faire un lien précis avec Artémis et Déméter. / This thesis is based on literary, epigraphic, archaeological, iconographic and archaeozoological sources and studies the symbolic of the animals in the relationship between women and divinities. Two goddesses have been chosen for this purpose: Artemis and Demeter. They have in common the fact they take care of women at different moments of their lives. Two main parts compose the survey. First, a catalog lists 83 sanctuaries of Artemis and Demeter who have a link with animals, together with offerings found inside and myths and inscriptions associated with. A second index classifies all the animals connected with Artemis and Demeter: offerings of the sanctuaries from the first corpus, imageries and texts no connected with a shrine but showing a link between an animal species and a goddess.A synthetic analysis of information from the catalogs talks about three main interpretations on the presence of animals beside Artemis and Demeter. At first, fertility of women is very important in ancient Greece because it permits to renewing the civic body. The pig has a special relationship with Demeter about fecundity: during the Thesmophoria, the animal is used to assure the fertility of both women and fields. With Artemis, wetland animals are connected with the water and the life. The cattle are also offered to both goddesses in order to assure the perpetuation of the herd and the city at the same time. Then, the woman before her marriage is like a savage animal and she must be domesticated. Artemis takes care of young girls because she is the goddess of passages and transitions. She allows the domestication of the girls with an initiation called arkteia: during this ritual, the little girls make “the bear”. As divinity of the wild nature, Artemis also is assimilated to the Pόtnia Théron and has the power of life and death on both animals and women. She punishes the girls who transgress the rules: Callisto and Atalante. Artemis and Demeter are kourotrophic goddesses taking care of all gender children. However, if the animals with the divinities are close to the women, there are in connection too with the boys: the dog and the horse evoke the citizenship status of the men and the formation of the young boys, especially with Artemis. Some species are also chthonic characteristics, as the snake, the pig and the tortoise and make a link between the life and the death. Other animals incarnate the divinity: the boar of Kalydon has been send by Artemis because she was angry and a lot of animals are victims of ritual sacrifices and permit a communication with the gods and goddesses. Unfortunately, there are also some species with no real connection with Artemis and Demeter: there are offered in small number in the sanctuaries of both divinities or there contrariwise are given to all the gods.
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Le dieu-fils Harsomtous dans les temples égyptiens d'époque tardive: étude de sa relation avec le dieu-patron du sanctuaire pour définir sa personne et ses fonctions spécifiques en tant que dieu-fils et hors du temple d'Edfou

Louant, Emmanuel January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le culte d'Homonoia dans les cités grecques

Thériault, Gaétan 13 April 2018 (has links)
Chez les Grecs, le mot employé pour désigner la concorde était homonoia, qui signifie littéralement: la conformité des sentiments, l'unanimité, l'harmonie. Ce mot sous-entend nécessairement la présence d'un conflit. Or, les Grecs, comme cela était coutume chez eux, déifièrent cette abstraction pour recourir au pouvoir qui en émanait. L'objet de cette recherche consiste donc à présenter, étudier, analyser et commenter tous les témoignages relatifs au culte d'Homonoia dans la Grèce ancienne. Une telle étude permettra d'établir l'apparition du culte, son développement, ses modalités, sa répartition géographique, ses sanctuaires, ses temples, ses autels, ses prêtres et enfin ses liens souvent marquants avec les grands événements de l'histoire grecque, dont la trame est une suite presque ininterrompue de conflits, de guerres et de dissensions. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La sedes fortunae : logiques figurales et dynamiques historiques de la roue de fortune (XIe-XIVe siècles)

Gauthier, Jean-Luc 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / L'allégorie antique de la roue de fortune inspire des formulations visuelles originales au Moyen Âge central. Du XIe au XIVe siècle, les nombreuses confrontations dialectiques mises en scène autour de la roue déploient la sémiologie des images de la roue de fortune. En résulte un réseau de tensions figuratives par lequel les structures du thème se dévoilent : mère des vices et ennemies des vertus, Fortune est une figure antithétique de la Sagesse divine tandis que son instrument, la roue sur laquelle siègent les souverains pérennes, apparaît comme un motif inverse du Trône de Sagesse. Les usages de la roue de fortune intensifient les antagonismes figuratifs et précisent ses fonctions sociales. En conjoignant des valeurs opposées, unissant sans paradoxe des conceptions en apparence contraires, la roue de fortune est un thème littéralement renversé : ses revers sont profitables et favorisent le salut des âmes.

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