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Études sur les "Hymnes orphiques" /

Morand, Anne-France. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th.--Université de Genève. / Contient le texte grec des hymnes orphiques. Bibliogr. p. 347-361. Index.
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Quaestiones Orphicae.

Krueger, Adolf. January 1934 (has links)
Halle, Phil. Diss. v. 28. Aug. 1934.
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Les éléments orphiques dans le Phédon de Platon

Beaupré, Jocelyn January 2007 (has links) (PDF)
Le Phédon de Platon raconte la mort de Socrate. Ce récit est l'occasion pour Platon d'exposer sa théorie de l'immortalité de l'âme. Platon va développer une théorie de l'âme en lien avec sa philosophie morale. L'élaboration de cette théorie l'amène à aborder le domaine du religieux et du spirituel. La pensée sur la mort, sujet principal de l'oeuvre, est une pleine reconstruction de la doctrine implicite des Mystères et à ce titre, elle ne peut être considérée comme une pure démythologisation. Platon transpose les préoccupations des Mystères du plan de la révélation sur le plan de la rationalité. C'est en fait toute une reconstruction de la pensée grecque que Platon érige sur des bases se rapportant aux Mystères. Cette transposition s'effectue à plusieurs niveaux. La doctrine de la réincarnation est transposée par Platon par la doctrine de la palingénésie. Les âmes ne font plus que transmigrer, elles naissent des morts. Platon reprend le modèle de l'ascèse de l'initié pour le transposer en modèle de vie philosophique. La purification rituelle de l'orphisme est transposée par une purification de l'âme pour assurer son détachement au corps dans lequel elle est emprisonnée. Les dieux, contrairement à leur pouvoir dans l'orphisme, ne peuvent être influencés par des rituels. Et finalement, le discours mythique des mystères est transformé par le discours philosophique. En reprenant ces différents thèmes orphiques du Phédon, nous voyons comment Platon réussit à transcender les mystères et les mythes pour en faire des outils philosophiques. Notre travail porte donc sur le discours religieux que l'on retrouve dans le Phédon, et propose plus particulièrement une discussion sur l'influence de l'orphisme dans la théorie de l'immortalité de l'âme de Platon. Le but général de notre étude est de discuter de l'apport orphique dans les idées de Platon. La preuve que Platon est influencé par l'orphisme constitue un argument complexe, auquel notre mémoire voudrait contribuer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Platon, Phédon, Orphisme, Mythe, Théogonie, Palingénésie, Réincarnation, Purification, Ascèse, Philosophie, Eschatologie.
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La quête spirituelle dans l’œuvre romanesque de François Cheng / Spiritual quest in François Cheng's novel works

Decossas, Antoine 30 January 2017 (has links)
L’œuvre chengienne est traversée de bout en bout par des interrogations existentielles qui découlent des trois formes élémentaires du désir que François Cheng distingue en l’homme : « désir de réalisation, désir de dépassement, désir de transcendance. » (Cinq méditations sur la mort, p. 56). Ces interrogations, qui se retrouvent sans surprise dans son oeuvre romanesque, conduisent ses personnages à entreprendre une véritable quête spirituelle, terme que nous entendons à la fois comme quête de l’esprit et comme élancement de l’âme vers la surnature. Nous tâchons dans notre étude d’en dégager les tenants et les aboutissants, en montrant comment l’auteur parvient à relier de manière cohérente des spiritualités a priori différentes et sans oublier que les héros chengiens sont tous ancrés dans la culture chinoise qui n’a pas établi de distinction radicale entre transcendance et immanence, horizontalité et verticalité. Parce qu’il est fondamentalement en quête de sens, le héros est irrésistiblement poussé à entreprendre un cheminement (à la fois physique et intérieur), qui lui permet de se réconcilier à la fois avec lui-même et avec le monde, tout en faisant l’expérience d’une certaine Transcendance. Cette quête a pour corollaire une quête du féminin qui lui est indissociable, car la Femme, telle que la conçoit Cheng, est par excellence celle qui mène l’homme vers la spiritualité. C’est pourquoi l’éros chengien est un éros mystique, naturellement porté à se muer en Agapè. En somme, ce sont les trois ordres pascaliens qui se trouvent unifiés au terme de cette aventure, le troisième ordre ne supprimant pas les deux autres, mais leur permettant au contraire de se réaliser pleinement. C’est-à-dire que l’œuvre romanesque de François Cheng, de même que son œuvre poétique, n’est au fond qu’une célébration de la reliance / Questions of existence are running throughout Cheng’s works, from beginning to end. These questions derive from the three elementary forms of desire which François Cheng tells apart in human : desire to accomplish, desire to exceed and desire to transcend (Five Meditations on Death, p.56). These questions, which can be found unsurprisingly in his novel works, lead his characters to a true spiritual quest, a term we understand as a quest of spirit, and at the same time, as a march from soul to supernature. In our study, we try to analyse all the relevant factors, to show how the author had succeeded in relating the a priori different spiritualities in a coherent way, without neglecting the fact that Cheng’s heros are all rooted in a Chinese culture background, where the basic distinctions between transcendance and immanence, between horizontality and verticality have not been established yet. Because of his fundamental quest on meanings, the hero is irresistibly pushed to go through a progress (both physical and interior), which allows him to reconciliate with himself and with the world, while experiencing a certain kind of transcendance. This quest has resulted in the quest of the female, which is inseparable from him. Because according to Cheng, the women are the ones who excellently lead the men to spirituality. That’s why Cheng’s Eros is a mystical Eros, and is naturally turned into Agape. In summary, the three Pascal rules are unitied in the end of the adventure, the third one does not supress the two others, in contrary, it helps them to full fulfillment. This means that Cheng’s novel works as long as his poetry works, are in fact nothing but a celebration of connection
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L’esistenzialismo orfico : la poetica dell’esistenza nell’oera poetica di Pascoli, Ungaretti, Montale e Pasolini : microcritica e macrocritica delle modalità significanti / L’existentialisme orphique : la poétique de l’existence dans l’oeuvre poétique de Pascoli, Ungaretti, Montale et Pasolini : microcritique et macrocritique des modalités signifiantes / The orphic existentialism : the poetics of existence in the poetic work of Pascoli, Ungaretti, Montale and Pasolini : microcriticism and macrocriticism of significant modes

Ciliberto, Giorgio 30 November 2015 (has links)
Philosophiquement le XXème siècle est de bien des façons un siècle existentialiste où l’existence est pensée comme transcendance du monde dans l’attente. Selon l’existentialisme l’homme est à la fois dans le monde et outre le monde car si la situation nous transcende dans sa factualité nous la transcendons par notre volonté. Pourtant pour l’existentialisme de l’échec rien – si ce n’est la mort – ne peut vraiment libérer l’homme de la situation de fait du monde historique: sa seule transcendance peut alors être seulement dans le sentiment d’une impossibilité de la transcendance et donc dans conscience de l’échec. On retrouve poétiquement cette situation d’échec dans le mythe d’Orphée où elle interroge métalogiquement le pouvoir de l’acte poétique. Au-delà de l’orphisme religieux le mythe d’Orphée nous propose alors la vision d’un chant qui est à la fois désenchantement nostalgique et enchantement épistémique et donc respectivement lamentation pour ce qui n’est plus et admiration pour ce qui est. Orphique est donc la mélancolie nostalgique qui en vain veut transcender le présent dans le passé mais qui toutefois en tant que phonie magique transcende le présent dans le futur. On peut alors pour le XXème siècle poétique parler d’existentialisme orphique et recenser certaines de ses manifestations les plus éminentes. Dans la poésie italienne le poème L’ultimo viaggio (1904) de Pascoli présente un syntagme – non esser più – qui porte à lui seul une problématique existentialiste – aussi bien dans son mode nostalgique négatif que dans son mode épistémique affirmatif – que l’on retrouve de manière tout aussi forte chez Ungaretti et Montale et Pasolini où l’aspiration à l’être vit indiscutablement dans la désolation du ne plus être. Ces quatre poètes sont alors affrontés selon une même méthode herméneutique qui actualise la microcritique d’un syntagme fortement circonstanciel – non esser più pour Pascoli, equivoco della luna pour Ungaretti, eternità d’istante pour Montale et grin di cristàl pour Pasolini – par la macrocritique du corpus poétique de chaque poète afin d’interroger – tout au long du XXème siècle – diverses modalités d’un même existentialisme orphique. / Philosophically the 20th century is in many ways an existentialist century where the existence is thought of as transcendence of the world in the expectation. According to existentialism man is at the same time in the world and beyond the world because if the situation transcends us in its factuality we transcend it by our will. Yet for the existentialism of failure nothing – except death – can really free man from the factual situation of the historic world: his sole transcendence can only be in the feeling of the impossibility of transcendence and thus in the consciousness of failure. Poetically we find this situation of failure in the myth of Orpheus where the power of the poetic act is questioned metalogically. Beyond the religious orphism the myth of Orpheus offers us the vision of a chant which is at the same time nostalgic disenchantment and epistemic enchantment and therefore respectively a lamentation for what is no more and admiration for what is. Thus orphic is the nostalgic melancholy which in vain wants to transcend the present in the past but nontheless as a magic word transcends the present in the future. So for the 20th poetic century we can speak of orphic existentialism and list some of its most eminent manifestations. In the Italian poetry the poem L’ultimo viaggio (1904) by Pascoli presents a phrase – non esser più – which carries of its own an existentialist problematic – both in its negative nostalgic way as in its affirmative epistemic way – that we find with equal force in Ungaretti and Montale and Pasolini where, without any doubts, the aspiration to the being lives in the desolation of the no longer being. These four poets are thus faced with the same hermeneutic method which actualizes the microcriticism of a strongly circumstantial phrase – non esser più for Pascoli, equivoco della luna for Ungaretti, eternità d’istante for Montale and grin di cristàl for Pasolini – via the macrocriticism of the poetic corpus of each poet in order to question – all along the 20th century – different modalities of one and the same orphic existentialism.
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Être autrichien: la problématique de la faute chez les écrivains autrichiens du début du siècle

Durand-Barthez, Manuel 13 November 1995 (has links) (PDF)
Une analyse de la problématique de la faute chez les écrivains autrichiens de la première moitié du XXe siècle. Étude de ses origines supposées dans l'incertitude identitaire et le conflit entre germanité et judéité. Étude de ses effets apparents dans la mise en valeur littéraire du mythe d'Orphée ainsi que dans l'évocation de comportements schizophrènes. Étude du thème de la rédemption comme réponse à la problématique de la faute. Cet aspect moral de la question est étayé par l'analyse linguistique de Mauthner, philosophique de Wittgenstein et scientifique de Mach. Échantillon non exhaustif d'écrivains : Hugo von Hofmannsthal, Stefan Zweig, Otto Weininger, Joseph Roth, Arthur Schnitzler, Karl Kraus, Hermann Broch, Robert Musil.
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L'orphisme. Naissance, évolution et héritage d’une avant-garde oubliée / Orphism. Birth, evolution and heritage of a forgotten avant-garde

Sawczuk, Magdalena 22 June 2018 (has links)
La notion d’orphisme est née à la veille de la Première Guerre mondiale. Forgée par Guillaume Apollinaire, elle lui sert à désigner l’art nouveau et audacieux de ses amis-peintres, notamment ceux réunis autour de Robert Delaunay. Cependant, dès cette époque, le terme, utilisé de manière imprécise par le poète, pose problème. Depuis, les controverses se multiplient et durant le siècle qui nous sépare de l’invention de ce nom tout ce qui touche à l’orphisme a été remis en cause, jusqu’à son existence même. Prenant position contre cette attitude, nous proposons dans cette thèse d’envisager la production et les conceptions artistiques de l’époque sous un angle nouveau. En nous défaisant des étiquettes traditionnelles de nombreux « -ismes », nous prenons – selon la suggestion d’Apollinaire – le mythe d’Orphée comme un outil permettant de réanalyser l’art du début du XXème siècle. Cette relecture (des parcours des artistes, de leurs sources d’inspiration, des rapports entre différents centres artistiques et acteurs de la scène artistique), ainsi qu’une analyse comparative des œuvres ont pour but de démontrer que ce que nous appelons l’« orphisme » ne fut pas un concept artificiel, appliqué de manière parfaitement arbitraire à la somme des trajectoires – quelques peu accidentelles et indépendantes les unes des autres – de différents artistes, mais plutôt une évolution logique et cohérente, dont l’ampleur et l’impact sur la postérité ne furent jamais appréciés à leur juste valeur. En utilisant le mythe d’Orphée comme fil conducteur structurant notre analyse, nous mettons donc en évidence les grandes lignes de l’évolution du phénomène auquel Apollinaire a donné le nom d’orphisme : les origines et l’interprétation du terme et de la conception mêmes, le contexte historique et artistique de l’apparition et de l’évolution du mouvement, les rapports entre ses différents acteurs, les sources d’inspiration des artistes et enfin une évolution stylistico-chronologique de cette tendance. / The notion of Orphism was born on the eve of the World War II. Forged by Guillaume Apollinaire, it served him to describe a new and bold art of his friends, especially those concentrated around Robert Delaunay. However, the notion was already troublesome back then: ill-defined and unclear, it was used by the poet in a vague way. Since then, the controversies continue to mount and in a century that elapsed since the invention of the notion, everything concerning Orphism is questioned, even its very existence. Contesting this negationist approach, we propose in this thesis to analyze the artistic production and conceptions of this period under a new light. We are distancing ourselves from the traditional labels of “-isms” and we are using the Orpheus myth – as suggested by Apollinaire – as a tool which allows us to reanalyze the art from the beginning of the 20th century. This new analysis – of artists’ career paths, their fascinations, relationships between different artistic centers and between people involved in this avant-garde – and the comparative analysis of artworks serves to prove that what we call Orphism is not an artificial concept, applied in an arbitrary manner to the somewhat accidental and independent career paths of different artists. On the contrary, Orphism is a logical and consistent evolution, whose true importance and impact was never fully appreciated. By using the Orpheus myth as a guiding thread, we are bringing to light the main lines of the evolution of Orphism: the origins and interpretation of the notion and the conception, the historical and artistic context in which the movement was born and was evolving, the relationships between its actors, artists’ inspirations and, last but not least, the stylistic evolution of Orphism over the time.
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L'influence de la mythologie orphique sur la conception de l'immortalité de l'âme chez Platon

Forget, Martin January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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« Et les grands cris de l’Est » : Robert Delaunay à Berlin, 1912-1914 / “Et les grands cris de l’Est” : Robert Delaunay in Berlin, 1912-1914

Goetzmann, Sophie 10 December 2016 (has links)
Robert Delaunay (1885-1941) est l’un des artistes français les plus présents à Berlin à l’aube de la Première guerre mondiale. Avec l’aide de Herwarth Walden (1878-1941), directeur de la revue et galerie Der Sturm, l’artiste acquiert rapidement une solide réputation dans la capitale allemande, où il expose une quarantaine de toiles au cours de la seule année 1913, tandis qu’il diffuse abondamment ses propres textes théoriques et ceux de ses amis Guillaume Apollinaire (1880-1918) et Blaise Cendrars (1887-1961). Le peintre français suscite bientôt l’engouement de certains artistes berlinois, nombreux à l’avoir rencontré lors de ses deux voyages en Allemagne avant la guerre. Pour une large partie de la recherche, ce succès s’expliquerait par un « malentendu productif » : les artistes de la capitale allemande auraient détourné l’œuvre de Delaunay dans un sens germanique, appréciant sa peinture pour des raisons étrangères à ses intentions initiales. Contestant cette hypothèse – variante de celle, pluriséculaire, de l’incompatibilité par nature des goûts allemands et français – nous proposons d’envisager la réception berlinoise de Delaunay dans une perspective micro-historique, en nous intéressant au regard porté sur lui par trois artistes : Ludwig Meidner (1884-1966), Lyonel Feininger (1871-1956) et Bruno Taut (1880-1936). Après avoir mis en exergue les discours possiblement « entendus » par ceux-ci autour de l’œuvre du peintre français en Allemagne, nous nous intéressons à la trajectoire individuelle de chacun d’entre eux, mettant en évidence la profondeur des liens qui unissent finalement les avant-gardes désignées sous les termes d’orphisme et d’expressionnisme. / Robert Delaunay (1885-1941) is among the French artists that are the most involved in Berlin at the dawn of the World War I. Thanks to Herwarth Walden (1878-1941), who is the director of the magazine and the gallery Der Sturm, the artist quickly earns a solid reputation in the German capital city where he exhibits around forty paintings in 1913 alone, while widely circulating his own theoretical texts as well as those of his friends Guillaume Apollinaire (1880-1918) and Blaise Cendrars (1887-1961). The French painter soon spurs the interest of some Berlin artists, many of whom have met him during his two trips to Germany before the war. For an extensive part of the research, this success could be explained by a “working misunderstanding”: the artists of the German capital city supposedly twisted Delaunay’s work in a Germanic sense, appreciating his painting for reasons that were not related to his initial intents. We contest this hypothesis – which is a variant of the centuries-old hypothesis that states a natural incompatibility between German and French tastes – we suggest to consider the Berlin welcome of Delaunay in a micro-historical perspective by focusing on three artist’s point of view about him: Ludwig Meidner (1884-1966), Lyonel Feininger (1871-1956) and Bruno Taut (1880-1936). After underlining the speeches they possibly “heard” surrounding the French painter’s work in Germany, we focus on each artist’s individual path, showcasing the depths of the links that join actually the avant-gardes that are coined under the terms of orphism and expressionism.
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Le papyrus de Derveni : de la formation du cosmos à la genèse des mots : introduction, édition critique, traduction, notes et étude monographique des fragments du papyrus / The Derveni papyrus : from the constitution of the Cosmos to the genesis of the Words : introduction, critical edition, translation, notes and a monographical study of the fragments of the papyrus

Salamone, Oreste 06 December 2016 (has links)
Dès sa découverte en 1962, le Papyrus de Derveni, le plus ancien manuscrit d'Europe, n'a pas cessé de soulever des interrogations majeures relatives à la transmission, à l'interprétation et à la fonction des textes orphiques. Le Papyrus de Derveni nous fournit aussi un témoignage de premier ordre quant à l'influence de la philosophie présocratique sur les doctrines orphiques. Cette thèse est la première édition critique française du Papyrus de Derveni. Celle-ci comprend un apparat critique complet ainsi que des notes au texte. Ce travail de recherche propose aussi une étude monographique du Papyrus de Derveni. Nous avons porté une attention toute particulière à l'analyse du poème orphique, aux techniques exégétiques employées et aux thématiques philosophiques de l'écrit contenu dans le Papyrus de Derveni. Nous avons, en outre, comparé les doctrines cosmologiques et philosophiques proposées par son auteur avec les théories d'Héraclite d’Éphèse, d'Anaxagore de Clazomènes, de Diogène d'Apollonie et Archélaos d’Athènes. / Since his discovery in 1962, the Derveni Papyrus, the most ancient manuscript of Europe, has rase full of major questions about the transmission, the interpretation and the function of the orphic texts. The Derveni Papyrus offers us an emblematic testimony about the influence of Presocratic Philosophy on the orphic doctrines. This thesis is the first french critical edition of the Derveni Papyrus with a critical apparatus and notes on the text. This research paper also provides a monographic study of this document. We especially focused our attention on the orphic poem quoted by the author of the Derveni Papyrus, on the exegetical technics he employed and on the philosophical doctrines he proposed. We particularly compared the cosmological and philosophical theories of the Derveni Papyrus author with that of Heraclitus of Ephesus, Anaxagoras of Clazomenae, Diogenes of Apollonia and Archelaus of Athens.

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