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L'Homme, le porc, l'abeille et le chien : la relation homme-animal dans une région du Haut-Diois /

Chevallier, Denis, January 1979 (has links)
Th. 3e cycle--Ethnol.--Lyon 2, 1979. / Bibliogr. p. 319-331.
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Ethnoécologie des Mitsogho du Gabon : Ethnobotanique et Ethnozoologie / Ethnoecology of the Mitsogho of Gabon (ethnobotany and ethnozoology)

Mogomba, Guy Serge 15 October 2013 (has links)
Notre étude a porté sur les utilisations socioculturelles de la faune et de la flore chez les Mitsogho du Gabon. Autrement dit, elle met l'homme en relation avec son environnement. Il s'est agi de la mise en évidence de la façon dont les Mitsogho du Gabon conçoivent, conceptualisent et activent leur relation avec le monde non humain visible et invisible, notamment végétal et animal. Nous avons ainsi vu apparaître deux approches contrastées par rapport à une hypothétique relation homme/nature : la première, celle des Sociétés dites « traditionnelles », considère, conformément aux « théories indigènes » (Claude Lévi-Strauss) et à la démonstration d'un Philippe Descola, que l'ensemble des créateurs font partie d'un continuum dont les éléments différenciés se doivent d'entretenir des relations de conciliation et d'échange équitable, où l'être humain particulièrement est défini comme partie intégrante des biotopes et des écosystèmes, la seconde, celle des sociétés industrialisées, repose sur un antagonisme explicite dans les textes fondateurs (la Genèse dans la tradition chrétienne), des religions dites « révélées » qui positionnent les êtres humains comme « maîtres » et « régisseurs » de la création. Une telle attitude est le moteur de toutes politiques dites « de développement » durable ou non. La perspective est diachronique et elle vise à montrer ce qui se passe lorsque deux modes d'être, de penser et d'agir (MEPA) contraires entrent en collision, dans un contexte que nous définissons globalement comme « colonial ». / Our study focused on the sociocultural use of fauna and flora amongst the Mitsogho of Gabon. In other terms, it puts the man in relationship with his environment. It was about demonstrating the way of which the Mitsogho of Gabon conceive, conceptualize and activate their relationship with the visible and invisible world, notably plant and animal. The study showed the emerging of two approaches contrasted in relation to an hypothetical relationship between man and nature : the first approach being the so call "traditional", consider according to the "indigenous" theories (Claude Lévi-Strauss) and to the demonstration of Philippe Descola, that all creatures are part of a continuum of which the differentiated elements must maintain relations of conciliation and equitable exchange, where the human being is particularly defined as integral part of the biotopes and the ecosystems ; the second, the one of the industrialized societies, based on an explicit antagonism in the founding texts (the Genesis in the Christian tradition), of the so call "revealed" religion that positions the human beings as "masters" and "managers" of the creation. Such an attitude is the motor of all policies so call "sustainable development" or not. The perspective is diachronic and it aims to show what happens when two opposite ways of being, of thinking and of acting (MEPA) come into collision, in a context that we define globally as "colonial".
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Lidské preference živočišných druhů a jejich vliv na druhovou ochranu / Human preference to animal species and its impact on species conservation

Marešová, Jana January 2012 (has links)
The dissertation thesis deals with human aesthetic preference to other species and its anthropological and conservation aspect. The aesthetic preference to animal species has rarely been systematically studied before and quantitative analyses, especially on a fine taxonomic scale did not exist. On the other hand, it was known that attractive species often receive more support for their conservation. From these simple facts rose the idea to test human aesthetic preference to snake species (and consequently to species across major vertebrate taxa) and use this quantified preference to explain the conservation effort devoted to captive breeding worldwide (measured as size of zoo populations). We confirmed that the perceived attractiveness (preference and/or species' body size) succesfully predicts the size of zoo populations across mammal, bird and reptile taxa. On contrary, we found no effect of the IUCN listing of the species. To find out whether we work with Czech students' preference only or we may generalize to other populations, we carried out the same experiment to determine human preference to boas and pythons in eight cultures of five continents. Despite profound differences of the studied ethnics, we revealed a considerable agreement. Moreover, we found an agreement between pre-school...
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"Je monstre un singe acoustré en damoiselle" : représentations et identités simiesques dans les polémiques religieuses en France (1542-1584)

Lafleur, Benoît 05 1900 (has links) (PDF)
La recherche sur le symbolisme animalier en Occident est un objet d'histoire à part entière que recouvre désormais le domaine pluridisciplinaire de la zoohistoire. Des études spécialisées montrent que diverses sources textuelles et iconographiques regorgent de nombreuses représentations simiesques, malgré le fait que cet animal soit peu présent physiquement sur le sol européen. Néanmoins, toutes les analyses de sources culturelles convergent en témoignant de manière très cohérente sur les multiples caractéristiques que l'homme occidental prête intrinsèquement à cet animal, mais dans un rapport diamétralement opposé à notre perception contemporaine de la figure simiesque, amusante et sympathique. En effet, de l'Antiquité jusqu'au milieu du XXe siècle, les représentations simiesques ont systématiquement une connotation péjorative. Ce mémoire de maîtrise porte sur la construction du mythe simiesque, sur sa présence symbolique itérative dans la culture et son utilisation dans la société. Une incursion dans le cadre spatio-temporel de la France au XVIe siècle, et en particulier dans un rapport historiographique étroit avec les guerres de Religion, s'avère être un terrain d'étude propice pour circonscrire de manière précise les concepts de représentation et d'identité en les appliquant aux échanges de la polémique religieuse entre les protestants et les catholiques. Durant cette période, la représentation simiesque sert d'arme symbolique et identitaire pour les polémistes religieux. Le but recherché est de discréditer l'autre en le représentant sous les traits animalisés du singe, qui endosse une multiplicité de rôles, allant de la figure d'inversion comique et carnavalesque du théâtre populaire à la figure diabolique et hérétique d'un théâtre infernal de la désolation. Les analyses démontrent une évolution diachronique dans l'utilisation de la représentation simiesque en France et qui suit sensiblement le même mouvement que celui des tensions politiques et sociales. En comparant les représentations conceptuelles du « singe religieux » produites par les polémistes des deux camps et sur un court demi-siècle, nous isolons un indicateur probant de l'histoire culturelle qui nous permet de mesurer et de suivre, avec d'autres manifestations symboliques connexes, l'évolution des changements socioculturels en cours dans l'histoire de la France. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire culturelle, France, Renaissance, Guerres de Religion, Zoohistoire, Symbolisme animalier, Singe, Animalisation, Polémique religieuse, Tradition, Mythes, Représentation, Identité.
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Untersuchungen zum Vorkommen von Ektoparasiten bei domestizierten und wildlebenden Meerschweinchen (Cavia spp.)sowie an präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru, Südamerika / Faunistische und paläoparasitologische Untersuchungen

Dittmar de la Cruz, Katharina 28 November 2004 (has links) (PDF)
7. Zusammenfassung Untersuchungen zu Vorkommen von Ektoparasiten bei domestizierten und wildlebenden Meerschweinchen (Cavia spp.) sowie an präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru, Südamerika Dittmar de la Cruz, Katharina Institut für Parasitologie, Veterinärmedizinische Fakultät, Universität Leipzig (120 Seiten, 29 Tabellen, 67 Abbildungen, 187 Literaturangaben, 3 Anhänge) In den Zeiträumen von Dezember 1996 bis Februar 1997 und Februar bis Oktober 1998 sowie im Mai 1999 wurden Untersuchungen zum Vorkommen von Ektoparasiten bei Cavia spp. in Peru durchgeführt. In die Auswertungen waren insgesamt 17 421 domestizierte Meerschweinchen (Cavia porcellus) aus 14 Departments in allen Bioregionen und Höhenlagen des Landes, 143 wildlebende Meerschweinchen (Cavia aperea) aus 3 Gebieten (El Paramo, Junin, La Raya) in den Anden und Kordilleren sowie 180 etwa 1000 Jahre alte präinkaische Mumien domestizierter Meerschweinchen, Opfertiere aus der küstennahen Chiribaya-Kultur (Fundstätten Chiribaya Baja und El Yaral) im Süden Perus, einbezogen. Die rezenten domestizierten Meerschweinchen sind in intensiver Haltung in aus Beton errichteten Stallungen, in intensiver Haltung in Stallungen regional typischer Bauweise (z. B. Schilfrohr- und Flechtzäune) sowie in extensiver Haltung im unmittelbaren Umfeld des Menschen (Küche, Wohnräume) zur Fleischversorgung der Bevölkerung gezüchtet und gehalten worden. Aufarbeitung und Bestimmung der nachgewiesenen Ektoparasiten erfolgten nach parasitologischen Standardmethoden. Für die Aufbereitung der fragilen Ektoparasiten der Meerschweinchenmumien wurde eine spezielle Methode unter Verwendung von Essigsäure und 1 %iger wässriger Kalilauge selbst erarbeitet. - Insgesamt sind 24 Ektoparasiten-Spezies, d. h. Vertreter der Siphonaptera (Flöhe), Mallophaga (Haarlinge), Anoplura (Läuse), Milben und Raubwanzen in Mono- oder Polyinfestationen bei den rezenten und präinkaischen Meerschweinchen festgestellt worden, bei den Meerschweinchenmumien wurden außerdem freilebende Arthropoden, Vertreter der Pyroglyphidae (Hausstaubmilben) und Pseudoskorpione, gefunden. Von den festgestellten Ektoparasiten sind 2 Arten Erstnachweise für Cavia porcellus, 5 Arten für Cavia aperea; 8 Spezies sind erstmals bei Meerschweinchen in Peru bzw. in bestimmten Bioregionen in Peru festgestellt worden. Von den untersuchten domestizierten Meerschweinchen waren 96,6 % mit Ektoparasiten befallen, dabei konnten in Mono- und Polyinfestationen (27 verschiedene Kombinationen mit bis zu 7 Arten) nachgewiesen werden: Flöhe: Pulex sp. (Artenzuordnung noch unklar), Tiamastus cavicola, Ctenocephalides felis felis, Xenopsylla cheopis, Echidnophaga gallinacea; Haarlinge: Gliricola porcelli, Trimenopon hispidum, Gyropus ovalis; Milben: Ornithonyssus bacoti, Ornithonyssus wernecki, Eutrombicula batatas, Dermanyssus gallinae, Chirodiscoides caviae, Myocoptes musculinus, Myobia musculi, Notoedres muris; Raubwanzen: Triatoma infestans. Die Prävalenz von Ornithonyssus bacoti, der am häufigsten vertretenen Milbenart, lag bei 51,7 %. Diese Spezies konnte in der Bioregion Chala nicht nachgewiesen werden; das Vorkommen in der Küstenregion (Costa) geht auf Zukäufe von Tieren aus den anderen Bioregionen zurück. Bei mittel- bis hochgradiger Befallsstärke mit der Tropischen Rattenmilbe wiesen die Meerschweinchen starke Hautveränderungen auf, bei 38 % der Tiere trat eine Anämie durch blasse Schleimhäute und blau gefärbte Ohren klinisch in Erscheinung. Es war ein Zusammenhang zwischen einem O.-bacoti-Befall der Meerschweinchen und dem Kontakt mit wildlebenden Nagetieren (Mäuse, Ratten) sowie auch mit gleichzeitig bestehenden Microsporum-caninum- und Trichophyton-mentagrophytes-Infektionen nachzuweisen. Innerhalb einer untersuchten O.-bacoti-Population im Gebiet Huancayo zeigten sich deutliche saisonale Schwankungen im Anteil an Protonymphen, welche schwach signifikant negativ mit den Niederschlagsmengen in dieser Region korrelierten. Die Befallshäufigkeit mit Siphonaptera lag bei 76,8 %, dominierend war ein Vertreter der Gattung Pulex, während Tiamastus cavicola zu 42,4 %, Xenopsylla cheopis zu 15,1 % und Ctenocephalides felis felis zu 3,5 % vorkamen. Flöhe waren in 4 der 5 Bioregionen Perus nachzuweisen, in der Selva konnten auf keinem der untersuchten Meerschweinchen Flöhe gefunden werden. Männliche und weibliche Meerschweinchen waren gleichermaßen mit den verschiedenen Siphonaptera-Spezies befallen, auf weiblichen Meerschweinchen kamen hochsignifikant mehr weibliche Pulex sp. vor als auf männlichen. Es bestand ein hochsignifikanter Zusammenhang zwischen einem Befall mit Siphonaptera und dem Kontakt der Meerschweinchen mit anderen Tierarten (Hunde, Hühnervögel, peridomestische Nagetiere). Mallophagen wurden bei 27,8 % der untersuchten domestizierten Meerschweinchen aus allen Bioregionen nachgewiesen; die am häufigsten festgestellte Spezies war Trimenopon hispidum (60,5 %), gefolgt von Gliricola porcelli (42,7 %) und Gyropus ovalis (7,5 %). Die Befallsintensität mit Mallophagen war bei den Meerschweinchen überwiegend geringgradig. - Auf den wildlebenden Meerschweinchen konnten in Mono- und Polyinfestationen (10 verschiedene Kombinationen mit maximal 5 Arten) folgende Ektoparasiten festgestellt werden: Flöhe: Leptopsylla segnis, Ctenophthalmus hispanicus; Läuse: Polyplax spinulosa, Pterophtirus alata; Haarlinge: Gliricola porcelli; Milben: Eutrombicula bruyanti, Myocoptes musculinus, Myobia musculi. Die Siphonaptera-Spezies Ctenophthalmus hispanicus wurden erstmalig in der Neotropischen Region nachgewiesen. Nur Myobia musculi und Myocoptes musculinus waren bei Tieren aus allen 3 Untersuchungsgebieten anzutreffen. Bei den Meerschweinchen überwogen Infestationen mit Gliricola porcelli, Eutrombicula bruyanti und Myocoptes musculinus, die Befallsintensität mit Myocoptes musculinus korrelierte positiv mit dem Alter der Meerschweinchen. - Bei 67 der 180 untersuchten Meerschweinchenmumien von beiden Fundorten konnten Ektoparasiten nachgewiesen werden. Diese befanden sich, wie auch die Mumien der ehemaligen Wirtstiere, bedingt durch die geologischen und klimatischen Bedingungen in den Fundgebieten in einem ausgezeichneten Erhaltungszustand. Flöhe aus der Gattung Pulex waren die insgesamt am häufigsten festgestellten Ektoparasiten, auf den Mumien von Chiribaya Baja wurden sie ausschließlich gefunden. Meerschweinchenmumien aus El Yaral wiesen Infestationen mit Trimenopon hispidum, Gliricola porcelli, Ornithonyssus sp. und Rhipicephalus sanguineus (Erstnachweis von einem domestizierten Meerschweinchen in natürlicher Infestation) auf. Der erfolgreiche Nachweis der Ektoparasiten auf präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru eröffnet Möglichkeiten für die paläoparasitologische Bearbeitung auch der Mumien von Menschen und weiteren Opfertieren (Hunde, Lamas, Alpakas) aus diesem Kulturkreis. / 7. 1. Summary Investigation about the occurrence of ectoparasites on domesticated and wild guinea pigs (Cavia spp.) and preincaic guinea pig mummies in Peru, South America Dittmar de la Cruz, Katharina Institute of Parasitology. Veterinary Faculty, University of Leipzig (120 pages, 29 tables, 67 figures, 187 references, 3 adnex. ) Between December 1996 and February 1997, February and October 1998 and in May 1999 investigations about the occurrence of ectoparasites on the genus Cavia in Peru were carried out. The survey included 17 421 domesticated guinea pigs (Cavia porcellus) from 14 departments in all bioregions and altitude levels, 143 wild guinea pigs (Cavia aperea) from three areas (El Paramo, Junin and La Raya) in the Andes and the Cordillera and 180 about 1000 year old guinea pig mummies of C. porcellus, ritual offers from the coastal Chiribaya-Culture (archeological sites of Chiribaya Baja and El Yaral) in the South of Peru. The recent domesticated guinea pigs are bred in intensive utilization systems, with concrete stables, in intensive utilization systems with regional-traditional architecture (big reed hutches or adobe stables) or in extensive utilization systems (kitchen or outdoor dips). The identification and mounting of the specimen was done by parasitological standard techniques. In the course of the study a special technique for the preservation and mounting of the fragile ectoparasites from the guinea pig mummies was developed, using acetic acid and a 1 % potassium hydroxide solution. In total 24 ectoparasite species of the siphonaptera, mallophaga, anoplura, mites and reduviids were found in mono- and polyinfestations, the guinea pig mummies also hosted free living arthropods, such as pseudoscorpions and specimen of the Pyroglyphidae (house dust mites). In two cases C. porcellus was reported as first host record, in five cases C. aperea was mentioned for the first time as a host for some ectoparasites, 8 times for several ectoparasites new locality records for Peru or bioregions of Peru could be made 96,6 % of all domesticated guinea pigs (C. porcellus) showed an infestation with ectoparasites in mono- and polyinfestations, revealing 27 different combinations with up to 7 species of ectoparasites: siphonaptera: Pulex sp. (taxonomical status still unclear), Tiamastus cavicola, Ctenocephalides f. felis, Xenopsylla cheopis, Echidnophaga gallinacea; mallophaga: Gliricola porcelli, Trimenopon hispidum, Gyropus ovalis; mites: Ornithonyssus bacoti , Ornithonyssus wernecki, Eutrombicula batatas, Dermanyssus gallinae, Chirodiscoides caviae, Myocoptes musculinus, Notoedres muris; reduviids: Triatoma infestans. The prevalence of O. bacoti, the most frequent species, was 51,7 %. This mite had never been recorded in the bioregion Chala; the presence of the species in the Costa could be explained by a recent purchase out of the other bioregions. A medium to high infestation rate with the tropical rat mite always resulted in obvious skin alterations, of whom 38 % also showed signs of clinical anemia, with pale mucosa and blue ear tips. There was a relation between an infestation with O. bacoti and the contact with rodents as well as an simultaneus infection with dermatophytes (Microsporum caninum and Trichophyton mentagrophytes). In an O.-bacoti-population in the Huancayo region the rate of protonymphs showed a low significant monthly variation, which correlated negative with the monthly rainfall. The prevalence of siphonaptera was 76,8 %, the species most frequently detected was Pulex sp. (89,2 %), followed by T. cavicola (42,4 %), X. cheopis (15,1 %) and C. f. felis (3,5 %). The species of fleas were distributed in 4 of the 5 bioregions; in the Selva no fleas could be found. There was no difference in the infestation rate of male and female hosts, female guinea pigs were infested with a higher rate of female Pulex sp. than male guinea pigs. A highly significant relation between the contact with other mammals (dogs, fowl and peridomestic rodents) and an infestation with siphonaptera could be detected. The prevalence of mallophaga, coming from all bioregions, was 27,8 %; the most frequently detected species was T. hispidum (60,5 %), followed by G. porcelli (42,7 %) and G. ovalis (7,5 %). The infestation levels were generally low.- On the wild guinea pigs (C. aperea) prevailed mono- and polyinfestations, represented by 10 combinations with up to 5 species, with the following species of ectoparasites: siphonaptera: Leptopsylla segnis, Ctenophthalmus hispanicus; anoplura: Polyplax spinulosa, Pterophtirus alata; mallophaga: Gliricola porcelli; mites: Eutrombicula bruyanti, Myocoptes musculinus and Myobia musculi. Ctenophthalmus hispanicus was mentioned for the first time from the Neotropical region. M. musculinus and Myobia musculi were the only species to be found in all three sampling areas. Infestations with G. porcelli, E. bruyanti and M. musculinus were the most common, the infestation rate with Myocoptes musculinus correlated positive with the age of the hosts.- On 67 of 180 guinea pig mummies of both excavation areas (Chiribaya Baja and El Yaral) ectoparasites could be found. The conservation of the ectoparasites, as well as their former hosts was extraordinarily good due to geological and climatical conditions . Fleas of the genus Pulex were the most frequently detected specimen; on the guinea pig mummies of Chiribaya Baja only this species could be found. The mummies from El Yaral revealed the presence of T. hispidum, G. porcelli, Ornithonyssus sp. and Rhipicephalus sanguineus (first record for a natural infestation). The successful detection of ectoparasites on preincaic guinea pig mummies in Peru opens new possibilities for a paleoparasitological survey including also human mummies and other animal offerings (dogs, lamas, alpakas) from this cultural background.
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Untersuchungen zum Vorkommen von Ektoparasiten bei domestizierten und wildlebenden Meerschweinchen (Cavia spp.)sowie an präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru, Südamerika: Faunistische und paläoparasitologische Untersuchungen

Dittmar de la Cruz, Katharina 15 September 2001 (has links)
7. Zusammenfassung Untersuchungen zu Vorkommen von Ektoparasiten bei domestizierten und wildlebenden Meerschweinchen (Cavia spp.) sowie an präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru, Südamerika Dittmar de la Cruz, Katharina Institut für Parasitologie, Veterinärmedizinische Fakultät, Universität Leipzig (120 Seiten, 29 Tabellen, 67 Abbildungen, 187 Literaturangaben, 3 Anhänge) In den Zeiträumen von Dezember 1996 bis Februar 1997 und Februar bis Oktober 1998 sowie im Mai 1999 wurden Untersuchungen zum Vorkommen von Ektoparasiten bei Cavia spp. in Peru durchgeführt. In die Auswertungen waren insgesamt 17 421 domestizierte Meerschweinchen (Cavia porcellus) aus 14 Departments in allen Bioregionen und Höhenlagen des Landes, 143 wildlebende Meerschweinchen (Cavia aperea) aus 3 Gebieten (El Paramo, Junin, La Raya) in den Anden und Kordilleren sowie 180 etwa 1000 Jahre alte präinkaische Mumien domestizierter Meerschweinchen, Opfertiere aus der küstennahen Chiribaya-Kultur (Fundstätten Chiribaya Baja und El Yaral) im Süden Perus, einbezogen. Die rezenten domestizierten Meerschweinchen sind in intensiver Haltung in aus Beton errichteten Stallungen, in intensiver Haltung in Stallungen regional typischer Bauweise (z. B. Schilfrohr- und Flechtzäune) sowie in extensiver Haltung im unmittelbaren Umfeld des Menschen (Küche, Wohnräume) zur Fleischversorgung der Bevölkerung gezüchtet und gehalten worden. Aufarbeitung und Bestimmung der nachgewiesenen Ektoparasiten erfolgten nach parasitologischen Standardmethoden. Für die Aufbereitung der fragilen Ektoparasiten der Meerschweinchenmumien wurde eine spezielle Methode unter Verwendung von Essigsäure und 1 %iger wässriger Kalilauge selbst erarbeitet. - Insgesamt sind 24 Ektoparasiten-Spezies, d. h. Vertreter der Siphonaptera (Flöhe), Mallophaga (Haarlinge), Anoplura (Läuse), Milben und Raubwanzen in Mono- oder Polyinfestationen bei den rezenten und präinkaischen Meerschweinchen festgestellt worden, bei den Meerschweinchenmumien wurden außerdem freilebende Arthropoden, Vertreter der Pyroglyphidae (Hausstaubmilben) und Pseudoskorpione, gefunden. Von den festgestellten Ektoparasiten sind 2 Arten Erstnachweise für Cavia porcellus, 5 Arten für Cavia aperea; 8 Spezies sind erstmals bei Meerschweinchen in Peru bzw. in bestimmten Bioregionen in Peru festgestellt worden. Von den untersuchten domestizierten Meerschweinchen waren 96,6 % mit Ektoparasiten befallen, dabei konnten in Mono- und Polyinfestationen (27 verschiedene Kombinationen mit bis zu 7 Arten) nachgewiesen werden: Flöhe: Pulex sp. (Artenzuordnung noch unklar), Tiamastus cavicola, Ctenocephalides felis felis, Xenopsylla cheopis, Echidnophaga gallinacea; Haarlinge: Gliricola porcelli, Trimenopon hispidum, Gyropus ovalis; Milben: Ornithonyssus bacoti, Ornithonyssus wernecki, Eutrombicula batatas, Dermanyssus gallinae, Chirodiscoides caviae, Myocoptes musculinus, Myobia musculi, Notoedres muris; Raubwanzen: Triatoma infestans. Die Prävalenz von Ornithonyssus bacoti, der am häufigsten vertretenen Milbenart, lag bei 51,7 %. Diese Spezies konnte in der Bioregion Chala nicht nachgewiesen werden; das Vorkommen in der Küstenregion (Costa) geht auf Zukäufe von Tieren aus den anderen Bioregionen zurück. Bei mittel- bis hochgradiger Befallsstärke mit der Tropischen Rattenmilbe wiesen die Meerschweinchen starke Hautveränderungen auf, bei 38 % der Tiere trat eine Anämie durch blasse Schleimhäute und blau gefärbte Ohren klinisch in Erscheinung. Es war ein Zusammenhang zwischen einem O.-bacoti-Befall der Meerschweinchen und dem Kontakt mit wildlebenden Nagetieren (Mäuse, Ratten) sowie auch mit gleichzeitig bestehenden Microsporum-caninum- und Trichophyton-mentagrophytes-Infektionen nachzuweisen. Innerhalb einer untersuchten O.-bacoti-Population im Gebiet Huancayo zeigten sich deutliche saisonale Schwankungen im Anteil an Protonymphen, welche schwach signifikant negativ mit den Niederschlagsmengen in dieser Region korrelierten. Die Befallshäufigkeit mit Siphonaptera lag bei 76,8 %, dominierend war ein Vertreter der Gattung Pulex, während Tiamastus cavicola zu 42,4 %, Xenopsylla cheopis zu 15,1 % und Ctenocephalides felis felis zu 3,5 % vorkamen. Flöhe waren in 4 der 5 Bioregionen Perus nachzuweisen, in der Selva konnten auf keinem der untersuchten Meerschweinchen Flöhe gefunden werden. Männliche und weibliche Meerschweinchen waren gleichermaßen mit den verschiedenen Siphonaptera-Spezies befallen, auf weiblichen Meerschweinchen kamen hochsignifikant mehr weibliche Pulex sp. vor als auf männlichen. Es bestand ein hochsignifikanter Zusammenhang zwischen einem Befall mit Siphonaptera und dem Kontakt der Meerschweinchen mit anderen Tierarten (Hunde, Hühnervögel, peridomestische Nagetiere). Mallophagen wurden bei 27,8 % der untersuchten domestizierten Meerschweinchen aus allen Bioregionen nachgewiesen; die am häufigsten festgestellte Spezies war Trimenopon hispidum (60,5 %), gefolgt von Gliricola porcelli (42,7 %) und Gyropus ovalis (7,5 %). Die Befallsintensität mit Mallophagen war bei den Meerschweinchen überwiegend geringgradig. - Auf den wildlebenden Meerschweinchen konnten in Mono- und Polyinfestationen (10 verschiedene Kombinationen mit maximal 5 Arten) folgende Ektoparasiten festgestellt werden: Flöhe: Leptopsylla segnis, Ctenophthalmus hispanicus; Läuse: Polyplax spinulosa, Pterophtirus alata; Haarlinge: Gliricola porcelli; Milben: Eutrombicula bruyanti, Myocoptes musculinus, Myobia musculi. Die Siphonaptera-Spezies Ctenophthalmus hispanicus wurden erstmalig in der Neotropischen Region nachgewiesen. Nur Myobia musculi und Myocoptes musculinus waren bei Tieren aus allen 3 Untersuchungsgebieten anzutreffen. Bei den Meerschweinchen überwogen Infestationen mit Gliricola porcelli, Eutrombicula bruyanti und Myocoptes musculinus, die Befallsintensität mit Myocoptes musculinus korrelierte positiv mit dem Alter der Meerschweinchen. - Bei 67 der 180 untersuchten Meerschweinchenmumien von beiden Fundorten konnten Ektoparasiten nachgewiesen werden. Diese befanden sich, wie auch die Mumien der ehemaligen Wirtstiere, bedingt durch die geologischen und klimatischen Bedingungen in den Fundgebieten in einem ausgezeichneten Erhaltungszustand. Flöhe aus der Gattung Pulex waren die insgesamt am häufigsten festgestellten Ektoparasiten, auf den Mumien von Chiribaya Baja wurden sie ausschließlich gefunden. Meerschweinchenmumien aus El Yaral wiesen Infestationen mit Trimenopon hispidum, Gliricola porcelli, Ornithonyssus sp. und Rhipicephalus sanguineus (Erstnachweis von einem domestizierten Meerschweinchen in natürlicher Infestation) auf. Der erfolgreiche Nachweis der Ektoparasiten auf präinkaischen Meerschweinchenmumien in Peru eröffnet Möglichkeiten für die paläoparasitologische Bearbeitung auch der Mumien von Menschen und weiteren Opfertieren (Hunde, Lamas, Alpakas) aus diesem Kulturkreis. / 7. 1. Summary Investigation about the occurrence of ectoparasites on domesticated and wild guinea pigs (Cavia spp.) and preincaic guinea pig mummies in Peru, South America Dittmar de la Cruz, Katharina Institute of Parasitology. Veterinary Faculty, University of Leipzig (120 pages, 29 tables, 67 figures, 187 references, 3 adnex. ) Between December 1996 and February 1997, February and October 1998 and in May 1999 investigations about the occurrence of ectoparasites on the genus Cavia in Peru were carried out. The survey included 17 421 domesticated guinea pigs (Cavia porcellus) from 14 departments in all bioregions and altitude levels, 143 wild guinea pigs (Cavia aperea) from three areas (El Paramo, Junin and La Raya) in the Andes and the Cordillera and 180 about 1000 year old guinea pig mummies of C. porcellus, ritual offers from the coastal Chiribaya-Culture (archeological sites of Chiribaya Baja and El Yaral) in the South of Peru. The recent domesticated guinea pigs are bred in intensive utilization systems, with concrete stables, in intensive utilization systems with regional-traditional architecture (big reed hutches or adobe stables) or in extensive utilization systems (kitchen or outdoor dips). The identification and mounting of the specimen was done by parasitological standard techniques. In the course of the study a special technique for the preservation and mounting of the fragile ectoparasites from the guinea pig mummies was developed, using acetic acid and a 1 % potassium hydroxide solution. In total 24 ectoparasite species of the siphonaptera, mallophaga, anoplura, mites and reduviids were found in mono- and polyinfestations, the guinea pig mummies also hosted free living arthropods, such as pseudoscorpions and specimen of the Pyroglyphidae (house dust mites). In two cases C. porcellus was reported as first host record, in five cases C. aperea was mentioned for the first time as a host for some ectoparasites, 8 times for several ectoparasites new locality records for Peru or bioregions of Peru could be made 96,6 % of all domesticated guinea pigs (C. porcellus) showed an infestation with ectoparasites in mono- and polyinfestations, revealing 27 different combinations with up to 7 species of ectoparasites: siphonaptera: Pulex sp. (taxonomical status still unclear), Tiamastus cavicola, Ctenocephalides f. felis, Xenopsylla cheopis, Echidnophaga gallinacea; mallophaga: Gliricola porcelli, Trimenopon hispidum, Gyropus ovalis; mites: Ornithonyssus bacoti , Ornithonyssus wernecki, Eutrombicula batatas, Dermanyssus gallinae, Chirodiscoides caviae, Myocoptes musculinus, Notoedres muris; reduviids: Triatoma infestans. The prevalence of O. bacoti, the most frequent species, was 51,7 %. This mite had never been recorded in the bioregion Chala; the presence of the species in the Costa could be explained by a recent purchase out of the other bioregions. A medium to high infestation rate with the tropical rat mite always resulted in obvious skin alterations, of whom 38 % also showed signs of clinical anemia, with pale mucosa and blue ear tips. There was a relation between an infestation with O. bacoti and the contact with rodents as well as an simultaneus infection with dermatophytes (Microsporum caninum and Trichophyton mentagrophytes). In an O.-bacoti-population in the Huancayo region the rate of protonymphs showed a low significant monthly variation, which correlated negative with the monthly rainfall. The prevalence of siphonaptera was 76,8 %, the species most frequently detected was Pulex sp. (89,2 %), followed by T. cavicola (42,4 %), X. cheopis (15,1 %) and C. f. felis (3,5 %). The species of fleas were distributed in 4 of the 5 bioregions; in the Selva no fleas could be found. There was no difference in the infestation rate of male and female hosts, female guinea pigs were infested with a higher rate of female Pulex sp. than male guinea pigs. A highly significant relation between the contact with other mammals (dogs, fowl and peridomestic rodents) and an infestation with siphonaptera could be detected. The prevalence of mallophaga, coming from all bioregions, was 27,8 %; the most frequently detected species was T. hispidum (60,5 %), followed by G. porcelli (42,7 %) and G. ovalis (7,5 %). The infestation levels were generally low.- On the wild guinea pigs (C. aperea) prevailed mono- and polyinfestations, represented by 10 combinations with up to 5 species, with the following species of ectoparasites: siphonaptera: Leptopsylla segnis, Ctenophthalmus hispanicus; anoplura: Polyplax spinulosa, Pterophtirus alata; mallophaga: Gliricola porcelli; mites: Eutrombicula bruyanti, Myocoptes musculinus and Myobia musculi. Ctenophthalmus hispanicus was mentioned for the first time from the Neotropical region. M. musculinus and Myobia musculi were the only species to be found in all three sampling areas. Infestations with G. porcelli, E. bruyanti and M. musculinus were the most common, the infestation rate with Myocoptes musculinus correlated positive with the age of the hosts.- On 67 of 180 guinea pig mummies of both excavation areas (Chiribaya Baja and El Yaral) ectoparasites could be found. The conservation of the ectoparasites, as well as their former hosts was extraordinarily good due to geological and climatical conditions . Fleas of the genus Pulex were the most frequently detected specimen; on the guinea pig mummies of Chiribaya Baja only this species could be found. The mummies from El Yaral revealed the presence of T. hispidum, G. porcelli, Ornithonyssus sp. and Rhipicephalus sanguineus (first record for a natural infestation). The successful detection of ectoparasites on preincaic guinea pig mummies in Peru opens new possibilities for a paleoparasitological survey including also human mummies and other animal offerings (dogs, lamas, alpakas) from this cultural background.
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Chien de la rue, rez dog ou atimu? : la place contemporaine du chien en contexte innu (Ekuanitshit-Mingan, Québec) : ethnohistoire d’un peuple nomade sédentarisé

Bélanger, Pierre-Luc 08 1900 (has links)
L’espace et le quotidien des personnes autochtones vivant dans les communautés au Québec – et plus largement au Canada – sont fortement marqués par la présence des chiens qui s’y promènent librement, pouvant laisser croire qu’ils sont systématiquement errants lorsqu’ils sont observés d’un point de vue extérieur. Ainsi, la cohabitation humain-chien est parfois décrite comme étant problématique et soulève des enjeux de santé et de sécurité publique pour les vétérinaires ou les médias. Bien que plusieurs recherches précédentes aient eu pour objectif de régler les « problèmes de chiens » dans les communautés autochtones, peu d’entre elles ont cherché à comprendre l’émergence de ce phénomène. Ce mémoire tente d’éclairer cet angle mort de la recherche en présentant les résultats d’un terrain ethnographique effectué dans les communautés innues d’Ekuanitshit-Mingan, sur la Côte-Nord du Québec, et – plus brièvement – de Natuashish, au Labrador, à l’été 2022. Ancrée dans une perspective anthropologique, cette étude propose une lecture différente des « problèmes de chiens » en valorisant le point de vue interne des Innus par rapport à l’émergence de ce phénomène dans leur société. En combinant les approches ethnohistorique et ethnoéthologique, cette recherche de nature ethnozoologique propose de parcourir l’histoire de ce groupe autochtone et de comprendre les continuités et les transformations des rapports entre les Innus et leurs chiens entre le nomadisme et la sédentarisation. Les conclusions de ce mémoire permettent de comprendre que les « problèmes de chiens » en contexte innu sont une conséquence indirecte de la colonisation et constituent donc un problème colonial. / The space and daily life of indigenous people living in communities in Quebec – and more broadly in Canada – are strongly marked by the presence of dogs, which roam freely, giving the impression that they are systematically strays when observed from the outside. As a result, human-dog cohabitation is sometimes described as problematic, raising public health and safety issues for veterinarians and the media. While much previous research has focused on resolving “dog problems” in aboriginal communities, little of it has sought to understand the emergence of this phenomenon. This dissertation attempts to shed light on this research blind spot by presenting the results of an ethnographic fieldwork conducted in the Innu communities of Ekuanitshit-Mingan, on Quebec's Côte-Nord, and – more briefly – of Natuashish, in Labrador, during the summer of 2022. Rooted in an anthropological perspective, this study proposes a different reading of “dog problems” by valuing the Innu's own perspective on the emergence of this phenomenon in their society. By combining ethnohistorical and ethnoethological approaches, this ethnozoological research proposes to explore the history of this indigenous group and to understand the continuities and transformations in the relationship between the Innu and their dogs between nomadism and sedentarization. The conclusions of this dissertation allow us to understand that “dog problems” in the Innu context are an indirect consequence of colonization, and therefore constitute a colonial problem.

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