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Les rites de possession chez les Gaddis du Dhaulādhār (Himachal Pradesh, Inde) : spiritualité, guérison, société

Côté, Daniel January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Julian de Norwich, mystique et théologie / Julian of Norwich, mysticism and theology

Billoteau, Elisabeth Emmanuelle 19 December 2014 (has links)
Quelles sont les caractéristiques d’une théologie issue de la mystique ? Telle est la question à laquelle nous tenterons de répondre à partir d’un cas particulier, celui des Showings de Julian de Norwich (XIVe-XVe s.). La version longue de cet opus nous permet d’observer un phénomène d’amplification et d’élaboration qui touche les domaines de l’anthropologie, de la christologie et de la théologie trinitaire. Puisant dans l’expérience vive, le propos théologique de Julian est traversé des affects liés à ce vécu. Julian parle de Dieu en ne cessant de parler à Dieu et en établissant avec ses « semblables dans le Christ » une communauté émotionnelle et noétique. Mais une expérience mystique ne donne pas forcément lieu à une théologie mystique au sens où l’entendent le Pseudo-Denys et Jean Gerson. C’est plutôt à une théologie prophétique et visionnaire que nous avons à faire, qui assume pleinement son caractère partiel, situé. Nous nous trouvons ici à un tournant de l’histoire de la théologie et de la spiritualité qui voit l’émergence de deux domaines séparés, celui de la théologie scolastique ou universitaire et celui de la spiritualité, là où la patristique témoignait d’une profonde unité. Les différentes méthodologies mises en œuvre dans cette recherche sont au service d’une étude qui se situe tout à la fois dans le champ de la théologie et de l’histoire de la spiritualité. / What are the main characteristics of a theology stemming from a mystic experience ? This thesis attempts to answer this question by examining an individual case, that of The Showings of Julian of Norwich (C14th- C15th). The Long Text of this opus enables us to observe a development in the fields of anthropology, Christology and Trinitarian theology. Firmly rooted in her experience of life, Julian’s theological discourse is interwoven with the emotions drawn from that experience. Julian speaks about God in speaking to God and in establishing with her « fellow Christians » an emotional and noetic community. But a mystical experience does not automatically give birth to a mystical theology as understood by Pseudo-Dionysius and Jean Gerson. We are rather in the presence of a prophetical and visionary theology that is fully conscious of its partial, limited, and contextualised nature. We find ourselves at a turning-point in the history of theology and spirituality, which sees the emergence of two separate fields that of scholastic theology and that of spirituality, where previously patristic theology bore witness to a profound unity. The different methodologies used in this research are in the service of a study within two distinct fields : those of theology and the history of spirituality.
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Inscrire l'inconnaissable : anomalies métaphoriques au sein de l'expérience mystique

Sbih, Miriam 09 1900 (has links)
Cette réflexion découle d’un constat simple, mais qui à la fois invoque la réévaluation en profondeur de notre lien à la pensée, au sens et au langage. L’expérience de l’inconnaissable, de tout ce qui n’est pas là, devant nous, demande de se détourner du langage conventionnel, logique et rationnel, afin de pouvoir l’exprimer. Les écrits mystiques, dans leur mise en forme langagière d’un contact direct avec Dieu, constituent un espace foisonnant et exemplaire, afin de réfléchir la pensée. Celle-ci est traversée de toutes parts d’un besoin pressant de dire l’ineffable, par l’entremise d’une inscription langagière qui déroge du sens convenu du monde, des liens communicationnels ordinaires. Cette manière particulière de dire est structurée par la métaphore, cette suspension de la pensée qui appelle à la recréer, à sortir de leur endormissement le sens et la langue cristallisée du quotidien. Ce mémoire se propose donc de penser les modes de l’expression et de concrétisation de l’expérience de l’ineffable, en se penchant sur ce que la métaphore, dans son inscription, permet de connaître, ailleurs que dans le langage discursif. En premier lieu, il s’agira de présenter les modalités générales de l’expérience mystique et ses différentes manières de s’inscrire au sein de l’existence. Je me pencherai plus précisément sur le propre de son inscription métaphorique dans le langage. En deuxième lieu, je voudrai réfléchir théoriquement et pratiquement la métaphore, par-delà le titre réducteur d’ornement ostentatoire que le langage logique lui fait vêtir, niant sa possibilité singulière de propulser la pensée et de créer une connaissance nouvelle. En troisième et dernier lieu, il s’agira d’exemplifier l’inscription métaphorique de l’expérience mystique, à travers deux figures mystiques singulières, soit Simone Weil (1909-1943) et Al-Hallâj (858-922), chez qui la constatation de l’absence matérielle de Dieu invite plutôt à se détacher de sa construction langagière imaginaire, et à l’aimer, dans toute son absence. Cela, en dépouillant le langage, métaphore imitant le mouvement de dépossession de soi qu’appelle leur conception unique de l’extase mystique. / This reflection comes from a simple observation, which at the same time demands that we deeply re-evaluate our relation to thought, meaning and language. In order to be expressed, the experience of the unknowable, of everything not there in front of us, requires a diversion from conventional, rational language. Mystical writings, shaping through language direct contact with God, constitute an abundant and exemplary space to reflect upon thought, which is met with a pressing need to express the ineffable through a kind of linguistic inscription capable of departing from the agreed meanings of the world, from ordinary communicational connections. This particular way of saying is structured by the metaphor, this suspension of thought asking to be recreated, so that language and meaning, crystallized in daily life, may awake from their slumber. Thus, this thesis proposes to reflect upon the modes of expression and concretization of the experience of the ineffable, by examining what knowledge the metaphor, in its inscription, allows to be understood outside discursive language. To begin with, the general modalities of the mystical experience, and the different ways in which it inscribes itself in existence, will be presented. I will consider more precisely its characteristic metaphorical inscription in language. I will then reflect theoretically and practically on the metaphor, beyond the reductive title of ostentatious ornament that rational language gives to it, denying its singular possibility to propel thought and create new forms knowledge. Finally, I will exemplify the metaphorical inscription of the mystical experience through two particular mystical figures: Simone Weil (1909-1943) and Al-Hallâj (858-922), for whom the observation of God’s material absence instead implies detachment from their imaginary linguistic construction and invites to love him in all his absence. This, by stripping down language, a metaphor imitating the movement of the dispossession of self, which is called for by their unique conception of mystical ecstasy.
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Le principe du Féminin chez Ibn ʿArabī (1165-1240) et Carl Gustav Jung (1875-1961) : une analyse comparative

Belgaid, Farid 06 1900 (has links)
Principe spirituel pour Muḥyī al-Dīn Ibn ʿArabī (1165-1240) et archétype universel pour Carl Gustav Jung (1875-1961), le Féminin est au centre de cette recherche où il sera étudié sous l’angle de l’expérience mystique dont il est un médian incontournable. L’accent sera mis surtout sur le rapport entre le Féminin comme principe ou archétype et l’expérience mystique tel qu’ils s’articulent chez nos deux penseurs tant dans leur vécu personnel que sur le plan de leurs élaborations théoriques. Elle consiste, pour éviter tout anachronisme, davantage en un dialogue d’idées qu’une comparaison de la pensée du maitre soufi andalou avec celle du psychanalyste moderne suisse. C’est à ce premier niveau d’analyse, où le Féminin et le Masculin forment une androgynie primordiale, que leurs pensées se rejoignent de manière significative. Les deux penseurs reconnaissant au Féminin en particulier une fonction transcendantale qui s’accomplit à travers une prédisposition à l’établissement d’une relation avec le monde subtil de l’Esprit qui s’enracine soit dans une tradition religieuse donnée, l’islam dans le cas d’Ibn ʿArabī, ou d’une analyse thérapeutique aux allures néanmoins mystiques dans le cas de Jung. L’expérience du Féminin chez nos deux penseurs révèle un rapport différencié quant à la nature et à la forme de l’expérience spirituelle qui est son support d’expression. Leurs conceptions se distinguent aussi sur la question de Dieu (transcendant ou immanent) dont la rencontre est perçue comme la finalité vers laquelle tend la dynamique transformatrice de la personnalité qu’implique ce cheminement initiatique qu’induit la rencontre du Féminin spirituel. Avant de réaliser cette ultime et unificatrice rencontre, il faut d’abord rencontrer et entrer en relation avec ce Féminin comme figure d’une altérité intérieure et extérieure en vue de dépasser le dualisme primaire où les humains sont embourbés tant individuellement que collectivement. C’est sur ce point en particulier que l’étude montre des convergences signifiantes, qui révèlent, d’un côté, le lien transversal qu’il y a entre le soufisme et la psychologie analytique et de l’autre les aspects implicites d‘une psychologie des profondeurs nichant en arrière-plan de la mystique akbarienne. Cette ébauche de dialogue, opérée dans une approche interdisciplinaire, révèle certes des postures épistémologiques très différentes, mais aussi une convergence de vue tacite jusque-là et que la méthode de la phénoménologie herméneutique retenue pour ce travail de maitrise a éclairé d’un nouveau jour. C’est dans cet esprit qu’elle peut ouvrir de nouvelles pistes de réflexion à nos sociétés contemporaines prises avec une crise de sens et de perte de repères identitaires inquiétante. Le sous-bassement de cette crise est une vision dualiste de la femme et de l’homme, et corollairement d’une division binaire entre nature et culture, au lieu de saisir leur nécessaire et paradoxale complémentarité qui doit se réaliser en premier lieu en chaque être humain. / A spiritual principle for Muḥyī al-Dīn Ibn ʿArabī (1165-1240) and a universal archetype for Carl Gustav Jung (1875-1961), the Feminine is at the center of this research, where it will be studied from the perspective of the mystical experience of which it is an inescapable mediator. The emphasis will be on the relationship between the Feminine as a principle or archetype and the mystical experience as articulated by our two thinkers in their personal experience as well as in their theoretical elaborations. It consists, to avoid any anachronism, more of a dialogue of ideas than a comparison of the thought of the Andalusian Sufi master with that of the modern Swiss psychoanalyst. It is at this first level of analysis, where the Feminine and the Masculine form a primordial androgyny that their thoughts meet in a significant way. Both thinkers in fact recognize in the Feminine a transcendental function that is fulfilled through a predisposition to establish a relationship with the subtle world of Spirit that is rooted either in a given religious tradition-Islam in the case of Ibn ʿArabī or of a therapeutic analysis with nonetheless mystical overtones in the case of Jung. The experience of the Feminine in our two thinkers reveals a differentiated relationship as to the nature and form of the spiritual experience that is its medium of expression. Their conceptions also differ on the question of God (transcendent or immanent) whose meeting is perceived as the finality towards which tends the transforming dynamics of the personality that implies this initiatory path that induces the meeting of the spiritual Feminine. Before realizing this ultimate and unifying encounter, one must first meet and relate to this Feminine figure of inner and outer otherness in order to overcome the primary dualism in which humans are mired both individually and collectively. It is on this point in particular that the study shows significant convergences, which reveal, on the one hand, the link between Sufism and analytical psychology; and on the other hand, the "deep psychological" aspects of Akbarian mysticism. This draft dialogue, carried out in an interdisciplinary approach, certainly reveals very different epistemological postures, but also a convergence of views implicit until then and which the method of hermeneutic phenomenology chosen for this master's thesis has shed new light on. It is in this spirit that it can open up new avenues of reflection for our contemporary societies caught up in a disturbing crisis of meaning and loss of identity markers. The underpinning of this crisis is a dualistic vision of woman and man, and consequently of a binary division between nature and culture, instead of grasping their necessary and paradoxical complementarity which must be realized first and foremost in each human being.

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