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Étude exploratoire des activités et des stratégies d'enseignement utilisées en français intensif

Goguillon, Anne-Laure 07 1900 (has links) (PDF)
Avant l'avènement de l'immersion au milieu des années soixante, le seul régime pédagogique en vigueur pour l'apprentissage du français langue seconde, dans les provinces canadiennes, était le français de base. Toutefois, les résultats atteints en français de base n'ont jamais été à la hauteur des attentes des parents, des enseignants et des administrateurs scolaires. C'est ce qui a conduit à la mise sur pied de l'Étude nationale sur les programmes de français de base, qui a abouti à une tentative de réforme du français de base, en y intégrant une dimension communicative dans le cadre d'un curriculum multidimensionnel (LeBlanc, 1990). Toutefois, même ainsi réformé, le français de base ne produit toujours pas les résultats attendus, compte tenu surtout du peu de temps mis à la disposition des élèves qui finissent par développer un certain savoir sur la langue, mais peu d'habileté à communiquer. En immersion, même si les élèves peuvent communiquer en français avec une certaine aisance, il reste qu'ils le font avec très peu de précision linguistique, c'est-à-dire qu'ils commettent beaucoup d'erreurs. C'est en vue de pallier cette double difficulté qu'a été récemment mis sur pied, en 1998, un nouveau type de régime pédagogique : le français intensif. Or, le français intensif repose sur cinq principes fondamentaux. Un de ces principes est que l'apprentissage de la communication implique le développement à la fois de la précision linguistique et de l'aisance à communiquer. Le présent mémoire vise à décrire comment, à l'aide de la grille PRAISANCE développée à cette fin par les concepteurs du français intensif (Germain et Netten), dans quatre classes de français intensif, dans deux provinces différentes, ce dernier principe a été effectivement compris en examinant les activités et les stratégies d'enseignement de ces quatre enseignants en rapport avec le développement de la précision linguistique, de l'aisance à communiquer, ou des deux. Autrement dit, quelles sont les activités et les stratégies d'enseignement utilisées par ces quatre enseignants de français intensif, susceptibles de favoriser le développement soit de la précision, soit de l'aisance, ou des deux? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : français intensif, activité didactique, stratégie d'enseignement, précision linguistique, aisance à communiquer
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Enseigner une langue étrangère à distance : La perspective de l'enseignant du français langue étrangère

Savnäs, Elin Unknown Date (has links)
No description available.
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Enseigner une langue étrangère à distance : La perspective de l'enseignant du français langue étrangère

Savnäs, Elin Unknown Date (has links)
No description available.
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La négation en français au moyen des termes aucun, personne et rien : le point de vue des ouvrages de référence parus entre le XVIe et le XIXe siècle

Gravel-Raymond, Catherine 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur l'évolution de la négation en français entre le XVIe et le XIXe siècle. Plus spécifiquement, il traite de l'utilisation, telle que consignée par les grammaires et dictionnaires de l'époque, des mots aucun, personne, et rien. Il s'agit d'analyser les descriptions, explications et exemples que l'on y trouve à propos du fonctionnement de la négation en français et des expressions dans lesquelles entraient les mots aucun, personne et rien. Entre autres, nous avons voulu vérifier, à travers le discours des grammairiens et lexicographes, si ces expressions ont pu accepter à une certaine époque la présence des marqueurs de négation pas et point, sans mener à une interprétation de double négation. Pour cette étude, un corpus de 67 grammaires et dictionnaires a été constitué. Des extraits relatifs aux mots aucun, personne, rien, pas et point et des extraits relatifs à la négation en général ont ensuite été recueillis dans ces ouvrages de référence. Ces extraits ont ensuite été organisés selon les thèmes qui y étaient abordés en vue de les analyser. Les mots aucun, personne et rien ont d'abord véhiculé une valeur affirmative pour ensuite véhiculer une valeur négative. Cependant, nous verrons que ces mots n'ont pas tous évolué au même rythme. Le corpus constitué permet de suivre l'évolution des constructions syntaxiques dans lesquelles ces mots sont employés, des phrases positives jusqu'aux phrases négatives, en passant par des cas d'emplois interrogatifs et dubitatifs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : XVIe siècle au XIXe siècle, aucun, concordance négative, dictionnaires, grammaires, histoire du français, négation, personne, polarité négative, rien.
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The effects of structure strategy training on the recall of expository prose for university students reading French as a second language

Raymond, Patricia M. January 1990 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les étudiants anglophones à l'Université de Montréal : acquisition du français et son usage dans les études

MacDonald, Jacqueline January 1993 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'autoperfectionnement et les centres locaux d'enseignants : la naissance du Centre d'autoperfectionnement

Bourduas, Hélène January 1991 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Conception d'un répertoire d'expressions conventionnelles du français québécois destiné à l'enseignement du français Lx d'apprenant(e)s adultes

Reid, Florence 26 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 12 octobre 2023) / Dans la ville de Québec, la première langue parlée à la maison est le français dans près de 95% des cas (Gouvernement du Québec, 2022). Sachant que chaque année, un nombre important de nouvelles personnes immigrantes sont accueillies au Québec selon le ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI, 2021), la maîtrise de la langue est cruciale pour l'intégration à la société d'accueil (Calinon, 2009). Pour faciliter le développement de la compétence communicative, la connaissance de groupes de mots ritualisés, prévisibles et attendus de la part des membres d'une même communauté linguistique, est importante (Yorio, 1980). Ces combinaisons ritualisées de mots sont nommées expressions conventionnelles dans la littérature en acquisition des langues, et la recherche a relevé l'importance de ces dernières pour la réussite des interactions quotidiennes dans la langue cible (Lx) (Bardovi-Harlig, 2019a). Toutefois, les expressions conventionnelles répertoriées en français (Beaulieu et al., 2022 ; Edmonds, 2010a) ne sont pas entièrement arrimées à des situations de communication vécues par des nouveaux(-velles) arrivant(e)s s'établissant au Québec. Pour combler cette lacune, cette recherche vise à créer un répertoire d'expressions conventionnelles du français québécois (FQ) langue première (L1) qui reflète le contenu du niveau 4 du Programme d'études Francisation du ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEES, 2015) et qui répond aux besoins réels d'apprenant(e)s de français Lx. Pour ce faire, un questionnaire discursif oral, constitué de 31 scénarios du quotidien inspirés du Programme du MEES (2015), a été conçu. Ce sont 79 personnes d'âges et de milieux variés dont le FQ est la L1 qui ont répondu au questionnaire discursif oral. Les données ont été transcrites, puis analysées par actes de parole et par stratégies de conversation, grâce à six méthodes d'analyse de données (dont deux créées), ainsi qu'aux cinq critères d'identification des expressions conventionnelles de Bardovi-Harlig (2009). Les données de notre échantillon ont relevé 28 expressions conventionnelles du FQ L1, ces dernières constituant le répertoire d'expressions conventionnelles. À la lumière des expressions recensées, des pistes méthodologiques et didactiques ont été proposées.
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Étude de la prononciation d'apprenant(e)s du français : que travailler en classe pour améliorer la compréhensibilité ?

Côté, Benjamin 13 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 juin 2023) / Depuis l'étude de Munro et Derwing (1995), qui a mis en lumière les relations qu'entretiennent la compréhensibilité, l'intelligibilité et l'accent perçu entre eux, plusieurs chercheuses et chercheurs se sont intéressé(e)s à découvrir les éléments linguistiques les plus contributoires à une meilleure compréhensibilité dans une langue additionnelle (Lx) afin que l'on accorde plus de temps en classe à ces éléments qu'à ceux n'ayant que peu d'impact. Cependant, peu de recherches se sont réalisées en d'autres langues que l'anglais. La présente recherche s'inspire en partie des travaux de Munro et Derwing (2006) et de Suzukida et Saito (2019), mais aussi de ceux de Brown (1988), afin d'identifier les écarts de prononciation en français Lx qui nuisent le plus à la compréhensibilité et d'établir quelques priorités pour l'enseignement de la prononciation. Le deuxième objectif principal est d'explorer les effets de la fréquence syllabique des syllabes du français sur la production d'erreurs chez des apprenant(e)s du français et aussi sa possible relation avec la compréhensibilité. Pour y arriver, les données de deux corpus ont été utilisées : le corpus d'extraits de parole d'apprenant(e)s du français de Beaulieu et al. (2021) et la banque de données d'unités sublexicales du français québécois SyllabO+ de Bédard et al. (2017). Nos données montrent l'importance de travailler les voyelles antérieures arrondies et les nasales auprès d'apprenant(e)s du français et que la confusion de certaines oppositions phonologiques neutralisables dans d'autres variétés de français n'a pas d'impact sur la compréhensibilité. Nous apportons quelques commentaires critiques sur la façon d'étudier la relation entre le rendement fonctionnel d'une opposition phonologique et l'impact de sa confusion sur la compréhensibilité. Enfin, nos résultats suggèrent que les syllabes dont la fréquence est faible sont plus l'objet d'écarts de prononciation. / Since Munro and Derwing (1995) study, which shed light on the relationships between comprehensibility, intelligibility and accentedness, several researchers have been interested in identifying the linguistic dimensions that contribute the most to better comprehensibility in an additionnal language (Lx) so that more time in class is allocated to these dimensions rather than to those having little impact. However, little research has been done in languages other than English. This research is partly inspired by the work of Munro and Derwing (2006) and Suzukida and Saito (2019), but also by that of Brown (1988), in order to identify the pronunciation mistakes in French as Lx that affect the comprehensibility and to establish some priorities for teaching pronunciation. The second main objective is to explore the effects of the syllabic frequency of French syllables on the production of mistakes in French learners and also its possible relationship with comprehensibility. To achieve this, data from two corpora were used: Beaulieu et al.'s (2021) corpus of speech extracts from French learners and Bédard et al.'s (2017) SyllabO+ database of Québec French sublexical units. Our data shows the importance of working on rounded front vowels and nasals with learners of French and that the confusion of certain phonological contrasts that can be neutralized in other varieties of French has no impact on the comprehensibility. We provide critical comments on how to study the relationship between the functional load of a phonological contrast and the impact of its confusion on comprehensibility. Finally, our results suggest that syllables with a low frequency are more subject to pronunciation mistakes.
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Phénomènes d'interface, stades d'acquisition et variabilité : explications en termes de degrés de complexité computationnelle

Mercier, Steeve 17 April 2018 (has links)
Cette étude suggère que ce n'est pas les interfaces en général qui causent des difficultés en acquisition d'une L2, mais la complexité computationnelle qui leur est inhérente et qui provoque un important fardeau sur la mémoire de travail. Lorsque les apprenants ne peuvent gérer cette complexité, les comportements non cibles (ex. omission, transfert, surgénéralisation, variabilité) découlent de considérations computationnelles forçant naturellement des options structurelles plus économiques (O'Grady et al., 2009). L'acquisition des clitiques accusatifs du français le et me par des apprenants japonophones adultes a été examinée. Ces clitiques impliquent deux interfaces qui peuvent être étudiées en parallèle - syntaxe/phonologie, syntaxe/pragmatique - et leurs propriétés multimodulaires sont absentes en japonais : la catégorie SCAcc (en syntaxe); le segment IV, plus deux propriétés phonotactiques (en phonologie); le statut [+ argumentai] de la catégorie Temps, qui ne permet pas l'omission de l'objet même si le contexte identifie les referents (en pragmatique). Notre hypothèse principale est que les apprenants vont acquérir la syntaxe des clitiques avant qu'ils ne puissent en maîtriser les propriétés aux interfaces. La raison est que le traitement des interfaces, avec leurs propriétés multimodulaires, implique un travail computationnel accru par rapport au traitement de la syntaxe seule (Sorace, 2006). Les résultats, provenant de cinq tâches administrées à 15 apprenants débutants, 15 intermédiaires, 15 avancés et à 15 locuteurs natifs, confirment notre hypothèse : les intermédiaires, qui ont acquis la syntaxe des clitiques en raison de leurs jugements grammaticaux cibles (comme ceux des natifs), ne peuvent toujours pas intégrer en parallèle les propriétés des clitiques lors de tâches de production induite écrite (ciblant l'interface syntaxe/pragmatique) et orale (ciblant en particulier l'interface syntaxe/phonologie). Leurs résultats moyens à ces tâches, soit 46,8% et 45,6%, sont significativement inférieurs à ceux des locuteurs natifs, lesquels atteignent 87,4% et 88,9%. En fait, ce n'est qu'à partir du niveau avancé que les apprenants sont en mesure de gérer les coûts de traitement des interfaces syntaxe/phonologie et syntaxe/pragmatique. Une analyse plus fine à partir de tâches de perception et de répétition révèle cependant que, contrairement aux natifs, les avancés (tout comme pour les débutants et les intermédiaires) ont d'importantes difficultés avec la phonologie cible, particulièrement avec le phonème /1/ du clitique le.

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