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Les corrélats prosodiques et segmentaux de la parole souriante en français québécois

Émond, Caroline January 2008 (has links) (PDF)
Le sourire est un comportement universel, inné, une expression associée spontanément à des émotions positives. Le but de ce travail est de décrire les corrélats prosodiques et segmentaux de la parole souriante en français québécois. La méthodologie utilisée a consisté, dans un premier temps, en l'enregistrement de quatre locutrices et de quatre locuteurs. Afin de susciter la parole souriante, des caricatures parues dans La Presse, Le Devoir et Le Soleil ont été utilisées. Puis dans un deuxième temps, un test de perception auquel quinze auditrices et quinze auditeurs ont pris part a été créé. Les énoncés perçus comme souriants par la majorité des participants ont constitué le corpus final de l'analyse prosodique et segmentale. Des mesures de Fo, de durée, d'intensité ont été extraites, de même que des mesures de F₁ et de F₂ pour les voyelles [i, y, u, e, o, a] afin d'évaluer l'impact du sourire sur le trapèze acoustique. En raison des variations intra et interindividuelles importantes, l'hétérogénéité des résultats obtenus ne permet pas d'identifier de structures prosodiques ou segmentales propres à la parole souriante. Cependant, la perception de celle-ci varie en fonction du sexe du locuteur et du sexe de l'auditeur. Globalement, les femmes, en plus de percevoir plus d'énoncés souriants que les hommes, sont perçues plus souriantes que ces derniers. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Prosodie, Intonation, Émotions, Rire, Sourire, Parole souriante, Acoustique.
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Description du lexique appartenant au vernaculaire des jeunes adultes de 17 à 25 ans habitant dans les quartiers est de Montréal

L'Abbé, Fannie January 2006 (has links) (PDF)
Le langage des jeunes est très vivant et se renouvelle constamment. Nous avons tenté dans ce mémoire de décrire le lexique appartenant au vernaculaire des jeunes adultes âgés de 17 à 25 ans habitant dans la partie Est de Montréal. Il s'agit d'une étude qualitative et descriptive du lexique favorisé dans les situations informelles de la vie, soit à l'extérieur des cours et du cadre de travail. Afin de réaliser cette étude, nous avons consulté différentes études antérieures effectuées en France et au Québec concernant les jeunes, leur comportement et leur langage. Nous avons conclu qu'en France, le phénomène linguistique des jeunes avait suscité l'intérêt de plusieurs chercheurs, mais qu'au Québec, très peu d'études portaient sur le sujet. Il nous semblait donc pertinent d'observer et de décrire le lexique appartenant au vernaculaire des jeunes adultes francophones afin de déterminer la nature et la forme des expressions et des mots qui le composaient. Nous cherchions aussi à savoir si les jeunes utilisaient un langage codé ou non et si les mots qu'ils utilisaient ou créaient se retrouvaient dans les ouvrages de référence que nous avons sélectionnés. Afin de recueillir nos données, nous avons procédé à différentes entrevues et vérifications. Toutes les données recueillies qui ne figuraient pas dans Le Petit Robert (1996) ou qui avaient un changement de sens ont été conservées et définies dans un lexique que nous avons construit. Il s'avère que le langage des jeunes est très vivant, ce qui rend son étude complexe et la liste des données non-exhaustive. Nous entendons chaque jour des expressions qui ne figurent pas dans le lexique et qui mériteraient que l'on s'y attarde. Toutefois, dans le cadre de ce mémoire, nous nous sommes limitée aux expressions produites lors des entrevues. Nous avons pu observer que les jeunes empruntaient beaucoup de mots à l'anglais et à l'argot français et qu'ils utilisaient aussi beaucoup de mots qui n'apparaissaient pas dans les ouvrages de références que nous avions sélectionnés. Nous présentons dans ce mémoire l'ensemble des données et des explications que nous avons recueillies. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Langage, Jeunes, Français, Montréal, Informel, Vernaculaire.
3

Le lexique en français du Québec des manuels québécois

Salazar Robles, Edith January 2008 (has links) (PDF)
La présente recherche visait surtout à répondre à la question suivante: les manuels de langue seconde édités au Québec utilisent-ils un lexique qui correspond au français québécois? Comme suite à cette question, deux autres sous-questions émergent: dans quelle proportion utilise-t-on un lexique du français québécois dans les manuels de langue seconde pour les adultes édités au Québec? Les termes ou expressions retenus en français du Québec (FQ) peuvent-ils être regroupés selon des thèmes spécifiques? Pour ce faire, nous avons traité des sujets comme la variation linguistique, plus spécifiquement la variation géographique du français. Nous avons aussi décrit ce que nous entendons par FQ et français de France (FF). Pour ce qui est des manuels, nous avons défini le concept et parlé de ses fonctions. Nous avons aussi mentionné quelques études dont les manuels sont à la base. Afin de répondre à notre question principale de recherche nous avons analysé cinq manuels destinés aux adultes de français langue seconde édités au Québec. Quant à notre analyse, nous avons repéré du lexique et l'avons classifié. Pour le repérage et la classification, nous avons utilisé la méthode de Pitois (1997) comme point de départ, pour ensuite la compléter avec le Petit Robert et le Dictionnaire québécois français. Comme résultat, nous avons trouvé que le français québécois est plus utilisé dans les manuels analysés, bien que, le français de France n'y soit pas complètement absent. Nous avons également repéré que lorsqu'on parlait de l'alimentation, des vêtements, des moyens de transport, de la « nouvelle » technologie et de la féminisation des professions, le français québécois prédominait. Les résultats nous ont permis de voir que la variation géographique et l'aspect culturel de la langue sont énormément liés. Il est aussi important de signaler que la présente étude a mis en évidence voir que les étudiants qui suivent des cours dans les écoles participantes sont en train de se préparer davantage à se familiariser, comprendre et utiliser le lexique du français d'ici. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Français de France, Français du Québec, Lexique, Manuels, Variation linguistique.
4

Le rôle de la vision dans la perception et la production de la parole : étude des voyelles orales du français québécois produites et perçues par des adultes voyants et aveugles

Dupont, Sophie January 2006 (has links) (PDF)
La vue des articulateurs que sont notamment la mâchoire et les lèvres, sans indice acoustique, permet de reconnaître bon nombre de phonèmes et dénote l'importance de la vision dans la perception de la parole. Plusieurs travaux ont par ailleurs mis en exergue le lien étroit unissant perception et production de la parole. La cécité constitue un paradigme de recherche privilégié pour étudier le rôle de la vision dans ces mécanismes de la parole. Nous avons donc choisi d'étudier la perception auditive et les caractéristiques acoustiques des productions des 11 voyelles orales du français québécois [i y u e ø o ε œ ɔ a α] en position tenue isolée de 6 adultes présentant une cécité totale et congénitale et de 6 adultes non-voyants. Une étude exploratoire du mouvement anticipatoire de constriction des lèvres lors de la production de séquences [iCny] a également été menée auprès de 2 sujets par groupe. Nos objectifs ont consisté à décrire acoustiquement la perception des traits d'aperture, de lieu d'articulation et d'arrondissement des voyelles par les participants, à présenter l'organisation articulatori-acoustique et acoustico-auditive des voyelles qu'ils ont produites et à détailler le décours temporel de leur coarticulation labiale anticipante. Notre méthodologie a impliqué des tests d'identification et de discrimination de voyelles synthétisées, des enregistrements acoustiques de productions de voyelles en position tenue isolée dans 2 conditions (en présence de bruit blanc de façon à réduire la rétroaction auditive, et en condition normale, sans bruit perturbateur) et des enregistrements audio-visuels de données géométriques des lèvres. Nous n'avons pas pu observer de différences majeures entre les deux groupes de sujets. Par contre, des tendances ont pu être observées lors de la description de leur perception; pour certains contrastes d'aperture, les sujets aveugles ont présenté des frontières catégorielles de moindre valeur, des pentes Probit généralement inférieures et des pics de discrimination supérieurs. Beaucoup de variabilité inter-individuelle a été observée dans les productions des sujets, mais peu de différences inter-groupes ont été observées. De façon générale, l'AVS des sujets aveugles était inférieur à celui des voyants et ce, dans les deux conditions de bruit. Les données géométriques des lèvres des deux groupes de sujets concordent bien avec les principes établis du Modèle d'expansion du mouvement relatif à la planification motrice de la constriction labiale; les sujets aveugles présentent cependant des pentes légèrement plus faibles que celles des sujets voyants. Des recherches doivent être poursuivies auprès des populations enfant et adulte, voyante et aveugle, afin de mettre en lumière de façon plus précise le rôle de la vision dans les mécanismes de production et de perception de la parole. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Vision, Cécité, Perception de la parole, Production de la parole, Acoustique, Articulatoire, Voyelles, Coarticulation.
5

Compréhension orale de variantes linguistiques des registres de langue du français québécois chez des allophones adultes en francisation

Boucher, Krystel 01 1900 (has links) (PDF)
Depuis 1968, le Ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles (MICC) offre des cours de francisation pour les nouveaux immigrants allophones adultes. Ce programme a pour objectif « d'acquérir à la fois la maitrise de la langue et la connaissance des codes culturels et de communiquer efficacement à travers différentes situations de la vie quotidienne » (PGIL, 1992, p. 1). Cependant, les responsables œuvrant dans le domaine de la francisation et les étudiants immigrants allophones affirment, dans le cadre d'études qualitatives, que ces derniers, au terme du programme de francisation de 990 heures, ne sont pas aptes à communiquer de façon satisfaisante à travers plusieurs situations de communication de la vie courante. Ce mémoire s'est donc penché sur la compréhension orale des variantes linguistiques du parler du français québécois. Quarante-deux apprenants adultes immigrants âgés en moyenne de 33 ans et provenant de groupes de classe de l'école MICC-UQAM ont participé à l'étude. Ils devaient écouter un dialogue de registre neutre, basé sur les grammaires de l'écrit, un dialogue de registre familier, basé sur un le français québécois parlé spontanément, et répondre ensuite à un questionnaire à choix multiples. Le nombre de bonnes réponses ont été compilé suivi d'un T-test comparant les moyennes de la compréhension orale des registres neutre versus familier. Il a été observé que le taux de réussite de la compréhension orale du registre familier est significativement inférieur à celui du registre neutre. De plus, puisque le débit a été contrôlé dans ces évaluations, il y a de fortes chances que cette compréhension orale diminue dans une situation de communication naturelle. Dans un autre ordre d'idées, l'étude montre que lorsqu' il y a peu de variantes linguistiques dans un discours oral, la compréhension orale n'est pas affectée chez les sujets. À l'inverse, lorsque plusieurs variantes linguistiques sont présentes dans un discours oral, la compréhension est affectée. Il semble aussi que le type (la nature) des variantes linguistiques joue un rôle prédominant dans la compréhension orale. Les résultats quantitatifs de cette recherche viennent appuyer les résultats qualitatifs d'études précédentes. Il semble qu'au terme de la formation en francisation, les étudiants n'ont atteint que partiellement l'objectif « d'acquérir à la fois la maitrise de la langue et la connaissance des codes culturels et de communiquer efficacement à travers différentes situations de la vie quotidienne » (PGIL, 1992, p. 1). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : compréhension orale, registre de langue, variation linguistique, français langue seconde
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"Le point" sur la norme grammaticale du français québécois oral

Bigot, Davy January 2008 (has links) (PDF)
Dans un de ses nombreux documents, le Conseil de la langue française (CLF, 1990) soulignait l'importance de décrire le français standard du Québec. Sur le plan de la prononciation, plusieurs études ont été réalisées et celles-ci démontrent qu'il existe effectivement un modèle standard québécois (Cox, 1998; Reinke, 2005). Sur le plan lexical, de nombreux ouvrages dictionnairiques ont aussi été publiés (Boulanger et Rey, 1992; Meney, 1999 et plus récemment de Villers, 2003), mais ils ont fait l'objet de diverses critiques. Bien que le débat du dictionnaire québécois soit loin d'être clos (le projet Francus, en cours d'élaboration, est déjà condamné par certains linguistes comme Meney (2005)), on peut néanmoins considérer que la norme lexicale du français québécois est, à défaut d'être fixée, relativement bien documentée. Concernant la grammaire, ou plus précisément la morphosyntaxe, il en est tout autrement. En effet, la grammaire du français québécois standard à l'oral n'a, jusqu'à présent, bénéficié que d'un intérêt relativement limité. Selon Cajolet-Laganière et Martel (1995) et Lepicq et Bourhis (1995), il existerait une norme québécoise qui n'est ni basée sur un français populaire québécois, ni sur la norme du français de France. Barbaud (1998a; 1998b) pose le problème de la norme grammaticale du français québécois et y répond en postulant que l'élite québécoise, détentrice de la norme linguistique, utilise à l'oral des structures syntaxiques beaucoup trop divergentes (structures empruntées aussi bien au français québécois populaire qu'au français international) pour pouvoir élaborer une norme du français québécois. Beaucoup plus récemment, Corbeil (2007, p. 320) déclarait, sans en fournir la preuve, que « [...] l'écart entre la morphologie et la syntaxe de la langue parlée au Québec et la norme de la langue écrite est variable. L'écart est pour ainsi dire nul en langue parlée soignée. » À l'heure actuelle, il n'existe encore aucune description de cette norme grammaticale du français québécois oral (la langue orale soignée) basée sur l'examen d'un corpus sociolinguistique. Il est donc difficile de vérifier la justesse de ces nombreuses affirmations. Nous nous proposons, dans le cadre de cette étude, d'examiner quatorze variables linguistiques dans un corpus de cent dix locuteurs faisant partie de l'élite sociale et culturelle du Québec, placés en contexte formel de communication. Nous démontrons, qu'en général, le parler soigné de l'élite sociale et culturelle québécoise en situation de communication formelle n'est pas très éloigné du français 'standard', tel que décrit par les grammaires comme le Bon usage de Grevisse-Goosse, a contrario de la position de Barbaud (1998a ; 1998b). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sociolinguistique, Linguistique variationniste, Grammaire, Français québécois oral.
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La déculturation de la langue : le cas du français au Québec

Breault, Laurent 04 1900 (has links) (PDF)
Le 18e siècle marque le début d'un changement majeur dans l'organisation des sociétés. La Révolution démocratique a eu pour effet de substituer le principe d'autonomie sociale à la transcendance divine d'autrefois. Autrement dit, la légitimité du pouvoir ne part plus d'en haut, de l'élite de droit divin, mais d'en bas, des individus. Ce nouveau principe fondateur s'impose encore aujourd'hui. Il entretient notamment une redéfinition de la notion de culture, afin de l'évider de toute détermination qui viendrait contraindre le sujet social autonome. Désormais, la culture ne répond plus à une exigence de la transcendance, mais à celle d'une conception matérialiste. Par le fait même, elle n'exige plus la conformité des individus à sa transmission, au contraire, ceux-ci l'instrumentalisent selon les nécessités sociales. La recherche porte sur les causes et les effets du développement de la démocratie sur un objet culturel particulier, la langue. Elle ne se comprend plus comme l'expression du génie d'un peuple ou d'une culture, mais uniquement en termes de statistiques et de relations intersubjectives. Il existe actuellement une déculturation par une individualisation de la langue. Précisément, ce mémoire présente la mise en place de cette déculturation à partir d'un cas précis, la langue française au Québec. Cette dernière semble être devenue un objet culturel parmi d'autres depuis son procès à l'intérêt individuel. Sa défense ne se fait plus inconditionnellement, elle ne soulève plus les foules. Par conséquent, cette déculturation de la langue fragilise de plus en plus le projet de faire société en français au Québec. Pourquoi pérenniser le français si l'anglais est meilleur gage de réussite individuelle? Enfin, ce mémoire tente de comprendre précisément la déculturation de la langue française au Québec et son lien avec le projet d'autonomisation des sociétés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : langue, culture, français, formation, contractualisme, individualisme, sociologie compréhensive, Québec, Canada, Camille Laurin, Gérald Larose, Gérard Bouchard, Charles Taylor.

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