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1

Le lexique en français du Québec des manuels québécois

Salazar Robles, Edith January 2008 (has links) (PDF)
La présente recherche visait surtout à répondre à la question suivante: les manuels de langue seconde édités au Québec utilisent-ils un lexique qui correspond au français québécois? Comme suite à cette question, deux autres sous-questions émergent: dans quelle proportion utilise-t-on un lexique du français québécois dans les manuels de langue seconde pour les adultes édités au Québec? Les termes ou expressions retenus en français du Québec (FQ) peuvent-ils être regroupés selon des thèmes spécifiques? Pour ce faire, nous avons traité des sujets comme la variation linguistique, plus spécifiquement la variation géographique du français. Nous avons aussi décrit ce que nous entendons par FQ et français de France (FF). Pour ce qui est des manuels, nous avons défini le concept et parlé de ses fonctions. Nous avons aussi mentionné quelques études dont les manuels sont à la base. Afin de répondre à notre question principale de recherche nous avons analysé cinq manuels destinés aux adultes de français langue seconde édités au Québec. Quant à notre analyse, nous avons repéré du lexique et l'avons classifié. Pour le repérage et la classification, nous avons utilisé la méthode de Pitois (1997) comme point de départ, pour ensuite la compléter avec le Petit Robert et le Dictionnaire québécois français. Comme résultat, nous avons trouvé que le français québécois est plus utilisé dans les manuels analysés, bien que, le français de France n'y soit pas complètement absent. Nous avons également repéré que lorsqu'on parlait de l'alimentation, des vêtements, des moyens de transport, de la « nouvelle » technologie et de la féminisation des professions, le français québécois prédominait. Les résultats nous ont permis de voir que la variation géographique et l'aspect culturel de la langue sont énormément liés. Il est aussi important de signaler que la présente étude a mis en évidence voir que les étudiants qui suivent des cours dans les écoles participantes sont en train de se préparer davantage à se familiariser, comprendre et utiliser le lexique du français d'ici. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Français de France, Français du Québec, Lexique, Manuels, Variation linguistique.
2

Une analyse des discours sur la francophonie dans la revue Le français dans le monde (1995-2007)

Rathé, Anita January 2009 (has links) (PDF)
Le but de cette recherche est de mettre en lumière les différentes facettes de la francophonie, en lien avec ses modalités d'intégration en enseignement du français langue étrangère (FLE) et du français langue seconde (FLS), telles qu'elles sont présentées dans une revue de diffusion mondiale destinée aux enseignants. Comment y aborde-t-on la francophonie, tant dans son ouverture sur les littératures francophones que dans la variation linguistique? Pour répondre à cette question, nous avons choisi d'étudier la revue Le français dans le monde (FDLM) et ses suppléments sur une période déterminante au point de vue de l'évolution de la notion de francophonie, soit de 1995 à 2007. Notre étude est réalisée à partir d'une analyse de contenu. La grille d'analyse que nous avons mise au point a servi à recueillir les passages clés concernant les réalités géopolitique et sociolinguistique de la francophonie. De plus, cet outil nous a permis de recueillir les données concernant les littératures francophones, leur répartition géographique et la proportion de la revue qui leur est consacrée. Durant la période 1995-1998, la revue FDLM présente un contenu traditionnellement centré sur la France, alors qu'elle réserve le contenu francophone à son supplément Diagonales (qui cessera de paraître fin 1998). Au cours de la période 1999-2007, le FDLM ouvre ses sections Culture et Société (cinéma, littérature, musique, mode de vie...) à la francophonie. Nous avons constaté une ouverture décisive aux littératures francophones à partir de 1999, tant par les comptes rendus d'ouvrages littéraires que par des articles et dossiers s'intéressant à l'enseignement des littératures francophones. La francophonie institutionnelle teinte la revue de multiples façons. Par rapport à la mondialisation, le FDLM met la Francophonie de l'avant comme acteur essentiel dans la lutte pour la diversité culturelle et le plurilinguisme. À partir de 2001 paraît le supplément Francophonies du Sud, financé par l'Organisation Internationale de la Francophonie. Le continent africain y reçoit une attention particulière sous différents aspects: considérations historiques, diversité des statuts de la langue, représentations culturelles. Il ressort de notre travail que la revue a évolué vers une volonté manifeste de sortir du franco-centrisme et a adopté une conception ouverte sur différents horizons francophones. De plus, tant la revue principale que ses suppléments réussissent généralement à éviter le subterfuge des généralités et à minimiser les pièges de la folklorisation. Il est intéressant de noter à ce propos que la revue comble un décalage et fait figure de relais entre la recherche et les enseignants, car les littératures francophones sont peu présentes dans les manuels et rarement abordées dans la formation initiale des enseignants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Francophonie, Français langue seconde, Français langue étrangère, Littératures francophones.
3

Modèles linguistiques et variations diatopiques : attitudes et représentations des enseignants face à la pluricentricité normative en classe d'espagnol langue étrangère

Guajardo, Martin Gaston January 2009 (has links) (PDF)
Le but de la présente étude est d'analyser la problématique du modèle linguistique et de la pluricentricité normative dans l'enseignement/apprentissage de l'espagnol langue étrangère à Montréal. Nous nous sommes proposé de dresser un portrait des attitudes et des représentations des enseignants d'ELE par rapport à la norme linguistique utilisée comme langue de référence en salle de classe, au matériel didactique utilisé et aux démarches pédagogiques privilégiées dans la prise en compte de la variation linguistique. Un dernier volet de la recherche s'est intéressé à la formation des professeurs aux outils conceptuels d'une approche plurinormaliste de l'enseignement de l'espagnol. Nos modèles de départ ont été les analyses de Liceras, Carballo et Droege (1994), Bugel (1999), Beaven (2000), Barrios (2002), Anadón Pérez (2003) et Irala (2004) sur les avis des enseignants d'espagnol à l'égard du traitement didactique des variétés hispano-américaines. De façon générale, l'analyse a permis de constater que les professeurs d'espagnol manifestent une attitude d'ouverture envers les variétés diatopiques hispano-américaines. Ils semblent vouloir inscrire leurs démarches pédagogiques dans une perspective résolument pan-hispanique qui tient compte de la diversité qui caractérise la langue espagnole. L'origine hispano-américaine de la presque totalité des participants et la sympathie que les apprenants québécois portent à l'Amérique latine jouent certainement un rôle considérable dans la valorisation et la promotion d'une telle approche. Par ailleurs, nous avons remarqué un intérêt accru de la part des participants pour la prise en compte de la variation dans l'enseignement. Dans les pratiques pédagogiques, cette approche se traduit par une démarche flexible et adaptée aux besoins de la classe. Sur les plans phonétique et syntaxique, nos répondants restent attachés à leurs variétés natales. Cependant, leurs positions sont moins tranchées en ce qui concerne le plan lexical, car même s'ils affirment s'en tenir à une langue neutre et aseptisée, l'enseignement du vocabulaire reste largement tributaire du lexique de référence ibérique proposé par les manuels espagnols, lesquels sont suivis de près par la moitié de nos répondants. Par ailleurs, les enseignants expriment une certaine insatisfaction en ce qui concerne la représentation de la diversité linguistique hispanique dans le matériel pédagogique existant. Finalement, l'étude a révélé que les professeurs d'espagnol souhaitent recevoir une formation didactique plus complète et intégrée qui dépasse de loin la seule question du modèle de référence linguistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Espagnol (langue), Norme, Langue standard, Didactique, Manuels, Variation linguistique.
4

Compréhension orale de variantes linguistiques des registres de langue du français québécois chez des allophones adultes en francisation

Boucher, Krystel 01 1900 (has links) (PDF)
Depuis 1968, le Ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles (MICC) offre des cours de francisation pour les nouveaux immigrants allophones adultes. Ce programme a pour objectif « d'acquérir à la fois la maitrise de la langue et la connaissance des codes culturels et de communiquer efficacement à travers différentes situations de la vie quotidienne » (PGIL, 1992, p. 1). Cependant, les responsables œuvrant dans le domaine de la francisation et les étudiants immigrants allophones affirment, dans le cadre d'études qualitatives, que ces derniers, au terme du programme de francisation de 990 heures, ne sont pas aptes à communiquer de façon satisfaisante à travers plusieurs situations de communication de la vie courante. Ce mémoire s'est donc penché sur la compréhension orale des variantes linguistiques du parler du français québécois. Quarante-deux apprenants adultes immigrants âgés en moyenne de 33 ans et provenant de groupes de classe de l'école MICC-UQAM ont participé à l'étude. Ils devaient écouter un dialogue de registre neutre, basé sur les grammaires de l'écrit, un dialogue de registre familier, basé sur un le français québécois parlé spontanément, et répondre ensuite à un questionnaire à choix multiples. Le nombre de bonnes réponses ont été compilé suivi d'un T-test comparant les moyennes de la compréhension orale des registres neutre versus familier. Il a été observé que le taux de réussite de la compréhension orale du registre familier est significativement inférieur à celui du registre neutre. De plus, puisque le débit a été contrôlé dans ces évaluations, il y a de fortes chances que cette compréhension orale diminue dans une situation de communication naturelle. Dans un autre ordre d'idées, l'étude montre que lorsqu' il y a peu de variantes linguistiques dans un discours oral, la compréhension orale n'est pas affectée chez les sujets. À l'inverse, lorsque plusieurs variantes linguistiques sont présentes dans un discours oral, la compréhension est affectée. Il semble aussi que le type (la nature) des variantes linguistiques joue un rôle prédominant dans la compréhension orale. Les résultats quantitatifs de cette recherche viennent appuyer les résultats qualitatifs d'études précédentes. Il semble qu'au terme de la formation en francisation, les étudiants n'ont atteint que partiellement l'objectif « d'acquérir à la fois la maitrise de la langue et la connaissance des codes culturels et de communiquer efficacement à travers différentes situations de la vie quotidienne » (PGIL, 1992, p. 1). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : compréhension orale, registre de langue, variation linguistique, français langue seconde
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La compréhension orale des registres standard et familier chez des apprenants adultes en francisation de la région de Montréal

Picard, Geneviève 07 1900 (has links) (PDF)
Dans le cadre de ce mémoire, nous avons vérifié si des apprenants adultes en francisation comprenaient mieux des dialogues en langue standard que des dialogues en langue familière. En outre, nous avons vérifié si les apprenants adultes en francisation des niveaux supérieurs comprenaient mieux les dialogues en langue standard et en langue familière que les apprenants adultes en francisation des niveaux inférieurs. Enfin, nous avons vérifié si des éléments de la langue standard et de la langue familière ont entravé la compréhension orale de ces mêmes apprenants et, le cas échéant, les avons identifiés. Pour effectuer ces vérifications, nous avons créé un test de compréhension orale sous forme de documents sonores comprenant des dialogues en langue standard et en langue familière, accompagné d'un questionnaire à choix multiples. Nous avons fait passer ce test à 45 apprenants adultes en francisation des niveaux intermédiaires et avancés d'une école d'une commission scolaire de Montréal. Afin de vérifier et d'identifier si des éléments avaient entravé la compréhension orale, nous avons effectué des entrevues semi-dirigées auprès de dix étudiants. Avant de procéder à l'expérimentation, une étude-pilote a été menée afin de valider nos instruments de collecte de données. Cette expérimentation nous a permis d'apprendre que les étudiants des niveaux quatre, cinq et six comprenaient de façon significativement plus importante le registre standard que le registre familier. Toutefois, bien que les résultats des étudiants du niveau sept démontrent une meilleure compréhension du registre standard, cette différence ne s'est pas révélée significative. Par ailleurs, il semble que plus les étudiants avancent en formation, plus leur compréhension du registre familier s'améliore, contrairement à celle du registre standard. De plus, il semble que ce soient plutôt des variables d'ordre général qui aient entravé la compréhension du registre standard. Cependant, en plus des difficultés d'ordre général, la compréhension orale du registre familier a aussi été entravée par la compréhension et la reconnaissance du vocabulaire propre au registre familier de même que par les structures et les caractéristiques phonologiques propres à ce même registre. Au terme de notre expérimentation, nous sommes en mesure de confirmer les propos d'étudiants affirmant éprouver plus de difficulté à comprendre les locuteurs natifs en situation informelle, de même que ceux des chercheurs à l'effet que plus d'attention doit être accordée aux registres de la langue pour enrichir la compétence de compréhension orale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : compréhension orale, registre de langue, variation linguistique, francisation, français langue seconde
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"Le point" sur la norme grammaticale du français québécois oral

Bigot, Davy January 2008 (has links) (PDF)
Dans un de ses nombreux documents, le Conseil de la langue française (CLF, 1990) soulignait l'importance de décrire le français standard du Québec. Sur le plan de la prononciation, plusieurs études ont été réalisées et celles-ci démontrent qu'il existe effectivement un modèle standard québécois (Cox, 1998; Reinke, 2005). Sur le plan lexical, de nombreux ouvrages dictionnairiques ont aussi été publiés (Boulanger et Rey, 1992; Meney, 1999 et plus récemment de Villers, 2003), mais ils ont fait l'objet de diverses critiques. Bien que le débat du dictionnaire québécois soit loin d'être clos (le projet Francus, en cours d'élaboration, est déjà condamné par certains linguistes comme Meney (2005)), on peut néanmoins considérer que la norme lexicale du français québécois est, à défaut d'être fixée, relativement bien documentée. Concernant la grammaire, ou plus précisément la morphosyntaxe, il en est tout autrement. En effet, la grammaire du français québécois standard à l'oral n'a, jusqu'à présent, bénéficié que d'un intérêt relativement limité. Selon Cajolet-Laganière et Martel (1995) et Lepicq et Bourhis (1995), il existerait une norme québécoise qui n'est ni basée sur un français populaire québécois, ni sur la norme du français de France. Barbaud (1998a; 1998b) pose le problème de la norme grammaticale du français québécois et y répond en postulant que l'élite québécoise, détentrice de la norme linguistique, utilise à l'oral des structures syntaxiques beaucoup trop divergentes (structures empruntées aussi bien au français québécois populaire qu'au français international) pour pouvoir élaborer une norme du français québécois. Beaucoup plus récemment, Corbeil (2007, p. 320) déclarait, sans en fournir la preuve, que « [...] l'écart entre la morphologie et la syntaxe de la langue parlée au Québec et la norme de la langue écrite est variable. L'écart est pour ainsi dire nul en langue parlée soignée. » À l'heure actuelle, il n'existe encore aucune description de cette norme grammaticale du français québécois oral (la langue orale soignée) basée sur l'examen d'un corpus sociolinguistique. Il est donc difficile de vérifier la justesse de ces nombreuses affirmations. Nous nous proposons, dans le cadre de cette étude, d'examiner quatorze variables linguistiques dans un corpus de cent dix locuteurs faisant partie de l'élite sociale et culturelle du Québec, placés en contexte formel de communication. Nous démontrons, qu'en général, le parler soigné de l'élite sociale et culturelle québécoise en situation de communication formelle n'est pas très éloigné du français 'standard', tel que décrit par les grammaires comme le Bon usage de Grevisse-Goosse, a contrario de la position de Barbaud (1998a ; 1998b). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sociolinguistique, Linguistique variationniste, Grammaire, Français québécois oral.
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Les interventions pédagogiques sur les variations diaphasiques du langage : comment les observer?

Colson, Alicia 07 1900 (has links) (PDF)
Varier son langage en fonction de la situation (soit la variation diaphasique) est associé à la compétence sociolinguistique requise en langue seconde (dorénavant L2) (Canale et Swain, 1980; Moirand, 1982; Hymes, 1984). Toutefois, force est de constater que nous avons peu d'études permettant de voir ce que les enseignants font en classe de français langue seconde (dorénavant FL2) pour attirer l'attention des apprenants sur les variations diaphasiques. Effectivement, à notre connaissance, aucun instrument de mesure n'a encore été élaboré pour permettre d'identifier le type d'intervention pédagogique et le contenu de l'intervention pédagogique portant sur les variations diaphasiques du langage en classe de FL2. Dans le cadre de ce travail, nous avons donc créé et validé un instrument de mesure, soit une grille d'observation, permettant de mettre en lumière le type et le contenu des interventions pédagogiques portant sur les variations du langage en classe de FL2. En ce sens, pour ce travail, nous avons effectué une recherche méthodologique suivant deux objectifs : la création et la validation d'une grille d'observation permettant de mettre en lumière les interventions pédagogiques portant sur les variations diaphasiques du langage. Afin d'atteindre nos deux objectifs, nous avons suivi les trois opérations de création et de validation de grille d'observation proposées par Quivy et Campenhoudt (1995) en plus d'étapes méthodologiques intermédiaires. L'ensemble de ces étapes nous a permis d'atteindre nos deux objectifs de création et de validation de grille. Effectivement, nous avons d'abord créé notre grille d'observation en passant par différentes versions de grille. Puis, nous avons validé notre grille au moyen de tests et lors d'une collecte de données. Enfin, il nous a semblé intéressant de souligner les premiers résultats obtenus lors de notre collecte de données puisqu'ils témoignaient d'une certaine réalité en classe de FL2, celle-ci méritant certainement d'être approfondie par la suite au moyen de nouvelles données. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : recherche méthodologique, grille d'observation, compétence sociolinguistique, intervention pédagogique en classe de langue seconde, variation diaphasique, sociolinguistique.

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