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Triangle atlantique et triangle latin : l'Amérique latine et le système-monde maçonnique (1717-1921) : éléments pour une histoire des options publiques internationales / The Atlantic triangle and the Latin triangle : Latin America and the Masonic world-system (1717-1921) : elements for a history of international public opinion

Mollès, Devrig 12 December 2012 (has links)
Cette thèse analyse le système‐monde maçonnique entre 1717 et 1921, perçu comme un produit et un agent de la modernité occidentale, comme le prototype fondateur de l’opinion publique internationale et comme une plaque tectonique de la géoculture du système-monde moderne. Elle fluctue entre une perspective globale, une perspective atlantique et un ancrage latino‐américain, fourni notamment par les principales puissances océaniques d’Amérique latine (Argentine, Brésil, Mexique). Quelle fut l’évolution globale des réseaux maçonniques au cours des XIXe et XXe siècles ? Quelle fut leur géopolitique et leur géoculture ? Dans quelle mesure peut‐on ou non parler de « système maçonnique international » ? Quelle fut la place de l’Amérique latine dans cette dynamique ? Comment le sous‐continent américain s’intégra‐t‐il dans le système‐monde maçonnique ? Les réseaux maçonniques y furent‐ils une plaque tectonique géoculturelle et des vecteurs de transferts culturels ? Contribuèrent‐ils à l’intégration du sous‐continent américain au sein de la grande communauté atlantique mais aussi à l’intégration et à l’autonomisation latino américaine ? / This thesis investigates the birth and development of the Masonic world‐system, seen as a product and an agent of western modernity, as the prototype of international public opinion and as a tectonic plate of the géoculture of the modern world‐system. This text focuses on the first period of its development (1717‐1921). It fluctuates between a global perspective,an Atlantic perspective, and a Latin American anchorage, provided by the major oceanic powers of Latin America (Argentina, Brazil, and Mexico). What was the global evolution of the Masonic networks in the 19th and 20th centuries? What were their geopolitics and their géoculture? Is it possible to talk about an "international Masonic system"? What was the place of Latin America in this dynamic? How the American subcontinent became a part of the Masonic world‐system? In Latin America in the 19th and 20th centuries, were the Masonic networks a tectonic plate of géoculture and the vectors of cultural transfers? Did they contribute to the integration of the American sub‐continent in the Atlantic community? Did they contribute discreetly to the regional integration and to the Latin American empowerment ?
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La notion de grâce irrésistible dans la Response aux calomnies d'Albert Pighius de Jean Calvin / Notion de grâce irrésistible dans la Réponse aux calomnies d'Albert Pighius de Jean Calvin

Pinard, André 11 April 2018 (has links)
La thèse présente la doctrine de la grâce mise de l'avant dans la Response aux calomnies d'Albert Pighius (RCAP), publiée en 1543 par Jean Calvin, afin de savoir si, d'après le réformateur, l'élu peut résister à la grâce de Vinitium fidei. Une autre question consiste à savoir si l'absence d'usage de la racine « irresistibil- » dans les contextes d'emploi du mot « gratia », chez le réformateur, nous oblige à considérer anachronique l'usage - en études calviniennes - du syntagme « grâce irrésistible » popularisé environ un siècle plus tard. Selon nous, la notion de grâce irrésistible constitue, chez Calvin, le corollaire de la notion de serf arbitre. Évolution terminologique ne signifie pas discontinuité. L'approche historique sous-tend notre recherche dont la RCAP, en ses versions française et latine, représente la source principale. Nous avons aussi tenu compte des autres ouvrages calviniens d'importance majeure pour le thème, dont les versions latine (1539) et française (1541) de l'Institution chrétienne, de même que du De libero hominis arbitrio et de gratia divina (DLHA) de Pighius. Deux chapitres de mise en contexte sont suivis de deux autres consacrés à l'analyse de la RCAP, faisant intervenir l'information d'incidence peccatologique et sotériologique. Un dernier chapitre nous a permis d'effectuer la synthèse thématique de l'information recueillie. Les passages les plus pertinents renvoient au De correptione et gratia d'Augustin, dans le cadre duquel sont distinguées la grâce résistible de l'économie adamique prélapsaire et la grâce de l'économie chrétienne - irrésistible - qui assure infailliblement le salut et à laquelle les élus ne peuvent résister. Sont soulignés le caractère irrésistible de l'inspiration secrète, de l'appel intérieur et de l'attrait spirituel, le lien entre l'irrésistibilité de Yinitium fidei et la doctrine de la sanctification, puis son incidence sur la piété chrétienne. La présente étude nous amène à constater que, selon l'enseignement de la RCAP de Jean Calvin, les élus ne peuvent résister à la grâce de l'initium fidei. L'usage du syntagme « grâce irrésistible » n'est donc pas anachronique. En outre, la nécessité d'une traduction plus fidèle du terme « arbitrium » dans les textes théologiques de la Réformation a été mise en lumière
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"In nomine sanctae et individuae Trinitatis". Débats théologiques et enjeux politiques dans le royaume franc à la veille du couronnement impérial de l'an 800.

Close, Florence 04 June 2007 (has links)
Cette étude tend à étayer deux hypothèses : 1. La dévotion chrétienne à la Trinité Dieu un en trois Personnes doit sa fortune en Occident continental à la promotion qui lui a été réservée par l'Eglise carolingienne sous l'influence d'Alcuin. 2. Les débats théologiques à forte connotation trinitaire de la fin du 8e siècle, la querelle des images, la condamnation de ladoptianisme et la défense du filioque ont retenu lattention de Charlemagne, lont sensibilisé au danger que représentaient les divergences doctrinales pour lunité politique du royaume et lont finalement convaincu dassumer personnellement une part de la mission de prédication dévolue aux clercs. Ce travail se veut une histoire de la théologie franque ; une synthèse qui mette en exergue la subtile influence de la connaissance de Dieu sur la politique internationale de la fin du 8e siècle. Il propose une mise au point sur la place réellement dévolue au roi des Francs dans les débats théologiques et dans la propagation de la doctrine chrétienne à lheure de lunification du royaume, ainsi quune analyse des conséquences politiques et ecclésiologiques de l'adhésion franque à la position doctrinale de lévêque de Rome. Lenquête menée sur le rôle dévolu à Charlemagne dans les débats théologiques souvre sur un retour aux fondements religieux de la monarchie carolingienne. Au vu des conclusions les plus récentes relatives à lhistoriographie franque de la seconde moitié du 8e et du premier quart du 9e siècle, cette étude tend à rejeter catégoriquement lidée du sacre de Pépin par Boniface en 751. Elle propose de voir dans lonction conférée, en 754, par le pape Etienne II à Pépin et à ses deux fils la symbolique dune protection spirituelle accordée à la veille dun départ en campagne contre les Lombards. Les actes des conciles carolingiens attestent quaucun roi des Francs ne se prononça en matière doctrinale avant la dernière décennie du 8e siècle. Charlemagne ne peut revendiquer le titre de théologien ; jamais, dailleurs, il na prétendu être lautorité doctrinale de lOccident. Largement influencé par Alcuin, il sest, néanmoins, peu à peu imposé comme un roi prédicateur (rex praedicator). La chronologie de la querelle adoptianiste met en exergue linterpénétration des trois débats théologiques dès la fin de lété 792. Ces controverses éclatèrent à la veille de lan 800 qui devait, selon les calculs de Bède le Vénérable, coïncider avec lavènement du « Temps de lEglise » fixé en lan 6000 (AM). Ce contexte millénariste a probablement contribué à exacerber les querelles. Contrairement à ce qui a longtemps été affirmé, ladoptianisme ne peut être assimilé à lhérésie du patriarche dAntioche Nestorius qui, au début du 5e siècle, distinguait deux Personnes dans le Christ. Ladoptianisme est une tentative de sauvegarde du monothéisme trinitaire. Les théologiens espagnols de la fin du 8e siècle portaient laccent sur lhumanité du Christ, qualifié dadopté, comme instrument de la Rédemption, en distinguant la mission de lHomme-Jésus de celle du Verbe. Les Francs et la papauté nont pas compris ou pas voulu comprendre que, dans ce modèle christologique, les termes adoptivus et adoptio n'ont pas d'équivalence avec ceux d'assumptus ou d'assumptio. Ils ont refusé dadmettre que le terme adoption désigne le résultat de la kénose fait que le Verbe se soit vidé de sa divinité pour se remplir dhumanité plutôt que la création dun lien artificiel de filiation. Cette recherche concède au concile de Ratisbonne (792) une place bien plus grande que celle qui lui est traditionnellement réservée dans lhistoire tant politique que religieuse du royaume franc ; sans le synode de Ratisbonne, celui de Francfort (794) naurait pu être ce quil a été : le haut lieu de la manifestation des compétences des théologiens carolingiens. La méthode de réfutation des hérésies utilisée en Francia durant la dernière décennie du 8e siècle révèle lattachement des théologiens carolingiens à la tradition scripturaire, patristique et conciliaire garantie par lautorité romaine. Ces querelles témoignent du souci de Charlemagne dimposer son Eglise parmi les plus hautes instances doctrinales en soulignant toute la faiblesse de linterprétation orientale ou byzantine des écritures. Le roi entendait incontestablement affranchir définitivement lEglise franque de lautorité théologique de lempereur dOrient, seul domaine dans lequel Byzance pouvait encore prétendre prévaloir contre lOccident. Les campagnes franques déradication de la doctrine adoptianiste dans le Sud de lEurope furent brutalement interrompues à la suite des tractations diplomatiques menées, à la cour franque, par les ambassades du roi des Asturies en vue denrayer les ambitions expansionnistes carolingiennes dans la péninsule ibérique. Ces événements offrent une autre preuve de la récupération des questions doctrinales à des fins politiques. Ces querelles contribuèrent au renouvellement et au développement de la pensée théologique en Occident. Elles dynamisèrent le processus de formation des prêtres et encouragèrent lenseignement et la mémorisation du Credo trinitaire en gage dadhésion à la foi chrétienne, premier critère dappartenance à lEmpire franc et chrétien, né le 25 décembre 800.
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Ethnonyms in the place-names of Scotland and the Border counties of England

Morgan, Ailig Peadar Morgan January 2013 (has links)
This study has collected and analysed a database of place-names containing potential ethnonymic elements. Competing models of ethnicity are investigated and applied to names about which there is reasonable confidence. A number of motivations for employment of ethnonyms in place-names emerge. Ongoing interaction between ethnicities is marked by reference to domain or borderland, and occasional interaction by reference to resource or transit. More superficial interaction is expressed in names of commemorative, antiquarian or figurative motivation. The implications of the names for our understanding of the history of individual ethnicities are considered. Distribution of Walh-names has been extended north into Scotland; but reference may be to Romance-speaking feudal incomers, not the British. Briton-names are confirmed in Cumberland and are found on and beyond the fringes of the polity of Strathclyde. Dumbarton, however, is an antiquarian coining. Distribution of Cumbrian-names suggests that the south side of the Solway Firth was not securely under Cumbrian influence; but also that the ethnicity, expanding in the tenth century, was found from the Ayrshire coast to East Lothian, with the Saxon culture under pressure in the Southern Uplands. An ethnonym borrowed from British in the name Cumberland and the Lothian outlier of Cummercolstoun had either entered northern English dialect or was being employed by the Cumbrians themselves to coin these names in Old English. If the latter, such self-referential pronouncement in a language contact situation was from a position of status, in contrast to the ethnicism of the Gaels. Growing Gaelic self-awareness is manifested in early-modern domain demarcation and self-referential naming of routes across the cultural boundary. But by the nineteenth century cultural change came from within, with the impact felt most acutely in west-mainland and Hebridean Argyll, according to the toponymic evidence. Earlier interfaces between Gaelic and Scots are indicated on the east of the Firth of Clyde by the early fourteenth century, under the Sidlaws and in Buchan by the fifteenth, in Caithness and in Perthshire by the sixteenth. Earlier, Norse-speakers may have referred to Gaels in the hills of Kintyre. The border between Scotland and England was toponymically marked, but not until the modern era. In Carrick, Argyll and north and west of the Great Glen, Albanians were to be contrasted, not necessarily linguistically, from neighbouring Gaelic-speakers; Alba is probably to be equated with the ancient territory of Scotia. Early Scot-names, recorded from the twelfth century, similarly reflect expanding Scotian influence in Cumberland and Lothian. However, late instances refer to Gaelic-speakers. Most Eireannach-names refer to wedder goats rather than the ethnonym, but residual Gaelic-speakers in east Dumfriesshire are indicated by Erisch­-names at the end of the fifteenth century or later. Others west into Galloway suggest an earlier Irish immigration, probably as a consequence of normanisation and of engagement in Irish Sea politics. Other immigrants include French estate administrators, Flemish wool producers and English feudal subjects. The latter have long been discussed, but the relationship of the north-eastern Ingliston-names to mottes is rejected, and that of the south-western Ingleston-names is rather to former motte-hills with degraded fortifications. Most Dane-names are also antiquarian, attracted less by folk memory than by modern folklore. The Goill could also be summoned out of the past to explain defensive remains in particular. Antiquarianism in the eighteenth century onwards similarly ascribed many remains to the Picts and the Cruithnians, though in Shetland a long-standing supernatural association with the Picts may have been maintained. Ethnicities were invoked to personify past cultures, but ethnonyms also commemorate actual events, typified by Sasannach-names. These tend to recall dramatic, generally fatal, incidents, usually involving soldiers or sailors. Any figures of secular authority or hostile activity from outwith the community came to be considered Goill, but also agents of ecclesiastical authority or economic activity and passing travellers by land or sea. The label Goill, ostensibly providing 178 of the 652 probable ethnonymic database entries, is in most names no indication of ethnicity, culture or language. It had a medieval geographical reference, however, to Hebrideans, and did develop renewed, early-modern specificity in response to a vague concept of Scottish society outwith the Gaelic cultural domain. The study concludes by considering the forms of interaction between ethnicities and looking at the names as a set. It proposes classification of those recalled in the names as overlord, interloper or native.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national. En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite. Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité. Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires. Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin. Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique. Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution. Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine. Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nation

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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