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Structure spatiale de la diversité intra- et interspécifique en Afrique centrale: le cas des forêts gabonaises

Dauby, Gilles 03 February 2012 (has links)
L’origine de la structuration spatiale de la diversité inter spécifique (SSDS) des forêts d’Afrique centrale est l'objet de vigoureux débats quant à l’importance relative des facteurs historiques, stochastiques et déterministes. De plus, la SSDS est le plus souvent mal caractérisée, en particulier la variation spatiale de la composition des communautés (diversité beta).<p>L’hypothèse la plus souvent avancée pour expliquer l’origine des centres de diversité et d’endémisme est historique :ces centres constitueraient d’anciens refuges forestiers formés pendant les périodes sèches du Quaternaire. Cependant, la forte hétérogénéité environnementale de ces régions pourrait tout aussi bien expliquer la SSDS.<p>L'objectif principal de cette thèse est de tester l'importance de ces facteurs (historiques et/ou hétérogénéité environnementale) :si les facteurs historiques sont déterminants, on s’attend à observer une concordance spatiale entre la SSDS et la structure spatiale de la diversité génétique (SSDG). En effet, la variation neutre au sein des espèces est en grande partie soumise aux processus qui affectent également la SSDS (dérive génétique/écologique et dispersion des espèces/flux de gènes). L’approche utilisée dans cette thèse consiste donc à comparer et évaluer la concordance spatiale entre la SSDS et la SSDG.<p>Le modèle biologique et le cadre géographique de cette étude sont les communautés et les populations d’arbres des forêts humides d’Afrique centrale atlantique, avec une attention particulière pour les forêts gabonaises. La SSDS a été étudiée sur la base de relevés de communautés d’arbres (16308 individus) et la SSDG sur la base de séquences d’ADN chloroplastiques de six espèces d’arbres (Greenwayodendron suaveolens, Scorodophloeus zenkeri, Afrostyrax lepidophyllus, Afrostyrax kamerunensis, Santiria trimera et Erythrophleum suaveolens).<p>Quatre objectifs spécifiques ont été retenus :<p>(i)\ / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lecture du discours romanesque féminin du Gabon : Analyse sociopragmatique des œuvres de Chantal Magalie MBAZOO-KASSA, Honorine NGOU et Sylvie NTSAME / Feminine writing and feminist speech in the Gabonese novel

Ntsame Okourou, Franckline 16 January 2012 (has links)
Aborder le roman féminin sous l‟angle d‟un énoncé discursif nécessite raisonnablement que l‟on prenne en compte, le contexte social, culturel et linguistique de production, les stratégies d‟énonciation, le champ de signification et les instances réceptrices qui déterminent ce discours. L‟approche sociopragmatique nous autorise pour ce faire à cette lecture plurielle qui, selon nous, mène incontestablement à une lisibilité optimale des textes. D‟abord, en tant que communication, le roman féminin implique des techniques discursives basées sur un environnement culturel et linguistique qui influence incontestablement le fonctionnement des énoncés en ce qui concerne les activités de production. Ensuite, la particularité des discours que nous étudions c‟est leur langage multiforme fait de paroles, d‟actes à valeur énonciatives, et d‟autres types de manifestations communicatives. C‟est un langage allégorique par essence, fait de sous-entendus, de diverses tournures imagées et aussi de silences parlants qui permettent d‟exprimer sans vraiment dire. Cette mise en scène théâtralisée du discours confère à l‟expression romanesque féminine un statut artistique particulier où la langue s‟enrichit d‟« accessoires linguistiques » d‟origine ethnique, régionale ou nationale. Enfin, la réception elle-même est fonction d‟un ensemble d‟éléments nécessaires à sa réalisation à savoir un espace, un temps, une orientation de réception intentionnellement glissée par l‟auteur. Ces éléments mis ensemble correspondent à ce que Kleiber nomme la "mémoire discursive" de l‟énonciateur et les "savoirs partagés" entre l‟émetteur et le récepteur / Going into feminine novel in a discursive statement approach, it is necessary to consider the social, linguistic and cultural contexts of the production. The enouncing strategies, the meaning field and the rulling receiving that determine the speech, are also to be taken in account. The socio pragmatic approach allows us thus to the plural reading we consider to lead indisputably to an optimal legibility of the texts. Firstly, as communication, the feminine novel involves discursive techniques based on both cultural and linguistic contexts influencing incontestably the functioning of utterances concerning production activities. Then, the particularity of the speeches under our study is their multiform language made on lyrics, acts with enunciative values, and other sort of communicative expressions. It is essentially an allegorical language, with hidden meanings, different imagery turns and talking silences that allows expression without actually saying. This theatralized staging of the speech confers on the feminine roman expression a peculiar artistic status where the language enriches of "linguistic accessories" from national and ethnic origins. Finally, the reception itself is a function of a whole of elements required to its carrying out namely, defined space, defined time, and an orientation of reception intentionally glide by the author. These elements put together correspond to what Kleber calls the "discursive memory" of the "enunciator" and the" shared knowledges" between the issuer and the receiver
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Gouvernance des ressources forestières au gabon : acteurs et enjeux / Governance of forest resources in Gabon : actors and issues

Mouloungui, Armel 30 January 2014 (has links)
Couvert à plus de 80% de forêt tropicale, et dans le contexte du spectre de l’épuisement du pétrole, le Gabon est confronté au défi d’assurer un équilibre entre exploitation et préservation de ses ressources. Les politiques qui en découlent sont largement orientées par les engagements pris par le gouvernement pour répondre aux injonctions internationales, mais aussi à la pression des bailleurs de fonds et aux promoteurs du développement durable (ONG internationales, fondations, organismes de coopération…). Cette orientation vers une gestion durable des forêts a ainsi conduit le pays à des réformes considérables : nouveaux modes de gouvernance (avec l’implication de « nouveaux » acteurs aux ambitions diverses), nouveau code forestier, nouvelle organisation des institutions, nouveaux modes d’usages des forêts. Une rupture semble être marquée ici avec une gestion héritée des indépendances, voire de l’époque coloniale. Entre revendication d’une souveraineté nationale et gestion d’une ressource qui touche à des enjeux planétaires, la gouvernance des forêts s’avère complexe pour un État aux moyens techniques et financiers limités. Les espaces forestiers et les populations qui en dépendent deviennent ainsi le terrain d’affrontements de stratégies diverses, parfois divergentes, souvent calquées sur des modèles ne correspondant pas toujours à la réalité socio-culturelle locale, mais légitimées par le seul label de gestion durable. Notre thèse donne des clés de lecture sur cette gouvernance et sur les dynamiques des politiques forestières au Gabon, en mettant l’accent sur l’observation de certains acteurs. S’il est souvent admis que les États forestiers du sud sont sous l’emprise de puissantes ONG internationales, symboles d’une gouvernance prescrite et d’une ingérence écologique, notre étude montre que la présence de ces nouveaux acteurs peut aussi témoigner d’une stratégie des gouvernements du sud pour la reconquête de leurs ressources et de leurs territoires. De dominants à dominés, on passe à une relation de gagnants à gagnants, au péril parfois d’une population locale instrumentalisée et résignée. En abordant les jeux et le rôle des acteurs pour comprendre le territoire, cette thèse offre des perspectives pour porter un nouveau regard sur la gestion des ressources forestières au Gabon. / Covered over 80 % of tropical forest, and in the context of the spectrum of oil depletion, Gabon is faced with the challenge of ensuring a balance between exploitation and conservation of its resources. As a result, policies are largely guided by the commitments made by Governments to meet international orders, but also by pressure from donors and sponsors (international NGOs, foundations, cooperation agencies…) for a Sustainable Development. This shift towards sustainable forest management has led the country to significant reforms: new modes of governance (with the involvement of "new" actors in different ambitions), new forest code, a new organization of institutions, new ways of uses of forests. A break seems to be marked here from independence and even colonial times management. Between a claim of national sovereignty and management of a resource that touches on global issues, forest governance is complex for a state limited in technical and financial resources. Forest areas and people who depend on them become the battleground of various and diverse strategies, sometimes divergent, which do not always correspond to the local socio- cultural reality, but legitimized by the single label for sustainable management. Our thesis provides keys for the reading of this governance and the dynamics of forest policies in Gabon, with emphasis on the observation of certain players. While it is often assumed that southern states forest’s are under the influence of powerful international NGOs, a symbol of a prescribed governance and environmental intervention, Our study shows that the presence of these players may also reflect a southern Governments strategy to regain their resources and their territories. From dominants to dominated relationship, we go to a win-win relationship, sometimes at the risk of a local population exploited and designated. In addressing the role of games and players to understand the territory, this thesis provides opportunities to bring a new perspective on the management of forest resources in Gabon.
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Politique étrangère et sécurité nationale d'un petit État : analyse de l'action du Gabon pour la paix et la sécurité en Afrique Centrale, une politique extérieure au service de la construction et de la préservation de l'intérieur / Foreign policy and National Security of a small State : analysis of the action of Gabon for the peace and the security in Central Africa, a foreign policy in the service of the construction and the conservation of the inside

Mvé ebang, Bruno 27 March 2014 (has links)
L’Afrique est la région du monde, dans laquelle, existe le plus grand nombre de crises armées sanglantes. Depuis les indépendances, cette région n’a jamais véritablement connu de paix et de sécurité dans toutes ses entités régionales. Dans ce sombre tableau africain, l’Afrique centrale occupe une place peu enviable. Abandonnée à son triste sort à la fin de la Guerre Froide, des pays, tel que le Gabon, décidèrent de particulièrement orienter leur politique étrangère dans le but d’aider les États en crises, de son environnement immédiat, à recouvrir une certaine stabilité mais surtout dans une logique de sécurisation nationale. Petit pays d’Afrique centrale, le Gabon ressent les effets de l’instabilité régionale persistante. Cet engagement gabonais pour la paix n’est pas né avec son accession à la souveraineté. Il s’est construit au fil des années. Son action pour sa construction et sa sécurité nationale n’a jamais eu pour but de reproduire, exactement, le même modèle de stabilité qu’il connait mais, uniquement, d’arriver aux silences des armes. Il est évident que comme tout engagement politique, l’action r gabonaise présente certaines limites et l’État devrait prendre des mesures pour que l’objectif de sécurité nationale soit atteint sans ambages. Néanmoins, l’action de tel pays est importante car en priorisant le dialogue, ils fournissent un travail de fourmis qui arrive, tout de même, à mettre un terme aux effusions de sang et à leur tendance au débordement. / Africa is the region of the world, in which, exists the largest number of bloody armed crises. Since the independences, this region has never really known peace and security in all its regional entities. In this somber african board, Central Africa occupies an unenviable place. Abandoned in its sad fate at the end of the Cold War, countries, such as the Gabon, decided to direct particularly their foreign policy with the aim of helping states in crises, of its immediate environment, to cover a certain stability But especially in a logic of national reassurance. Small country of Central Africa, the Gabon feels the effects of the persistent regional instability. This Gabonese commitment for the peace was not born with its entry in the sovereignty. It built itself over the years. Its action for its building and national security has never aimed at reproducing exactly the same model of stability which it can but only arrive at the silence of weapons. It is obvious that as any political commitment, the gabonese regional action presents certain limits and the state should take measures aiming at a better international assertion. Nevertheless, the action of such country is important because by prioritizing the dialogue, they supply a painstaking job which manages, all the same, to put an end to the bloodsheds and to their tendency to the overflowing.
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Gouvernance des ressources forestières au gabon : acteurs et enjeux / Governance of forest resources in Gabon : actors and issues

Mouloungui, Armel 30 January 2014 (has links)
Couvert à plus de 80% de forêt tropicale, et dans le contexte du spectre de l’épuisement du pétrole, le Gabon est confronté au défi d’assurer un équilibre entre exploitation et préservation de ses ressources. Les politiques qui en découlent sont largement orientées par les engagements pris par le gouvernement pour répondre aux injonctions internationales, mais aussi à la pression des bailleurs de fonds et aux promoteurs du développement durable (ONG internationales, fondations, organismes de coopération…). Cette orientation vers une gestion durable des forêts a ainsi conduit le pays à des réformes considérables : nouveaux modes de gouvernance (avec l’implication de « nouveaux » acteurs aux ambitions diverses), nouveau code forestier, nouvelle organisation des institutions, nouveaux modes d’usages des forêts. Une rupture semble être marquée ici avec une gestion héritée des indépendances, voire de l’époque coloniale. Entre revendication d’une souveraineté nationale et gestion d’une ressource qui touche à des enjeux planétaires, la gouvernance des forêts s’avère complexe pour un État aux moyens techniques et financiers limités. Les espaces forestiers et les populations qui en dépendent deviennent ainsi le terrain d’affrontements de stratégies diverses, parfois divergentes, souvent calquées sur des modèles ne correspondant pas toujours à la réalité socio-culturelle locale, mais légitimées par le seul label de gestion durable. Notre thèse donne des clés de lecture sur cette gouvernance et sur les dynamiques des politiques forestières au Gabon, en mettant l’accent sur l’observation de certains acteurs. S’il est souvent admis que les États forestiers du sud sont sous l’emprise de puissantes ONG internationales, symboles d’une gouvernance prescrite et d’une ingérence écologique, notre étude montre que la présence de ces nouveaux acteurs peut aussi témoigner d’une stratégie des gouvernements du sud pour la reconquête de leurs ressources et de leurs territoires. De dominants à dominés, on passe à une relation de gagnants à gagnants, au péril parfois d’une population locale instrumentalisée et résignée. En abordant les jeux et le rôle des acteurs pour comprendre le territoire, cette thèse offre des perspectives pour porter un nouveau regard sur la gestion des ressources forestières au Gabon. / Covered over 80 % of tropical forest, and in the context of the spectrum of oil depletion, Gabon is faced with the challenge of ensuring a balance between exploitation and conservation of its resources. As a result, policies are largely guided by the commitments made by Governments to meet international orders, but also by pressure from donors and sponsors (international NGOs, foundations, cooperation agencies…) for a Sustainable Development. This shift towards sustainable forest management has led the country to significant reforms: new modes of governance (with the involvement of "new" actors in different ambitions), new forest code, a new organization of institutions, new ways of uses of forests. A break seems to be marked here from independence and even colonial times management. Between a claim of national sovereignty and management of a resource that touches on global issues, forest governance is complex for a state limited in technical and financial resources. Forest areas and people who depend on them become the battleground of various and diverse strategies, sometimes divergent, which do not always correspond to the local socio- cultural reality, but legitimized by the single label for sustainable management. Our thesis provides keys for the reading of this governance and the dynamics of forest policies in Gabon, with emphasis on the observation of certain players. While it is often assumed that southern states forest’s are under the influence of powerful international NGOs, a symbol of a prescribed governance and environmental intervention, Our study shows that the presence of these players may also reflect a southern Governments strategy to regain their resources and their territories. From dominants to dominated relationship, we go to a win-win relationship, sometimes at the risk of a local population exploited and designated. In addressing the role of games and players to understand the territory, this thesis provides opportunities to bring a new perspective on the management of forest resources in Gabon.
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Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? / Theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ?

Passy, Brice 19 February 2013 (has links)
Le concept d'aide au développement a fait son intrusion dans l'histoire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le titre XIII de la constitution du 4 octobre 1958 ébaucha la politique de coopération. Le général De Gaulle entendait résoudre le dilemme : replier le drapeau tricolore sans rompre les liens historiques. Or, si la légitimité française dans le nouveau partenariat trouvait des arguties juridiques, les ambitions qu'il concentrait comportaient des faiblesses. L'engagement pour le développement peut durer « ad vitam aeternam ». La diversité d'instruments administratifs et financiers, ainsi que la multitude d'acteurs ajoutent à la confusion. Les réformes du dispositif de la coopération n'ont pas encore gommé l'idée des « mutations impromptues ». L' «Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? » révèle l'ambiguïté, la dichotomie entre coopération et développement. En dépit des énormes potentialités d'un pays d'environ 1,5 million d'habitants, la coopération peine à sortir les Gabonais de la pauvreté. Ils sont aussi pauvres plus d'un demi-siècle après les indépendances, qu'ils l'étaient au moment où l'administration coloniale passait la main. Si l'assistance technique française a certes permis une certaine relève de celle-ci, dite « gabonisation », l'essentiel de l'économie de ce pays reste concentré dans les mains des Français où passe une part non négligeable des investissements publics français. L'importance du Gabon pour la France a suscité une coopération de l'ombre où transpire toutes sortes de dérives antinomiques au progrès : gabegie, favoritisme, concussion, sectarisme... monolithisme. / The concept of development aid made its intrusion in history shortly after the Second World War. Title XIII of the constitution of October 4, 1958 outlined the policy of co-operation. The General De Gaulle intended to solve the dilemma : to fold up the Tricolour without breaking the historical bonds. However, if French legitimacy in the new partnership found legal quibbles, the ambitions which it concentrated comprised of the weakness. Engagement for the development can last « Ad vitam aeternam ». The diversity of administrative and financial instruments, as well as the multitude of actors add to confusion. The reforms of the mechanism of the co-operation did not gum yet the idea of the « changes impromptues ». The « theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ? » reveals ambiguity, the dichotomy between co-operation and development. In spite of the enormous potentialities of a country from approximately 1,5 million inhabitants, the co-operation pains to bring out the Gabonese of the poverty line. They are as poor, 50 years after the independences, as they were at the time when the colonial administration passed the hand over. If the French technical aid allowed certainly a certain changing of this one, called « gabonisation », the essential of the economy in this country remains concentrated in the hands of the French where a considerable share of the French public investments passes. The importance of Gabon for France caused a co-operation of the shade where all kind of paradoxical drifts to progress perspires : underhand dealings, favoritism, misappropriation, sectarianism... monolithism.
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Politique agricole en Afrique Subsaharienne : le Gabon vers la souveraineté alimentaire? / Agricultural Policy in Sub-Saharan Africa : gabon toward Food Sovereignty?

Bekale B' Eyeghe, Fidèle 04 June 2010 (has links)
L’Afrique Subsaharienne avec une croissance démographique urbaine spectaculaire et une agriculture vivrière déficitaire n’a plus la capacité de nourrir la totalité de ses habitants : résultat des politiques de développement mis en place depuis les indépendances. Pour faire face à une demande alimentaire sans cesse croissante, surtout au niveau des zones urbaines, les pays subsahariens en général et le Gabon en particulier, grâce à son économie de rente, a recours aux importations massives de produits alimentaires souvent éloignés, voire incompatibles avec les habitudes alimentaires et/ou des us et coutumes des populations endogènes. Cependant, le Gabon contrairement à bon nombre de pays subsahariens, dispose d’importantes potentialités agricoles susceptibles de lui assurer aujourd’hui sa souveraineté alimentaire (climat, végétation, sols, réseau hydrographique, faible densité de population, etc.). Or, la récente crise économique mondiale à l’origine d’une crise alimentaire internationale sans précédent qui a d’ailleurs provoqué des émeutes de la faim dans plusieurs pays subsahariens, vient une nouvelle fois interpeller non seulement les autorités de l’Afrique Noire, mais aussi la communauté internationale toute entière quant à l’urgente nécessité d’un développement agricole vivrier local africain. En somme, la fragilité de la sécurité alimentaire mondiale, les stratégies géopolitiques des pays du Nord, la spéculation agricole internationale et la situation des économies africaines ont orienté notre réflexion sur la dépendance alimentaire excessive des pays subsahariens, à l’instar du Gabon, et nous ont conduits à revisiter dans cette thèse ce que pourrait être une politique de la souveraineté alimentaire. Cette démarche stratégique apparaît, au vu de ce qui précède, comme une nécessité politique, économique, culturelle et environnementale si l’on entend freiner, voire limiter au maximum, la dépendance alimentaire excessive et si l’on entend assurer un développement durable de cette région en général et du Gabon en particulier. / Having a spectacular urban population growth and an overdrawn food-producing agriculture (farming), Sub-Saharan Africa cannot feed the totality of its inhabitants any more. This is the result of development policies set up since independence. To face a continuous increasing food demand, especially in urban zones, sub-saharan countries in general, and Gabon in particular -thanks to its economy of pension- rely on massive import of food products, often from far abroad and incompatible with the food habits and\or habits and customs of the endogenous populations. However, Gabon, unlike most of sub-saharan countries, disposes of important agricultural potentialities susceptible to insure today its food sovereignty (climate, vegetation, grounds, water system, low density of population, etc.). But the recent world economic crisis, which is at the origin of an unprecedented international food crisis, causing riots of hunger in several sub-saharan countries, is once again calling the vigorous attention of not only African authorities, but also of the whole international community regarding a fierce urgency to promote the development local food-producing agriculture in Africa. In fact, the fragility of the global food safety, the geopolitical strategies of Western countries, the international agricultural speculation and the situation of the African savings guided our reflection on the excessive food dependence of sub-saharan countries, as for Gabon, and led us revisit in this thesis what could be a policy of food sovereignty. Considering what precedes, this strategic approach appears as a political, economic, cultural and environmental necessity if we intend to break or limit the most as possible the excessive food dependence and insure a sustainable development in this region in general and Gabon in particular.
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L'édification d'une gendarmerie nationale au Gabon, 1945-1969 / The construction of a national gendarmerie in Gabon, 1945-1969

Mvou Kounta, Sidina Noël 11 June 2019 (has links)
La Gendarmerie nationale gabonaise est une des plus anciennes institutions militaires du Gabon moderne. Elle est chargée d'assurer la défense de l'intégrité du territoire national, le maintien de l'ordre public et la sécurité des personnes et des institutions. L'étude historique de cette force militaire montre que sa construction est indissociable de celle de l'État. Elle est non seulement le témoin sûr de l'évolution de cet État depuis 1945, mais elle participe également par son rôle à sa fabrication. Les deux institutions sont des legs de la colonisation française. La gendarmerie gabonaise est aussi une œuvre de la coopération militaire franco-gabonaise. Sa création officielle remonte au 30 décembre1960, quatre mois après l'accession du Gabon à l'indépendance. L'héritage de la gendarmerie de l'Afrique équatoriale française, qui sert de base à sa mise sur pied, est composé des unités territoriales et mobiles (brigades, postes, pelotons), des hommes, des règlements ainsi que des équipements et des infrastructures. La France intervient dans le cadre de la coopération militaire pour son organisation, l’encadrement et la formation des hommes, puis l'aide matérielle et financière. Mais, loin d'être évidente, l'édification de la Gendarmerie nationale gabonaise s'est effectuée dans des conditions marquées par les ambiguïtés de la politique française mêlant stratégies d'influence et actions de progrès. À cela s'ajoute, la complexité des rapports des autorités politiques gabonaises avec les premières élites militaires. Ces faits, qui altèrent quelque peu sa constitution et ses liens avec l'État, n'empêchent pas au Gabon d'organiser une gendarmerie selon le modèle français et de l'employer comme outil de la construction de l’État. / The National Gendarmerie of Gabon is one of the oldest military institutions in modern Gabon. It is responsible for the defense of national territory integrity, for maintaining public order and for the security of persons and institutions. The historical study of this military force shows that its construction is inseparable from that of the state. It is not only the sure testimony of the path of this state since 1945, but also participates by its role for the construction and formation of the Gabon state. Both institutions are legacies of French colonization. The Gendarmerie Gabon is also a product of military cooperation between France and Gabon. Its official creation dates back to December 30, 1960, four months after the independence of Gabon. The legacy of the gendarmerie of the French Equatorial Africa (L’Afrique Équatoriale Française), that serves as the basis for its establishment, is composed of territorial and mobil units (brigades, posts, platoons), men, different legal tools, as well as technical equipment and infrastructure. The French Republic intervenes in the context of military cooperation for its organization, supervision and training of its human resources. This is also followed by material and financial aid. Nevertheless, far from being obvious, the construction of the Gabonese National Gendarmerie was carried out under conditions marked by the ambiguities of French politics, merging strategies of influence in the national politics with some progressive actions. Furthermore, it is important to add that the construction of the Gabonese Gendarmerie was accompanied with the complexity of the relations between the Gabonese political authorities and the military elites. These facts, which slightly alter its constitution and links with the Gabonese state, do not prevent Gabon from organizing a gendarmerie according to the French model and using it as tool for the construction of the state.
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Lecture du discours romanesque féminin du Gabon : Analyse sociopragmatique des œuvres de Chantal Magalie MBAZOO-KASSA, Honorine NGOU et Sylvie NTSAME

Ntsame Okourou, Franckline 16 January 2012 (has links) (PDF)
Aborder le roman féminin sous l‟angle d‟un énoncé discursif nécessite raisonnablement que l‟on prenne en compte, le contexte social, culturel et linguistique de production, les stratégies d‟énonciation, le champ de signification et les instances réceptrices qui déterminent ce discours. L‟approche sociopragmatique nous autorise pour ce faire à cette lecture plurielle qui, selon nous, mène incontestablement à une lisibilité optimale des textes. D‟abord, en tant que communication, le roman féminin implique des techniques discursives basées sur un environnement culturel et linguistique qui influence incontestablement le fonctionnement des énoncés en ce qui concerne les activités de production. Ensuite, la particularité des discours que nous étudions c‟est leur langage multiforme fait de paroles, d‟actes à valeur énonciatives, et d‟autres types de manifestations communicatives. C‟est un langage allégorique par essence, fait de sous-entendus, de diverses tournures imagées et aussi de silences parlants qui permettent d‟exprimer sans vraiment dire. Cette mise en scène théâtralisée du discours confère à l‟expression romanesque féminine un statut artistique particulier où la langue s‟enrichit d‟" accessoires linguistiques " d‟origine ethnique, régionale ou nationale. Enfin, la réception elle-même est fonction d‟un ensemble d‟éléments nécessaires à sa réalisation à savoir un espace, un temps, une orientation de réception intentionnellement glissée par l‟auteur. Ces éléments mis ensemble correspondent à ce que Kleiber nomme la "mémoire discursive" de l‟énonciateur et les "savoirs partagés" entre l‟émetteur et le récepteur
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La Compagnie minière de l'Ogooué son influence géographique au Gabon et au Congo /

Villien-Rossi, Marie Louise. January 1978 (has links)
Thesis--Bordeaux III, 1977. / Includes bibliographical references (p. 634-660).

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