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Taking Control, Women of Lorient, France Direct Their Lives Despite the German Occupation (June 1940-May 1945)

Le Corre-Cochran, Victoria Ann 31 March 2003 (has links)
This thesis argues that from June 1940 when German soldiers occupied Lorient, France until May 8, 1945 when the Lorient "Pocket" surrendered, although the women of this port city faced drastic changes, they took control of their everyday lives. They did what it took to feed and clothe their families, working, standing in lines, buying on the black market, bartering, demonstrating, and recycling. They developed relationships with German soldiers which ran the gamut. Due to aerial raids in the context of the Battle of the Atlantic, they sought shelter, buried their dead, took care of their wounded, looked for new lodging, and helped each other. They even tried to have some fun. After evacuation in early 1943, scattered to the four winds, in the American held "Lorient Sector," they served as advocates for others and made inquiries to the American 66th Infantry Division Counter-Intelligence Service. At the Liberation women were easy targets for blame, and some from Lorient were punished, notably for "horizontal collaboration" with Germans. When the Fiftieth Anniversary of the Liberation of Lorient was celebrated in 1995, the story of the women of Lorient was essentially left out. / Master of Arts
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Occupations et logiques policières: la police communale de Bruxelles pendant les première et deuxième guerres mondiales, 1914-1918 et 1940-1944

Majerus, Benoît 08 December 2004 (has links)
En tant que pays occupé pendant les deux conflits mondiaux, la Belgique s’avère être un laboratoire pour étudier le phénomène des occupations pendant le XXe siècle. Pour la bureaucratie étatique, ces occupations posent la question de leur positionnement face à une dissociation entre Etat et Nation. La comparaison diachronique de la police communale de Bruxelles – à travers l’angle organisationnel et à travers sa pratique dans l’espace social – a permis de dégager plusieurs thèses. <p>Le développement des appareils administratifs a pris de telles dimensions dans le XIXe siècle que l’occupant est obligé de trouver un modus vivendi avec les institutions existant sur les territoires occupés, lui-même étant incapable de gérer seul les pays sous son contrôle. Cette constellation donne une marge de manœuvres importante à la police locale, l’institution qui fait l’objet de notre étude.<p>Pendant les deux guerres, la police est soumise à un processus de réformes visant à améliorer son fonctionnement :centralisation du commandement, spécialisation d’unités, élargissement géographie des compétences d’intervention… Ces changements s’inspirent d’une part d’idées ambiantes en Belgique et d’autre part de projets réalisés en Allemagne dans les deux périodes procédant la guerre.<p>L’intégration de l’appareil policier communal à l’intérieur d’un régime d’occupation est facilitée par le professionnalisme de celui-ci qui contraste fortement avec la pratique des polices auxiliaires pour lesquelles l’ordre patriotique et/ou idéologique peut prendre le dessus sur le ‘maintien d’ordre classique’. Cette prédominance professionnalisante explique la continuité du fonctionnement de l’institution qui poursuit ses tâches entre 1914-1918 et 1940-1944.<p>En m’inspirant des travaux de l’historien allemand Alf Lüdtke et du sociologues français Dominique Montjardet, j’ai essayé de questionner trois postulats sous-jacents dans l’historiographie :<p>-\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Mapping Past and Future Wars in Voice of the People: Experiencing Narrative in the 3D/VR Environment

Unknown Date (has links)
We have an opportunity not only to interact with 3D content but also to immerse ourselves in it via Virtual Reality (VR). This work is deeply inspired by my experience as a Ukrainian witnessing the recent turmoil in my homeland. I wanted people around the globe to experience the horrors that are unfolding. The Voice of the People, explores narrative storytelling through VR. Ultimately, the viewer will be able to put on a VR headset and become deeply immersed in the story. With this technology, the user intimately experiences the war and devastation created by Russian occupation first hand. The end of World War II is a critical time in my country’s history. Included in the 3D environment are video segments of those affected by the current Russian occupation; historical themes underscore the narrative and help the viewer understand the recurring aggression by Russia that is part of Ukraine’s history. / Includes bibliography. / Thesis (M.F.A.)--Florida Atlantic University, 2017. / FAU Electronic Theses and Dissertations Collection
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L'occupation italo-allemande et le parcours de l'identité féminine dans "Η μητέρα του σκύλου" de Pavlos Matessis / Non communiqué

Marinakou-Matsa, Evgenia 14 December 2011 (has links)
Cette étude, intitulée « Représentations de l’Occupation et le parcours de l’identité féminine dans Η μητέρα του σκύλου de Pavlos Matessis », examine la collaboration sexuelle de la femme avec l’ennemi au cours de l’Occupation italo-allemande, son châtiment à la Libération et sa protestation envers la punition infligée. L’analyse des techniques narratives combinée à celle du contexte historique permettent d’approfondir les représentations de l’Occupation élaborées par ce roman et cernent la question centrale qui concerne la position tenue par ce dernier face à un événement que l’Histoire officielle a considéré comme secondaire après l’avoir frappé d’une condamnation allant de soi. Il s’ensuit de l’analyse que cette fiction au caractère éminemment dramatique combine de façon unique l’histoire à ses modes d’énonciation narrative. Sa particularité est aussi qu’elle s’éloigne sensiblement de la version officielle des événements et articule un discours différent sur un sujet tabou, celui de la collaboration sexuelle des femmes avec l’ennemi qui a été reliée à la prostitution et à la trahison de la patrie. Il fait de cette collaboration l’occasion de l’éveil de la conscience sociale du sujet et de la composition d’une identité sur la base de la libre disposition de soi et de l’auto-détermination, et considère le châtiment public comme un mécanisme de déstructuration du sujet auquel répond le silence comme forme de protestation. Il s’agit d’une œuvre « à l’écoute » de la révolte contre l’injustice de l’Histoire, qui répond dans le présent à la demande insatisfaite de la réhabilitation du sujet et défend des idéaux humanistes qu’elle place au dessus des idéaux nationaux. / The title of the present doctoral research is “Representations of the Occupation and the evolution of female identity in Η μητέρα του σκύλου [The Mother of the dog] by Pavlos Matesis”. This novel revolves around the “erotic” collaboration of a woman with the enemy during the years of the Italian-German Occupation, the public disgrace that she suffered at the wake of Liberation and her protest for the punishment that was inflicted on her. Through a methodology consisting of a narrative analysis in combination with the historical context, I examine the representations of the Occupation that the novel offers in a period that was crucial for Greek history and society, and also the historical fact of the sexual collaboration, which was judged to be of “secondary” significance by official History which filed it as self-evidently condemnable. The conclusion stemming from this research is that the novel, through a fictional narrative with strong dramatic characteristics, combines the story with its narrative ways of expression in a unique way. Its peculiarity, however, lies in its distinctive differentiation from the given facts of the dominant version and in its articulation of a discourse on a taboo subject, for literature as for Historiography, this of the erotic collaboration of women with the enemy, the official evaluation of which connects them with prostitution and national treason. Through this collaboration, which stands as a pretext for the awakening of the subject’s social conscience and the constitution of an identity on the basis of self-determination and self-designation, it sees punishment as a deconstruction mechanism of the subject but also silence as a reaction to the former. Η Μητέρα του σκύλου is a book that “listens” to the protest for the historical injustice, brings forward to the present the unfulfilled request for the subject’s moral restoration and supports the humanistic ideals, putting them above the national ones.
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« Ici en deux » : étude critique et génétique de l’album Matière et mémoire, ou les lithographes à l’école, de Jean Dubuffet et Francis Ponge / " Here in two " : critical and genetic study of the album Matière et mémoire, ou les lithographes à l’école, of Jean Dubuffet and Francis Ponge

Conesa, Severine 22 March 2011 (has links)
L’ouvrage que nous allons étudier est un objet singulier, objet d’art, œuvre littéraire, œuvre d’art, livre de peintre ou album, il présente au lecteur de multiples facettes. Offrant au public une collaboration inédite et captivante entre le poète Francis Ponge et le peintre Jean Dubuffet, l’ouvrage se présente comme un album de lithographies : une série de trente-quatre épreuves, composées par Jean Dubuffet de septembre à novembre 1944, sont précédées et « préfacées » par un texte de Francis Ponge. L’album, intitulé Matière et mémoire, ou les lithographes à l’école, est publié en novembre 1945 – soit exactement un an après la rencontre du peintre et du poète - à l’atelier Fernand Mourlot, il ne sera tiré qu’à une soixantaine d’exemplaires avant que ne soit détruite la pierre lithographique. Cette sorte d’ouvrage se caractérise par un certain « rapport de force » entre le texte et l’image, rapport inverse à celui qui s’opère dans le livre illustré traditionnel, puisque c’est ici l’image qui préexiste, le texte étant élaboré à partir, à cause même des lithographies. Suivant pas à pas le chemin de la genèse de l’œuvre, nous verrons comment s’est engendré ce projet, sa réalisation et la part non négligeable prise par Jean Paulhan – alors en relation et correspondance suivie avec Jean Dubuffet et Francis Ponge – dans l’élaboration de l’œuvre commune, livre de rencontre plus que de dialogue. Notre exemplaire de référence porte le numéro 22, conservé à la Bibliothèque Nationale de France ; il comporte le dossier de notes de Francis Ponge, l’invitation à l’exposition des lithographies à la Galerie André et possède une reliure originale, réalisée en 1985 par Max Leroux. / The work which we are going to present is a singular object, a work of art, a literary work, a work of art, painter's book(pound) or album, it presents to the reader of multiple facets. Offering to the public a new and fascinating collaboration between the poet Francis Ponge and the painter Jean Dubuffet, the work appears as an album of lithographies: a series of thirty four tests, consisted by Jean Dubuffet from September till November, 1944, are preceded and "introduced" by Francis Ponge's text. The album, entitled Matière et mémoire, ou les lithographes à l'école, is published in November, 1945 - exactly one year after the meeting of the painter and the poet - to the workshop Fernand Mourlot, it will be pulled only in about sixty copies before is destroyed the lithographic stone. This kind of work is characterized by a certain "balance of power" between the text and the image, report inverts to the one who takes place in the traditional illustrated book, because it is here the image which preexists, the text being elaborated to leave, before cause of lithographies. According to step by step the road of the genesis of the work, we shall see how engendered this project, its realization and the not insignificant part taken by Jean Paulhan - then in relation and correspondence followed with Jean Dubuffet and Francis Ponge - in the elaboration of the common work, a book of meeting more than dialogue. Our reference copy wears the number 22, kept by the Bibliothèque Nationale de France; it contains the file of Francis Ponge's notes, the invitation in the exhibition of lithographies in the Gallery André and possesses an original binding, realized in 1985 by Max Leroux.
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Liberation or Occupation? Jews in the occupied territories of the Kingdom of Poland

Zieliński, Konrad 07 August 2019 (has links)
No description available.
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La caserne Dossin à Malines, 1942-1944: histoire d'un lieu

Schram, Laurence 07 May 2015 (has links)
Le 27 juillet 1942, la Sipo-SD de Bruxelles ouvre le camp de rassemblement pour Juifs, établi dans la caserne Dossin à Malines. La fonction de ce camp est génocidaire :elle consiste à rassembler en ce lieu les victimes des persécutions raciales en vue de leur « évacuation » à l’Est, c’est-à-dire leur déportation à Auschwitz-Birkenau.<p>Entre le 4 août 1942 et le 31 juillet 1944, 25.000 déportés juifs et 350 Tsiganes de Belgique et du nord de la France sont déportés à Auschwitz-Birkenau, qui est à la fois un centre de mise à mort et un complexe concentrationnaire. En 1945, seuls 1.252 de ces déportés raciaux ont survécu. Avec Drancy et Westerbork, la caserne Dossin constitue l’un des rouages essentiels de la mise en œuvre de la « Solution finale de la Question juive » (en Allemand, Endlösung der Judenfrage), le programme nazi d’élimination systématique et totale des Juifs d’Europe. <p>Bien que ce lieu ait été l’antichambre de la mort, son histoire est très mal connue. Pour la première fois, elle est étudiée dans sa globalité. <p>Après avoir donné un aperçu des persécutions raciales sous l’occupation allemande en Belgique et dans le nord de la France, l’auteur examine comment et dans quel contexte le camp de Malines est organisé par la Sipo-SD. <p>Le camp nécessite un personnel SS très restreint :une dizaine d’Allemands et quelque 80 auxiliaires flamands suffisent. Les rôles et les parcours individuels de plusieurs d’entre eux sont abordés plus en détail, afin d’en dégager des profils particuliers. Pour faire fonctionner le camp, les SS utilisent des travailleurs juifs détenus. Leurs tâches vont de l’entretien quotidien du camp à l’administration de la déportation, l’enregistrement sur les listes de transports et la spoliation. L’implication forcée des détenus dans la destruction de leur propre communauté est analysée. Le fonctionnement du SS-Sammellager est comparable à celui du système concentrationnaire. À la caserne Dossin, des détenus juifs endossent des fonctions privilégiées, similaires à celles des Kapos dans les camps de concentration, mais évidemment à des degrés de violence très éloignés. <p>Les SS, maîtres absolus, règnent par la terreur que les internés subissent dans tous les aspects de leurs conditions de détention :le règlement intérieur, les horaires, l’hygiène déplorable, la promiscuité dans les chambrées, l’insuffisance du ravitaillement, l’exploitation de leur travail. <p>L’arbitraire, renforcé par l’impunité dont jouissent les SS, débouche sur de nombreux mauvais traitements, exactions, et sévices. Certains épisodes, plus violents que d’autres, qui ont marqué l’histoire du camp, sont analysés en profondeur. Le nombre extrêmement restreint de décès survenus au camp doit cependant être souligné.<p>Devant tant de violences, confrontés à l’inacceptable, les internés adaptent leurs comportements aux circonstances, jouant sur un vaste registre allant de la collaboration avec leurs persécuteurs jusqu’à la résistance. Cette résistance, multiforme et diffuse, se développe à l’intérieur du camp, tout en n’aboutissant jamais à la mise sur pied d’un réseau organisé. <p>Mais au sein des détenus, une catégorie particulière n’aura jamais l’occasion de résister, pas plus que celle de se mêler aux internés juifs. Dès leur enfermement dans la caserne Dossin, les Tsiganes sont encore plus mal lotis que les Juifs. Leur sort, tout à fait exceptionnel et ne se confondant pas avec celui des Juifs, est présenté dans un chapitre qui leur est exclusivement consacré. <p>Dans la nuit du 3 au 4 septembre 1944, le SS-Sammellager est abandonné par les SS, en pleine débâcle. La plupart des Juifs qui s’y trouvent encore sont livrés à eux-mêmes. Leur « libération » ne suscite pas de grand intérêt. Pour leur part, la liesse s’éteint rapidement devant le constat de leur monde ravagé par la Shoah. Presque aucune famille n’est sortie indemne de ces deux années de déportation.<p>Vingt-sept transports juifs et un transport tsiganes ont été dirigés à Auschwitz-Birkenau. Trois convois exceptionnels partent aussi pour Buchenwald, Ravensbrück et Bergen-Belsen et deux petits groupes d’internés sont envoyés de Malines à Vittel. <p>L’histoire de chacun de ces transports permet de relater la façon dont leur effectif a été rassemblé, de suivre le sort des déportés, des évadés, des assassinés dès la descente du train, des forçats ainsi que des rares survivants. <p>Aussi l’auteur replace-t-il la caserne Dossin dans son contexte européen en mettant l’accent sur sa fonction génocidaire.<p>La mise en œuvre de la Shoah en Belgique, en France et aux Pays-Bas est présentée et une comparaison entre les camps de rassemblement de ces pays, Dossin, Drancy et Westerbork est réalisée. <p>Tout au long de son développement, cette thèse met l’accent sur la mission génocidaire du camp, maillon entre les SS l’Office central de Sécurité du Reich de Berlin et Auschwitz-Birkenau, le lieu de l’extermination des Juifs de l’Ouest. Le SS-Sammellager für Juden est replacé dans le contexte de la Shoah en Europe, en particulier à l’Ouest, dans le triangle formé par Westerbork, Drancy et Dossin.<p><p><p><p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Des Belges à l'épreuve de l'exil: les réfugiés de la Première guerre mondiale (France, Grande-Bretagne, Pays-Bas), 1914-1918

Amara, Michaël 15 June 2007 (has links)
Entre août et octobre 1914, l’invasion allemande donna lieu à une des plus vastes mouvements de populations qu’ait connu la Belgique. En l’espace de quelques semaines, plus d’1,5 millions de Belges quittèrent le pays pour trouver asile en France, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Si beaucoup regagnèrent leurs foyers une fois le front stabilisé, plus de 500.000 d’entre eux firent le choix d’un exil prolongé. Cette thèse se propose d’étudier ce phénomène selon différentes approches. Le premier chapitre s’attache à dégager les raisons qui présidèrent à l’exode massif des populations civiles. Il s’agit ensuite d’étudier les mécanismes de solidarité mis en œuvre dans chacun des pays d’accueil. Les grands contours de l’action humanitaire engagée en faveur des réfugiés belges mettent en évidence des processus de mobilisations sociales dont l’évolution rapide permet d’appréhender de quelle manière ils furent perçus par les populations locales. En outre, par le biais de l’aide aux réfugiés, il est permis d’esquisser quelques grandes caractéristiques des politiques sociales lancées durant la Première Guerre mondiale. La mise au travail des réfugiés apparaît comme le seconde grand axe de ce travail. Dans un contexte marqué par de fortes pénuries de main-d’œuvre ouvrière, la présence des réfugiés éveilla des enjeux économiques et sociaux insoupçonnés. En effet, dès 1915, que ce soit en France ou en Angleterre, les réfugiés belges prirent une part active à l’activité économique des pays qui les accueillaient. Cette participation des Belges à l’effort de guerre allié est particulièrement intéressante en ce qu’elle fut l’occasion d’une rencontre inédite entre peuples qui se connaissaient peu. De même, elle vit émerger quelques entreprises dont le fonctionnement éclaire la manière avec laquelle gouvernement et patronat belges concevaient les rapports sociaux en ce début de XXème siècle. Afin d’encore mieux cerner quel fut l’apport des réfugiés à l’effort de guerre belge, l’accent est mis sur leur engagement dans la lutte armée. L’attitude réservée des Belges face à la mobilisation générale permet d’illustrer les limites de leur adhésion à la guerre et éclaire la détérioration sensible de leur image. Pour terminer, le dernier chapitre s’attache à déterminer quelle fut la nature des rapports que nouèrent réfugiés et populations locales. Il s’agit de voir de quelle manière les réfugiés s’intégrèrent aux communautés d’accueil et dans quelle mesure ils pâtirent des vagues xénophobes qui balayèrent les différents pays d’accueil dès 1917./On both the eastern and western fronts, the First World War led to the displacement of millions of civilians. The invasion of Belgium by German forces proved no exception: between August and October 1914, more than a million a half Belgians fled their country. They sought asylum in the Netherlands, France and Great Britain. In total, more than 600,000 Belgians settled abroad during the First World War. This thesis studies this unprecedented and unrepeated exile of hundred of thousands of Belgians between 1914 and 1918. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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