• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 17
  • 5
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 26
  • 26
  • 26
  • 11
  • 9
  • 7
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

Expert and local knowledge in decision support for natural resource management : analysis of capture and use

Van Cauwenbergh, Nora 28 January 2008 (has links)
Efficient management of natural resources (NRM) needs to be built on a correct understanding of the objectives of different stakeholders. Therefore, it is required to actively involve experts and stakeholders in the decision making process. However, the introduction of these knowledge claims is controversial. This is due to differences in the quality of the underlying involvement methods. The principle objective of this study was therefore to develop, apply and critically analyse improved (hybrid) methodologies to integrate expert and local knowledge in existing NRM decision making frameworks. Research is performed on 2 case studies. The SAFE case study deals with the development of a framework for evaluating sustainability levels in agricultural systems in Belgium, while the ALERT case study deals with sustainable management of water resources in semi-arid regions, applied to the Andarax catchment in Spain. The analysis of pro's and contra's of both the technocratic and the pure participatory approaches sets the blueprint for a hybrid decision making framework. Experience shows that decision support is improved when an indicator-based assessment structure is embedded in the participatory approach. This is facilitated through the use of soft operational research techniques. A sound methodology for participatory indicator selection is presented and clear-cut answers to problems with reliability of judgments are provided. The design of different typologies of membership functions is an important step to future deliberation of participatory-based norms. A computerized decision support system (DSS) is developed as it proves to be an important means to deal with increased information and complexity in decision support for NRM. In response to calls for greater collaboration with local actors, the DSS contains different functionalities that are designed to be interactive, while optimal default values ensure basic quality standards. Multi-criteria analysis allows an evaluation of alternatives and scenarios in the hybrid decision making framework. We deal with important choices that have to be made when interpreting spatio-temporal variabilities in management performances and the implications thereof on the final projections towards decision makers. The propagation of uncertainty in the hybrid decision making frameworks is critically evaluated. In order to consider uncertainty in an integrated way, a combined uncertainty/sensitivity analysis is presented. This analysis includes uncertainty related to norms, weights and indicators. Finally, guidelines for communication of the findings towards decision makers are drafted. / Pour être efficace, la gestion des ressources naturelles (GRN) doit prendre en compte correctement les objectifs de différents acteurs. Il est dès lors recommandé d’inclure activement les experts et les parties prenantes dans le processus de prise de décision. Cependant, la meilleure manière de prendre en compte différents types de savoir est sujette à controverse. L’objectif principal de cette étude est donc de développer, appliquer et évaluer des méthodes améliorées (hybrides) de prise en compte du savoir des parties prenantes et des experts dans les systèmes actuels de prise de décision pour la GRN. Cette recherche a été appliquée sur deux cas d’étude. Le premier, appelé SAFE, traite du développement d’un cadre pour évaluer la durabilité des systèmes agraires en Belgique. Le second, ALERT, traite de la gestion durable de l’eau dans des régions semi-arides, appliquée ici au bassin de l’Andarax (Espagne). L’analyse comparée des points forts et des points faibles des approches participatives et technocratiques fournit le cadre pour une approche hybride de prise de décision. Les expériences montrent que l’aide à la décision est améliorée lorsqu’une évaluation par des indicateurs est ancrée dans une approche participative. Des techniques de « recherche opérationnelle douce » permettent cette prise en compte. Nous présentons une méthode pour définir les indicateurs d’une façon participative qui permet de donner des réponses claires aux problèmes liés à la fiabilité des jugements. La définition d’une typologie de fonctions d’appartenance spécifique pour les indicateurs est une étape importante pour le choix participatif des normes. Un système informatisé d'aide à la décision (SIAD) a été développé afin de faire face à l’accroissement de la quantité d’information et de la complexité dans l'aide à la décision. En réponse à la demande d'une plus grande collaboration avec les acteurs locaux, le SIAD contient différentes fonctionnalités qui peuvent être configurées interactivement. Par default on propose des valeurs optimalisées pour assurer des standards de qualité. L'analyse multicritère permet une évaluation des alternatives de gestion et des scénarios dans le cadre de la prise de décision hybride. Nous traitons des choix importants à faire lors de l'interprétation des variations spatio-temporelles des performances de gestion et des implications de ceux-ci sur les avis finaux relayés aux décideurs. La propagation des incertitudes dans la prise de décision des cadres hybrides est aussi évaluée. Afin d'examiner l'incertitude d'une manière intégrée, une analyse mixte de sensibilité et d’incertitude est présentée. Celle-ci porte sur l’incertitude liée aux normes, aux poids et aux indicateurs. Afin de mener à une gestion efficace et durable des ressources naturelles, nous proposons des solutions techniques aux décideurs pour mieux valoriser la connaissance intrinsèque des acteurs de terrain et des gestionnaires.
22

Potential and limits of circular economy in Lebanon : case studies on the implementation of water circularity

Gedeon, Dina 11 1900 (has links)
Le Liban, un pays Méditerranéen, est bien connu pour sa richesse relative en eau au Moyen-Orient, une région naturellement aride. Cependant, le Liban fait face à un risque grandissant de stress hydrique. Le secteur agricole qui s’étend sur différentes régions au Liban, représente 60 % de la consommation de l’eau douce du pays. Toutefois, cette eau est mal gérée et utilisée de façon négligente, menant à de grandes pertes de la ressource. Aujourd’hui, le secteur domestique fait face à un manque en eau et se retrouve obligé de s’en procurer par des moyens non-conventionnels. Afin de combattre la pénurie d’eau, quels seront le potentiel et les limites du Liban à explorer l’application du modèle circulaire ? Les études de cas choisies ont dépeint le potentiel du Liban à récupérer les déchets et eaux usées pour des fins agricoles, en soulignant la préservation et l’optimisation de l’eau dans toute l’économie. À petite échelle, le Liban a prouvé le succès de la circularité de l'eau dans l'agriculture, mais a également révélé des obstacles lorsqu'il s'agit de comprendre le secteur de l'eau. Pourtant, le Liban a le potentiel d'atteindre la circularité dans ce secteur et au-delà. Le cas de la station d'épuration d'Ablah valide le potentiel de démultiplication de son modèle opérationnel sur des stations existantes situées à proximité de champs agricoles en normalisant l'utilisation de l'eau traitée et en renforçant la gouvernance de l'eau ; y parvenir améliorerait l'approvisionnement en eau de l'économie. Néanmoins, le gouvernement et les autres parties concernées jouent un rôle majeur dans l'aspect juridique crucial de la mise en œuvre d'un modèle circulaire. / Lebanon is a Mediterranean country well known for its relative richness in water to the Middle East, a naturally arid region. However, in recent years, Lebanon has been facing a risk of increasing water stress. The Lebanese agricultural sector spreads across different regions and accounts for 60 % of Lebanon's freshwater consumption. However, this water is mismanaged and carelessly used, leading to great losses of the resource. Today, the domestic sector faces a lack of water and is forced to obtain it by unconventional means. To combat water scarcity, what are the potential and limitations of Lebanon to explore the concept of circular economy? The chosen case studies have portrayed Lebanon’s potential at recovering waste including used water, for agricultural purposes, but has also risen an interesting point about water preservation and maximization in the whole economy. At a small scale, Lebanon has proven the success of water circularity in agriculture but has also revealed barriers when it comes to understanding the water sector. Yet, Lebanon holds a potential to attain circularity in the water sector and beyond. The case of the Ablah Wastewater Treatment Plant validates the potential to multiply its operational model on existing wastewater treatment plants that are located next to agricultural fields by normalizing the use of treated water and by strengthening water governance; succeeding at this would improve water supply in the economy. Nevertheless, the government and the other concerned parties, play a major role in the crucial legal aspect of the implementation of a circular model.
23

Gestion des ressources naturelles, dégradation de l’environnement et stratégies de subsistance dans le désert de Thar : étude ethnographique dans la région du Marwar, au Rajasthan en Inde

Gagné, Karine 08 1900 (has links)
Cette recherche porte sur les origines et les effets de la dégradation de l’environnement dans le désert de Thar, au Rajasthan en Inde. Elle expose les processus politico-économiques qui conditionnent la gestion des ressources naturelles dans la région du Marwar depuis l’indépendance de l’Inde à aujourd’hui. Les modes de gestion des ressources environnementales et agraires dans le contexte du système jagirdari, un système foncier domanial qui prévalait dans la région avant l’indépendance de l’Inde, sont d’abord présentés. S’en suit une analyse de la manière dont les diverses idéologies liées au développement postcolonial ont reconfiguré le paysage socio-administratif et environnemental de la région. Ces transformations ont engendré des désordres écologiques qui ont donné lieu à une crise environnementale et agraire qui connaît son paroxysme avec les nombreux déficits pluviométriques qui sévissent depuis la dernière décennie dans la région. À partir d’une recherche de terrain effectuée dans la communauté de Givas, l’impact – au plan physique et métaphysique – de ces problèmes environnementaux sur la population locale est examiné. L’étude porte également sur les réponses à ces changements, soit les stratégies de subsistance adoptées par la population locale, de même que les interventions déployées par une organisation non gouvernementale et par l’État indien – à travers le National Rural Employment Guarantee Act (NREGA). L’analyse démontre que l’expérience de la dégradation de l’environnement, à travers ses effets et les stratégies d’adaptation qui s’en suivent, est tributaire de facteurs politiques, économiques et socioculturels et donc différenciée selon le genre, la classe et la caste. / This research focuses on the origins and the consequences of environmental degradation in the Thar Desert in the State of Rajasthan, India. It outlines the political and economic processes that have influenced how natural resources are managed in the region of Marwar since Indian independence. First are presented the modes of agrarian and natural resources management that were current during the jagirdari, the pre-independence land tenure system that prevailed in this region. This is followed by an analysis of how different ideologies of postcolonial development have reshaped the social, administrative and environmental landscape of this region. These changes have led to ecological disruptions which have given rise to an environmental and agrarian crisis that has now reached a critical point with the rainfall deficits of the past decade in this region. Based on field research conducted in the community of Givas, the implications – physical and metaphysical – of these environmental problems are analyzed. The study also looks at the responses generated in order to cope with these changes, namely the livelihood strategies adopted by the local people, as well as the interventions from a non-government organization and the Indian state – through the National Rural Employment Guarantee Act (NREGA). The analysis reveals that the experience of environmental degradation, through its effects and responses, is conditioned by political, economic and sociocultural factors, and thus differentiated by gender, class and caste.
24

Impérialisme écologique ou développement ? : Les acteurs de la gestion des ressources naturelles à Ngukurr en Australie

Fache, Élodie 03 July 2013 (has links)
En Australie du Nord, une nouvelle catégorie d'acteurs sociaux aborigènes a émergé dans les années 1990 : les « rangers ». Fondés sur la professionnalisation et la formalisation de responsabilités « traditionnelles » envers la terre et la mer, leurs emplois et programmes sont présentés comme des mécanismes de « gestion des ressources naturelles » et de conservation de la biodiversité contrôlés par les communautés autochtones, tout comme un support de « développement » local. Cette thèse propose un regard critique sur le système des rangers en partant de la question suivante : constitue-t-il une manifestation « d'impérialisme écologique » ? L'ethnographie (2009-2010) des interactions sociales mises en jeu par les activités du groupe de rangers de la communauté de Ngukurr (Terre d'Arnhem, Territoire du Nord) y est associée à une contextualisation et à une analyse articulant échelles locale, régionale et nationale et discours international. Le système des rangers reflète diverses logiques endogènes et exogènes qui dépassent ses objectifs affichés de résilience environnementale et socio-économique. Il repose sur des rapports de pouvoir et des négociations complexes entre les différents acteurs impliqués (dont l'État australien), entre « savoirs écologiques traditionnels » et science, et entre rapports sociaux locaux et bureaucratiques. Cette étude met au jour le processus de bureaucratisation et les multiples ingérences et ambivalences inhérents à ce système, qui (re)produit des distinctions et tensions sociales. Elle souligne également la fonction de médiateurs qu'endossent les rangers ainsi que l'ambiguïté de la position de chercheur dans un tel contexte. / In Northern Australia, a new category of Indigenous social actors emerged in the 1990s: “rangers”. Their jobs and programmes are based on the professionalization and formalization of “traditional” responsibilities for the land and sea. They are presented as natural resource management and biodiversity conservation mechanisms controlled by Indigenous communities and as a basis for local “development”.This thesis proposes a critical view of the ranger system, starting from the following question: is this system a form of “ecological imperialism”? The ethnography (2009-2010) of the social interactions at work in the activities of the Ngukurr community's ranger group (Arnhem Land, Northern Territory) is combined with a contextualization and an analysis linking local, regional and national levels with the international discourse.The ranger system reflects various endogenous and exogenous logics that go beyond its stated aims of environmental and socioeconomic resilience. It is based on complex power relations and negotiations between the different actors involved (including the Australian State), between “traditional ecological knowledge” and science, and between local and bureaucratic social relationships. This study reveals the bureaucratization process and the many external interventions and ambivalences inherent in this system which (re)produces social distinctions and tensions. It also highlights the mediator or broker role played by the rangers as well as the ambiguous position of the researcher in such a context.
25

Gestion des ressources naturelles, dégradation de l’environnement et stratégies de subsistance dans le désert de Thar : étude ethnographique dans la région du Marwar, au Rajasthan en Inde

Gagné, Karine 08 1900 (has links)
Cette recherche porte sur les origines et les effets de la dégradation de l’environnement dans le désert de Thar, au Rajasthan en Inde. Elle expose les processus politico-économiques qui conditionnent la gestion des ressources naturelles dans la région du Marwar depuis l’indépendance de l’Inde à aujourd’hui. Les modes de gestion des ressources environnementales et agraires dans le contexte du système jagirdari, un système foncier domanial qui prévalait dans la région avant l’indépendance de l’Inde, sont d’abord présentés. S’en suit une analyse de la manière dont les diverses idéologies liées au développement postcolonial ont reconfiguré le paysage socio-administratif et environnemental de la région. Ces transformations ont engendré des désordres écologiques qui ont donné lieu à une crise environnementale et agraire qui connaît son paroxysme avec les nombreux déficits pluviométriques qui sévissent depuis la dernière décennie dans la région. À partir d’une recherche de terrain effectuée dans la communauté de Givas, l’impact – au plan physique et métaphysique – de ces problèmes environnementaux sur la population locale est examiné. L’étude porte également sur les réponses à ces changements, soit les stratégies de subsistance adoptées par la population locale, de même que les interventions déployées par une organisation non gouvernementale et par l’État indien – à travers le National Rural Employment Guarantee Act (NREGA). L’analyse démontre que l’expérience de la dégradation de l’environnement, à travers ses effets et les stratégies d’adaptation qui s’en suivent, est tributaire de facteurs politiques, économiques et socioculturels et donc différenciée selon le genre, la classe et la caste. / This research focuses on the origins and the consequences of environmental degradation in the Thar Desert in the State of Rajasthan, India. It outlines the political and economic processes that have influenced how natural resources are managed in the region of Marwar since Indian independence. First are presented the modes of agrarian and natural resources management that were current during the jagirdari, the pre-independence land tenure system that prevailed in this region. This is followed by an analysis of how different ideologies of postcolonial development have reshaped the social, administrative and environmental landscape of this region. These changes have led to ecological disruptions which have given rise to an environmental and agrarian crisis that has now reached a critical point with the rainfall deficits of the past decade in this region. Based on field research conducted in the community of Givas, the implications – physical and metaphysical – of these environmental problems are analyzed. The study also looks at the responses generated in order to cope with these changes, namely the livelihood strategies adopted by the local people, as well as the interventions from a non-government organization and the Indian state – through the National Rural Employment Guarantee Act (NREGA). The analysis reveals that the experience of environmental degradation, through its effects and responses, is conditioned by political, economic and sociocultural factors, and thus differentiated by gender, class and caste.
26

L'Afrique face aux défis de l'économie post-pétrole : du rôle des institutions financières de développement dans la promotion des énergies renouvelables / Africa facing the challenges of the post-oil economy : the role of development financial institutions in promoting renewable energy

Masra, Succès 30 September 2016 (has links)
En 2015, lors de la COP21, à l’occasion de l’accord global sur le climat de Paris, l’Afrique s’est engagée sous le Leadership du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de ses autres Partenaires Techniques et Financiers, à installer à l’horizon 2030 une capacité de 300 GW d’énergies renouvelables. Cet ambitieux objectif de l’Initiative Africaine pour les Energies Renouvelables (AREI) dont la BAD est agence d’exécution, vient compléter son engagement sur la décennie 2005- 2015, qui a permis de faire passer la part des énergies renouvelables de 4% à 20% de son portefeuille. Et pourtant, l’Afrique reste le continent qui, malgré son fort potentiel en énergies renouvelables (solaire :10 TW ; hydroélectrique : 350 GW ; éolien :110 GW, et géothermie : 15 GW), a 2/3 de sa population (645 millions) sans accès aux sources modernes d’énergie (BAD, 2016).C’est dans ce contexte d’urgence d’une part et de besoin de solutions durables d’autre part que notre thèse, en s’appuyant sur des projets structurants d’énergie renouvelables instruits et suivis sur la période 2010-2015 comme Economiste Principal de l’Energie au sein de la BAD, a consisté à analyser comment la BAD, en tant que première Institution Africaine de financement du développement couvrant les 54 pays africains, peut-elle mieux appuyer l’Afrique à faire face aux défis de l’économie post-pétrole grâce à une promotion plus efficace des énergies renouvelables. Cette analyse, normative, nous a permis d’aboutir à une double série de recommandations à la fois internes et externes à la BAD, dans la perspective d’une amélioration de l’efficacité de l’aide publique au développement drainée par cette Institution. / In 2015, during the COP 21, on the occasion of the global climate agreement in Paris, Africa committed under the Leadership of the African Development Bank Group (AfDB) and its other technical and financial partners, to install a capacity of 300 GW of renewable energy by 2030. This ambitious target set in the framework of the African Renewable Energy Initiative (AREI) for which AfDB is the executing agency, completes its commitment of the decade 2005-2015, which permitted it to increase the share of renewable energy from 4% to 20% of its energy portfolio. Yet, Africa remains the continent which, despite its strong renewable energy potential (10 TW of solar, 350 GW hydroelectric, 110 GW wind and 15 GW of geothermal potential), is paradoxically characterized by two third of its population (645 millions) without access to modern energy sources (AfDB, 2016). It is in this context of energy emergency in one hand and the need for sustainable energy solutions on the other hand, that our thesis, based on renewable energy projects designed or implemented as Principal Energy Economist within the AfDB over the period 2010-2015, analyzes how AfDB, as the first African Development Financing Institution covering the 54 African countries, can assist this continent to better meet the challenges of the post-oil economy, through a more effective development of renewable energy. This analysis, essentially normative, allows us to achieve a double set of recommendations both internal and external to the AfDB in the perspective of enhanced effectiveness of Official Development Aid channeled by this institution, from the specific angle of the promotion of renewable energy.

Page generated in 0.1547 seconds