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La réglementation des risques des caisses populaires au QuébecCoello Cerino, Luz Maricela January 2008 (has links)
Les risques sont présents dans la vie courante des institutions financières. Cependant, lorsque les risques peuvent affecter l’épargne du public et l’économie, l’intervention de l’État devient nécessaire. Le problème se manifeste lorsque l’État n’établie pas des principes pour la réglementation des activités financières. Ceci implique que le réglementateur peut légiférer sur n’importe quel sujet de l’activité financière. On se demande alors s’il existe des limites à la réglementation des institutions financières. Pour nous, l’objectif de l’État dans le système financier est de stabiliser les expectatives normatives des institutions financières face aux risques, ce qu’il fait par le biais de la réglementation. Cette affirmation est appuyée sur la base des théories économiques de la réglementation et de la théorie des systèmes sociaux de Niklas Luhmann. Nous prenons comme exemple la réglementation des risques des caisses populaires au Québec. Ainsi, nous démontrons que la réglementation des caisses populaires est justifiée dans la mesure où elles expriment un besoin de réglementation de leurs risques. Ce qui nous amène aussi, par opposition, à constater que toutes les activités qui ne sont « risquées » peuvent être autorégulées par les instituions elles-mêmes.
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L’incidence du rendement sur la gestion du risque au sein de l’industrie des fonds communs de placementLamoureux-Bélair, Guillaume January 2014 (has links)
D’un point de vue théorique, la délégation de la gestion au sein de l’industrie des fonds communs de placement présente un conflit d’intérêt important. Les investisseurs désirent maximiser leur rendement ajusté pour leur risque, tandis que les gestionnaires sont davantage motivés par leurs propres intérêts personnels. Le présent mémoire s’intéresse à l’incidence du rendement d’un gestionnaire sur son comportement de prise de risque. Brown al. (1996) font partie des premiers auteurs à étudier ce phénomène, qu’ils appellent l’effet tournoi. L’hypothèse de tournoi amené par ceux-ci stipule que les gestionnaires ayant connu de mauvaises performances relativement aux pairs pendant les six premiers mois d’une année sont tentés d’altérer le risque de leur portefeuille avant la fin de l’année. Leur motivation est de ne pas finir en bas du classement relatif. Notre échantillon est composé de 16 965 fonds communs de placement américains orientés croissance et petites capitalisations croissance, sur la période du 2 janvier 1996 au 31 décembre 2012. Nous testons d’abord l’hypothèse de tournoi dans notre échantillon avec des mesures de risque total et systématique ex post et ex ante, via des tables de contingence et de tests de Friedman (1920). Nous visons ainsi à confronter la littérature qui emploie majoritairement des mesures de risque réalisées, ainsi que des tables de contingence. Nos résultats montrent que le choix de la mesure de risque a une incidence importante sur les conclusions relatives à l’hypothèse de tournoi. Nous exposons par ailleurs que les gestionnaires aux rendements relatifs les plus faibles au cours des six premiers mois de l’année (les perdants) ont l’intention de hausser davantage leur risque total et systématique conditionnel au cours du dernier semestre de l’année, comparativement aux autres gestionnaires (les gagnants). Nous analysons ensuite spécifiquement le comportement des gestionnaires gagnants de fonds communs de placement. Plus précisément, nous vérifions si le risque systématique (résiduel) des fonds communs de placement se rapproche de un (zéro) suite à l’évaluation relative des gestionnaires. À cet effet, nous employons des tests de Friedman (1920) avec deux blocs temporels de deuxième période, à savoir un mois et six mois. Nos résultats exposent bien la dynamique de la prise de risque de ces gestionnaires. En outre, nos conclusions relatives au bloc temporel d’un mois sont davantage significatives et concluantes, en regard à nos hypothèses.
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Quelle gestion durable des ressources en eau et du risque de penurie sur les petites îles ?Chiron, Thomas 10 September 2007 (has links) (PDF)
Les contextes hydroclimatiques et hydromorphologiques qui caractérisent les petites îles, à l'instar des îles bretonnes, sont autant de contraintes naturelles qui limitent physiquement leurs ressources endogènes en eau. La bibliographie a souvent émis l'hypothèse selon laquelle l'eau pourrait justement constituer un frein à leur développement, surtout touristique. Dans les cas bretons, les recherches en archives et les témoignages des « mémoires locales » rappellent combien l'eau fut une préoccupation insulaire majeure : c'est toute leur histoire moderne qui est racontée dans les conflits d'usages de l'eau aux XVIIIème et XIXème siècles et dans la première moitié du XXème. <br />Certes, les politiques d'équipements hydrauliques des quarante dernières années ont globalement répondu, avec efficacité, à la très forte croissance des besoins hydriques, modifiant de fait les politiques locales de gestion de l'eau. Celle-ci n'est plus – a priori – une préoccupation majeure ni des gestionnaires ni des insulaires. L'analyse technico-économique montre que l'effort structurel réalisé a induit un surdimensionnement relatif des infrastructures et d'importants surinvestissements comparés aux moyennes régionales et nationales. <br />Pour autant, le risque de pénurie estivale n'est pas complètement jugulé et certaines îles restent vulnérables aux aléas climatiques : en témoigne la situation critique de Belle-Île pendant la sécheresse de 2005. En intégrant les composantes naturelles, anthropiques et infrastructurelles, l'estimation rétrospective et prospective du risque de pénurie constitue une approche nouvelle pour l'évaluation de la durabilité des politiques de gestion de la ressource en eau.
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Gestion du risque sécuritaire et prédiction des incidents disciplinaires : la contribution des modèles d'importation, de privation et du LS/CMICharton, Thibault January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La grêle en Tunisie : diagnostic et gestion d'un risque agricole émergent / Non communiquéLatrach, Mohamed Mohsen 18 October 2013 (has links)
En Tunisie, le caractère aléatoire du phénomène de la grêle, qui a comme corollaire son extrême variabilité, en fréquence d’apparition, en localisation et en intensité, a empêché un suivi permanent de ce type de précipitations. Le manque de périodes d’observation assez longues et les lacunes au niveau des données disponibles ont laissé cet aléa peu étudié donc peu connu. La trace de la grêle provoque de lourds dégâts agricoles chaque année et soulève des questions quant aux stratégies de gestion d’autant plus que les systèmes antigrêle sont quasiment absents. La présence des précipitations de grêle ou d’averse de grêle en Tunisie est commandée souvent par un rythme méditerranéen à l’instar des autres formes de précipitations telles que les pluies. Ce phénomène très localisé en Tunisie, concerne particulièrement le nord-ouest et le centre-ouest du pays, abritant les reliefs les plus élevés, demeurant ainsi le siège des trajectoires ouest/est, nord-ouest/sud-est et sud-ouest/nord-est des nuages de grêle. Les dégâts résultant de ce phénomène, qui touchent différents biens de valeur, menacent souvent le domaine d’agriculture qui est le secteur d’activités humaines le plus vital pratiquement en plein printemps et tout l’été ; certaines années, l’agriculteur voit ses récoltes totalement détruites par ce fléau. La région de Kasserine au Centre-ouest de la Tunisie est la région la plus vulnérable et ses vergers de pomme sont les plus touchés. Les pertes se classent le plus souvent très graves mais elles se trouvent d’autant plus prégnantes que les moyens antigrêle et les systèmes d’assurance agricole contre ce fléau ne sont souvent pas utilisés par les agriculteurs. [etc.] / In Tunisia, the random character of hail phenomenon, which has as corollary its extreme variability, in frequency, location and intensity, prevented a continued study of this kind of falls. The lack of long periods of observation and the gaps in the available data level explain the little interest that hail suggested among scientists. Hail falls cause heavy agricultural damage every year which raise different elements at risk especially crops while no efficient mean of protection is widely used. The hail falls in Tunisia follow a Mediterranean rhythm as the other forms of precipitation such as rain. This phenomenon which seems very localized in Tunisia, concerns particularly the northwest and the west central regions of the country, with the highest reliefs of the country. The tracks of hail showers follow west/east, northwest/southeast and southwest/northeast directions. In addition, and despite the damages that result from the phenomena which may touch many valuable sectors, agriculture is the economic sector that more suffers from hail especially when hail falls in spring and in summer. Some years, farmers find their harvests totally destroyed by this plague. The region of Kasserine in the central western of Tunisia is the most vulnerable region and its apple orchards are the most touched. The losses are mostly classified more and more dangerous when anti-hail tools and agricultural insurance systems against this plague are not often used by farmers. [etc.]
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Analyse comparée des politiques publiques de gestion du risque volcanique dans les caraïbes insulaires : le cas de la Guadeloupe en 1976 et de Monserrat en 1997 / Comparative Analysis of Public Policies for Volcanic Risk Management in the Caribbean Caribbean Islands : the case of Guadeloupe in 1976 and Monserrat in 1997Baillard, Marie-Denise 28 February 2018 (has links)
Les îles du bassin caribéen figurent parmi les territoires dans le monde ayant la particularité d’être exposés à tous les types de risque naturel à l’exception du risque d’avalanche. Pourtant, le bilan global quant à leur prise en compte effective reste peu satisfaisant : En effet on constate des lacunes tant au niveau de l’information des populations qu’au niveau des moyens « administratifs et techniques » de réponse au risque. Le risque volcanique en particulier, bien que concernant onze territoires dans les petites Antilles, est relativement « éclipsé » par les autres risques dans les agendas gouvernementaux. Or, les « poudrières » de la Caraïbe sont pour la plupart actives. De plus, du fait de leur exiguïté et de la concentration de populations et d’infrastructures aux abords des volcans ; les territoires insulaires ont une vulnérabilité accrue. Des manifestations violentes peuvent entraîner, comme l’ont montré les cas de la Montagne Pelée en Martinique (1902) et plus récemment celui de la Soufrière Hills à Montserrat (1995 à nos jours), un bilan humain particulièrement lourd. Surtout, même en tempérant le risque de perte de vies humaines grâce à la prévision, une crise volcanique majeure reste synonyme de désastre économique. Le caractère exceptionnel des manifestations volcaniques suffit-il à expliquer ce bilan ? Cette interrogation première nous amène à questionner les mécanismes caractérisant la gestion du risque volcanique dans les Caraïbes insulaires. Notre étude porte ainsi sur les deux crises qui ont été les plus débattues en matière de retour d’expérience : celle de la Soufrière de Guadeloupe en 1976 et celle de la Soufrière Hills de Montserrat, qui a connu son pic en 1997. La comparaison des politiques publiques de gestion des crises étudiées nous permet d’identifier les facteurs orientant la stratégie des autorités compétentes en amont et en aval des crises. / The islands of the Caribbean basin are among the territories in the world having the distinction of being exposed to all types of natural hazard except avalanche risk. However, the overall assessment of their effective consideration remains unsatisfactory: Indeed, there are gaps in both the information of the population and the level of "administrative and technical" means of response to risk. Volcanic risk in particular, although affecting eleven territories in the Lesser Antilles, is relatively "overshadowed" by other risks in government agendas. However, the "powder keg" of the Caribbean are mostly active. Moreover, because of their small size and the concentration of populations and infrastructures around volcanoes; island territories have increased vulnerability. Violent demonstrations can lead, as has been shown in the cases of Mount Pelee in Martinique (1902) and more recently that of the Soufrière Hills in Montserrat (1995 to the present day), a particularly heavy human toll. Above all, even with the risk of loss of life due to the forecast, a major volcanic crisis is synonymous with economic disaster.Is the exceptional character of volcanic events enough to explain this assessment? This first interrogation leads us to question the mechanisms characterizing the volcanic risk management in the insular Caribbean.Our study thus focuses on the two crises that have been the most debated in terms of feedback: that of Soufrière Guadeloupe in 1976 and that of Soufrière Hills Montserrat, which peaked in 1997. The comparison of public crisis management policies studied allows us to identify the factors guiding the strategy of the competent authorities upstream and downstream of crises.
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EVALUATION DES MESURES DE GESTION DU RISQUE INONDATION. APPLICATION AU CAS DES BASSES PLAINES DE L'AUDEDefossez, Stéphanie 10 December 2009 (has links) (PDF)
La gestion du risque inondation s'est longtemps tournée exclusivement vers la maîtrise de l'aléa. Que ce soit des ouvrages de génie civil (digue, barrage) ou des mesures plus douces comme les champs d'expansion des crues, la protection a primé sur la prévention. Cependant les limites des mesures structurelles et le coût croissant des dommages ont amené des réflexions de gestion plus globalisée et concertée. Depuis une quinzaine d'années, les politiques publiques tentent d'introduire des mesures de prévention qui passent par la régulation des enjeux et la réduction des vulnérabilités. Les basses plaines de l'Aude représentent un territoire d'étude privilégié. Il est en effet exposé aux inondations, fréquentes ou catastrophiques. Les dernières graves inondations de novembre 1999, qui ont dévasté le territoire, furent révélatrices des failles de la gestion dont la nature des aménagements et le contexte territorial complexe. Dans les basses plaines de l'Aude, les gestionnaires peinent à atteindre une gestion performante. Depuis quarante ans, les projets se succèdent sans jamais totalement aboutir. Dans un tel contexte, cette recherche se propose d'évaluer les modes de gestion du risque. L'évaluation représente un point de départ à de nouvelles orientations des politiques de prévention. L'objectif visait à estimer l'efficacité, la pertinence et finalement la performance des modes de gestion du risque par différentes approches : diagnostic du risque, approche évaluative coûts/bénéfices, analyse des perceptions...et face à des évènements majeurs et de moindre ampleur. La prégnance des mesures structurelles et les objectifs de gestion centrés sur l'aléa majeur perdurent. Cette gestion restrictive nuit à la cohérence territoriale et laisse peu de place aux mesures préventives pourtant complémentaires à la protection. La gestion du risque dans les basses plaines souffre en outre d'un contexte politique difficile et conflictuel. Les perspectives de la gestion sont à chercher du côté d'une gestion concertée (acteurs) et globalisée (mesures) avec des objectifs clairement définis (aléa).
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Perceptions et réponses du public aux incertitudes associées aux risques de santé publique: Une investigation par méthodes mixtesLalande-Markon, Marie-Pierre 28 September 2011 (has links)
Le but principal de la thèse est de mettre en lumière une conceptualisation heuristique de l’incertitude qui permette d’expliquer la manière dont elle est interprétée par les citoyens dans le contexte des risques de santé publique et quelles stratégies de gestion (coping) sont déployées afin d’y faire face. L’emploi de méthodes mixtes est privilégié. La première étude, testant un schème psychométrique sur les données d’une enquête nationale documentant le risque et l’acceptabilité perçue d’un enjeu de santé publique (N= 1517), révèle que l’incertitude perçue se distingue d’autres évaluations cognitives de la menace, telle que la probabilité. Elle est associée à une augmentation de l’inquiétude ressentie seulement lorsque l’impact perçu du risque sur la santé est élevé. La deuxième étude, testant un devis de recherche expérimental auprès de Canadiens du grand public (N= 434), démontre que l’effet sur l’adhérence au message, de différents types d’avertissements à propos d’un risque varie selon les sources d’incertitude communiquées. En particulier, la communication d’ambiguïté (divergence entre experts ou données contradictoires) diminue l’adhérence au message, alors que la communication d’incertitude épistémique (manque de données scientifiques) ne diminue pas l’adhérence au message ni la confiance envers la source. Les dernières études explorent la construction du sens donné à l’incertitude par les citoyens à travers une approche qualitative, avec trois entrevues individuelles et neuf groupes de discussion réalisés auprès d’adultes provenant de villes canadiennes (N= 47). La troisième étude analyse la portion des entrevues mettant l’accent sur les attentes des citoyens à propos de qui devraient être impliqués dans la communication gouvernementale du risque, pourquoi les incertitudes devraient être communiquées, lesquelles sont désirables, et comment et quand les discuter. La quatrième étude emprunte la méthode de la théorie ancrée afin d’élaborer un schéma conceptuel explicatif des réactions à l’incertitude. Celui-ci identifie et met en lien les principaux facteurs d’importance, soit: la source d’incertitude, les caractéristiques situationnelles et individuelles, le contrôle perçu et la confiance envers la source d’information et les gestionnaires du risque. Ces résultats permettent de mieux comprendre et d’anticiper les réactions du public dans la communication et la gestion du risque.
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Perceptions et réponses du public aux incertitudes associées aux risques de santé publique: Une investigation par méthodes mixtesLalande-Markon, Marie-Pierre 28 September 2011 (has links)
Le but principal de la thèse est de mettre en lumière une conceptualisation heuristique de l’incertitude qui permette d’expliquer la manière dont elle est interprétée par les citoyens dans le contexte des risques de santé publique et quelles stratégies de gestion (coping) sont déployées afin d’y faire face. L’emploi de méthodes mixtes est privilégié. La première étude, testant un schème psychométrique sur les données d’une enquête nationale documentant le risque et l’acceptabilité perçue d’un enjeu de santé publique (N= 1517), révèle que l’incertitude perçue se distingue d’autres évaluations cognitives de la menace, telle que la probabilité. Elle est associée à une augmentation de l’inquiétude ressentie seulement lorsque l’impact perçu du risque sur la santé est élevé. La deuxième étude, testant un devis de recherche expérimental auprès de Canadiens du grand public (N= 434), démontre que l’effet sur l’adhérence au message, de différents types d’avertissements à propos d’un risque varie selon les sources d’incertitude communiquées. En particulier, la communication d’ambiguïté (divergence entre experts ou données contradictoires) diminue l’adhérence au message, alors que la communication d’incertitude épistémique (manque de données scientifiques) ne diminue pas l’adhérence au message ni la confiance envers la source. Les dernières études explorent la construction du sens donné à l’incertitude par les citoyens à travers une approche qualitative, avec trois entrevues individuelles et neuf groupes de discussion réalisés auprès d’adultes provenant de villes canadiennes (N= 47). La troisième étude analyse la portion des entrevues mettant l’accent sur les attentes des citoyens à propos de qui devraient être impliqués dans la communication gouvernementale du risque, pourquoi les incertitudes devraient être communiquées, lesquelles sont désirables, et comment et quand les discuter. La quatrième étude emprunte la méthode de la théorie ancrée afin d’élaborer un schéma conceptuel explicatif des réactions à l’incertitude. Celui-ci identifie et met en lien les principaux facteurs d’importance, soit: la source d’incertitude, les caractéristiques situationnelles et individuelles, le contrôle perçu et la confiance envers la source d’information et les gestionnaires du risque. Ces résultats permettent de mieux comprendre et d’anticiper les réactions du public dans la communication et la gestion du risque.
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The quality of eligible collateral : central bank losses and monetary stability : an empirical analysis /Lehmbecker, Philipp, January 1900 (has links)
Dissertation--Bremen--Universität Bremen, 2007. / Bibliogr. p. 247-271.
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