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La création romanesque dans les chroniques de Jean Giono /

Hyde, Nicole January 1975 (has links)
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Le monde de Jean Giono.

Howell, Helen Marie. January 1949 (has links)
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Poétique des cycles romanesques : de Balzac à Volodine / The Poetics of novel cycles : from Balzac to Volodine

Conrad, Thomas 24 June 2011 (has links)
Les cycles romanesques sont ces œuvres formées par la réunion de plusieurs récits autonomes : sommes “à la Balzac”, suites, séries, trilogies, etc. Il s’agit d’un type spécifique de “transtextualité” (Genette), où s’exprime un désir ambigu de totalisation, qui affirme à la fois l’ouverture et la clôture du texte. Selon une démarche de poétique historique, nous analysons les formes de ces cycles, tout en les inscrivant dans l’histoire de long terme du genre romanesque. D’où un corpus large, s’étendant du XIXe siècle à nos jours : La Comédie humaine de Balzac, le Manuscrit trouvé à Saragosse de Potocki, les trilogies de Dumas, Les Rougon-Macquart, les Trois Villes et les Quatre Evangiles de Zola, le Cycle du Hussard de Giono, les cycles de science-fiction d’Asimov, et les romans « post-exotiques » de Volodine. L’examen des procédés de connexion entre les récits montre que le cycle n’est pas fondé sur la cohérence du monde qu’il représente, mais sur la cohésion des textes qu’il rassemble. Chaque cycle est une totalisation singulière de textes, traversée de tensions et de dysfonctionnements.Mais ces œuvres sont autant de réponses à une question qui subsiste pendant ces deux siècles : comment retrouver une totalité épique adéquate au monde moderne né de la Révolution ? Les cycles romanesques réactivent la « racine épique » du roman (Bakhtine). Cette visée épique, et ses transformations, sont un aspect de ce que serait une histoire de l’idée de totalité en littérature. / Novel cycles are the works formed by the reunion of several independent stories : balzacian cycles, sequels, series, trilogies, etc. In this specific type of “transtextuality” (Genette), an ambiguous desire for totalization appears, tending simultaneously towards the openness and the closure of the text. A historical poetics approach allows to analyze the cycle’s forms by connecting them to the long-term history of the novel as a genre. Hence the wide corpus studied, spanning from 19th century to our days : Balzac’s Comédie humaine, Potocki’s Manuscrit trouvé à Saragosse, several trilogies by Dumas, Zola’s Les Rougon-Macquart, Trois Villes and Quatre Evangiles, Giono’s Cycle du Hussard, Asimov’s science-fiction cycles,and Volodine’s « post-exotic » novels. A study of the connecting devices that tie novels together shows that the cycle does not rely on the consistency of the world that it represents, but on the cohesion of the texts it is made of. Each cycle is a unique totalization of texts, where tensions and dysfunctions abound.Still, in the long-term history of the novel, these works can be seen as many different answers to the same question : how is it possible to bring back an epic totality that would fit the modern world, born from the French Revolution ? Novel cycles reactivate the “epic root” of the novel (Bakhtin). This epic root, and its transformations, are a part of a more general history of the idea of totality in literature.
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Jean Giono ou l'expérience du désordre / Jean Giono : disorder experiences

Von Kymmel, Corinne 10 December 2010 (has links)
La thèse explore les différentes voies du désordre empruntées par l’œuvre de Jean Giono, en adoptant une lecture littéraire, mais aussi anthropologique, ethnologique et sociologique des textes. L’étude s’intéresse d’abord à l’importance thématique de la nature, et montre qu’au-delà des apparents désordres climatiques ou saisonniers, le monde gionien est globalement ordonné. La deuxième partie de la thèse examine alors le traitement que Giono réserve aux hommes : confrontés à un ordre quotidien ennuyeux, ceux-ci explorent des divertissements qui les conduisent à un désordre de l’action démesuré et mortifère. Finalement, l’étude aboutit à l’idée que seul le désordre parfaitement organisé de l’art, et plus particulièrement de la littérature, constitue un divertissement suffisant selon Giono qui, tout au long de son œuvre, expérimente dans le contenu comme dans la forme de ses textes un désordre total au travers duquel il cherche à profiter d’un vertige systématique, d’un déséquilibre savamment maîtrisé / This thesis deals with the various forms of disorder that can be found in Jean Giono’s literary work. The chosen approach for this analysis is multifaceted, mainly literary but also anthropological, ethnological and sociological. The study first examines the thematic importance of nature. It reveals, despite climatic and seasonal disorders, the orderliness of the natural world Giono usually describes. The study then focuses on human beings in Giono’s work: philosophically bored by the monotony of a day-to-day order, they investigate various forms of diversions, and in doing so eventually experiment a dangerous violent action disorder, which leads them to physical or mental death. The study finally proves that artistic disorder seems to be the only one that can save mankind from everlasting metaphysical boredom: Giono’s work insists on the value of literary disorder. Writing enables him to test absolute disorder, considered to be the only way to benefit from a systematic vertiginous lack of balance.
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De l'errant à l'artiste : le rayonnement d'Ulysse dans l'œuvre romanesque de Jean Giono /

Ivier, Marica, January 2008 (has links)
No description available.
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Jean Giono et la musique / Jean Giono and Music

Parsi, Frédérique 17 June 2019 (has links)
« Je ne mets rien au-dessus de la musique », écrit Giono. Pourtant, l’écrivain n’est guère musicien et refuse l’apprentissage du solfège, même si sa sensibilité musicale deviendra au fil du temps passion éclairée. La présence de la musique dans l’œuvre suit logiquement un parcours parallèle à celui qu’elle occupe dans la vie de Giono. Au-delà de sa simple présence thématique, aisément repérable dès les premiers écrits, outre les fonctions argumentatives, narratives et poétiques qu’elle offre aussi à l’écrivain, la musique s’impose progressivement comme une source d’inspiration et même un modèle esthétique pour l’homme de lettres. De manière inattendue, c’est lorsque la thématique musicale tend à disparaître que le roman devient ou tente de devenir véritablement musical chez Giono. La musique offre de plus l’occasion de s’interroger sur des tensions essentielles de l’œuvre, entre aspiration pour un certain naturel et nécessité de la culture, entre goûts musicaux très personnels et découverte de la musique via des mentors littéraires, entre modernité romanesque et prédilection pour des modèles souvent anciens, entre quête de structures musicales définies et transposition subjective de celles-ci. Giono aura proposé une réponse singulière à la question de l’impossible traduction du langage musical en mots qui taraude nombre d’écrivains. Paradoxalement, le rapport libre de Giono à la musique a une incidence sensible sur son écriture et, partant, intéresse de plein droit les études musico-littéraires et l’histoire de la littérature du xxe siècle et de ses mutations. / « For me nothing is more important than music », Giono wrote. However, the writer was no musician and refused to learn music theory, even though his musical sensitivity became an enlightened passion as time went by. The presence of music in his work logically follows a parallel path to that of music in Giono’s life. Beyond its mere presence as a theme, easily perceptible in his early writings, and apart from its argumentative, narrative and poetic roles that are presented to the writer, music progressively becomes essential as a source of inspiration and even a model of aesthetics for the writer. Against all odds, when the theme of music tends to disappear, the novel becomes or seeks to become truly musical in Giono’s work. Besides, music is an opportunity to ponder over the paramount tensions in his work : between an aspiration to nature and the necessity of culture, between very personal musical tastes and the discovery of music through literary mentors, between fictional modernity and a predilection for past models, between a quest for defined musical structures and their biased transposition. Giono offered a singular answer to the question of the impossible translation of the language of music in words, and this question has tormented countless writers. Paradoxically, Giono’s independence from music had a conspicuous effect on his style and is therefore relevant to music and literary studies as well as the history of 20th century literature and its transformations.
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Image du monde et imaginaire de la langue dans la langue romanesque de Charles Ferdinand Ramuz et Jean Giono (1926-1930) / Imagining the world, reshaping the language. A study of Charles Ferdinand Ramuz’s and Jean Giono’s prose styles (1926-1930)

Salim, Maral 13 June 2014 (has links)
Les premiers lecteurs de la « Trilogie de Pan » (1929-1930) puis l’historiographie stylistique tout entière ont systématiquement rapproché l’écriture de Jean Giono de celle de Charles Ferdinand Ramuz, et singulièrement de celle de son roman de 1926, La Grande Peur dans la montagne. Or, quelque soit l’observable linguistique choisi (la référence à la langue orale, la pratique de la répétition, les formes de l’analogie), de nettes différences apparaissent entre les deux pratiques rédactionnelles. C’est que la perception d’une parenté stylistique entre deux écrivains est contrainte par bien autre chose que des faits linguistiques. Dans le cas présent, on a, d’une part, projeté sur des formes langagières dissemblables une évidente communauté d’imaginaire. On a, d’autre part, préjugé de la similarité des formes langagières à partir de la proximité du projet esthétique : les deux oeuvres mettent en effet en tension la revendication d’une fidélité à une langue parlée régionalement inscrite, et une pratique de la langue qui emprunte aux codes « poétiques » conventionnels. / The first readers of the “Trilogie de Pan” (1929-1930) and the whole stylistic historiography havesystematically compared Jean Giono’s style with that of Charles Ferdinand Ramuz, and notably withthe style of his 1926 novel, La Grande Peur dans la montagne. Whatever linguistic criterion one maychoose (the reference to oral speech, the uses of repetition, the forms of analogy), it neverthelessappears that there is not so much in common between these two prose styles. The reason of thatfrequent comparison is simple: one often judges stylistic features from a non linguistic point of view.In the present case, readers have had the impression that both writing styles were similar because theauthors shared a common imaginary backround, but also because they had the same literary project:they both wanted to remain faithful to popular and local manners of speaking and at the same timedecided to resort to the same poetical stylistic conventions.
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L'ironie dans l'oeuvre de Jean Giono d'après-guerre / Irony in Jean Giono’s Post-war Works

Kahia, Béchir 08 January 2015 (has links)
L'ironie atteint au plus complexe par le plus simple, à la raison par l'irrationnel, à la puissance par la douceur, au sérieux par la raillerie. C'est l'éclosion de l'art de subversion ironique. Dans la tradition rhétorique, nulle mention n'est faite d'une forme d'utilisation littéraire de l'ironie qui permettrait au sein d'une oeuvre romanesque, dramatique ou poétique l'intrusion de la figure de l'auteur. Dans la période d'après-guerre, on voit un nouveau Giono qui renouvelle l'édifice de son oeuvre sur une sorte de vertige : l'ironie, les sous-entendus, l'implicite, les vides narratifs aussi bien dans le style que dans la conception du monde. Les oeuvres qui paraissaient au moment où naît cette ère du soupçon qui a divisé l'oeuvre et a changé l'esthétique de l'écrivain, sont les plus marquées par l'ironie. Giono assigne l'ironie à un foyer de production fictionnelle qui ne saurait bénéficier de quelques immunités philosophiques, esthétiques, techniques. L'ironie c'est aussi l'effet des procédés typographiques. Dans cet univers, toute authenticité risque d'être pervertie dans un roman. Mais l'ironie de Giono est avant tout une vision tragique du monde. Elle est également une interprétation de la condition humaine. Le romancier est donc celui qui nage dans les eaux troubles de la contradiction. Il examine le monde en dévoilant les ambiguïtés. / The irony achieves to the most complex by the simplest, to the reason by the irrational, to the power by the sweetness, to the seriously by the mockery. It is the hatching of the art of the ironic subversion. In the Rhetoric tradition, no mention was made of a shape of a literary use of irony which would allow within a novelistic, dramatic or poetic work, the intrusion of the figure of the author. In the post-war period, we see a new Giono who renews the building of his work on a kind of dizziness: the irony, the allusions, the implicit and the narrative emptiness, in the style and in the conception of the world as well. The works which appeared as is born this era of suspicions which divided the work and changed the esthetics of the writer, are the most marked by the irony. Giono assigns the irony to a home of fictional production which could not benefit philosophical, esthetical, and technical immunity. Irony is also the effect of the typographic processes. In this universe, any authenticity risks to be perverted in a novel. But the irony of Giono is primarily a tragic vision of the world, a form of belonging to this world and a way of participation in its mockeries and its delights. It is also an interpretation of the human condition. The novelist is thus the one who swims in shady waters of the contradiction. He examines the world by revealing the ambiguities.
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Le poids du ciel : itinéraires de l'homme sans Dieu dans l'oeuvre romanesque de Jean Giono / The weight of heaven : Human beings’ routes without God in Giono’s fictional novels

Perrin, David 24 June 2019 (has links)
De nombreux critiques avaient détecté chez Jean Giono (1895-1970) la présence d’un vide affectant non seulement le sujet de son oeuvre mais aussi sa poétique. L’ennui, cette « brusque et radicale conscience du rien », le mensonge qui « reconstruit un monde au-dessus de l’abîme » (R. Ricatte) ou bien encore le « travail des sensations » vécu comme un « barrage contre le vide » (S. Vignes) sont des effets parmi d’autres d’un manque et d’une absence déterminante. Le vide explique aussi l’anonymat et les lacunes biographiques de ses personnages, les nombreux blancs et silences, les ellipses narratives et sémantiques, les césures et les discontinuités narratives... Il ne suffisait cependant pas de reconnaître l’existence d’un vide, d’un manque originaire dans cette oeuvre. Il fallait encore connaître sa nature. De quoi le monde gionien est-il vide ? La réponse se trouve paradoxalement dans ce que l’auteur s’est efforcé de ne jamais décrire ou plutôt dans ce qu’il a toujours décrit « en blanc » (J. Giono). En nous penchant sur ce qui, dans ses romans, était toujours décrit sans l’être, nous nous sommes aperçus que rien ne manquait davantage que Dieu. Dieu brille par son absence dans son oeuvre. Il est celui qu’il se refuse à décrire positivement car il est pour lui « le néant absolu », « l’absence de tout » (J. Giono). La théologie imprimée dans ses romans est une ‘‘théologie blanche’’. Sa vision du monde et de l’homme est toujours, et très délibérément, sans dieu/Dieu. Comme le dit le narrateur du Déserteur à propos des peintures pieuses et des ex-voto de son personnage : « il n’y a pas de dieu dans tout ça ». En analysant l’oeuvre gionienne à la lumière de cette absence, quatre ensembles de romans se sont dégagés selon un ordre qui dépasse les distinctions classiques établies, d’une part, entre une première et une seconde « manières », d’autre part, entre le « Cycle du Hussard » et les « Chroniques romanesques ». Ces quatre ensembles romanesques sont autant d’itinéraires de l’homme sans dieu/Dieu. Nous avons distingué celui de « l’humanisme païen », celui de l’héroïsme sublime, celui tragique voire tragi-comique des hommes condamnés à la chute, celui enfin des « âmes fortes » qui veulent se faire dieux en l’absence de dieu/Dieu. L’immense « chasse au bonheur » dont l’oeuvre romanesque de Giono est l’expression a rapport avec le ciel, un ciel sans dieu/Dieu. / Many critics spotted in Giono’s novels (1895-1970) the presence of a kind of emptiness which affected both his main topic and his poetry. Boredom « this sudden and drastic consciousness of nothingness », lie « which rebuilts a world on top of despair » (R. Ricatte) or « the work of sensations » (S. Vignes) felt as « a barrier against nothingness » reflect a void and a defining absence among other effects. This emptiness gives an explanation to his characters’ anonymity and gaps in biography, to the many gaps and silences, narrative and semantic ellipses, narrative caesura and discontinuities. Acknowledging the existence of a void, of an original emptiness, was not enough, its specific nature must be defined. What is missing in Giono’s world ? What is his world made of ? Paradoxically speaking the answer lies in what the author struggled not to describe or more precisely in what he described « en blanc » (J. Giono). Analysing what is described in his novels without really being described, I have realized that the One who is missing is God. God is conspicuous by his absence in his works. He is the one he refuses to describe positively as he is « the absolute absence ». The theology expressed is a ‘‘white theology’’. His view of the world and his vision of mankind, are always and in their tiniest details a vision without God. As the narrator of Le Déserteur puts it when he alludes to his main character’s votive offerings : « God is absent from all this. » Studying Giono’s works in the light of this absence, four collections of novels emerged according to an uncommon classification : on the one hand between a first and a second « manner » and on the other hand between « le Cycle du Hussard » and « les Chroniques romanesques ». These four collections of novels are routes taken by mankind without God. I have set apart : « a pagan humanist » route, a « sublime heroic » route, the tragic if ever tragicomic route of mankind doomed to their downfall, the last one the route of « strong souls » who strive to turn gods without God. The huge « quest for happiness » which is at the heart of Giono’s novels is related to heaven but a heaven without God.
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Le survenant selon Giono et Guèvremont /

Poirier, Michel Philippe January 1988 (has links)
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