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L'opinion des dentistes québécois sur la première visite dentaire

Andriamanjay, Sarah 11 1900 (has links)
Objectifs : L’objectif principal de cette étude est de connaître l’âge auquel les dentistes québécois recommandent la première visite dentaire chez les enfants. Les objectifs secondaires sont d’identifier des facteurs qui peuvent influencer l’âge auquel les dentistes recommandent la première visite dentaire, d’identifier les facteurs qui freinent les dentistes à voir de jeunes enfants et de vérifier les connaissances des dentistes concernant la prise en charge des jeunes patients. Méthode : Une invitation à répondre à un questionnaire informatisé confidentiel regroupant 32 énoncés a été envoyée aux membres de l’Ordre des dentistes du Québec (ODQ). Résultats : 263 dentistes québécois ont répondu en tout ou en partie au questionnaire. L’âge moyen recommandé pour la première visite dentaire est de 21,1 mois (±11,8). Les dentistes qui recommandent une visite dentaire plus tôt sont les femmes (p<0,001), les dentistes pédiatriques (p=0,001), les dentistes ayant gradué depuis 2000 (p=0,005), les répondants connaissant la recommandation de la première visite à tout au plus an (p=0,001), le concept de la maison dentaire (p=0,01), ceux qui sont au courant que les soins dentaires sont la première cause d’anesthésie générale chez les enfants canadiens (p=0,006) ainsi que ceux très intéressés à recevoir des formations supplémentaires (p<0,05). Les participants estiment que le comportement et le manque de participation sont les principaux obstacles qui les empêchent de traiter de jeunes enfants. Conclusion : En moyenne, les répondants recommandent la première visite dentaire à l’âge de 21,1 mois, ce qui est supérieur à un an, l’âge recommandé par l’Association dentaire canadienne. Afin de sensibiliser les dentistes à la pertinence de la première visite dentaire avant un an, il serait pertinent que l’ODQ fasse des campagnes de promotion auprès des dentistes et de la population québécoise. Il serait aussi souhaitable d’augmenter les formations continues sur ce sujet et d’inclure dans les curriculums de doctorat en médecine dentaire des stages cliniques avec des enfants de moins de deux ans. / Objectives: The aim of this study is to determine the age at which Quebec dentists recommend the first dental visit. Secondary objectives are as follow: to identify the factors that influence the age at which dentists recommend the first dental visit, to identify dissuasive elements that keep dentists from treating young children, and to evaluate the dentists’ knowledge in regard to infant patient care. Methods: Members of the Ordre des dentistes du Québec were invited to answer to a confidential online survey containing 32 questions. Results: 263 Quebec dentists answered the questionnaire, in totality or partially. The average age recommended for the first dental visit is 21.1 months (±11.8). Dentists who recommend an earlier dental visit are: women (p<0.001), pediatric dentists (p=0.001), dentists who graduated since 2000 (p=0.005), respondents who already knew the recommendation for the a first dental visit at age one (p=0.001), respondents who were familiar with the dental home concept (p=0.01), respondents who knew that dental care is the first reason for general anesthesia among Canadian children (p=0.006) and those who are very interested in following an additional training course in pediatric dentistry (p<0.05). Patient’s behavior and lack of cooperation are the main identified reasons that prevent dentists from treating infants. Conclusion: On average, the participants recommend the first dental visit at 21.1 months, which is later than one year (the age recommended by the Canadian Dental Association). In order to make dentists aware of the importance of the first dental visit before one year old, it would be pertinent for the ODQ to carry out promotional campaigns addressed to dentists as well as Quebec’s general population. It would also be pertinent to increase continuing education on this subject and to include clinical internships with children aged under two in the doctoral programs of general dentistry.
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Assessing Program-Readiness for Dental/Medical Tolerance

Heath, Hayden Lee 05 1900 (has links)
Many clients with developmental and/or intellectual disabilities (ID/DD) do not tolerate routine medical or dental procedures and may require intrusive interventions, including restraint of various types (i.e. chemical, mechanical, physical, etc.) during appointments. Graduated exposure, or stimulus fading, along with reinforcement for compliance, have been shown to increase cooperation and tolerance in some clients; however, many do not respond to these types of interventions. Nine participants diagnosed with ID/DD recieved compliance/tolerance training for routine medical or dental procedures. Results of these interventions were evaluated in the context of several potential indices of readiness, such as medical diagnoses, level of disability, and presence of challenging behavior, among others. Several of the variables appeared to be correlated with program responsiveness; however, a larger sample will be necessary to draw definitive conclusions. Client characteristics and past assessments (anecdotals, preference assessments, terminal probes, and survey data) were evaluated. The analytical framework developed for this analysis may be useful to future researchers and clinicians as a model for assessing readiness for tolerance training programs.
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Pulpotomies avec Biodentine sur dents permanentes traumatisées avec exposition pulpaire

Haikal, Lea 05 1900 (has links)
Objectifs: Le but principal de cette étude prospective multicentrique est d’évaluer les succès clinique et radiographique des pulpotomies avec la Biodentine sur des dents permanentes traumatisées avec exposition pulpaire. Les objectifs secondaires sont d’évaluer si la maturation radiculaire affecte le pronostic du traitement et si la Biodentine cause une décoloration significative de la structure dentaire. Matériel et Méthode: Cette étude a été réalisée dans deux centres hospitaliers universitaires au Canada. Des sujets de moins de 18 ans se présentant avec un traumatisme sur les dents permanentes antérieures ont été invités à participer à cette étude. Les sujets médicalement compromis ainsi que les dents associées à une avulsion ont été exclus. La collecte de données comprenait: les données démographiques des patients, la durée et la taille de l'exposition pulpaire, le traumatisme associé et le stade de maturation radiculaire. Les cas ont été suivis jusqu’à 24 mois post-traitement. Les critères de succès clinique étaient l’absence de symptômes, des tests de vitalités positifs et un sondage normal. Le succès radiologique a été déterminé comme suit: continuation de la maturation radiculaire (apexogenèse) des dents immatures et apparence normale des tissus périradiculaires. Résultats: Quarante-cinq patients, dont 25 hommes et 20 femmes, âgés entre 8 et 16 ans (moyenne 10,86 ± 2,2) ont été inclus dans cette étude. Au total, 51 dents ont été traitées dont 29 dents immatures. Six dents traitées ont été perdues aux suivis et la période de suivi moyenne était de 13 mois (6-24). Les résultats ont montré un taux de survie de 100% et un taux de réussite de 91%. Quatre échecs ont été notés, deux à un mois et les deux autres à sept et 15 mois. Les résultats cliniques ont montré une diminution des symptômes et une augmentation de la positivité des tests de vitalité avec le temps. Huit dents ont présenté une légère décoloration, mais restaient esthétiquement acceptable. Les résultats radiologiques ont montré une formation de ponts dentinaires dans 90% des cas et toutes les dents immatures ont montré une continuation de la maturation radiculaire. Conclusions: Les pulpotomies à la Biodentine ont montré un taux de succès élevé sur des dents antérieures permanentes avec expositions pulpaires traumatiques avec un suivi moyen de 13 mois. Nos résultats montrent que la Biodentine peut constituer une alternative à l’hydroxyde de calcium et au Mineral Trioxide Aggregate et n’entraine pas une décoloration significative de la dent. Finalement, le stade de maturation radiculaire n’a pas affecté le pronostic du traitement. Mots-clés : Pulpotomie, thérapie pulpaire vitale, fracture coronaire avec exposition pulpaire, Biodentine. / Objectives: The aim of this multicentric prospective study was to evaluate the clinical and radiographic outcomes of Biodentine pulpotomies on permanent traumatised teeth with pulp exposure. The secondary objectives were to evaluate if root maturation affects the treatment outcome and to assess color stability of Biodentine. Methods: This study was carried out in two hospital-based dental departments in Canada. Children seeking emergency care following trauma to anterior permanent teeth were invited to participate in this study. Medically compromised children and teeth with concomitant avulsion were excluded. Data collected included: patient demographics, time since pulp exposure, size of exposure, associated trauma and radiographic root maturation stage. The treatment outcome was assessed clinically and radiographically up to 24 months after treatment. Clinical success was determined when a tooth remained asymptomatic and when it responded positively to vitality testing with normal probing. Radiographic success was determined as follow: continuation of root maturation (apexogenesis) in immature teeth and normal appearance of periradicular tissues. Results: Forty-five patients between the age of 8 to 16 years old (mean 10.86 ± 2.2) were included in this study. There were 25 males and 20 females. A total of 51 teeth were treated with a Biodentine pulpotomy of which twenty-nine (57%) had an immature apex. Six teeth were lost to follow-up. The average follow-up period was 13 months (6-24). This study showed a survival rate of 100% and a success rate of 91%. Four failures were noted, two at one month and the others at seven and 15 months post- treatment. Clinical outcomes showed that, over time, tooth sensitivity decreased whereas positive vitality testing increased. Eight teeth showed slight discoloration, however the results remained esthetically satisfying. Radiographic outcomes showed dentinal bridge formation in 90% of cases. All immature teeth showed continued root formation. Conclusions: Biodentine pulpotomies showed a high success rate on anterior permanent traumatized teeth with a pulp exposure at 13 months follow-up. According to our results, Biodentine may be a good alternative to calcium hydroxide and Mineral Trioxide Aggregate vital pulpotomies and did not cause significant discoloration. Finally, root maturation did not affect the treatment outcome. Keywords: Complicated crown fractures, pulpotomy, vital pulp therapy, Biodentine.
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Prévalence de l’aplasie et de l’hypoplasie des glandes salivaires majeures chez les enfants atteints du syndrome de Down (trisomie 21)

Nguyen, Julie Mi 07 1900 (has links)
No description available.
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Étude rétrospective céphalométrique comparant les changements dento-alvéolaires à la suite d’un traitement avec Twin Block, Carrière® Motion 3D™ Appliance et Xbow

El-Khoury, Roland 04 1900 (has links)
Introduction : Le but de cette étude rétrospective est de comparer les changements squelettiques et dento-alvéolaires causés par trois appareils myofonctionnels, soit le Twin Block (TB), le Xbow (Xb) et le Carrière® Motion 3D™ Appliance (CMA), durant la première phase de traitement pour corriger une classe II. Méthodes : Les radiographies céphalométriques latérales prétraitement (T0) et post-traitement myofonctionnel (T1) de 43 adolescents traités par un TB (15), un Xb (7) ou un CMA (21) ont été récupérées et tracées; 12 mesures squelettiques et 10 mesures dentaires ont été analysées. Les différences (T1-T0) ont ensuite été comparées entre les appareils en utilisant l’analyse ANOVA, le test-t indépendant ou le test U de Mann-Whitney. Résultats : Le traitement était, en moyenne, d’une durée de 10,1 ± 3,2 mois avec le TB et de 7,4 ± 2,7 mois avec le CMA. Le groupe TB a connu de plus grands changements au niveau de la longueur et de la position sagittale de la mandibule en augmentant Cd-Pg (3,4 mm), Pg-Go (1,3 mm), N-B (//FH) (1,3 mm) et S-N-B (1,2°) plus que le CMA. Le TB a amélioré le Wits de 2,2 mm plus que le CMA. Le TB a également démontré une plus grande rétroclinaison des incisives supérieures en diminuant U1–FH (4,2°) plus que le CMA. Le CMA a restreint le mouvement antéro-postérieur de la première molaire supérieure tandis que le TB n’a pas eu d’effet significatif sur cette variable. Le seul changement cliniquement significatif résultant du CMA était en lien avec la proclinaison des incisives inférieures, L1–MP (4,1°). Les résultats associés au groupe Xb ont été exclus en raison de la petite taille de l’échantillon. Conclusion : La correction de la classe II est obtenue à l’aide d’une combinaison d’effets squelettiques et dento-alvéolaires avec le TB, mais principalement grâce à des effets dento-alvéolaires avec le CMA. Une taille d’échantillon plus grande est nécessaire afin de mieux comparer les effets du Xb. / Introduction: The objective of this retrospective study is to compare the skeletal and dento-alveolar changes caused by three functional appliances, the Twin Block (TB), the Xbow (Xb), and the Carrière® Motion 3D™ Appliance (CMA), during the first phase of treatment for class II correction. Methods: The pre-treatment (T0) and post-functional treatment (T1) lateral cephalometric radiographs of 43 adolescent patients treated with a TB (15), an Xb (7) or a CMA (21) were recovered and traced, and 12 skeletal and 10 dental measurements were analyzed. The differences (T1-T0) between the appliances will be compared using the ANOVA analysis, independent samples t-tests, or Mann-Whitney U-tests. Results: On average, the treatments lasted 10.1 ± 3.2 months with the TB and 7.4 ± 2.7 months with the CMA. The TB group experienced greater mandibular length and sagittal position changes by increasing Cd-Pg (3.4 mm), Pg-Go (1.3 mm), N-B (//FH) (1.3 mm), and S-N-B (1.2°) more than the CMA. The TB improved the Wits appraisal 2.2 mm more than the CMA. The TB also had a superior retroclining effect on the maxillary incisor inclination and position by reducing U1–FH (4.2°) more than the CMA. The CMA restrained the antero-posterior movement of the maxillary first molar while the TB had no significant effect on this variable. The only clinically significant change that the CMA displayed was in relation to mandibular incisor proclination, L1–MP (4.1°). The results related to the Xb group were excluded due to its very small sample size. Conclusion: Class II correction is achieved by a combination of skeletal and dento-alveolar changes with the TB, but primarily through dento-alveolar effects with the CMA. A bigger sample size is required in order to properly compare the effects of the Xb.
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Validation d’une méthode qualitative pour évaluer l’inclinaison de l’incisive supérieure sur téléradiographies de profil

Nammour, Caroline 04 1900 (has links)
Some orthodontics clinicians apply an empirical method to evaluate the anteroposterior inclination of the upper incisor, in order to visually and qualitatively assess its inclination. It consists in projecting the prolongation of the upper incisor’s axis in relation to the cephalometric point Orbitale (Or) without referring to the conventional cephalometric measures related to the upper incisor. However, this method does not have a scientific basis due to the lack of studies conducted to demonstrate it. Aim: To validate the new measurement I-Or as a reliable method to classify the sagittal inclination of the upper incisor. Method: A total of 305 cephalometric radiographs were selected and classified into three incisor groups: proclined, retroclined, and normal. Cephalometric analyses were performed using standard measures of upper incisor inclination such as I/FH angle, I/NA angle, I/SN angle, and I- NA distance (mm). The shortest distance between the extension of the incisor axis with the Golden point (I-Or) was measured and compared with the I/FH measurement (angle), which was considered the conventional standard to determine the classification of the incisor inclination in this study. Results: There was a statistically significant difference in I-Or values between the 3 groups identified by standard measurement I/FH (p<0.001). I-Or cut-off values of incisors having a normal inclination varied between +2 mm and -4 mm. Conclusion: I-Or is a reliable reference to determine the upper incisor’s inclination in 73% of the cases selected in this study. The sagittal position of the maxilla, the deflection of the incisor axis and cephalometric tracing errors would play a major role in the 27% of cases for which the measurement is not reliable. / Certains cliniciens orthodontistes appliquent une méthode empirique d’observation de l’inclinaison antéro postérieure de l’incisive supérieure, afin d’évaluer visuellement et de façon qualitative son inclinaison. Cette méthode consiste à projeter l’axe de l’incisive par rapport au point céphalométrique Orbitale (Or), et ceci, sans avoir recours au tracé céphalométrique incluant les mesures conventionnelles se rapportant à l’incisive supérieure. Or, cette méthode n’a aucun fondement scientifique en raison de l’absence d’études réalisées pour la démontrer. But : Valider la nouvelle mesure I-Or comme une méthode fiable pour classer l'inclinaison sagittale de l'incisive supérieure. Matériel et Méthodes : Un total de 305 radiographies céphalométriques a été sélectionné et classé en trois groupes d’incisives : proclinées, rétroclinées et normales. Les analyses céphalométriques ont été effectuées en utilisant les mesures standards d’inclinaison de l’incisive supérieure telles que I/FH angle, I/NA angle, I/SN angle et la distance I- NA (mm). La plus courte distance entre le prolongement de l’axe de l’incisive avec le point Or (I-Or) a été mesurée et comparée à la mesure I/FH (angle) qui a été considérée le standard conventionnel pour déterminer la classification de l’inclinaison de l’incisive dans cette étude. Résultats : Il y a une différence statistiquement significative des valeurs I-Or entre les 3 groupes identifiés par la mesure standard I/FH (p<0,001). Les valeurs seuils I-Or des incisives à inclinaison normale étaient de +2 mm et de -4 mm. Conclusion : I-Or est une référence fiable pour déterminer l'inclinaison de l'incisive supérieure dans 73% des cas sélectionnés dans cette étude. La position sagittale du maxillaire, la déflexion de l’axe de l’incisive et les erreurs de traçage céphalométrique joueraient un rôle majeur dans les 27% des cas pour lesquels la mesure n’est pas fiable.
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Histoire naturelle de l'apnée : suivi 5 ans après

Poulin, Justine 07 1900 (has links)
Introduction: Les évidences scientifiques actuelles sur l’apnée du sommeil pédiatrique considérant le développement crâniofacial sont limitées, et l’identification des enfants vulnérables est difficile, car un manque d’évidence existe quant aux facteurs de risque et aux symptômes de cette population. Objectifs: Évaluer l’histoire naturelle de l’apnée du sommeil, de l’enfance à la fin de l’adolescence, afin de récolter de l’information supplémentaire quant à la persistance, la rémission et l’incidence de la maladie, tout en considérant l’impact de la croissance et du développement crâniofacial. Les objectifs secondaires de cette étude sont également d’évaluer la trajectoire des comorbidités associées à l’apnée du sommeil (comportementales et neurocognitives). Matériel et Méthode : La cohorte d’enfants initialement recrutés au CHUSJ, pour qui des troubles de sommeil étaient suspectés, ont été recontactés pour un suivi 5 ans suivant leur date initiale d’évaluation. Dix-neuf enfants ont été réévalués en complétant des examens dentaires et orthodontiques, des questionnaires (Epworth, PSQI, CPRS-R) ainsi qu’une polysomnographie à domicile. Résultats: L’âge moyen des participants adolescents à V2 étaient 12.79 ± 2.74 à. À V2, les garçons (IAH=3.28 ± 2.43) étaient atteints plus sévèrement que les filles (IAH=2.81 ± 2.02), mais de façon non significative (p=0.589). Au suivi 5 ans plus tard (V2), aucun enfant était atteint sévèrement alors que 42% étaient légèrement atteints et 22% souffraient d’une AOS modérée comparativement à V1, où 36% des enfants étaient atteints légèrement, 18% atteints de façon modérée et 18% souffraient d’apnée sévère. La prévalence à V2 est de 63.2% alors que l’incidence est de 54.5%. Un taux de de rémission de 25% a été noté. Aucune caractéristique dentaire ni squelettique a été associée à la présence et à la persistance de l’apnée du sommeil. Conclusion: Les troubles respiratoires ne sont pas nécessairement résolus à l’adolescence, et de nouveaux facteurs de risque, similaires à ceux retrouvés chez l’adulte, font émergence. La connaissance des caractéristiques crâniofaciales associées à l’AOS est essentielle pour optimiser les traitements et maximiser les récurrences. / Introduction: Current scientific studies of the history of pediatric obstructive sleep apnea that consider craniofacial development impacts remain somewhat limited, while there is incomplete global evidence for establishing risk factor and symptom algorithm that adequately identify vulnerable children. Objective: To evaluate the natural history of sleep apnea, from childhood to the end of adolescence, and gather additional information regarding the persistence, remission, and incidence of the disease while considering the impact of growth and craniofacial development. As secondary goals, the study will assess the trajectory of associated sleep apnea comorbidities (behavioral and neurocognitive). Methods: The cohort of children who were initially recruited at the CHUSJ, for whom obstructive sleep apnea was suspected, were recalled for a 5-year follow-up, according to the date of their first evaluation. A total of 19 children were seen to complete dental and orthodontic evaluations, three questionnaires (Epworth, PSQI, CPRS-R) and a home-based polysomnography. Results: The mean age of the adolescent participants at follow-up was 12.79 ± 2.74. At V2, boys (AHI=3.28 ± 2.43) were more severely affected than girls (2.81 ± 2.02) but the difference was not significant (p=0.589). At the 5-year follow-up (V2), none of the children were severely ill but 42% had mild sleep apnea while 22% had moderate apnea comparatively to V1 where 36% had mild apnea, while 18% suffered from moderate apnea and 18% were severely ill. Prevalence at V2 was 63.2% and incidence was 54.5%. Remission rate was 25%. No skeletal or dental features were associated with the presence and persistence of obstructive sleep apnea. Conclusion: Obstructive sleep disordered breathing are not necessarily resolved at adolescence. On the other hand, with the onset of adolescence, new risk factors similar to those we find in adults emerge. In order to maximize treatments outcome and minimize recurrences, knowledge of craniofacial features is essential.
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L’effet d’un antibiotique préopératoire sur le remodelage osseux péri-implantaire et la douleur postopératoire : un essai clinique randomisé contrôlé

Abbaoui, Intissar 07 1900 (has links)
Introduction : Afin de minimiser la morbidité postopératoire et les échecs du traitement dentaire, plusieurs schémas thérapeutiques antibiotiques ont été proposés. Cependant, l’utilisation intensive des antibiotiques dans les soins de santé a été débattue en raison des effets indésirables et la résistance bactérienne. De plus, l’impact des antibiotiques préopératoires sur le niveau osseux péri-implantaire n’est toujours pas clairement établi. Objectifs : L’objectif primaire de cette étude était d’évaluer si l’administration d’un antibiotique préopératoire (azithromycine 500 mg) avant la pose d’implant avait un impact sur les niveaux d’os crestal péri-implantaire après quatre mois chez les patients en bonne santé subissant une pose d’implant simple de type « platform-switching ». Les objectifs secondaires étaient d’évaluer la sévérité de la douleur postopératoire, la morbidité postopératoire associée à la chirurgie implantaire et le taux de survie des implants à quatre mois. Méthodes : Dix-neuf participants ont été recrutés dans un essai clinique randomisé à double insu en groupes parallèles. Les participants du groupe d’intervention ont reçu 500 mg d’azithromycine une heure avant la pose d’implant. Les participants du groupe contrôle ont reçu un placebo identique une heure avant la chirurgie implantaire. Les changements du niveau de l’os crestal péri-implantaire (résultat primaire) ont été mesurés quatre mois plus tard à l’aide de radiographies standardisées. La sévérité de la douleur et la morbidité postopératoire associées à la chirurgie (résultats secondaires) ont été évaluées par des examens cliniques et des questionnaires autoadministrés à une semaine et quatre mois postopératoires. Le taux de survie des implants et la santé péri-implantaire ont été évalués quatre mois après la pose d’implant, avant la mise en charge prothétique. Des analyses descriptives et bivariées ont été utilisées pour analyser les données. Une valeur de P ≤ 0,05 était considérée statistiquement significative. Résultats : Dix-huit participants ont complété l’étude (âge moyen : 52,8 ± 13,9ans). Les changements moyens du niveau osseux péri-implantaire pour le groupe intervention et le groupe contrôle étaient respectivement de -0,79 ± 0,57mm et de -0,35 ± 0,37mm. Il n’y avait pas de différences statistiquement significatives entre les deux groupes en ce qui concerne le remodelage osseux moyen péri-implantaire (-0,44mm (IC 95% : -0,94, +0,55)) et la sévérité de la douleur (P>0,05). Les interférences avec les activités quotidiennes, plus précisément, l’interférence de la chirurgie à ouvrir grand la bouche étaient significativement plus importante chez le groupe antibiotique comparativement au groupe intervention au cinquième jour postopératoire (P<0,05). Le taux de survie des implants était de 100% dans les deux groupes et la santé des tissus péri-implantaires était similaire entre les deux groupes quatre mois après la chirurgie. Conclusion : Les résultats préliminaires de cette étude clinique suggèrent qu’une dose préopératoire d’antibiotique chez les patients en bonne santé ayant une pose d’implant simple de type « platform-switching » n’apporte pas de bénéfice clinique. Des investigations additionnelles de plus grande envergure sont nécessaires afin de confirmer les résultats de cette étude. / Introduction: In order to minimise postoperative morbidity and failures of dental implant therapy, several antibiotic regimens have been proposed. However, the extensive use of antibiotics in health care has been debated due to the adverse effects and bacterial resistance. Furthermore, the impact of preoperative antibiotics on peri-implant bone level remains unclear. Objectives: The primary objective of this study was to assess whether giving a preoperative antibiotic (azithromycin 500mg) before implant placement would influence peri-implant crestal bone levels after four months in healthy patients undergoing straightforward platform-switched implant placement. The secondary objectives were to evaluate postoperative pain severity, surgery-associated morbidities, and four-month implant survival rate. Methods: Nineteen individuals were recruited in a double-masked two-arm randomised clinical trial. Participants in the intervention group received 500mg of azithromycin one hour before implant placement. Participants in the control group took one identical placebo one hour preoperatively. The changes in mesial and distal crestal bone level (primary outcome) were measured at baseline and four-month follow-up using standardised periapical radiographs. Pain severity and surgery-associated morbidities (secondary outcomes) were evaluated by clinical examinations and self-administered questionnaires at one-week and four-month follow-ups. Implant survival rate was assessed at the four-month follow-up. Descriptive and bivariate analyses were used to analyse the data. A P value ≤ 0.05 was considered statistically significant. Results: Eighteen participants completed the study (mean age: 52,8 ±13,9 years). The mean changes in peri-implant bone level for the intervention group and the control group were 0,79 ±0,57 mm and -0,35 ±0,37mm, respectively. There were no statistically significant differences between the two groups in mean change in peri-implant bone level (-0,44mm (95% CI: -0,94, +0,55)) and pain severity (P>0.05). Interferences with daily activities, more specifically the interference of surgery with opening the mouth larger was significantly higher in the antibiotic group compared to the control group (P<0.05) on the fifth postoperative day. The implant survival rate was 100% in both groups and peri-implant tissue health was similar between groups four months after surgery. Conclusion: The preliminary results of this clinical study demonstrates that giving one preoperative dose of antibiotic in healthy patients undergoing straightforward “platform-switching” implant placement does not provide any clinical benefit. Further larger controlled studies are needed to confirm the results of this study.
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Évaluation de la malocclusion des enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique

Pham, Elise-Quyên 02 1900 (has links)
Introduction: L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) est la maladie rhumatologique la plus répandue chez les enfants. Lorsque l’articulation temporo-mandibulaire est touchée, le processus inflammatoire peut causer une perturbation de la croissance cranio-faciale et une destruction du condyle, ce qui peut engendrer des difformités dentofaciales et des malocclusions dentaires. Des facteurs environnementaux, tels que les médicaments et les habitudes parafonctionnelles, ont le potentiel d’influencer la progression de la maladie et, par conséquent, jouer un rôle dans l’étiologie des malocclusions des patients avec AJI. Objectifs : L’objectif principal est de comparer la fréquence et la sévérité des malocclusions des patients avec et sans AJI. L’objectif secondaire est d’investiguer la relation entre la sévérité des malocclusions des patients avec AJI et leurs médicaments et habitudes parafonctionnelles. Méthodes: L’échantillon était divisé en deux groupes: AJI (n=30) et contrôle (n=30). Un questionnaire médical, un examen orthodontique et un examen radiologique ont été complétés pour chaque patient. Résultats : Par rapport au groupe contrôle, les enfants avec AJI avaient plus d’asymétries dentofaciales (p=0.009), de classe II canines (p=0.05) et molaires (p<0.001), de surplombs vertical > 3.5 mm (p=0.011) et horizontal > 5.0 mm (p=0.033) augmentés, des courbes de Spee (p=0.044), de Wilson (p=0.044) et de Monson (p=0.003) accentuées, de chevauchement incisif mandibulaire (p=0.042) et de manque transverse maxillaire (p<0.001). Les médicaments et les habitudes parafonctionnelles n’avaient pas d’impact sur les malocclusions. Conclusion : Les enfants avec AJI avaient des malocclusions plus sévères. Un diagnostic précoce et des traitements médicaux et orthodontiques opportuns sont essentiels pour prévenir les dommages irréversibles causés par la maladie. / Introduction: Juvenile idiopathic arthritis (JIA) is the most common rheumatic disease found in children. In cases affecting the temporomandibular joint (TMJ), the inflammatory process may cause disturbances in craniofacial growth and condylar destruction, both of which can lead to dentofacial deformities and dental malocclusions. Environmental factors such as medication and parafunctional habits have the potential to influence the disease progression and therefore play a role in the etiology of malocclusions of children with JIA. Objectives: The main objective of this study was to compare the frequency and the severity of malocclusions of patients with and without JIA. The secondary objective was to investigate the relationship between the severity of malocclusions of patients with JIA and their medication and parafunctional habits. Methods: The sample was divided into two groups: JIA (n=30) and control (n=30). A health questionnaire, an orthodontic examination, and radiographic records were completed for each patient. Results: Compared to the control group, children with JIA had more dentofacial asymmetry (p=0.009), Class II canine (p=0.05) and molar (p<0.001) relationships, increased overbite > 3.5 mm (p=0.011) and overjet > 5.0 mm (p=0.033), accentuated curves of Spee (p=0.044), Wilson (p=0.029) and Monson (p=0.003), lower incisor crowding (p=0.042) and maxillary transverse discrepancy (p<0.001). Medication and parafunctional habits did not influence malocclusions. Conclusion: Children with JIA have more severe malocclusions. An early diagnosis and timely medical and orthodontic treatment are crucial to prevent the irreversible damage caused by the disease.
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Analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque des enfants atteints d’apnée obstructive et de bruxisme du sommeil

St-Pierre, Laurie 12 1900 (has links)
Introduction : L'apnée obstructive du sommeil (AOS) et ses comorbidités (tel le bruxisme du sommeil (BS)) sont associées à des fluctuations du système nerveux autonome (SNA) chez les adultes et les enfants. La variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), qui concerne, entre autres, la fluctuation des intervalles de temps entre les battements cardiaques adjacents, est une méthode non invasive et reproductible d'évaluation de la modulation du SNA. Objectif : Évaluer l'effet individuel et potentiellement cumulatif de ces conditions sur la VFC de la population pédiatrique. Méthodes : Des questionnaires dentaires et de bruxisme ont été remplis par les parents. Les enfants ont subi une évaluation dentaire et un enregistrement polysomnographique. La VFC a été analysée dans une fenêtre de référence de 5 minutes ainsi que dans des fenêtres de 4x3 minutes avant et après les événements d’AOS ou de BS. Résultats : Un total de 41 enfants ont été classés en sous-groupes : BS, contrôle et AOS+BS. Le rapport de puissance spectrale Basse Fréquence/Haute Fréquence (BF/HF), qui est connu pour utiliser les transformations de Fourier rapide, était plus élevé dans le groupe AOS + BS que dans le groupe contrôle (p = 0,01) et le groupe BS (p = 0,04) pour toutes les fenêtres d’analyse combinées (B0-B8). Dans le domaine temporel de la VFC, l'écart type des intervalles RR (SDNN) des fenêtres était plus élevé après chaque événement (B5 à B8) que la ligne de base (B0) pour les 3 groupes (p < 0,05). Conclusion : La VFC est différente entre les trois groupes. / Introduction: Obstructive sleep apnea (OSA) and its comorbid conditions (such as sleep bruxism (SB)) are associated with an autonomic nervous system (ANS) fluctuation in adults and children. Heart rate variability (HRV), which is concerned with, among other things, the fluctuation of the time intervals between adjacent heartbeats, is a non-invasive and reproducible method of assessing the modulation of the ANS. Aim: To assess the individual and potentially cumulative effect of these conditions on HRV in the pediatric population. Methods: Dental and bruxism questionnaires were completed by the parents. Children underwent a dental assessment and polysomnographic recording. HRV was analyzed in a 5-minute baseline windows as well as in 4x3-minute windows before and after OSA or SB events. Results: A total of 41 children were classified into subgroups: SB, control and OSA+SB. The Low Frequency/High Frequency (LF/HF) power ratio, which is known to use Fast Fourier Transforms, was higher in the AOS + SB group than in the control group (p = 0.01) and the SB group (p=0.04) for all analysis windows combined (B0-B8). In the time domain of the HRV, the standard deviation of the RR intervals (SDNN) of the windows was higher after each event (B5 to B8) than the baseline (B0) for the 3 groups (p < 0.05). Conclusion: HRV is different between the three groups.

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