• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 4
  • 2
  • Tagged with
  • 11
  • 11
  • 11
  • 9
  • 9
  • 9
  • 8
  • 6
  • 6
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Comparaison des perceptions des enfants atteints d'arthrite juvénile et de celles de leurs parents concernant l'observance aux traitements et son impact sur la qualité de vie

Toupin April, Karine January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
2

The impact of child's functional severity on parental coping in two cohorts : children with juvenile idiopathic arthritis and children with physical disabilities

Cavallo, Sabrina January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
3

Portrait des patients atteints d’arthrite juvénile idiopathique d’une clinique spécialisée d’articulation temporo-mandibulaire et des ressources disponibles pour cette population dans les hôpitaux pédiatriques canadiens

Nguyen, Jasmine T. 06 1900 (has links)
Objectifs : L’objectif principal de cette étude était de décrire les caractéristiques des patients atteints d’arthrite juvénile idiopathique (AJI) qui ont fréquenté la nouvelle clinique dentaire spécialisée de l’articulation temporo-mandibulaire (ATM) développée au Centre hospitalier universitaire (CHU) Sainte-Justine. L’objectif secondaire visait à établir un portrait des ressources actuellement disponibles dans les hôpitaux pédiatriques canadiens pour les patients ayant un diagnostic d’AJI avec atteinte de l’ATM. Méthodes : Une collecte de données rétrospective des patients vus à la clinique spécialisée du CHU Sainte-Justine a été effectuée à partir des dossiers informatiques des patients. Les données comprenaient le sexe, l’âge, la spécialité du dentiste qui a vu le patient, le référent, le diagnostic, le type d’AJI, l’atteinte et la localisation à l’ATM, les symptômes, les plaintes signalées par le patient, le type d’imagerie utilisé, les traitements reçus et autres. Pour la deuxième partie de l’étude, des questionnaires ont été envoyés aux départements de rhumatologie et de médecine dentaire des 13 hôpitaux pédiatriques canadiens. Résultats : 86 patients atteints d’AJI de la clinique spécialisée ont été inclus, dont 42 % avaient une atteinte de l’ATM. L’imagerie panoramique était l’imagerie la plus prescrite chez les patients atteints d’AJI (91 %). Sept hôpitaux ont été inclus dans la deuxième partie de l’étude. Deux hôpitaux avaient une clinique spécialisée de l’ATM. Les réponses transmises entre les départements du même hôpital ne concordaient pas concernant les types d’imageries et de dentistes spécialistes accessibles. Conclusion : Les données des patients du CHU Sainte-Justine ne présentent pas d’écarts significatifs avec celles de la littérature. Les résultats des sondages montrent que peu d’hôpitaux pédiatriques canadiens disposent d’une clinique spécialisée de l’ATM pour l’AJI et que les rhumatologues ne semblent pas au fait de la prise en charge des patients atteints d’AJI par les différents dentistes spécialistes. / Objectives: The primary objective was to describe the characteristics of patients with juvenile idiopathic arthritis (JIA) in a newly developed specialized temporomandibular joint (TMJ) dental clinic at the Centre hospitalier universitaire (CHU) Sainte-Justine. The secondary objective aimed to describe a current portrait of the resources available in Canadian pediatric hospitals for JIA patients with TMJ involvement. Methods: A retrospective data collection of patients seen in the CHU Sainte-Justine specialized clinic was done from patient computer records. The data included sex, age, specialty of the dentist seen by the patient, referral source, diagnosis, JIA type, damage and location at the TMJ, symptoms, complaints reported by the patient, type of imaging used, treatments received and other. For the second part of the study, questionnaires were sent to the departments of rheumatology and dentistry of 13 Canadian pediatric hospitals. Results: A total of 86 JIA patients from the specialized clinic were included, of which 42% had TMJ involvement. The panoramic radiograph was the most prescribed imaging in patients with JIA (91%). A total of seven hospitals were included in the second part of the study. Two hospitals surveyed had a specialized TMJ clinic. Many results regarding the types of imaging and dental specialists accessible did not agree between the rheumatology and dentistry questionnaires within the same hospital. Conclusion: Most data from the CHU Sainte-Justine is consistent with findings in the literature. Results from surveys show that few Canadian pediatric hospitals have a specialized TMJ clinic for JIA and rheumatologists seem to lack understanding in the management of patients with JIA by different dental specialists.
4

Évaluation de la malocclusion des enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique

Pham, Elise-Quyên 02 1900 (has links)
Introduction: L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) est la maladie rhumatologique la plus répandue chez les enfants. Lorsque l’articulation temporo-mandibulaire est touchée, le processus inflammatoire peut causer une perturbation de la croissance cranio-faciale et une destruction du condyle, ce qui peut engendrer des difformités dentofaciales et des malocclusions dentaires. Des facteurs environnementaux, tels que les médicaments et les habitudes parafonctionnelles, ont le potentiel d’influencer la progression de la maladie et, par conséquent, jouer un rôle dans l’étiologie des malocclusions des patients avec AJI. Objectifs : L’objectif principal est de comparer la fréquence et la sévérité des malocclusions des patients avec et sans AJI. L’objectif secondaire est d’investiguer la relation entre la sévérité des malocclusions des patients avec AJI et leurs médicaments et habitudes parafonctionnelles. Méthodes: L’échantillon était divisé en deux groupes: AJI (n=30) et contrôle (n=30). Un questionnaire médical, un examen orthodontique et un examen radiologique ont été complétés pour chaque patient. Résultats : Par rapport au groupe contrôle, les enfants avec AJI avaient plus d’asymétries dentofaciales (p=0.009), de classe II canines (p=0.05) et molaires (p<0.001), de surplombs vertical > 3.5 mm (p=0.011) et horizontal > 5.0 mm (p=0.033) augmentés, des courbes de Spee (p=0.044), de Wilson (p=0.044) et de Monson (p=0.003) accentuées, de chevauchement incisif mandibulaire (p=0.042) et de manque transverse maxillaire (p<0.001). Les médicaments et les habitudes parafonctionnelles n’avaient pas d’impact sur les malocclusions. Conclusion : Les enfants avec AJI avaient des malocclusions plus sévères. Un diagnostic précoce et des traitements médicaux et orthodontiques opportuns sont essentiels pour prévenir les dommages irréversibles causés par la maladie. / Introduction: Juvenile idiopathic arthritis (JIA) is the most common rheumatic disease found in children. In cases affecting the temporomandibular joint (TMJ), the inflammatory process may cause disturbances in craniofacial growth and condylar destruction, both of which can lead to dentofacial deformities and dental malocclusions. Environmental factors such as medication and parafunctional habits have the potential to influence the disease progression and therefore play a role in the etiology of malocclusions of children with JIA. Objectives: The main objective of this study was to compare the frequency and the severity of malocclusions of patients with and without JIA. The secondary objective was to investigate the relationship between the severity of malocclusions of patients with JIA and their medication and parafunctional habits. Methods: The sample was divided into two groups: JIA (n=30) and control (n=30). A health questionnaire, an orthodontic examination, and radiographic records were completed for each patient. Results: Compared to the control group, children with JIA had more dentofacial asymmetry (p=0.009), Class II canine (p=0.05) and molar (p<0.001) relationships, increased overbite > 3.5 mm (p=0.011) and overjet > 5.0 mm (p=0.033), accentuated curves of Spee (p=0.044), Wilson (p=0.029) and Monson (p=0.003), lower incisor crowding (p=0.042) and maxillary transverse discrepancy (p<0.001). Medication and parafunctional habits did not influence malocclusions. Conclusion: Children with JIA have more severe malocclusions. An early diagnosis and timely medical and orthodontic treatment are crucial to prevent the irreversible damage caused by the disease.
5

Usability testing of JIActiv, a social media-based program promoting engagement in physical activity among young people living with juvenile idiopathic arthritis

Ahmadian Sangkar, Zeinab 03 1900 (has links)
L'arthrite juvénile idiopathique (AJI) est une maladie chronique infantile d'origine inconnue caractérisée par de la douleur chronique, des enflures articulaires et de la fatigue. Malgré les effets positifs de l'activité physique (AP) sur les symptômes reliés à l’arthrite et la santé générale, les jeunes atteints d'AJI adoptent souvent un mode de vie sédentaire. Par conséquent, ils sont plus à risque de développer d’autres maladies chroniques telles les maladies cardio-vasculaires. Cela nécessite l’accès à un programme efficace pour inciter ces personnes à faire de l'AP. En réponse à ceci, notre équipe a développé le programme ActiJI livré sur Instagram promouvant l’engagement à l’AP auprès des jeunes personnes vivant avec l’AJI. La présente étude évalue l’utilisabilité d’ActiJI en ciblant la satisfaction et la performance d’utilisation parmi les jeunes atteints d'AJI. Une étude qualitative descriptive a été utilisée. Des adolescents (âgés de 13 à 17 ans) et des jeunes adultes (âgés de 18 à 25 ans) atteints d'AJI ont été recrutés via des associations patients, des centres hospitaliers et de réadaptation. Au total, 28 participants (âge moyen = 18,69 ans) ont complété des entretiens semi-dirigés sur deux cycles itératifs via Zoom (Enterprise Version 5.0.2). Les verbatims ont été transcrits, puis triés, organisés et codés avec MAXQDA 11 selon les recommandations de Huberman et al.. Le processus de codage s'est appuyé sur six thèmes ancrés dans les principes théoriques de l’utilisabilité et définis par les équipes de recherche, ceux-ci comprenaient la confidentialité et la sécurité, l'esthétique du design, les fonctionnalités, l'organisation, la connexion sociale et le contenu de la page. Nos résultats démontrent que le programme ActiJI est vu comme étant sécuritaire, convivial, et est apprécié pour ses activités de groupe et les interactions entre pairs. En particulier, le soutien éventuel offert par les professionnels de santé et les pairs motiveraient les jeunes atteints d'AJI à s'engager davantage dans l'AP. Les participants rapportent que le programme ActiJI est facilement utilisable, et que la page Instagram peut être naviguée efficacement. Les recommandations des participants ont été intégrées au programme ActiJI. Une prochaine étude visera à évaluer la faisabilité d’ActiJI. / Juvenile idiopathic arthritis (JIA) is the most common childhood chronic rheumatic condition of unknown origin and is characterized by chronic pain, joint inflammation and fatigue. Despite the benefits of physical activity (PA) in mitigating arthritis symptoms and for general health, young people with JIA have a greater tendency to adopt a sedentary lifestyle rather than engage in PA. Consequently, these young people are at greater risk for other chronic health conditions such as cardiovascular disease. Access to innovative and attractive means of promoting PA among these young people is sorely needed. In response to this need, our team developed JIActiv an Instagrambased program promoting physical activity among young people living with JIA. The current study aimed to assess the usability of the JIActiv program in terms of user performance and the level of satisfaction among adolescents and young adults living with JIA. We used a descriptive qualitative study design. Adolescents (ages 13 to 17 years) and young adults (aged 18 to 25 years) living with JIA were recruited from rheumatology clinics in rehabilitation and hospital centers, as well as through patient organizations. A total of 28 young people (mean age = 18.69, SD=± 2.28 years) completed semi-structured interviews over two iterative cycles using Zoom (Enterprise Version 5.0.2). The audio recordings of the interviews were transcribed word by word, then sorted, organized, and coded using MAXQDA 11 software following recommendations by Huberman et al.. The coding process was based on six themes anchored within the theoretical principals of usability testing and were specified by the research teams, which included privacy and safety, design aesthetics, functionalities, organization, social connection, and content of the page . Our findings have shown that the JIActiv program is viewed as secure and user-friendly. Participants appreciated the group activities and peer interactions. Notably, the potential support offered by healthcare professionals and peers may motivate those living with JIA to engage more in PA. Study participants reported that the JIActiv program was easy to use, and they navigated the Instagram page effectively. Participant recommendations were integrated within the JIActiv program. A subsequent study will assess the feasibility of JIActiv.
6

Étude de l’impact de la prise de médicaments dans le traitement de l’arthrite juvénile sur les événements néfastes à l’accouchement chez la mère et son bébé

Zehr, Justine 09 1900 (has links)
L'obtention des données a été subventionnée par CIORA (Canadian Initiative for Outcomes in Rheumatology Care). CIORA a aussi financé l'analyse des données effectuées par Justine Zehr. L'Initiative Canadienne Pour Des Resultats En Soins Rhumatologiques (ICORA) a financé l'obtention des données et une partie de l'analyse statistique présentée dans ce mémoire. / La plupart des femmes ayant été atteintes d’arthrite juvénile idiopathique (AJI) continuent de souffrir d’arthrite à l’âge adulte. Certains des médicaments utilisés dans le traitement de l’arthrite tels que les corticostéroïdes et les antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS) ne sont pas recommandés durant la grossesse. Le but de ce mémoire est d’estimer l’impact de la prise de ces médicaments sur les événements néfastes à l’accouchement chez ces femmes et leur bébé. Des données administratives sur les prescriptions de médicaments et les hospitalisations d’une cohorte de 1756 femmes ayant souffert d’AJI sont utilisées. Elles ont permis de reconstruire l’historique de consommation de médicaments contre l’arthrite chez les femmes durant la grossesse et l’année précédente. Pour ce faire, deux sous-cohortes de femmes ayant souffert d’AJI ont été formées : une pour la période grossesse et une autre pour la grossesse et l’année précédant celle-ci. Les événements d’intérêt étaient : malformations congénitales, complications néonatales, complications maternelles et petit poids pour l’âge gestationnel. Les proportions de cas présentant l’un de ces événements variaient entre 11,52% et 37,08%. Les médicaments ont été modélisés en terme d’utilisation ou de durée totale de consommation durant la période d’étude. Pour chaque événement, des modèles logistiques ont été estimés pour mesurer l’association entre la prise de médicaments et l’événement, en ajustant pour des variables de confusion potentielles : hypertension avant la grossesse, âge à l’accouchement et obtention du diplôme de secondaire. La consommation de corticostéroïdes semble augmenter statistiquement significativement le risque de présenter des malformations congénitales mais n’avoir aucun impact sur les autres événements. Aucun lien statistiquement significatif n’a été observé entre la consommation de AINS et les événements d’intérêt. / Most women diagnosed with juvenile idiopathic arthritis (JIA) continue to suffer from arthritis in adulthood. Some of the drugs used to treat arthritis such as corticosteroids and non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) are not recommended during pregnancy. The objective of this thesis is to estimate the impact of these drugs on adverse birth outcomes in women previously diagnosed with JIA and their baby. Administrative data on drug prescriptions and hospitalizations in a cohort of 1756 women with a history of JIA were used to determine individual histories of drug use for the treatment of arthritis during pregnancy and during the year leading to the pregnancy. Two sub-cohorts of women who suffered from JIA were created : one corresponding to the pregnancy and the other to the pregnancy and the year leading to the pregnancy. The events of interest were : congenital anomalies, neonatal adverse outcomes, maternal adverse outcomes and small for gestational age babies. Proportions of the events ranged between 11,52% and 37,08%. Drugs were modelled in terms of use or duration of use during each of the study periods. Logistic regression models were fitted to measure the association between drugs and each of the events, adjusting for the following potential confounding variables : hypertension before pregnancy, maternal age and graduating from high school. The consumption of corticosteroids was associated with a statistically significant increased risk of congenital anomalies but had no impact on the other adverse events. No statistically significant associations were observed between consumption of NSAIDs and the adverse events of interest.
7

Efficacité et tolérance des agents biologiques dans les rhumatismes inflammatoires à début juvénile dans les essais cliniques randomisés et les études observationnelles / Efficacy and safety of biological agents in juvenile inflammatory rheumatic diseases : from randomized clinical trials and observational studies

Cabrera Rojas, Natalia 30 September 2019 (has links)
Les rhumatismes inflammatoires juvéniles sont des maladies chroniques débutant avant l’âge de 16 ans. Comprennent des pathologies classées dans un continuum, allant de la dérégulation de l’immunité innée à la dérégulation de l‘immunité adaptative. L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) reste la plus fréquemment diagnostiqué. Les options thérapeutiques se sont élargies à partir des années 2000 avec le développement des thérapies ciblées, les biothérapies, associés aux traitements standard utilisés en rhumatologie pédiatrique (ex : anti-inflammatoires non stéroïdiens, corticostéroïdes, méthotrexate, et autres immunosuppresseurs). L’objectif de ce travail de thèse était d’estimer la relation bénéfice-risque des biothérapies utilisés dans les rhumatismes inflammatoires juvéniles à partir des essais cliniques randomisés (ECR) et d’explorer la tolérance à long cours à partir des essais observationnels. Premièrement, en utilisant une approche méta-analitique, les données des ECR en double aveugle contre placebo ou en ouvert dans l’AJI ont été analysées pour modéliser la relation bénéfice-risque des biothérapies avec le bénéfice net. Pour cela, l’efficacité clinique, mesuré par un score composite clinique et biologique (ACRped30), a été confronté à la tolérance clinique pendant la phase randomisée des ECR. Le critère de tolérance était la survenue d’un évènement indésirable (EI) grave (EIG). La balance bénéfice-risque reste favorable pour les biothérapies. Cependant, ces résultats sont limités par le suivi de faible durée, qui peut sous-estimer l’incidence des EI. Deuxièmement, nous avons conduit une étude observationnelle pour étudier la tolérance à moyen et long-terme des biothérapies utilisant les EI et les EIG décrits dans une base de données multicentrique rétrospective. La sécurité globale des biothérapies a été acceptable chez les enfants atteints de rhumatismes inflammatoires. Nous avons observé une variation des EIG au cours du temps et que la prescription concomitante des immunosuppresseurs a représenté un risque indépendant pour la survenue des EI. Afin d’explorer ces éléments et connaître la tolérance au long-terme, une méta-analyse des études observationnelles a été fait. Nous avons utilisé les EIG pour étudier précisément la tolérance à court et à long terme / Juvenile inflammatory rheumatism is a chronic disease that begins before the age of 16. Includes conditions classified along a continuum, ranging from the deregulation of innate immunity to the deregulation of adaptive immunity. Juvenile idiopathic arthritis (JIA) remains the most frequently diagnosed disease. Therapeutic options have expanded since the 2000s with the development of targeted therapies: biological agents (BAs). They can be combined with standard treatments used in paediatric rheumatology (e.g. non-steroidal anti-inflammatory drugs, corticosteroids, methotrexate, and other immunosuppressive drugs). The objective of the work of this thesis was to model the benefit-risk balance of BAs used in JIA from randomized clinical trials (RCTs) and to explore long-term tolerance from observational trials. First, using a meta-analytical approach, the data from double-blind, placebo-controlled or open RCTs in JIA were analysed for modelling the benefit-risk balance of BAs. For this purpose, the efficacy measured by a composite clinical and biological score (ACRped30), was compared with clinical safety during the randomized phase of RCTs. Safety criterion was the occurrence of adverse events (AEs). The risk-benefit balance remains favourable for biotherapies. However, these results are limited by the short follow-up period, which may underestimate the incidence of AEs. Second, we conducted an observational study to investigate the medium- and long-term safety of biotherapies using AEs and serious AEs described in a retrospective multicentre database. The overall safety of biotherapies has been acceptable in children with inflammatory rheumatic diseases. We observed a variation in the SAEs over time and that the concomitant prescription of immunosuppressants represented an independent risk for the occurrence of AEs. In order to explore these elements and long-term safety, a meta-analysis of observational studies was conducted. We used the SAEs to study precisely the short and long-term tolerance
8

The impact of early intra-articular corticosteroid injections on the outcome of oligoarticular juvenile idiopathic arthritis

Barsalou, Julie 08 1900 (has links)
Contexte Un objectif important de la prise en charge de l'arthrite juvénile oligoarticulaire serait d'altérer le cours de la maladie à l'aide d'une thérapie hâtive. Nous avons étudié l'effet des injections intra-articulaires de corticostéroïdes hâtives sur les chances d'atteindre un décompte d'articulation active de zéro et une maladie inactive. Méthode Les données démographiques, cliniques et thérapeutiques des patients avec oligoarthrite juvénile enrôlés dans une étude prospective longitudinale pancanadienne ont été collectées pendant 2 ans. Une injection hâtive était définie comme étant reçue dans les 3 premiers mois suivant le diagnostic. Les équations d'estimation généralisées ont été utilisées pour l'analyse statistique. Résultats Trois cent dix patients ont été inclus. Cent onze (35.8%) ont reçu une injection hâtive. Ces derniers avaient une maladie plus active lors de l'entrée dans l'étude. Les patients exposés à une injection hâtive avaient une chance similaire d'obtenir un décompte d'articulation active de zéro, OR 1.52 (IC95% 0.68-3.37), p=0.306 mais étaient significativement moins à risque d'avoir une maladie inactive, OR 0.35 (IC95% 0.14-0.88), p=0.026. Interprétation Dans cette cohorte de 310 patients avec oligoarthrite juvénile, les injections hâtives de corticostéroïdes n'ont pas mené à une probabilité plus élevée d'atteindre un décompte d'articulation active de zéro ou une maladie inactive. Des problématiques méthodologiques intrinsèques à l'utilisation de données observationnelles pour fins d'estimation d'effets thérapeutiques auraient pu biaiser les résultats. Nous ne pouvons affirmer avec certitude que les injections hâtives n'améliorent pas le décours de la maladie. Des études prospectives adressant les limitations soulevées seront requises pour clarifier la question. / Background One of the goals in oligoarticular juvenile idiopathic arthritis would be to alter the disease course with early therapy. We examined the association between early intra-articular corticosteroid injections and the achievement of an active joint count of zero and inactive disease during the first two years after study enrollment. Methods We included oligoarticular juvenile idiopathic arthritis patients enrolled into a prospective longitudinal cohort across Canada. Demographic, clinical and treatment-related information were collected. Early intra-articular corticosteroid injections was defined as having received the first injection within 3 months of diagnosis. Generalized estimating equations were used for data analysis. Results A total of 310 patients were included, of whom 111 (35.8%) received an early injection. Participants who received an early injection had more severe disease at baseline. Patients exposed to early injections had a similar chance to achieve an active joint count of zero, OR 1.52 (95%CI 0.68-3.37), p=0.306 but were significantly less likely to achieve inactive disease, OR 0.35 (95%CI 0.14-0.88), p=0.026. Interpretation In this cohort of 310 oligoarticular juvenile idiopathic arthritis patients, early intra-articular corticosteroid injections did not result in an increased risk of achieving an active joint count of zero or inactive disease. Methodological issues encountered when estimating treatment effect using observational data might have biased the estimates obtained. Firm conclusion on the inefficacy of early injections in improving outcomes in this population cannot be drawn from this study. Prospective studies addressing the limitations raised will be needed to clarify if early injections can alter the disease course.
9

Utilisation des médecines complémentaires par les enfants atteints d'arthrite juvénile idiopathique et d'incapacités physiques

Toupin April, Karine 03 1900 (has links)
Contexte : Les enfants atteints de maladies chroniques utilisent souvent des médecines complémentaires. Plusieurs études traitent de l’utilisation de ces traitements et des facteurs qui y sont associés chez les enfants atteints d’arthrite juvénile mais aucune étude n’est longitudinale. De plus, aucune n’a documenté l’utilisation de ces traitements chez les enfants ayant des incapacités physiques en attente de services publics de réadaptation. Objectifs : Les objectifs de cette étude étaient de déterminer la fréquence d’utilisation des médecines complémentaires chez les enfants atteints d’arthrite juvénile et d’incapacités physiques, d’évaluer leur efficacité telle que perçue par les parents et d’explorer les facteurs associés à leur utilisation. Méthodes : Une cohorte d’enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique (n=182, âge moyen : 10,2 ans) qui fréquentent des cliniques d’arthrite et une cohorte d’enfants ayant des incapacités physiques en attente de services de réadaptation publics (n=224, âge moyen : 2,6 ans) ont été suivis durant une période d’un an. L’utilisation des médecines complémentaires et la perception de leur efficacité d’après les parents ont été évaluées à l’aide de statistiques descriptives à chaque trois mois pour la cohorte d’enfants atteints d’arthrite et au début de l’étude pour la cohorte d’enfants ayant des incapacités physiques. Les facteurs associés à l’utilisation de ces traitements ont été explorés par des analyses de type GEE (« Generalized estimating equations ») et des régressions polytomique et logistique. Résultats : L’utilisation antérieure de ces médecines était de 51,1% pour les enfants atteints d’arthrite et de 15% pour les enfants ayant des incapacités physiques. Les médecines complémentaires étaient considérées comme étant efficaces dans 72% des cas par les parents d’enfants atteints d’arthrite et dans 83% des cas par les parents d’enfants ayant des incapacités physiques. Les facteurs associés à l’utilisation des médecines complémentaires chez les enfants atteints d’arthrite étaient l’utilisation antérieure des médecines complémentaires par les parents et la perception des parents que les médicaments prescrits ne sont pas utiles pour leur enfant. Chez les enfants ayant des incapacités physiques, les facteurs associés à l’utilisation des médecines complémentaires étaient l’origine culturelle canadienne, un niveau de scolarité plus élevé que le diplôme d’études secondaires et une moins bonne qualité de vie reliée à la santé. Finalement, l’utilisation des médecines complémentaires semblait associée à de moins bons résultats chez les enfants atteints d’arthrite. Conclusion: Une proportion non-négligeable des enfants participant à la présente étude ont utilisé des médecines complémentaires. Leur utilisation était plus fréquente chez les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique, surtout chez ceux dont les parents avaient déjà utilisé les médecines complémentaires par le passé et chez ceux qui trouvaient la médication peu efficace. Chez les enfants ayant des incapacités physiques, l’utilisation des médecines complémentaires était associée à des facteurs socio-démographiques et à des besoins plus élevés en matière de santé. Les médecines complémentaires étaient considérées comme étant efficaces dans les deux cohortes mais leur utilisation était associée à de faibles résultats chez les enfants atteints d’arthrite. Ces résultats démontrent l’importance d’évaluer l’utilisation des médecines complémentaires afin de mieux renseigner les parents et de les aider à prendre les meilleures décisions possibles concernant le traitement de leur enfant. / Background: Children with chronic diseases often use complementary and alternative health care (CAHC). Several studies described the use of these treatments and the factors associated with it. However, no longitudinal studies were conducted to determine the use of these treatments over time. Furthermore, no study has evaluated CAHC use in children who were waiting for public rehabilitation services. Objective: The aim was to determine the frequency of CAHC use in children with juvenile idiopathic arthritis (JIA) and children with various physical disabilities (PD), to evaluate its effectiveness from the parents’ points of view and to explore the factors associated with their utilization. Methods: A cohort of children with JIA (n=182, mean age: 10.2 years) who attended arthritis clinics and a cohort of children with physical disabilities (n=224, mean age: 2.6 years) waiting for public rehabilitation services were followed for one year. We evaluated the use of CAHC and its effectiveness from the parents’ points of view at three month intervals for children with JIA and at the beginning of the study for children with PD, using descriptive statistics. We explored factors associated with their utilization, using GEE (“Generalized estimating equations »), polytomous and logistic regression. Results : Previous use of CAHC was 51.1% for children with JIA and 15% for children with PD. CAHC was considered beneficial in 72% of the cases by parents of children with JIA and in 83% of the cases by parents of children with PD. Factors associated with higher use of CAHC in children with JIA were previous use of CAHC by parents and lower perceived helpfulness of prescribed medications (p<0.05). In children with PD, factors associated with higher use of CAHC were Canadian cultural background, mother’s level of education higher than high school and lower health-related quality of life. Finally, in children with JIA, CAHC use was associated with worse outcomes. Conclusions: Many children in our study used CAHC. Its use was more common in children with JIA, particularly among those whose parents used it previously and found medications to be less helpful. For children with PD, use of CAHC was associated with socio-demographic factors as well as higher children’s health needs. CAHC were perceived to be beneficial in both cohorts but its use was associated with worse outcomes for children with JIA. This underlines the importance for health professionals to evaluate CAHC use in order to better inform parents, which may help them make the best decisions regarding their child’s treatment.
10

Participation in leisure and physical activity among children and adolescents with juvenile idiopathic arthritis

Cavallo, Sabrina 05 1900 (has links)
Contexte: L’arthrite juvénile idiopathique (AJI) est l’une des maladies chroniques auto-immune les plus répandues chez les enfants et est caractérisée par des enflures articulaires (maladie active), de la douleur, de la fatigue et des raideurs matinales pouvant restreindre leur niveau de participation aux activités quotidiennes (par exemple: les loisirs, l’activité physique, la mobilité et les soins personnels) à la maison comme à l’école. Participer aux activités de loisirs et à l’activité physique a des bienfaits au niveau de la santé et du développement de tous les enfants et démontrent aussi des effets positifs qui réduisent les symptômes des maladies chroniques telle l’AJI. Malgré ces bienfaits la participation aux loisirs chez les jeunes avec l’AJI demeure largement sous-étudiée. Objectifs: Cette étude vise à évaluer le niveau de participation aux loisirs et à l’activité physique chez les enfants et les adolescents atteints d’AJI, ainsi qu’à identifier les facteurs liés à la maladie, la personne et l’environnement. Méthodes : L’évaluation du niveau de participation et l’exploration des facteurs associés aux loisirs et à l’activité physique ont été complétés par l’entremise d’une revue systématique de la littérature, l’analyse de données d’un échantillon national représentatif d’enfants canadiens atteints d’arthrite âgés entre 5 et 14 ans (npondéré = 4350), ainsi que l’analyse standardisée du niveau de participation aux loisirs à l’aide du Children’s Assessment of Participation and Enjoyment (n=107) et la mesure objective de l’activité physique par accéléromètre (n=76) auprès d’un échantillon d’enfants (âgés entre 8 et 11 ans ) et d’adolescents (âgés entre 12 et 17 ans) suivis en clinique de rhumatologie à l’hôpital de Montréal pour enfants, Centre Universitaire de Santé McGill. Les résultats cliniques ont été comparés à des données normatives, ainsi qu’à un groupe contrôle sans AJI. Nous avons exploré les facteurs associés avec le niveau de participation aux loisirs et à l’activité physique en utilisant les modèles de régression linéaire multiple et l’analyse hiérarchique. Résultats : Les enfants et les adolescents atteints d’AJI participent à une multitude d’activités de loisirs; cependant ils sont moins souvent impliqués dans des activités physiques et de raffinement en comparaison aux autres types d’activités de loisirs. Ceux avec l’AJI étaient en général moins actifs que leurs pairs sans arthrite et la plupart n’atteignaient pas les recommandations nationales d’activité physique. Les garçons avec l’AJI participent plus souvent à des activités physiques et moins aux activités sociales, de raffinement et de développement de soi en comparaison avec les filles ayant l’AJI. En général, être un garçon, être plus âgé, avoir une meilleure motivation pour participer aux activités de motricité globale, avoir un statut socio-économique plus élevé et être d’origine culturelle canadienne sont associés à un niveau de participation plus élevé aux activités physiques. La préférence pour les activités de raffinement, un niveau d’éducation maternelle plus élevé et être une fille étaient associés à un niveau de participation plus élevé aux activités de raffinement. Conclusion: La participation aux loisirs et à l’activité physique en AJI est un concept complexe et semble surtout être expliqué par des facteurs personnels et environnementaux. L’identification des facteurs associés aux loisirs et à l’activité physique est très importante en AJI puisqu’elle peut permettre aux professionnels de la santé de développer des interventions significatives basées sur les activités préférées des enfants, améliorer l’observance au traitement et promouvoir des habitudes de vie saine. / Background: Juvenile idiopathic arthritis (JIA), one of the most common chronic childhood autoimmune diseases, is a heterogeneous inflammatory condition characterised by joint inflammation (i.e. active disease), chronic pain, fatigue and morning stiffness, which may interfere with age-appropriate daily activities (i.e. leisure and physical activity, mobility and self-care), both at home and at school. Involvement in leisure and physical activity is beneficial to the health and development of all children and adolescents, and has also shown to help mitigate the effects of disease among those with chronic conditions such as JIA. Despite the benefits of leisure participation this subject remains vastly understudied in JIA. Objective: The aim of this thesis was to assess participation in leisure and physical activity among children and adolescents with JIA, as well as identify associated disease-related, personal and environmental factors. Methods: The assessment of patterns and exploration of potential predictors of participation in leisure and physical activity in children and adolescents with JIA was completed through a systematic review of the literature, analysis of survey data from a nationally representative sample of Canadian children with arthritis (age range = 5 to 14 years, nweighted = 4350), as well as the standardized assessment of leisure with the Children’s Assessment of Participation and Enjoyment (n=107) and the objective measurement of physical activity with accelerometer (n=76) among a clinical sample of children (age range = 8 to 11 years) and adolescents (age range = 12 to 17 years) with JIA followed at the Rheumatology clinic at the Montreal Children’s Hospital, McGill University Health Center. Clinical data were also compared to normative data and children and adolescents without JIA. We explored factors associated with participation in leisure and physical activity using multiple linear regression models and hierarchical analysis. Results: Children and adolescents with JIA participated in an array of leisure activities; however involvement was least frequent in active physical and skill-based leisure activities compared to other types of activity. Those with JIA were generally less physically active than healthy peers without JIA, and most with JIA did not meet national recommendations for physical activity. Boys with JIA were more likely to engage in physical activities, and less likely to take part in social, skill-based and self-improvement activities than girls with JIA. In general, being a boy, older age, greater mastery motivation for gross motor skills, higher socio-economic status and being of Canadian cultural background were associated with increased participation in more physical activities. Preference for skill-based activities, higher maternal education and being a girl were associated with increased participation in skill-based activities. Conclusion: Participation in leisure and physical activity in JIA is a complex concept and is mostly explained by personal and environmental factors. The identification of factors associated with leisure participation and physical activity is of utmost importance in JIA as it may aid health care professionals to tailor meaningful intervention plans based on preferred activities, improve adherence to treatment and help promote healthier lifestyles.

Page generated in 0.0672 seconds