Thesis (M.A.)--Bowling Green State University, 2009. / Document formatted into pages; contains viii, 102 p. Includes bibliographical references.

Composed entirely of runes, the 14th century manuscript Codex Runicus is comprised of 101 sheets and contains historical documents such as "Kings until Erik Menved" and "Boundaries between Denmark and Sweden." The end of the codex contains the oldest surviving Nordic music fragment with lyrical text "Drømde mik en drøm i nat um silki ok ærlik pæl" which translates as [I] dreamt me a dream last night of silk and lovely cloth. This melody, alongside three Norwegian folk slåttar written for fiddle, Fjellbekken (The Mountain Stream), Fjøllrosa (The Mountain Rose), and Syrgjefuen (The Bird of Sorrow), is used to generate the pitch material for this composition for string orchestra, english horn and french horn. The piece is contrapuntal in nature. A large portion of the work is formed from essentially five groups or layers of melody that comfortably co-exist towards, as well as away from, each other, their independent natures being most evident in the first half of the piece. Additionally, there are fluctuations within each group itself, for examples, forms of imitation, slippage, change in register, variation in playing technique, and micro-displays of rhythmic independence set against more heterophonic textures (Considerable use of rhythmic embellishment is derived from the ornamental style found in harding fiddle slåttar). Such micro-fluctuations further distinguish the texture-intentional orchestration of each group. Although the use of layered melody forms the framework for the entire composition, there is continual exploration of its possibilities through various parameters such as density vs. transparency, and continuation vs. fragmentation.

Composed entirely of runes, the 14th century manuscript Codex Runicus is comprised of 101 sheets and contains historical documents such as "Kings until Erik Menved" and "Boundaries between Denmark and Sweden." The end of the codex contains the oldest surviving Nordic music fragment with lyrical text "Drømde mik en drøm i nat um silki ok ærlik pæl" which translates as [I] dreamt me a dream last night of silk and lovely cloth. This melody, alongside three Norwegian folk slåttar written for fiddle, Fjellbekken (The Mountain Stream), Fjøllrosa (The Mountain Rose), and Syrgjefuen (The Bird of Sorrow), is used to generate the pitch material for this composition for string orchestra, english horn and french horn. The piece is contrapuntal in nature. A large portion of the work is formed from essentially five groups or layers of melody that comfortably co-exist towards, as well as away from, each other, their independent natures being most evident in the first half of the piece. Additionally, there are fluctuations within each group itself, for examples, forms of imitation, slippage, change in register, variation in playing technique, and micro-displays of rhythmic independence set against more heterophonic textures (Considerable use of rhythmic embellishment is derived from the ornamental style found in harding fiddle slåttar). Such micro-fluctuations further distinguish the texture-intentional orchestration of each group. Although the use of layered melody forms the framework for the entire composition, there is continual exploration of its possibilities through various parameters such as density vs. transparency, and continuation vs. fragmentation.

No description available.

Cette dissertation porte sur les liens entre les pratiques politiques et la construction des savoirs, académiques et scientifiques, explorés dans le mouvement féministe et les « Études féministes » contemporains, notamment anglo-américaines (women studies), depuis les années 1970. Dans la première partie, après avoir introduit le sens que donnent à la pratique « politique » certaines traditions féministes, nous présentons différentes entrées des critiques féministes des savoirs scientifiques : la critique de l'exclusion historique des femmes de la production des savoirs et des sciences et l’examen critique des préjugés sexistes intervenant dans les contenus et les critères de validation des connaissances (théorie de la connaissance ou épistémologie). La deuxième partie de la thèse propose une lecture d’auteures anglophones qui ont abordé les sciences à partir d’une perspective féministe et qui ont développé des propositions qui encouragent à la reconnaissance active du caractère partiel et situé de toute construction de savoir. Nous abordons, plus précisément : les théories sur l’incidence épistémologique de points de vue et positionnements féministes (standpoints) ; le travail de la philosophe Sandra Harding spécialement sa conceptualisation d’une « objectivité forte » ; et la conception des « savoirs situés » dans le travail de l’historienne de la biologie Donna Haraway. Ces propositions de politiques du savoir sont aussi abordées dans l’optique de montrer les problèmes spécifiques qu’elles rencontrent quand elles s’adressent aux savoirs de la tradition scientifique expérimentale. Une question traverse la thèse : Comment ces critiques et propositions tiennent-elles compte de la diversité des pratiques spécifiques de construction des savoirs ? Alors même que le cœur des propositions féministes qui nous intéressent est de situer les savoirs dans leur spécificité reste à savoir comment ces mêmes politiques féministes résistent à se désituer à savoir, à emprunter les formes d'une théorie générale pour aborder les pratiques singulières. Prendre en compte de la spécificité des pratiques exige en outre d’envisager les auteures féministes au travail dans les pratiques et problèmes singuliers qui les intéressent, et ainsi montrer la richesse de ce courant de pensée.

The problem is to examine the contributions of George S. Benson to Christian education. The study presents data obtained by personal interviews with George Benson and people who have been close to him, excerpts from letters written by former students, teachers, and board members, minutes of the Board of Trustees of Harding College, books, articles, speeches and newspapers.

Thesis (Ph. D.)--University of Missouri-Columbia, 2007. / The entire dissertation/thesis text is included in the research.pdf file; the official abstract appears in the short.pdf file (which also appears in the research.pdf); a non-technical general description, or public abstract, appears in the public.pdf file. Title from title screen of research.pdf file (viewed on January 29, 2007) Vita. Includes bibliographical references.

No description available.

Feminist philosophy of science has long been considered a fringe element of philosophy of science as a whole. A careful consideration of the treatment of the key concept of objectivity by such philosophical heavyweights as Thomas Kuhn and Karl Popper, followed by an analysis of the concept of objectivity with the work of such feminist philosophers of science as Donna Haraway, Lynn Hankinson Nelson, and Sandra Harding, reveals that feminist philosophers of science are not members of some fringe movement of philosophy of science, but rather are doing philosophical work which is both crucial and connected to the work of other, "mainstream" philosophers of science. / Master of Arts

Cette dissertation porte sur les liens entre les pratiques politiques et la construction des savoirs, académiques et scientifiques, explorés dans le mouvement féministe et les « Études féministes » contemporains, notamment anglo-américaines (women studies), depuis les années 1970. <p>Dans la première partie, après avoir introduit le sens que donnent à la pratique « politique » certaines traditions féministes, nous présentons différentes entrées des critiques féministes des savoirs scientifiques :la critique de l'exclusion historique des femmes de la production des savoirs et des sciences et l’examen critique des préjugés sexistes intervenant dans les contenus et les critères de validation des connaissances (théorie de la connaissance ou épistémologie). <p>La deuxième partie de la thèse propose une lecture d’auteures anglophones qui ont abordé les sciences à partir d’une perspective féministe et qui ont développé des propositions qui encouragent à la reconnaissance active du caractère partiel et situé de toute construction de savoir. Nous abordons, plus précisément :les théories sur l’incidence épistémologique de points de vue et positionnements féministes (standpoints) ;le travail de la philosophe Sandra Harding spécialement sa conceptualisation d’une « objectivité forte » ;et la conception des « savoirs situés » dans le travail de l’historienne de la biologie Donna Haraway. Ces propositions de politiques du savoir sont aussi abordées dans l’optique de montrer les problèmes spécifiques qu’elles rencontrent quand elles s’adressent aux savoirs de la tradition scientifique expérimentale.<p>Une question traverse la thèse :Comment ces critiques et propositions tiennent-elles compte de la diversité des pratiques spécifiques de construction des savoirs ?Alors même que le cœur des propositions féministes qui nous intéressent est de situer les savoirs dans leur spécificité reste à savoir comment ces mêmes politiques féministes résistent à se désituer à savoir, à emprunter les formes d'une théorie générale pour aborder les pratiques singulières. Prendre en compte de la spécificité des pratiques exige en outre d’envisager les auteures féministes au travail dans les pratiques et problèmes singuliers qui les intéressent, et ainsi montrer la richesse de ce courant de pensée.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished