• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 382
  • 143
  • 140
  • 140
  • 140
  • 140
  • 140
  • 139
  • 93
  • 30
  • 1
  • Tagged with
  • 857
  • 857
  • 857
  • 268
  • 245
  • 245
  • 245
  • 80
  • 77
  • 52
  • 52
  • 46
  • 42
  • 41
  • 40
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
661

Association between diet quality and metabolic syndrome in overweight and obese postmenopausal women

Shirkhodaei, Niloofar 12 1900 (has links)
Résumé Objectifs : Le syndrome métabolique (MetS) est un ensemble de composantes (obésité, résistance à l'insuline, intolérance au glucose, dyslipidémie, hypertension) qui sont associées à une augmentation du risque de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires. Aux États-Unis, la fréquence du MetS atteint des proportions épidémiques avec une prévalence de 25% de la population. Les études nutritionnelles traditionnelles se sont concentrées sur l’effet d’un nutriment alors que les études plus récentes ont déterminé l’effet global de la qualité alimentaire sur les facteurs de risque. Cependant, peu d'études ont examiné la relation entre la qualité alimentaire et le MetS. Objectif: Déterminer l'association entre la qualité alimentaire et le MetS et ses composantes. Méthodes: La présence du MetS a été déterminée chez 88 femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses, selon la définition du National Cholesterol Education Program Adult treatment Panel III alors que la qualité alimentaire a été évaluée selon le Healthy Eating Index (HEI). La sensibilité à l’insuline, la composition corporelle et le métabolisme énergétique ont été mesurés. Résultats: Le HEI corrélait négativement avec la plupart des mesures de masse grasse et du poids mais pas avec la sensibilité à l'insuline, l’hypertension et la plupart des marqueurs lipidiques. Cependant, l’HEI corrélait positivement avec LDL-C/ApoB et négativement avec le métabolisme énergétique. Conclusion: Les résultats démontrent que l’HEI est associé avec les mesures de gras corporel et la grosseur des LDL. Mots clés: Obésité, qualité alimentaire, métabolisme lipidique, syndrome métabolique. / Abstract Background: The metabolic syndrome (MetS) is a constellation of different metabolic components including central obesity, insulin resistance, abnormal glucose homeostasis, dyslipidemia and high blood pressure which identify individuals at high risk of type 2 diabetes and cardiovascular events. In the US, the prevalence of MetS has reached epidemic proportion and up to 25% of the population is affected. Traditional nutritional studies have focused on a single nutrient. Recently, measures of overall diet quality have been proposed as an alternative to assess diet-related diseases. However, few studies have addressed the relationship between diet quality and the MetS. Objective: To investigate the association of diet quality with the MetS and its components. Methods: The presence of the MetS was determined in 88 postmenopausal overweight or obese women using the National Cholesterol Education Program Adult treatment Panel III definition while diet quality was assessed with the Healthy Eating Index (HEI). We also measured insulin sensitivity, body composition and energy metabolism. Results: The HEI correlated negatively with most measures of body fat and body weight but not with insulin sensitivity, blood pressure and most markers of lipid metabolism. However, HEI correlated positively with LDL-C/ApoB and negatively with energy metabolism. Conclusion: Our results demonstrated that HEI is associated with fat distribution and LDL size. Key words: Obesity, diet quality, lipid metabolism, metabolic syndrome.
662

Follow-up of three large community-based programs to reduce anaemia among children 24-59 months in Ghana, Malawi and Tanzania

Warkentin, Kendra 03 1900 (has links)
L'anémie de l'enfant reste un problème d'importance pour la santé mondiale, malgré les décennies de recherche visant à comprendre son étiologie et à développer des interventions efficaces pour réduire sa prévalence et ses conséquences. Bien que les facteurs de risque individuels de l'anémie soient connus, y compris les facteurs liés à la malnutrition et à la morbidité, l'interaction entre lesdits facteurs est moins documentée dans des contextes où les enfants sont fréquemment exposés à plusieurs facteurs en même temps. Cette étude vise à documenter les efforts de lutte contre l'anémie du programme MICAH qui a été mis en oeuvre au Ghana, au Malawi et en Tanzanie. Ensuite, en utilisant les données relatives à la fois au processus et à l'évaluation colligées au cours du programme, elle vise à mieux comprendre les facteurs de risque d'anémie chez les jeunes enfants dans ces contextes et à comprendre comment les relations entre ces facteurs peuvent avoir changé au fil du temps lors de l'intervention. Spécifiquement, cette étude vérifie s‘il y a des preuves d'une réduction de la vulnérabilité des enfants aux facteurs de risque associés à l'anémie dans chaque contexte. Un examen de la documentation a été réalisé afin de caractériser le contexte du programme et des interventions, leur l'intensité et étendue. Les données transversales sur la nutrition et l'état de santé des enfants âgés de 24 à 59 mois (N = 2405) obtenues en 2000 et 2004 à partir des enquêtes d'évaluation du programme MICAH au Ghana, au Malawi et en Tanzanie, ont été utilisées pour décrire la prévalence de l'anémie. Les modèles polynomiaux de régression logistique et linéaire ont été utilisés pour estimer les risques d'anémie légère et d'anémie modérée / sévère et les niveaux d‘hémoglobine associés à des groupes de variables. Les estimations du risque attribuable à une population (RAP) ont aussi été calculées. Une anémie (Hb <110 g/L) a touché au moins 60% des enfants dans les trois pays; l'anémie modérée / sévère (<100 g/L) constituait la majorité des cas. Une forte diminution de l'anémie a été observée entre 2000 et 2004 au Ghana, mais seulement une légère baisse au Malawi et en Tanzanie. Le risque d'anémie modérée / sévère était associé au retard de croissance chez les enfants du Ghana (OR 2,68, IC 95% 1,70-4,23) et du Malawi (OR 1,71; 1,29-2,27) mais pas de la Tanzanie (OR 1,29; 0,87- 1,92). Le paludisme et les maladies récentes étaient associées à une hémoglobine plus basse. Une atténuation de cette association en 2004 a été observée seulement au Malawi pour le paludisme et au Ghana pour les maladies récentes. Le risque d'anémie modérée / sévère était 44% moindre chez les enfants âgés de 48 à 59 mois comparativement aux enfants de 24 à 35 mois dans les trois pays et cela n'a pas changé entre 2000 et 2004. Les RAP estimés ont montré qu‘environ un cinquième des cas d‘anémie modérée à sévère était attribuable au retard de croissance au Ghana et Malawi, mais pas en Tanzanie. Des RAP moindres et dépendants des contextes ont été trouvés pour le paludisme et les maladies récentes. Dans ces zones d‘intervention intégrées de santé et de nutrition la relation de certains facteurs de risque à l'anémie se modifia avec le temps. Le retard de croissance est resté toutefois un facteur de risque indépendant et non mitigé de l'anémie. Une réduction efficace des causes de la malnutrition chronique est nécessaire afin de réduire la vulnérabilité des enfants et de garantir un impact maximum des programmes de lutte contre l'anémie. Une mitigation de l'impact du paludisme peut par contre être visée dans les régions endémiques. / Childhood anaemia remains a problem of global health importance, despite decades of research to understand its aetiology and develop effective interventions to reduce its prevalence and consequences. While the individual risk factors for anaemia in young children are known, including factors related to undernutrition and morbidity, much less is known about the interaction amongst these in contexts where children are frequently exposed to several at the same time. This study seeks to document the anaemia control efforts of the Micronutrient and Health (MICAH) program implemented in Ghana, Malawi and Tanzania and use both process and evaluation data collected during the program to better understand the risk factors for anaemia in young children in these contexts and how these risk relationships may have changed over time during the intervention. Specifically, this study tests whether there is evidence of a reduction in child vulnerability to the risk factors associated with anaemia in each context. A review of program documentation was conducted to characterize the program contexts and interventions, including estimates of intensity and reach. Cross-sectional data on the nutrition and health status of children 24-59 mo (N=2405) obtained in 2000 and 2004 from community-based program evaluation surveys in Ghana, Malawi and Tanzania, were used to describe the prevalence of anaemia. Multinomial logistic and linear regression models were used to estimate the risk of mild and moderate/severe anaemia and low haemoglobin, respectively, associated with groups of variables. Population attributable risk (PAR) estimates were also calculated. Anaemia (haemoglobin <110 g/L) affected at least 60% of children in all three countries; moderate/severe anaemia (<100 g/L) accounted for the majority of cases. A large decrease in anaemia was observed between 2000 and 2004 in Ghana, but only a small decrease in Malawi and Tanzania. The risk of moderate/severe anaemia was associated with stunting in children from Ghana (OR 2.68; 95% CI 1.70, 4.23) and Malawi (OR 1.71; 1.29, 2.27) but not Tanzania (OR 1.29; 0.87, 1.92). Malaria and recent illness was associated with lower Hb overall; attenuation of this association in 2004 was observed only in Malawi for malaria and Ghana for illness. Children 48-59 mo were at least 44% less likely than those 24-35 mo to have moderate/severe anaemia in all three countries and this did not change between 2000 and 2004. PAR estimates showed that roughly one fifth of moderate/severe anaemia cases were attributable to stunting in Ghana and Malawi but not Tanzania. Lower and context-variable PAR estimates were found for malaria and recent illness. Integrated health and nutrition interventions altered the relationship of some but not all risk factors for anaemia. Stunting remained an independent and non-buffered risk factor for anaemia. Effectively reducing the causes of chronic undernutrition is required in order to reduce child vulnerability and ensure maximum impact of anaemia control programs. Some buffering of malaria impact may be achieved in endemic settings.
663

Évaluation des aspects nutritionnels du programme « Nutrition-Action » ciblant des personnes âgées en perte d’autonomie et vivant à domicile.

Rizkallah, Aline 07 1900 (has links)
Introduction: Une éducation nutritionnelle offerte à des personnes âgées contribuerait à améliorer leurs connaissances et leurs habitudes alimentaires. La présente étude s’insère dans le cadre du projet ‘Nutrition-Action’ (NA) ayant pour but de promouvoir les bases d’une alimentation saine et la pratique d’activité physique chez des sujets âgés vivant à domicile et à mobilité réduite. Objectifs : 1) Développer et présenter deux ateliers éducatifs portant sur des notions nutritionnelles précises; 2) Élaborer des outils de collecte de données; 3) Enseigner les notions nutritionnelles sous forme d’un échange continu entre la candidate à la maîtrise et les participants; 4) Évaluer l’impact des ateliers à thématique nutritionnelle sur les habitudes alimentaires des sujets. Sujets : Trente-neuf personnes âgées (PA) participants au projet NA ont été ciblées. Méthodologie : Les participants ont assisté à sept sessions éducatives sur la nutrition. Lors de ces dernières, des solutions nutritionnelles ont été proposées pour pallier à certains problèmes de santé. Une collation et une recette, appuyant le thème de la rencontre, ont été offertes aux participants après la session éducative. Un questionnaire recueillant les caractéristiques sociodémographiques, de santé et alimentaires a été administré aux participants avant le début de l’intervention. Ce même questionnaire, rehaussé en cours de route par des questions additionnelles, a été administré une deuxième fois à la fin de l’intervention. Résultats : La moyenne d’âge des participants était de 80,0 ± 7,7 ans avec une majorité de femmes (84,6%). Un changement significatif des habitudes alimentaires des participants au niveau de l’ajout de sel à table et de la monotonie de la diète a été observé. Conclusion : Les résultats de la présente étude permettent d’établir les facteurs aidant au développement d’interventions éducatives nutritionnelles ciblant des PA. Une meilleure compréhension de ces facteurs contribuerait au changement des comportements alimentaires des aînés. / Introduction: Nutrition education offered to seniors can improve their knowledge and eating habits. This study is part of the ‘Nutrition-Action’ (NA) project designed to promote the basics of healthy eating and physical activity in elderly living at home and with reduced mobility. Objectives: 1) Develop and present two educational workshops on specific nutritional concepts; 2) Develop tools for data collection; 3) Teach nutrition concepts in the form of a continuous exchange between the student and participants; 4) Assess the impact of workshops on nutritional concepts to convey the basics of a balanced diet and adequate health problems generally affecting seniors. Subjects: Thirty-nine elderly participants in the project NA have been targeted. Methodology: Participants attended seven educational sessions on nutrition. In participatory workshops, nutritional solutions have been proposed to overcome some health problems. A snack and a recipe, supporting the theme of the meeting were offered to participants after the educational session. A questionnaire collecting sociodemographic characteristics, health and food habits was administered to participants before the start of the intervention. The same questionnaire, enhanced along the way by additional questions, has been administered a second time at the end of the intervention. Results: The mean age of participants was 80.0 ± 7.7 years and the majority were women (84.6%). A significant change in dietary habits of participants in terms of adding salt at the table and the monotony of the diet was observed. Conclusion: The results of this study could establish the factors supporting the development of educational interventions targeting nutritional PA. A better understanding of these factors contributes to changing eating habits of seniors.
664

Facteurs d’agrégation de l’anémie dans les ménages au Cameroun.

Kengne Tine, Stella Carine 11 1900 (has links)
L'agrégation de l’anémie dans un ménage est soulignée lorsque l’anémie touche l’ensemble du ménage. La littérature scientifique fait état d’une coexistence des facteurs nutritionnels et infectieux dans l’étiologie de l’anémie. Cependant, si la cause principale de l’anémie dans une population est la carence en fer, les enfants et les femmes seront beaucoup plus affectés que les hommes. Si par contre l’anémie est liée à une cause infectieuse qui touche toute la population, l’anémie atteindra également les hommes. Ce travail a été entrepris pour vérifier l’hypothèse selon laquelle l’anémie ne serait pas spécifique à la carence en fer dans le cas où elle se concentrerait à l’ensemble du ménage. Cette étude porte sur des données d’enquête collectées au Cameroun. Nos analyses sont basées sur un sous échantillon de 2331 sujets, dont 777 femmes, 777 hommes et 777 enfants. La prévalence de l’anémie était de 53,5% chez les enfants, 39,5% chez les femmes et 18,3% chez les hommes. L’anémie était concentrée dans 34% des ménages. Le programme SPSS version 17.0 et plus particulièrement l’analyse de régression logistique a servi à tester l’impact de chaque groupe de variables (facteurs liés à l’individu, au ménage et à la communauté) sur l’agrégation de l’anémie dans les ménages. Les résultats de cette étude suggèrent que l’agrégation de l’anémie s’observerait surtout quand la santé de l’enfant est compromise. Le risque d’agrégation y est 4 fois plus élevé dans les foyers où les enfants ont un déficit pondéral et 6 fois plus élevé dans les ménages où les enfants présentent une fièvre. Le fait d’appartenir au sud forestier et à un ménage de niveau socio-économique moyen constituerait également des facteurs de risque d’agrégation. / The aggregation of anemia in a household is underlined when the anemia affects the entire household. The involvement of dietary and infectious factors in the etiology of anemia was demonstrated in the literature. Nevertheless, if the main cause of anemia in a population is iron deficiency, children and women are much more affected than men. If instead of that, anemia is associated with an infectious cause that affects the entire population, anemia will also reach the men. This work was initiated to test the hypothesis that, anemia is not specific to iron deficiency when it affects the entire household. This study examines survey data collected in Cameroon. Our analysis is based on a sub sample of 2331 subjects, including 777 women, 777 men and 777 children. The prevalence of anemia was 58% in children, 48.48% for women and 20.82% for men. Anemia was found concentrated in 34% of households. The SPSS program version 17.0 and specifically the logistic regression analysis were used to test the impact of each group of variables (factors related to the individual, health, household and community) on the aggregation of anemia in the households. The results of this study suggest that the aggregation of anemia occurs mainly when the child's health is compromised. The risk of aggregation is four times higher in homes where children are underweight and 6 times higher in households where children have a fever. Being from the region of southern's forest and belong to a household with average socioeconomic level would also be the risks factors for the aggregation.
665

Étude cas témoin de la nutrition, du style de vie et du cancer du sein chez les femmes Canadiennes Françaises porteuses d’une mutation fondatrice sur un des gènes BRCA 1 ou BRCA 2

Houssaini, Najlaa 04 1900 (has links)
Le cancer du sein est une maladie multifactorielle, plusieurs facteurs socio-économiques, alimentaires ainsi que le style de vie ayant été incriminés dans son développement. Une mutation germinale sur un des gènes BRCA1 ou BRCA2 serait responsable d’une augmentation du risque de développer un cancer du sein de 50 à 80% chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2 par comparaison aux non- porteuses. Plusieurs études rapportant l’existence d’une association entre la fréquence des cancers du sein sporadiques, les habitudes alimentaires et le style de vie des femmes atteintes, ceci, nous a amené à nous interroger sur le rôle que pourrait jouer ces mêmes facteurs chez les femmes porteuses d’une mutation sur BRCA1 ou BRCA2. Pour répondre à cette question, nous avons effectué une étude cas-témoin. Nos quarante-quatre cas sont porteuses d’une mutation germinale parmi 6 des 14 mutations fondatrices sur BRCA1 et BRCA2 les plus fréquentes dans la population Canadienne Française. Elles sont issues d’une cohorte de plus de 1000 femmes Canadiennes Françaises atteintes de cancers du sein recrutées depuis 1994 et testées pour ces 6 mutations. Les témoins sont recrutés parmi des femmes de la population Canadienne Française, également porteuses d’une de ces six mutations fondatrices de BRCA1 ou BRCA2, mais indemnes de cancers. Quinze d’entre elles ont été recrutées dans les familles des cas de l’étude initiale. Vingt-neuf ont été recrutées à la clinique des cancers familiaux du CHUM, nous permettant ainsi de totaliser 44 témoins. Deux questionnaires ont été administrés aux cas et aux témoins. Le premier, dit Questionnaire de base, a servi à recenser les informations sociodémographiques et le style de vie, couvrant ainsi les deux années précédant la découverte du cancer du sein pour les cas et les deux années précédant la découverte de la mutation pour les témoins. Le deuxième questionnaire, Questionnaire de nutrition, a permis de colliger les informations sur les habitudes alimentaires durant la même période de recueil de données. Une association positive et significative entre le risque de cancer du sein et le niveau d’éducation a été observé parmi les sujets de niveau universitaire (>14 années d’étude) comparés aux sujets n’ayant pas dépassé le niveau d’études secondaires (<11 années d’études) [OR= 7,82; IC95% : (1,99-30,69); p=0,003]. Nous avons mis en évidence que le risque de cancer du sein augmentait lorsque les sujets atteignaient leur poids maximum à un âge avancé > 48 ans [OR = 4,27 ; IC 95% : (0,82-22,25)]. Nous avons montré que le risque du cancer du sein diminuait pour une durée d’allaitement supérieure à 7 mois par comparaison aux femmes n’ayant jamais allaité [OR= 0,35; IC 95% : (0,12-1,06)] mais cette association est non significative. Les porteuses qui pratiquent plus de 22,45 Met-h-sem d’activité physique modérée, comparativement à celles qui pratiquent moins de 11,45 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein diminué de 72% [OR=0,28- IC 95% : (0,08-0,95); p=0,04]. Celles qui pratiquent plus de 31,95 Met-h-sem d’activité physique totale comparativement à celles qui pratiquent moins de 16,40 Met-h-sem voient leur risque de cancer du sein réduit de 79 % [OR=0,21; IC 95% : (0,06-0,75); p= 0,02]. L’analyse des macro et micronutriments et des groupes alimentaires a démontré qu’une consommation de plus de 23,20 g/j d’acide gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de cancer du sein de 6 fois par comparaison à une consommation inférieure à 17,08 g/j [OR=6,00; IC 95% : (0,97-37,02); p=0,05]. Une consommation de plus de 221,79 µg/j de vitamine K réduit le risque du cancer du sein de 83 % par comparaison à une consommation inférieure à 143,57 µg/j [OR= 0,17; IC95% : (0,05-0,61) ; p=0,007]. La consommation de fruits est associée à une réduction du risque de cancer du sein de 73% chez les porteuses de mutations qui en consomment plus de 563,31 g/j comparée à celles qui en consomment moins de 356,18 g/j [OR= 0,27; IC 95% : (0,07-1,01) ; p=0,05]. Nos résultats confortent l’hypothèse selon laquelle le style de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle dans le développement du cancer du sein chez les Canadiennes Françaises porteuses de mutations d’une des 6 mutations fondatrices de BRCA1 ou 2 étudiées. En effet, un niveau d’éducation élevé, un gain de poids sont associés à un risque élevé de développer un cancer du sein. De plus la pratique de l’allaitement et d’une activité physique modérée sont associées à une réduction de ce risque. Nous montrons aussi que la consommation d’acides gras monoinsaturés est responsable d’une augmentation du risque de ce cancer et que la consommation de vitamine K et de fruits permet de réduire ce risque. Nos résultats ouvrent une nouvelle voie de recherche par rapport au rôle de certains nutriments dans le développement du cancer du sein chez les porteuses de mutation d’un des gènes BRCA. Cette voie pourrait également être explorée chez les non porteuses. / Breast cancer is a multifactorial disease and several dietary and lifestyle factors have been implicated in the development of breast cancer. Women carriers of a BRCA1 or BRCA2 germline mutation have a lifetime risk of 50 to 80% to develop breast cancer compared with 11 % in non carriers. Several studies have reported the existence of an association between the incidence of sporadic breast cancers, dietary factors and lifestyle which lead us to investigate the effects of these factors on breast cancer risk in women carriers of a BRCA1 or BRCA2 mutation. We have carried out a case-control study among French Canadian women in Montreal. Cases were from a cohort of around 1000 women affected with breast cancer, recruited since 1994. We have identified 44 affected women who have been tested for BRCA1 and BRCA2 for six founders mutations in the French Canadian population. All these cases were carriers of one of the six mentioned mutations. Controls were also women carriers of one of these six in BRCA1 or BRCA2 mutations but, unaffected with cancers. Fifteen of them coming from the same families of the studied cases and twenty-nine were identified at the familial cancer clinic of the CHUM, resulting in a total of 44 controls. A core questionnaire was administered to both cases and controls to gather information on socio-demographic and lifestyle risk factors covering the two years preceding the diagnosis of breast cancer for cases and the two years before the discovery of the mutation for controls. A validated semi-quantitative food frequency questionnaire was administered to ascertain dietary intake corresponding to the same period of time for both cases and controls. A positive and significant association between breast cancer risk and higher education was observed among subjects with a universitary education (> 14 years of study) compared with subjects who had no more than high school education (<11 years of studies) [OR = 7.82, 95% CI :( 1.99-30.69), p = 0.003]. We have found that breast cancer risk increased when gene mutation carriers reached their maximum weight at age> 48 years [OR = 4.27; 95% CI (0.82-22.25)]. In this study it was observed that breast cancer risk in carriers decreased with more than 7 months breast feeding compared with no breastfeeding [OR = 0.35, 95% CI = (0.12-1.06)] but this association was not significant. Women who practiced more than 22.45 MET-hours per week of moderate physical activity, compared with those practicing less than 11.45 MET-hours per week had a cancer risk decreased by 72% [OR = 0,28 - 95% IC (0.08-0.95), p = 0.04]. Those who practiced more than 31.95 MET-hours per week of total physical activity compared with less than 16.40 showed a risk reduced of around 79% [OR = 0.21; 95% CI:(0.06-0.75), p = 0.02]. The analysis of macro and micro-nutrients and food groups showed that consumption of more than 23.20 g/d of monounsaturated fatty acid increased the risk of breast cancer significantly compared with a consumption of less than 17.08 g/d [OR = 6.00, 95% CI:(0.97-37.02), p = 0.05]. We also observed that an intake of more 221.79 mg/d of vitamin K reduced the risk of breast cancer by 83% compared with those consuming less than 143.57 mg/d [OR = 0.17, 95% (0.05-0.61), p = 0.007]. High intake of fruits was associated with a lower risk of breast cancer risk (73%) among carriers who consumed more than 563.31 g / d compared with less than 356.18 g/d [OR = 0.27; 95% CI :(0.07-1.01), p = 0.05]. The results of our study support the role of lifestyle and dietary habits in the aetiology of breast cancer among French Canadian with a BRCA1 or BRCA2 mutation. In general, we have observed that a high level of educational and weight gain increased the risk of breast cancer among gene mutation carriers, while breastfeeding and a moderate physical activity reduced this risk. Regarding food habits and nutrition, our results suggest that high intake of mono-unsaturated fatty acids increased the risk of breast cancer. The higher intake of vitamin K and fruits showed a protective role against breast cancer. In our knowledge, this is the first finding of the possible relationship between nutrition, lifestyle and risk of breast cancer among French Canadian carriers of BRCA1 or BRCA2 mutation. Due to the small sample size of our study, more investigations are needed in the future to clarify this relationship.
666

Impact of a neonatal parenteral nutrition on the hepatic activity of methionine adenosyltransferase, a limiting step for glutathione synthesis

Wesam, Elremaly 04 1900 (has links)
Problématique : Le glutathion est une molécule clé de la défense antioxydante. Chez les enfants sous nutrition parentérale (NP), particulièrement les nouveau-nés, sa concentration tissulaire est anormalement basse. Puisque la capacité de synthèse de glutathion est adéquate, un déficit en cystéine, le substrat limitant, est soupçonnée. À cause de son instabilité en solution, la cystéine est peu présente en NP; la méthionine étant le précurseur endogène de cet acide aminé. L’activité de la méthionine adénosyltransférase (MAT), une enzyme essentielle à la transformation de la méthionine en cystéine, est facilement inhibée par l’oxydation. L’hypothèse : Le faible taux de glutathion chez les enfants sous NP est causé par l’inhibition de la MAT par les peroxydes contaminant ces solutions nutritives. Objectif: Mesurer l’impact d’une infusion de NP et de H2O2 sur l’activité hépatique de MAT en relation avec le niveau de glutathion. Méthode : Un cathéter est placé dans la jugulaire droite de cobayes de trois jours de vie. Quatre groupes sont comparés:1- Témoin (animaux aucune manipulation, sans cathéter) 2)-(animaux nourris normalement et le cathéter (noué)); 3) NP (animaux nourris exclusivement par voie intraveineuse (acides aminés + dextrose + lipides + vitamines + électrolytes), cette solution génère environ 400 µM de peroxyde. 4) H2O2 (animaux nourris normalement et recevant via le cathéter 400 µM de H2O2). Après quatre jours, le foie et le sang sont prélevés pour la détermination du glutathion, potentiel redox et l’activité de MAT, glutathion peroxydase et glutathion reductase. Résultats : L’activité de MAT est plus faible dans les groupes NP et H2O2. Le potentiel redox du foie et dans le sang est plus oxydé dans le groupe NP. Tandis que la concentration de GSSG du foie est plus élevée dans le groupe NP. Ainsi la concentration de GSH dans le sang et foie est plus faible dans les NP et H2O2 Discussion: La relation entre l’inhibition de MAT et le stress oxydant observée dans le groupe NP pourrait bien expliquer la perturbation du système glutathion observée chez les nouveau-nés prématurés. / Introduction: The low glutathione level in premature newborns can partly explain the high incidence of complications associated with oxidative stress in this population. Since the synthetic activity of glutathione is mature, a lack of substrate, especially cysteine, is suspected. Methionine provided by their parenteral nutrition (PN) is the in vivo precursor of cysteine. Since, methionine adenosyltransferase (MAT), the first enzyme in methionine transformation, has redox sensitive cysteines, we hypothesize that peroxides contaminating PN inhibit the activity of MAT, leading to a lower availability of cysteine for glutathione synthesis. Methods: At 3 days of life, guinea pigs a catheter fixed in jugular vein, the animals were separated in 4 groups: 1) Control: animals without any treatment and no catheter 2) sham: animals fed regular chow, a node closed their catheter; 3) PN: animals fed exclusively with parenteral nutrition (dextrose, amino acids, fat, vitamins) containing about 400 µM peroxides; 4) H2O2: animals fed regular chow and received continuously 400 µM H2O2 through the catheter. Four days later, liver and blood were sampling for determination of reduced glutathione (GSH), oxidized glutathione (GSSG), redox potential and activities of MAT, glutathione peroxidase, and glutathione reductase. Results: MAT activity was lower in groups receiving PN or H2O2. Liver redox was more oxidized in PN group whereas blood redox was more oxidized in PN and H2O2. Liver and blood GSH is lower in PN and H2O2. Liver GSSG was higher in PN. Conclusion: The inhibition of MAT in the PN group could explain the disruption of the glutathione system observed in premature infants. Furthermore the impact of a lower activity of MAT on GSH level is observed in liver and blood. Suggesting that the hepatic synthesis of GSH is insufficient to maintain its own level of glutathione and sustain the rate of export.
667

Dietary supplement use and its impact on nutritional adequacy for British Columbia and Manitoba First Nations adults living on reserve.

Tupytsia, Lesya 02 1900 (has links)
Contexte: L'utilisation de suppléments alimentaires est répandue chez les populations américaines et canadiennes en général, mais on en sait peu sur la consommation de suppléments alimentaires dans la population autochtone canadienne. Objectif: L'objectif général de cette étude est de prendre en compte l'utilisation de suppléments alimentaires dans l'évaluation nutritionnelle des apports alimentaires des adultes des Premières nations vivant dans les réserves en Colombie-Britannique et Manitoba. Conception: Les données ont été recueillies par l’étude ‘First Nations Food, Nutrition, and Environment Study’ de 1103 (Colombie-Britannique) et 706 (Manitoba) adultes des Premières Nations âgés de 19 à 70 ans. L'étude a utilisé un rappel alimentaire des dernières 24 heures (avec un deuxième rappel pour un sous-échantillon) pour évaluer la diète alimentaire. L'utilisation de suppléments alimentaires et des antiacides ont été recueillis par un questionnaire de fréquence. En utilisant le logiciel SIDE pour tenir compte des variations intra-individuelles dans la prise alimentaire et la technique du bootstrap pour obtenir des estimations représentatives des différentes régions, l'utilisation de suppléments de la vitamine A, D, C et de calcium ont été intégrées aux estimations de la consommation alimentaire. Résultats: Environ 30% des adultes des Premières Nations de la Colombie-Britannique et seulement 13,2% des adultes des Premières Nations du Manitoba âgés entre 19-70 ans vivant dans les réserves ont déclaré utiliser au moins un supplément alimentaire durant les 30 jours précédents. Lors de l'examen des nutriments d'intérêt, un plus faible pourcentage de la population en a fait usage, de 14,8 à 18,5% en Colombie-Britannique et de 4,9 à 8% de la population du Manitoba. La prévalence de l'usage de tout supplément alimentaire était plus élevée chez les femmes que chez les hommes dans tous les groupes d'âge et augmente avec l'âge dans les deux sexes. La plus forte prévalence d'un apport insuffisant provenant de la nourriture a été observée pour la vitamine D et le calcium en Colombie-Britannique et Manitoba, variant de 75 à 100%, et de la vitamine A dans le Manitoba (73-96%). Après avoir examiné l'utilisation de suppléments alimentaires, plus des trois quarts des participants n’ont toujours pas réussi à répondre au besoin moyen estimatif pour ces nutriments. La vitamine C est l'oligo-élément avec le plus faible pourcentage sous le besoin moyen estimatif (avec au sans suppléments) pour la Colombie-Britannique et le Manitoba. Conclusion: La majorité des adultes des Premières nations de la Colombie-Britannique et du Manitoba, même après prise en compte de l'utilisation de suppléments alimentaires, avaient des apports en vitamines A, D et des apports de calcium sous les niveaux recommandés. L'utilisation de compléments alimentaires n'a pas contribué de façon significative à l'apport total en nutriments sélectionnés sauf pour la vitamine C dans certains groupes d'âge. / Background: The use of dietary supplements is prevalent among general US and Canadian populations; however, little is known about consumption of nutritional supplements among the Canadian Aboriginal population. Objective: The overall goal of this study was to integrate supplement use into dietary intake for the assessment of nutritional adequacy in British Columbia and Manitoba First Nation adults living on reserve. Design: Data were collected by the First Nations Food, Nutrition, and Environment Study from 1103 BC and 706 MA First Nation adults aged 19-70 years old. The study used 24-hour food recalls (with a second recall in a subsample) to assess diet. Dietary supplement and antacid use were collected by a frequency questionnaire. Using SIDE software to account for intra-individual variation in food intake and bootstrap weights to obtain regionally representative estimates, vitamin A, D, C, and calcium supplement use were incorporated to food intake estimates. Results: About 30% of British Columbia and only 13.2% of Manitoba First Nation people aged 19-70 y living on reserve reported use of at least one dietary supplement within the prior 30 days. When considering the nutrients of interest, a smaller percentage of the populations took them varying from nutrient to nutrient from 14.8 to 18.5% in British Columbia and from 4.9 to 8% in Manitoba population. The prevalence of use of any dietary supplement was higher among women than men in all age groups and increased with age in both genders. The highest prevalence of inadequate intakes from food alone was observed for vitamin D and calcium in both British Columbia and Manitoba varying from 75 to 100%, and for vitamin A in Manitoba (73-96%). After considering the use of dietary supplements, more than three fourth of participants still failed to meet the EAR for these nutrients. Vitamin C was the micronutrient with the lowest percentage of BC and Manitoba participants bellow the EAR with or without supplements consumption.
668

Evaluation of phase I of the Action Schools! BC - Healthy Eating pilot

Day, Meghan E. 21 May 2008 (has links)
Background: The incidence of childhood obesity and associated risk factors is increasing. Schools are an ideal vehicle for the delivery of obesity prevention programs for children and adolescents. Action Schools! BC - Healthy Eating is a school-based obesity prevention initiative that utilizes an innovative whole-school approach to target fruit and vegetable consumption. Objective: To assess the effectiveness of Action Schools! BC - Healthy Eating in affecting positive change in: 1) students' intake of fruit and vegetables, 2) students' knowledge, attitudes and perceptions regarding fruit and vegetables and 3) students' willingness to try new fruit and vegetables. Methods: Five schools that represented geographic, socioeconomic and size variation were recruited as Action Schools! BC - Healthy Eating intervention schools. A second set of five schools were selected as matched healthy eating usual practice schools. Student outcomes were measured at baseline and at 6-month follow-up using the following self report questionnaires: 1) 24-hour recall, 2) Food Frequency Questionnaire, 3) Knowledge, Attitudes and Perceptions Survey, and 4) Food Neophobia Scale for Children. Classroom logs and progress reports were used to assess implementation dose and fidelity. Intervention: Intervention schools established an Action Team and developed an individualized Action Plan addressing healthy eating goals across six Action Zones. Schools received the Action Schools! BC - Healthy Eating resources, a comprehensive training workshop, and ongoing facilitator support throughout the school year. Teachers were asked to implement school-wide activities and to deliver a minimum of 2 healthy eating activities and 1 tasting activity in the classroom per week. Results: Outcomes.- Usual practice schools had significantly higher servings of fruit (p=.0001), total servings of fruit and vegetables (p=.004), variety of fruit and vegetables eaten p = .020), and number of fruit and vegetables tried from a fixed list (p=.000I ) at baseline. There was also a significant difference in student ages between conditions at baseline (p=.0001). Significant differences between conditions over time while controlling for baseline levels were found for servings of fruit, total servings of fruit and vegetables, variety of fruit and vegetables eaten, and percent of fruit and vegetables tried from a fixed list. Number of total servings of fruit and vegetables increased (+.18) in Action Schools! BC - Healthy Eating schools while it decreased in the usual practice schools (-.79). Implementation Fidelity: Teachers implemented a mean of 64% of requested classroom dose, and school Action Teams implemented activities across 80% of the whole-school model. Conclusion: The Action Schools! BC model had a modest impact on fruit and vegetable intake, and appeared to be feasible. Due to a short intervention period, further implementation and evaluation are necessary to fully understand the effectiveness of this initiative.
669

Syndrome métabolique affectant les survivants de la leucémie lymphoblastique aiguë pédiatrique : rôle et dysfonctions des lipoprotéines « HDL »

Fournier, Maryse 04 1900 (has links)
No description available.
670

Bien manger en 2015 : perception du concept par des adultes clés agissant auprès d’enfants d’âge préscolaire au Québec

Panneton, Catherine 09 1900 (has links)
No description available.

Page generated in 0.1104 seconds